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[Norton]

Open d'Australie

Roger Federer efface Safin en trois sets


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Roger Federer déroule face à Marat Safin.Roger Federer (ATP 2) a facilement battu le Russe Marat Safin (ATP 26) en 16e de finale de l'Open d'Australie à Melbourne. Le Suisse s'est imposé en trois manches 6-3 6-2 7-6 (7-5). Il affrontera Tomas Berdych au prochain tour.

Une merveille de passing de revers le long de la ligne a
donné la victoire à Roger Federer (no 2) lors de sa belle à
Melbourne contre Marat Safin (no 26). Le Suisse s´est imposé 6-3
6-2 7-6 devant le Russe en 16e de finale.
Roger Federer a livré une performance de choix. Il n´a pas
concédé la moindre balle de break dans ce match qui l´opposait
pourtant à un relanceur de première force. Depuis le début de la
quinzaine, il n´aura perdu qu´une seule fois sa mise en jeu en
trois rencontres. Il peut donc aborder avec une très grande
confiance le huitième de finale qui l´opposera dimanche à Tomas
Berdych (no 20). Il reste sur sept victoires de rang face au
Tchèque, qui avait toutefois remporté leur premier match en 2004
aux Jeux d´Athènes.
Après deux premiers sets sans histoire remportés grâce à trois
breaks, Roger Federer a été entraîné dans un jeu décisif lors de la
troisième manche par Marat Safin, qui a peut-être disputé vendredi
son dernier match à Melbourne. Federer pensait avoir fait le plus
dur dans ce tie-break après une faute de pied infligée à Safin sur
une seconde balle alors que le Russe était déjà mené 3/1. Cet
incident déconcentrait quelque peu Federer qui commettait trois
fautes directes. Mais à 5/5, le Bâlois retrouvait tout son punch
pour armer un service gagnant avant de réussir ce passing qui lui a
permis de conclure en 1 h 51. Ce dernier point vaut tous les
discours: tous les voyants sont au vert pour Roger Federer à
Melbourne.

[Norton]

COUPE DU MONDE-Kitzbühel

Didier Défago: «Gagner Kitz, c'est un rêve!»


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C'est dans le schuss final que Didier Défago a fait la différence. Devant la foule en délire, il a explosé le radar avec une vitesse de 142,3?km/h, avant d'exploser de joie dans l'aire d'arrivée.
Didier Défago continue de vivre sur son petit nuage. Après avoir dompté le Lauberhorn, il y a une semaine, il s'offre la Streif devant 45 000 spectateurs. Et devient le 12e coureur à signer ce prestigieux doublé
Laurent Guyot - le 24 janvier 2009
Le Matin Dimanche


«En apprenant, juste avant mon départ, la victoire de Dominique Gisin à Cortina, j'ai pensé que c'était possible. Même si j'étais bien conscient de l'énormité de ma tâche.
Une bonne heure plus tôt, le Morginois avait affolé le chrono. Explosé le radar posé en bas du schuss final avec la plus haute vitesse mesurée à 142,3 km/h. Comme boosté par le sursis connu avant de plonger dans la Hausbergkante, le vainqueur de Wengen s'est engagé sans retenue dans la traverse. Un endroit où ses Rossignol ont fait merveille, chantant sur la glace. De véritables fusées que le pilote est parvenu à mettre sur orbite pour la plus grande joie de Victor, son papa, mais aussi d'Evelyne, sa maman, dont le coeur a passé par tous les états d'âme aux côtés de Sabine, son épouse et Alexane (15 mois), sa fille.

Une pensée pour Daniel Albrecht
Encore plus ému qu'une semaine auparavant à Wengen, Didier Défago revient tout de suite sur les événements de la semaine. Evoque, bien sûr, le cas de Daniel Albrecht avant de parler du déclic connu, vendredi, au moment de pousser le portillon de départ d'un super-G terminé au 6e rang. «J'ai une pensée pour Dani. Ce qui s'est passé est tragique. Avec ma victoire, je souhaite lui donner toute la force nécessaire pour effacer toutes les séquelles de sa chute. Et qu'il puisse revenir sur les skis. De mon côté, j'ai profité de petits moments pour me vider la tête. En fait, j'étais impatient de renouer avec la compétition. J'ai mûri et c'est grâce à mon bon super-G que je suis revenu aux affaires.» Devenu l'homme à battre de la discipline reine grâce à ses deux succès consécutifs, le Valaisan n'en fait pas un fromage. «Il y aura bien sûr un peu plus de pression. Mais je n'ai plus envie d'attendre six ans avant de fêter une nouvelle victoire. Et c'est du côté des Mondiaux que je lorgne. J'aimerais vraiment rentrer avec un bout de métal autour du cou.»
Didier Cuche: «Chapeau Déf!»

Didier Cuche, avez-vous suivi la descente de Didier Défago?
Non car j'étais en train de finir mes préparatifs de départ. J'ai tout de même su qu'il avait réussi un coup en voyant Augusto, son technicien, s'exciter. Je ne peux lui dire que chapeau Déf! Même si j'étais bien sur le haut, c'est bien lui qui est allé chercher une victoire.
Etes-vous animé par une déception quelconque?
Il y a une victoire suisse et un Didier sur le podium. Je ne vais tout de même pas pleurer. (Rires.) Non, j'étais déçu vendredi de ma 4e?place car j'avais la victoire au bout de mes spatules. Aujourd'hui, c'est un petit goût amer qui me reste dans la bouche. Le podium me boude mais à Kitzbühel, il faut surtout se réjouir d'être arrivé entier au bas de la piste. L'accident survenu à Daniel Albrecht le prouve, malheureusement, une fois de plus.
Où avez-vous perdu votre place dans le tiercé gagnant?
Je me suis fait pousser à gauche sur la Hausbergkante. J'ai dû tricher dans l'appui pour revenir. Je n'étais pas à fond sur la taille. Et cela se traduit par des km/h en moins pour les cinq cents derniers mètres de la piste. A un moment donné, j'ai même pensé que je ne finirais par la traverse compte tenu de ma position.

[Norton]

COUPE DU MONDE-CORTINA D'AMPEZZO (IT)

Et Gisin met la seconde!


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Dominique Gisin n'en revient encore pas de s'être imposée pour la deuxième fois en une semaine.
La Suissesse, qui avait des bombes sous les pieds, remercie son serviceman. Elle peine encore à réaliser qu'à Val-d'Isère elle figurera parmi les favorites de la descente des Mondiaux!
Christian Maillard - le 24 janvier 2009
Le Matin Dimanche


Son visage est rayonnant, les sourcils en points d'interrogation. «Quoi, Def' a aussi gagné? Non? Après Wengen, il s'est imposé à Kitzbühel? Alors ça, c'est cool, vraiment très fort ce qu'il a fait!» Dominique Gisin est ainsi, toujours en admiration devant les autres. Elle n'en revient pas. Et pourtant elle oublie juste, la Suissesse, qu'elle aussi vient de réaliser le doublé, un nouvel exploit. Que moins d'une semaine après son premier succès à Zauchensee-Altenmarkt, c'est encore elle, la belle Obwaldienne, qui se trouve tout devant, qu'elle vient, à 23 ans, de dompter la Tofane de Cortina; que, comme Didier Défago, elle a confirmé son statut, son immense talent, pour mettre la seconde, une victoire magnifique dans une classique du cirque blanc.
«Oui, mais si Lindsey Vonn et Anja Pärson ne commettent pas d'erreurs, elles sont imbattables!» Avec des si, ne met-on pas Paris en bouteille? La Suissesse, qui a réalisé une fin de course époustouflante, est presque gênée d'être sous les projecteurs, de les avoir toutes battues, de planer sur son nuage. «Je ne pensais pas que mon temps vaudrait un podium...» Or force est de constater qu'actuellement elle skie comme personne, comme un avion. «J'ai toutefois profité d'une piste en parfait état, s'excuse-t-elle. Maintenant d'être encore une fois avec ces deux immenses stars sur le podium est vraiment un grand honneur pour moi. Je remercie Pellat' (ndlr: Olivier Pellaton), mon préparateur. J'ignore ce qu'il a mis sous mes skis, mais ils allaient très vite!» Le Jurassien lui a effectivement posé des bombes sous les pieds! «Sans lui, je n'aurais eu aucune chance...»
L'humilité est l'une des nombreuses qualités de cette fille hors norme, passionnée d'aviation, d'informatique, d'une intelligence rare; qui répète à ceux qui la découvre qu'elle n'a pas été épargnée par la malchance, qu'elle revient de sept opérations aux genoux, de tellement loin. Qu'elle savoure enfin une saison sans blessure. Et que le 8 février prochain, à Val.d'Isère, «tout peut arriver». Comme Didier Défago, Dominique Gisin a, en effet, les moyens, en Tarentaise, de faire très fort...

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terrible chute à Kitzbühel

Daniel Albrecht, toujours dans le coma, ne devrait pas être opéré


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Le traumatisme crânien dont souffre le skieur de Fiesch se résorbe sans complications.
L´état de santé de Daniel Albrecht reste stable. Toujours plongé dans un coma artificiel à la suite de sa terrible chute lors de la descente d´entraînement de Kitzbühel, le Valaisan ne devrait pas être opéré, a indiqué la clinique universitaire d´Innsbruck où le skieur a été admis jeudi.

LeMatin.ch & les agences


Le traumatisme crânien dont souffre le skieur de Fiesch se
résorbe sans complications. Les médecins de la section des soins
intensifs de la clinique tyrolienne ont indiqué s´occuper plus
particulièrement des saignements aux poumons dont souffre le
Valaisan. Toutefois, aucune intervention chirurgicale n´est
envisagée. Albrecht restera dans le coma artificiel jusqu´à
l´amélioration de l´état de ses blessures pulmonaires.
Terrible chute
Le skieur de 25 ans est violemment tombé sur le haut du dos jeudi dernier lors des entraînements à la descente de Kitzbühel, en négociant mal le saut final avant de rouler plusieurs fois sur lui-même.
Ne bougeant plus, Albrecht a reçu des premiers soins sur la piste à quelques mètres de la ligne d’arrivée, pendant une vingtaine de minutes, avant d’être évacué en hélicoptère vers l’hôpital de Sankt-Johann (ouest).
Coma artificiel
Il a repris connaissance peu après son arrivée à l’hôpital, mais il a été plongé dans un coma artificiel pour être transporté sur Innsbruck, où il a été admis en soins intensifs, a indiqué une porte-parole de l’équipe suisse.
Albrecht souffre d’une hémorragie cérébrale, d'un traumatisme crânien et de contusions à un poumon.

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open d'australie

Melbourne: Nadal exécute Gonzalez et passe en quarts


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Les statistiques de l'Espagnol font de lui de loin le joueur le plus impressionnant depuis le début du tournoi.
Rafael Nadal s’est offert une nouvelle démonstration de force à l’Open d’Australie. L'Espagnol a surclassé ce matin le Chilien Fernando Gonzalez 6-3 6-2 6-4 et rejoint les quarts de finale.
le 26 janvier 2009
LeMatin.ch & les agences


Avant de rencontrer le Français Gilles Simon, le N.1 mondial n’a laissé que des miettes à ses adversaires. En quatre matches, l’Espagnol n’a perdu aucun set et a abandonné seulement sept jeux par match en moyenne!
Ces statistiques font de lui de loin le joueur le plus impressionnant depuis le début du tournoi. Il n’avait jamais fait mieux dans aucun tournoi du Grand Chelem jusque-là.
Le Majorquin de 22 ans a pris une cuisante revanche sur Gonzalez, 14e joueur mondial, qui l’avait battu en quarts de finale à Melbourne en 2007. Le score est pratiquement, mais à l’envers, de celui de l’époque où le Chilien l’avait emporté 6-2, 6-4, 6-3.
Gonzalez, qui dit dû batailler pendant plus de quatre heures pour battre Richard Gasquet 12-10 dans le cinquième set au tour précédent, a mené 2-0 dans le premier set et 3-0 dans le troisième avant de s’écrouler à chaque fois.
Depuis ses débuts à Melbourne en 2004, Nadal est allé chaque année un tour plus loin, et l’an dernier jusqu’en demi-finale où il fut battu par Jo-Wilfried Tsonga.

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Open d'Australie

Marion Bartoli: "Mon homme idéal? Roger Federer..."


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"Quand il me dit bonjour, je tremble de tout mon corps", a déclaré la joueuse française à propos de Federer.
C´est une véritable déclaration d´amour que Marion Bartoli a formulé hier après sa victoire sur Jelena Jankovic en huitième de finale de l´Open d´Australie. Deux ans près avoir avoué son faible pour Pierce Brosnan, la Française est aujourd´hui folle de Roger Federer. Morceaux choisis.
le 26 janvier 2009
LeMatin.ch & les agences

"Mon homme idéal ? Roger Federer. C´est l´homme parfait, avoue-t-elle dans les colonnes du quotidien français. S´il me demandait de décrocher la Lune, je le ferais. J´avoue, je pleure quand il perd de grands matches. Il est gentil, beau, il a la classe. Quand il me dit bonjour, je tremble de tout mon corps."
Marion Bartoli et Roger Federer sont programmés tous deux mardi sur la Rod Laver Arena à l´occasion des quarts de finale. La Française affronte la Russe Vera Zvonareva à 12h30 (02h30). Quant à Roger Federer, il jouera pour la troisième fois en "night session". Il rencontrera l´Argentin Juan Martin Del Potro aux alentours de 21h30 (11h30). L´autre quart de finale du bas du tableau entre le tenant du titre Novak Djokovic et Andy Roddick débutait à 15h00 (05h00).
Djokovic lésé
Le Serbe peut s´estimer, à juste titre, lésé par cette programmation dans la mesure où il a conclu son huitième de finale contre Baghdatis juste avant 02h30 lundi matin. Mais les organisateurs ont préféré offrir une nouvelle "night session" à Roger Federer, triple vainqueur du tournoi. A leurs yeux, son seul nom suffit pour remplir leur stade et garantir un maximum d´audience pour les télévisions.
Roger Federer aborde, assure son entourage, de manière très sereine ce quart de finale. Les cinq sets contre Tomas Berdych ont sans doute eu le mérite d´agir comme une piqûre de rappel. Le scénario de cette partie, qu´il a bien failli perdre après avoir concédé les deux premiers sets, légitime le discours qu´il tient depuis toujours: rien n´est jamais acquis. Il redoublera d´application sur le court pour ne pas connaître les mêmes tourments que dimanche. Avec son slice de revers court croisé, il possède l´arme idéale pour "détruire" le jeu de Del Potro.

Voilà autre chose...............

[Norton]

Open d'Australie
Victoire aisée de Jo-Wilfried Tsonga

Jo-Wilfried Tsonga (no 5) s'est aisément qualifié pour les quarts de finale de l'Open d'Australie. Finaliste l'an dernier, le Français s'est imposé 6-4 6-4 7-6 (7/3) devant James Blake (no 9).





Mercredi, Tsonga affrontera Fernando Verdasco, le «tombeur» de Murray. (Photo: AP Photo)

Info-Box
Federer en direct sur 20minutes.ch
Suivez en direct, mardi matin, le quart de finale entre Roger Federer et Juan-Martin Del Potro prévu à 9h30, heure suisse.



Malgré deux balles de troisième set sur son service à 5-4, l'Américain fut très largement dominé par Tsonga. Le Tricolore a signé le break d'entrée dans les deux premiers sets. Plus puissant et plus précis, il a eu une emprise presque totale sur ce match qui a été interrompu pendant dix bonnes minutes au troisième set pendant le feu d'artifice qui célébrait dans le ciel de Melbourne la Fête nationale australienne.


Avec la qualification de Tsonga, on retrouvera en quart de finale sept des huit premières têtes de série. Ce scénario ne s'est produit que cinq fois dans les tournois du Grand Chelem depuis l'instauration de l'Open en 1968.


Mercredi, Tsonga affrontera Fernando Verdasco, le «tombeur» de Murray. Les deux joueurs n'ont encore jamais été opposés par le passé

[Dark Angel]

pas mal pour un Sarthois!!!

[Pasky]

Envoyé par Bip-Bip

pas mal pour un Sarthois!!!

Ta réflexion fort sympa du reste, me fait penser à Coluche , je crois, qui définissait Noha comme Français quand il gagnait et Camerounais quand il perdait.
Si on reprend les articles lorsque l'on commençait à parler de lui, on peut lire très souvent le Franco-Congolais Jo-Wilfried Tsonga, mais depuis 6 mois, c'est le Français Jo-Wilfried Tsonga.
Attendons de voir ce qui va se passer si il se met à perdre régulièrement
Je fais confiance à mes amis journalistes..........

[JinDam]

Je l'ai vue petit moi, enfin on a le même age !! (nananaire), Mes parent tenait la station service route de Laval (Foresterie, pour ceux qui connaissent) et sont père venais souvent, un mec très gentil, de ce que je me souvient ^^

Enfin une personnalité autre que Steevie ou Leslie qui vient du Mans ... (bon d'accord y'a Bourdais aussi !!)