Toutes New sportives autres que la moto

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Envoyé par Pasky88

Marseille et la Fiorentina trébuchent
Norton bégaye !!

Co...co..commm.ent?

Je vais m'inscrire sur Fa a ce bouuuuk, enfin des amis

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ATP ROTTERDAM

Nadal: «Je ne suis pas un criminel»


Image © Keystone
Rafael Nadal trouve que les contrôles antidopage sont «une intrusion intolérable dans la vie privée»

Nadal et plusieurs de ses collègues s'insurgent contre la nouvelle procédure antidopage
le 20 février 2009
Le Matin


«J'ai parfois l'impression d'être un criminel»: l'Espagnol Rafael Nadal, numéro un mondial, a ouvertement critiqué la nouvelle procédure antidopage, en vigueur depuis le 1er janvier dernier, qui oblige les joueurs à fournir leur emploi du temps à leur fédération internationale en vue d'éventuels contrôles inopinés. Ce traitement est infligé depuis longtemps dans les autres disciplines.
Dans sa tentative de fronde, Nadal a été rejoint par le Britannique Andy Murray (No 4 mondial), «agacé» après avoir subi un troisième contrôle en moins de deux semaines. Et par Serena Williams qui, de Paris, a rappelé: «J'ai ma façon de vivre. Je ne dis jamais à personne où je suis!»
Un règlement strict
Depuis le début de la saison 2009, les joueurs et joueuses du top 50 doivent fournir, pour chaque jour, une heure pendant laquelle ils (elles) sont disponibles pour éventuellement subir un contrôle antidopage. Le sportif doit ainsi remplir un formulaire qui donne son programme quotidien pour les trois mois à venir; transmis à la fédération internationale (FIT), ce document peut être modifié jusqu'à la veille, par l'envoi d'un simple SMS. Tout sportif qui manque trois contrôles s'expose à une suspension de 12 à 24 mois. Cette procédure, déjà en vigueur depuis deux ans dans le cyclisme et dans la plupart des autres disciplines sportives, est vécue par Nadal «comme une intrusion intolérable dans la vie privée». Murray, lui, estime encore que des contrôles durant les tournois devraient suffire pour coincer les dopés: «Il serait très facile de nous contrôler à chaque tournoi. Cela représente près de trente tests par an, je pense que c'est bien suffisant pour se rendre compte si quelqu'un triche ou pas.»
Paul-André Dubosson: «Ces gens-là ont la vie trop facile...»

Paul-André Dubosson, vous qui contrôlez des athlètes de manière inopinée, comment jugez-vous la prise de position de Rafael Nadal et d'Andy Murray?
Ces gens-là ont la vie trop facile. Ces pauvres gars qui gagnent des millions n'arriveraient pas à changer leur emploi du temps, alors qu'ils passent leur vie devant un écran et qu'en deux clics tout serait clair? Faut encore leur faire quoi, à ces pauvres petits chouchous? (Sic!) Enlevez-leur quelques millions, en échange de la non-obligation d'annoncer leurs changements de programme, et vous verrez leur réaction. Cette attitude me désole, en regard notamment des sportifs que je contrôle régulièrement, qui gagnent nettement moins qu'eux - quand ils gagnent quelque chose -, mais qui, eux, sont toujours à disposition.
Cette montée aux barricades cache-t-elle quelque chose? Le milieu du tennis tient-il à continuer à vivre en vase clos?
Il ne faut pas tout confondre. Je m'insurge contre ceux qui traitent Nadal de dopé, uniquement parce qu'il a une musculature imposante et qu'il est capable d'effectuer deux marathons de cinq heures en deux jours. Le sport a toujours généré des exceptions, il faut qu'il continue à le faire. Mais il faut que ces messieurs du tennis arrêtent de se la jouer: si un skieur est capable d'annoncer son changement de programme, en raison du temps qu'il fait notamment, un tennisman doit aussi pouvoir le faire.
Roger Federer, lui, n'est pas opposé au système de contrôles inopinés...
C'est tout simplement la marque du grand champion qu'il est. Federer a toujours respecté ses obligations. Nadal et Murray ne sont visiblement pas de la même veine. Pourtant, les choses sont claires: il y a un règlement, il faut l'appliquer. Quand ils mettent une balle en dehors des limites du court, elle est jugée out, point barre. Ce doit être aussi net en matière de contrôles antidopage.
Propos recueillis par Renaud Tschoumy
Federer vote oui
«Les mesures sont certes contraignantes, mais elles sont nécessaires si l'on veut prouver que le tennis est propre»: dans un entretien au quotidien britannique The Times, l'ex-numéro un mondial Roger Federer se veut beaucoup plus conciliant avec la nouvelle réglementation: «On ne va pas attraper les tricheurs en téléphonant et en leur disant: «Ecoutez, je voudrais faire un test. Peut-être que je viendrai dans deux jours...» a-t-il encore confié, en précisant: «Ce système auquel personne n'était préparé demandera un temps d'adaptation. Mais c'est la seule solution.»

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ski alpin

Albrecht: plus long que prévu!


Image © Keystone
La chute de Kitzbühel laissera des traces chez Daniel Albrecht

Le Valaisan, hospitalisé à Berne, aura besoin de plusieurs mois pour se remettre de sa terrible chute à Kitzbühel
le 20 février 2009
Le Matin


Daniel Albrecht, qui avait très lourdement chuté il y a un mois à Kitzbühel, fait face à une convalescence qui devrait durer plusieurs mois, selon un communiqué de l'Hôpital de l'Ile à Berne. Le skieur Valaisan de 24 ans avait été transféré dimanche d'Innsbruck vers la capitale.
Dans un cours message destiné aux médias, l'hôpital bernois a indiqué qu'Albrecht souffrait de blessures compliquées et qu'il disposera durant sa convalescence d'un encadrement médical spécialisé.
Au contraire des habitudes de la clinique universitaire d'Innsbruck, aucun détail médical n'a été transmis sur l'état général de Daniel Albrecht en dehors du fait que le skieur de Fiesch a besoin d'une tranquillité absolue. L'hôpital a par contre fait savoir qu'il communiquerait une fois par semaine sur l'état de santé du Haut-Valaisan.
Selon Giusep Fry, le manager de Daniel Albrecht, le Valaisan n'est pas certain de pouvoir skier à nouveau. Si ça devait être le cas, il est encore trop tôt pour avancer une date, même imprécise, de son retour sur les lattes.
La guérison complète devrait prendre plusieurs mois et non pas plusieurs semaines comme l'avaient laissé entendre les médecins autrichiens, un brin optimistes. Il s'agit pour Albrecht, en première priorité, de récupérer suffisamment afin de pouvoir vivre normalement.
Les nombreux supporters qui ont envoyé leurs voeux de rétablissement devront patienter avant de recevoir une réponse. Cela devrait prendre plusieurs mois également.

[Norton]

"L'offre pour Beckham est ridicule"




L'AC Milan s'est contenté d'une "offre ridicule" pour acquérir David Beckham, a assuré Tim Leiweke, directeur général d'AEG, la société propriétaire des Los Angeles Galaxy qui a prêté le milieu anglais au club lombard, dans un entretien publié par la Gazzetta dello Sport vendredi.

Alors que le patron de l'AC Milan Adriano Galliani a assuré jeudi que son club avait fait "quelques pas en avant" en vue du transfert définitif du joueur, Tim Leiweke a catégoriquement démenti que les deux clubs soient proches d'un accord.

"Il y a deux semaines, Milan nous a fait une offre ridicule (3 millions de dollars, soit 2,38 M EUR selon la Gazzetta, NDLR), à laquelle j'ai répondu non après quelques secondes", a expliqué le dirigeant américain.

"Avec ce chiffre, les Galaxy ne couvriraient même pas le manque à gagner des maillots (de Beckham), a-t-il insisté. Depuis, je n'ai plus aucune nouvelle. Et il n'y a pas de rencontres prévues."

Milan essaye d'obtenir le transfert définitif de Beckham, en prêt jusqu'au 9 mars, et qui est sous contrat avec les Los Angeles Galaxy.
Beckham, 33 ans, a pour sa part plusieurs fois fait part de son souhait de rester en Lombardie. "Je n'ai rien contre les Galaxy, où j'ai passé deux années fantastiques (...), mais je prends vraiment du plaisir à jouer à Milan", a-t-il dit la semaine passée.

"Mettons les choses au clair, a réagi à ce propos Tim Leiweke. David est un professionnel incroyable et je suis content, aussi bien pour lui que pour Milan, que son expérience italienne se déroule aussi bien. (...) David est un ami et il m'a demandé de prendre en compte ce que me proposait Milan."

"J'ai dit oui parce que je ne lui veux que du bien, a-t-il continué. Mais je ne suis pas disposé à me faire avoir. Aussi, le 9 mars, Beckham sera à Los Angeles et travaillera avec le même sérieux et la même application qu'avant."

"Et il sait qu'il n'a pas le choix parce que sa première possibilité de rompre son contrat n'arrivera qu'à la fin 2009", a-t-il continué, précisant que son club attendait une "véritable offre" de Milan avant d'envisager quoi que ce soit.(afp/chds)

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Bobsleigh

Ivo Rüegg et Cédric Grand champions du monde de bob à deux


Image © Keystone
Ivo Rüegg et Cédric Grand sont salués par leur staff au terme d'une fantastique 3e manche.

Ivo Rüegg (37 ans) est devenu le premier Suisse à remporter le titre de champion du monde de bob à deux depuis 12 ans. Accompagné du Genevois Cédric Grand, le Schwytzois de Tuggen s'est facilement imposé sur la piste de Lake Placid (EU) grâce à une troisième manche parfaite.
si - le 22 février 2009
LeMatin.ch & les agences


Ivo Rüegg n'en est pas à son coup d'essai en championnats du monde. Il y a deux ans, il avait déjà remporté la médaille d'argent en bob à deux. Grâce à son exploit accompli dans l'état de New-York, il succède ainsi Reto Götschi, champion du monde à St-Moritz en 1997 avec son fidèle équipier Guido Acklin.
Quatrième de la Coupe du monde, Rüegg figurait parmi les candidats à une place sur le podium. Toutefois, ce triomphe face à une si grande concurrence est à classer au rang de surprise. Le pilote avait pourtant annoncé la couleur en plaçant ces championnats du monde comme seul et unique objectif. En outre, il avait parlé de la piste des Jeux olympiques de 1980 comme l'une de ses favorites.
Cédric Grand a également beaucoup compté dans ce titre mondial. Pour la première fois de la saison, le duo a réussi des poussées dignes des meilleurs. Ainsi, les qualités de pilotage d'Ivo Rüegg ont pu s'exprimer plus facilement.
Cette saison avait pourtant bien mal débuté pour Rüegg avec une 16e place en ouverture de Coupe du monde. Il a commencé à trouver son rythme en janvier avec deux deuxièmes places. Le membre du club de St-Moritz a néanmoins évolué la majeure partie de la saison dans l'ombre de Beat Hefti, vainqueur de la Coupe du monde. Ce dernier a dû se contenter d'une décevante 13e place derrière le troisième équipage helvétique de Daniel Schmid (10e).
L'Allemand Thomas Florschütz a terminé au deuxième rang de l'épreuve à 22 centièmes des Suisses. La médaille de bronze a été décrochée par l'Américain Steven Holcomb.

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Ski alpin

Janka remporte le globe du Super-combiné à Sestrières


Image © Keystone
Carlo Janka incarne avec brio la relève du ski helvétique.
Carlo Janka a chipé le globe du super-combiné à Silvan Zurbriggen. Grâce à sa troisième place à Sestrières (It), le Grison a coiffé de 11 points le Valaisan (10e) au classement final de la discipline.
si - le 22 février 2009, 15h41
LeMatin.ch & les agences


Cet hiver, Janka aura décidément brûlé toutes les étapes: premier podium (descente de Lake Louise en novembre), première victoire (géant de Val d'Isère en décembre), premières médailles (or en géant et bronze en descente aux Mondiaux de Val d'Isère), et, dorénavant, premier globe. Un palmarès déjà impressionnant, alors que Janka n'a que 22 ans et ne compte que 42 départs en Coupe du monde.
"Après l'effervescence des Mondiaux de Val d'Isère, je suis rentré chez moi à Obersaxen pour me ressourcer. Ce break s'est avéré très important pour moi", a relevé Iceman, dont on connaît le besoin de calme. "La manche de slalom n'était pas réservée qu'aux spécialistes. Je dois quand même avouer que je ne pensais pas être autant compétitif dans cette discipline", a continué celui qui avait déjà bluffé les slalomeurs en gagnant le super-combiné de Wengen mi-janvier.
Attribué depuis deux ans, le globe du super-combiné avait été jusqu'ici monopolisé par Aksel Lund Svindal et Bode Miller. Un autre signe que Janka marche sur les traces des plus grands. Et encore, le Grison se montre autrement plus précoce que ses deux prédécesseurs: avant de débuter cette saison, il ne s'était frotté que quatre fois à un super-combiné et en avait terminé qu'un seul.
La poisse pour Zurbriggen
De son côté, Silvan Zurbriggen a encore été rattrapé par la poisse. Déjà à Val d'Isère, le coureur de Brigue avait manqué la médaille de bronze en super-combiné pour 1 centième. Le voilà privé d'un globe de cristal pour 11 misérables points.
"Je n'ai pas bénéficié d'une bonne visibilité lors du super-G matinal (21e). Cela ne doit toutefois pas être une excuse. J'ai été simplement trop lent", a lâché le Valaisan, 10e du jour alors qu'une 6e place lui aurait offert le trophée. "Mais je n'oublie pas qu'il y a une année, je me battais pour revenir après ma blessure au genou à Val Gardena (ligaments croisés déchirés notamment). A l'époque, je n'aurais même pas rêvé à une deuxième place dans ce classement", s'est-il consolé.
Ce dernier super-combiné de la saison a été remporté par l'Autrichien Romed Baumann, qui signe à 23 ans son premier succès sur le circuit. Il a devancé de 32 centièmes le Français Julien Lizeroux. A noter aussi la 14e place de Didier Cuche (2e après le super-G), qui engrange 18 points dans l'optique du classement général.
Super-combiné de Sestrière

Résultat final: 1. Romed Baumann
(Aut) 2. Julien Lizeroux (Fr) 3. Christof Innerhofer (It) et Carlo
Janka (S) 5. Jean-Baptiste Grange (Fr) et Marcel Hirscher (Aut). Puis:
10. Silvan Zurbriggen (S). 12. Sandro Viletta (S). 14. Didier Cuche
(S). 17. Didier Défago (S). Carlo Janka remporte le globe du
super-combiné.

[Norton]

Honda a refusé une offre de 100 millions d'Ecclestone



Bernie Ecclestone.

Le grand argentier de la Formule 1 Bernie Ecclestone a déclaré dimanche que le constructeur automobile Honda, qui a annoncé en décembre son retrait de la F1, avait refusé son offre de reprise de l'écurie pour 100 millions de livres (112 millions d'euros).

Honda, qui souffre de la crise économique, avait annoncé début décembre qu'il quittait la F1, tout en laissant la possibilité à son écurie de course d'être rachetée avant le début du Championnat du monde 2009, le 29 mars à Melbourne. Dans une interview à News of the World, Ecclestone explique qu'il avait présenté un projet de reprise au groupe japonais.

"Ils auraient dû accepter ce que je proposais. C'était une très bonne offre pour toutes les parties concernées", a-t-il déclaré, regrettant que les dirigeants du groupe aient finalement "voulu faire les choses à leur façon". "Maintenant, tout ce que nous pouvons faire, c'est attendre et prier", a-t-il ajouté. Le milliardaire britannique Richard Branson, patron de Virgin, fait partie des repreneurs possibles de l'écurie japonaise, même si le temps semble compté, à un mois de la reprise du championnat.

[Dark Angel]

Le Mans, roi des As



Le Mans devient la première équipe à remporter deux fois la Semaine des As en battant Orléans en finale (64-74). Les Sarthois, bien emmenés par David Bluthenthal et leur chef d'orchestre Bobby Dixon, ont étouffé des Orléanais en manque de réussite.
Il faudra compter sur Le Mans cette saison. Les Sarthois ont envoyé un message à leurs adversaires. En plein doute ces dernières semaines, les protégés de J.D. Jackson ont saisi la plus belle des opportunités pour montrer qu'ils n'étaient pas morts. Lors de la Semaine des As, qui réunit les meilleures équipes de Pro A. Une compétition qu'ils aiment particulièrement. Pour sa quatrième finale en sept éditions, le MSB a en effet ramené le titre pour son armoire à trophée. Histoire de s'assurer une qualification pour l'EuroChallenge, la troisième Coupe européenne. Histoire surtout de devenir la première équipe à décrocher deux fois ce titre depuis la création de l'épreuve.
Dans cette finale 2009, Le Mans a surtout douché les rêves orléanais de remporter son premier titre en Pro A. Les joueurs de l'Entente Orléanaise ont sûrement payé leurs efforts consentis lors des deux derniers jours. La victoire arrachée après prolongation face à Strasbourg en quarts de finale puis celle remportée à l'issue d'une belle bataille en demie contre l'ASVEL ont laissé des traces. Résultat : pour ce troisième match en trois jours, les joueurs de Philippe Hervé ont semblé manquer de jus. Ils n'ont même jamais vraiment semblé capable d'offrir le même niveau d'agressivité qu'habituellement en défense, bousculée par la vivacité du meneur manceau Bobby Dixon.
Le tueur Bluthenthal
Le nouveau chef d'orchestre sarthois aura encore une fois été à l'origine du succès de son équipe. Après un bon début de match de l'Entente (20-14, 10e), son entrée en jeu a changé la face du match. Ses accélérations, sa vision du jeu et ses qualités d'organisateur ont perturbé la si solide défense orléanaise. A la 13e minute et sur un panier primé de l'inévitable Dixon, le MSB a pris la direction des opérations pour ne plus jamais la lâcher (23-22). Car la défense mancelle avec une zone redoutable a fait des merveilles pour gêner les intérieurs de l'Entente et obliger ses shooteurs à prendre des tirs (6 sur 23 à trois points).
Surtout, Le Mans a toujours su trouver des solutions pour enfoncer le clou au bon moment. Quand Dixon a bien été contenu par Aldo Curti, c'est Alain Koffi qui est sorti de sa boite. Ou encore Joao Paulo Batista, toujours aussi précieux. Et surtout, l'incroyable David Bluthenthal. Critiqué pour son manque d'impact ces derniers temps, l'ancien joueur du Maccabi a démontré qu'il n'était pas un champion d'exception pour rien. Comme en demi-finale, il a aligné les paniers à trois points dans les moments chauds pour refroidir les ardeurs orléanaises. Il termine avec un belle feuille de stats (17 points à 3 sur 4 à trois points, 8 rbds).
De quoi faire oublier le non match de Dee Spencer (9 pts à 0 sur 3 à 2 pts et 1 sur 4 à trois points). C'est dire le potentiel sarthois. Si le MSB arrive à l'emporter sans un Spencer au top, il peut faire très mal dans les mois à venir. Les supporters manceaux peuvent d'ailleurs avoir le sourire : en 2006 après avoir remporté la Semaine des AS, leurs protégés avaient été sacrés champion de France à la fin de la saison. Voilà un bon présage. Reste qu'Orléans n'a sûrement pas dit son dernier mot.
LE MANS - ORLEANS 74 - 64 (14-20, 23-13, 21-16, 16-15)
Le Mans: 25 paniers (dont 8 sur 20 à trois points) sur 45 tirs - 16 lancers francs sur 21 tentés - 39 rebonds - 19 passes décisives - 23 balles perdues - 19 fautes personnelles.
Marqueurs: Spencer (9), Koffi (13), Diot (1), Ndoye (8), Batista (11), Badiane (6), Bluthenthal (17), Dixon (9)
Orléans: 25 paniers (dont 6 sur 23 à trois points) sur 66 tirs - 8 lancers francs sur 13 tentés - 26 rebonds - 11 passes décisives - 10 balles perdues - 18 fautes personnelles.
Marqueurs: Covile (5), Curti (17), Greene (6), Moerman (12), Dobbins (6), Banks (9), Sciarra (5), Dials (4)

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SKI NORDIQUE

Adriano Iseppi: «Cologna doit oublier»


Image © Keystone
Dario Cologna espère dès aujourd'hui faire oublier la course de dimanche.

Adriano Iseppi, chef du ski de fond suisse, revient sur les problèmes rencontrés par le Grison dimanche et parle des courses encore à venir.
Bernard Morel - le 23 février 2009, 23h09
Le Matin


Championnats du monde
Liberec (Rép. Tchèque)
«Avec ces conditions-là, le choix des skis aurait été plus simple dimanche.» Adriano Iseppi, chef technique du ski de fond suisse, avait un léger regret dans la voix hier en fin de matinée, sous la pluie fine qui tombait à Liberec. Il n'était de loin pas le seul car plusieurs, parmi les favoris, ont connu les mêmes problèmes que les Suisses. Le Tchèque Bauer, l'Allemand Teichmann, l'Italien Piller-Cottrer, le Français Gaillard ont eu le sentiment d'être trahis par leur matériel dans la partie skating.
«C'est dur à dire exactement ce qui n'a pas joué, continue Adriano Iseppi. Le problème est venu davantage du mélange de fart entre la paraffine et la poudre fluorée que du choix de la structure du ski. Une chose est sûre
: on n'a plus droit à l'erreur. Je me mets à la place des farteurs. La pression est terrible sur eux.»
Un peu plus de fatigue
Dimanche en fin de journée, les farteurs suisses se sentaient coupables vis-à-vis de Dario Cologna. Le skieur grison ne leur en voulait cependant pas. Le soir, il riait en leur compagnie après le repas. Reste que chez lui l'échec a laissé quelques traces. «Dario est un peu plus fatigué que d'habitude, il a aussi le moral un peu atteint, relève Adriano Iseppi. Quand tu as des skis qui avancent mal, tu fais forcément plus d'efforts. Mais, maintenant, il doit oublier et regarder vers l'avant.»
Les responsables suisses se sont même un instant demandé s'il était opportun que le vainqueur du Tour de ski dispute le sprint d'aujourd'hui. Après l'entraînement, la décision a finalement été prise de le faire courir. «Avec les conditions atmosphériques que nous avons, les courses sont éprouvantes, précise Iseppi. Alors en disputer cinq, c'est beaucoup. Il ne faut pas oublier que Dario est en tête de la Coupe du monde et qu'il devra défendre cette place en mars.»
Dario Cologna et ses entraîneurs rêvent d'une médaille dans ces Mondiaux, mais aimeraient aussi beaucoup remporter la Coupe du monde. «Grâce à Dario, on parle beaucoup plus de ski de fond dans les médias, ajoute-t-il. Ses résultats donnent une nouvelle impulsion au ski de fond et montrent aux jeunes qu'en Suisse aussi on peut réussir dans ce sport.»

Vrai, on oublie la façe cachée du ski...........

[Norton]

Football
Le carton orange en question

L’idée avait été émise par la Fédération irlandaise après le Mondial 2006. Elle a reçu lundi un appui de choc en la personne de l’ex-arbitre italien Pierluigi Collina.


L’ancien arbitre italien Collina milite pour l’essai d’un carton entre le jaune et le rouge. (Photo: AFP)


Selon lui le carton orange pourrait résoudre les «cas de conscience» de certains arbitres, et leur permettre de mieux gérer les rencontres. Collina a confirmé sur les ondes de la radio Anch’io lo Sport que les dirigeants italiens seraient favorables à la création et à l’expérimentation de ce carton.
L’objectif de cette «révolution» serait de favoriser une meilleure hiérarchisation des sanctions, en expulsant temporairement (durée à déterminer) le joueur coupable d’un vilain geste. A la manière d’un carton jaune au rugby. Pour ses détracteurs, le carton orange signifierait tout simplement la fin du rouge...
L’International Football Association Board, l’instance qui détermine les règles du football, devrait se prononcer le 28 février à Manchester.