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[Norton]

Coup double pour Sébastien Chavanel à Paris-Nice




Sylvain Chavanel (Quick Step) a dépossédé l'Espagnol Alberto Contador des commandes de Paris-Nice, mardi à Vichy, où le Français a enlevé la troisième étape sous la pluie et endossé le maillot de leader. Un coup de force de l'équipe Rabobank, à quelque 45 kilomètres de l'arrivée de cette étape de plaine de 178 kilomètres, a déstabilisé Contador, désormais 6e du classement général. La quasi-totalité de la formation néerlandaise (six sur sept coureurs en lice) s'est projetée à l'avant du peloton pour accélérer brutalement.

Après quelques instants, Contador, absent de ce premier groupe, a tenté de revenir seul, puis avec l'aide du Français Christophe Moreau, alors que l'écart était encore inférieur à une trentaine de secondes. Mais le vainqueur du Tour de France 2007 et grand favori de cette édition de la "course au soleil" n'a pu que se rapprocher à 15 secondes sur les routes du centre de la France battues par la pluie.

Il a vu s'éloigner ensuite le groupe conduit par les Rabobank qui travaillaient pour leur leader espagnol Juan Manuel Garate et par Chavanel, disposant d'un coéquipier, Kevin Seeldrayers, un jeune et prometteur grimpeur de 22 ans. Contador, esseulé, a vu grandir l'écart au fil des kilomètres.

A l'arrivée des 178 kilomètres, l'avance s'est élevée à 1 minute et 9 secondes, une note qui a souligné la vulnérabilité de son équipe privée avant le départ de trois des titulaires prévus à cause de blessures (Leipheimer, Horner, Vaitkus). "Le moral gonflé à bloc" A l'avant, Chavanel a relayé puissamment les trois derniers rescapés de l'équipe Rabobank (Flecha, Langeveld, Garate).

Son petit groupe a récupéré les coureurs de l'échappée lancée dès la première demi-heure de course (Roelandts, Augé, Le Mével, Veelers, ainsi que Bodnar, distancé ensuite) pour se présenter finalement à sept dans les faubourgs de Vichy après une crevaison de l'Allemand Marcus Burghardt dans le final.

Chavanel a attaqué une première fois sous la flamme rouge du dernier kilomètre pour revenir sur le Néerlandais Sebastian Langeveld puis a livré un duel pour le succès d'étape à l'Espagnol Juan Antonio Flecha qu'il a devancé en puissance. Le numéro un français, âgé de 27 ans, a signé son premier succès sous les couleurs de Quick Step, la formation belge qu'il a rejoint à l'intersaison.

"C'est typique de Paris-Nice, il y a souvent des coups de bordure", a-t-il commenté tout en restant prudent à propos de ses chances de victoire finale dimanche prochain à Nice par rapport à Contador désormais 6e à 1:03. L'année passée, l'aîné des frères Chavanel avait également pris le pouvoir dans Paris-Nice. Mais il avait perdu son maillot jaune le lendemain sur les pentes du Mont Ventoux, à l'arrivée au Mont Serein.

"Je suis en meilleure condition que l'an dernier, a cependant signalé le nouveau leader. J'ai regardé les pourcentages de la Montagne de Lure (l'arrivée de l'étape de vendredi). Je sais que je peux faire quelque chose si je suis en forme. J'ai le moral gonflé à bloc." Mercredi, la quatrième étape relie Vichy à Saint-Etienne (173,5 km). (afp/chds)


10/03/09

[medol]

Augé il est originaire de Pau donc j'suis très heureux de sa perf' !

[medol]

El Farès, c'est effarant !

A la surprise générale, Julien El Farès (Cofidis) a remporté la 1re étape de la course des deux Mers, entre Cecina et Capannori. Le Français de 23 ans a dominé au sprint son compagnon d'échappée, l'Ukrainien Vladimir Duma. Daniele Bennati a réglé le peloton devant Alessandro Petacchi et Tom Boonen.

Tirreno-Adriatico a débuté mercredi par un coup de tonnerre bien plaisant pour le cyclisme français, avec la victoire inattendue du tout jeune Julien El Farès. Inattendue, non pas parce que le coureur de l'équipe Cofidis manque de talent. Mais pour sa deuxième saison chez les pros, décrocher la première victoire de sa carrière sur une course aussi relevée que Tirreno relève de l'exploit. Surtout sur un parcours sans réelle difficulté, que l'on croyait taillé pour les sprinters. El Farès, lui, est plutôt catalogué dans la catégorie des grimpeurs de poche.

[medol]

Contador contre-attaque

Alberto Contador n'a pas tardé à répliquer après la prise de pouvoir de Sylvain Chavanel. Le Madrilène a attaqué dans le final de la 4e étape mercredi. Résultat, il reprend près de 30 secondes au Français, qui a tout de même sauvé son maillot à Saint-Etienne, où Christian Vandevelde s'est imposé.

Il faut toujours se méfier de l'orgueil d'un champion. Alberto Contador était sans doute vexé d'avoir été piégé mardi. Pris dans une cassure, l'Espagnol avait cédé son maillot jaune de leader et, potentiellement, son statut de patron. 24 heures plus tard, s'il n'a pas repris la tête du classement général, l'espagnol a montré qu'il restait l'acteur principal de la pièce. Et ce 4e acte lui a été beaucoup plus favorable que le précédent. En passant à l'attaque dans la côte de Rochetaillé, dernière des six ascensions de troisième catégorie au menu du jour, le leader d'Astana a impressionné. Surtout, il a comblé une partie de son retard sur Sylvain Chavanel en reprenant 27 secondes au Français.

Revenu à la quatrième place du classement, Contador fait à nouveau office de grand favori. Vendredi, en haut de la Montagne de Lure, juge de paix annoncé de ce Paris-Nice, il semble largement en mesure de gober Chavanel et tous les autres. Au lendemain de son coup de force, le Poitevin a accusé autant le contre-coup de ses efforts que la contre-attaque de Contador. Il a eu le mérite de ne pas s'affoler. "Je n'ai jamais paniqué car je savais que j'avais une petite marge au général, a confié le coureur de l'équipe Quick Step à l'arrivée. Quand Contador attaque, c'est toujours très franc et je ne voulais pas me mettre dans le rouge. Dans la tête, je n'ai pas lâché. Mais dans la descente, avec la cassure, c'était difficile de revenir." Pour six petites secondes, il a tout de même sauvé son maillot devant son dauphin, Juan Manuel Garate. Mais c'est bien un autre Espagnol qui restera comme l'homme fort de cette 4e étape.

La plus belle de Vandevelde

L'homme fort, mais pas le vainqueur, puisque c'est Christian Vandevelde qui a apposé son nom à la longue liste des lauréats à Saint-Etienne. La cité forézienne a accueilli la Course au Soleil pour la 58e fois de son histoire mercredi. Un classique, donc, et une victoire de prestige pour Vandevelde, dont le palmarès n'est pas si fourni. A bientôt 33 ans, l'Américain, 5e du dernier Tour de France, ne compte en effet que six victoires en carrière. Celle-ci est, de loin, la plus belle. Il est allé la chercher d'abord en se glissant dans la bonne échappée. Après un début de course très nerveux, le bon coup est parti à environ 110 kilomètres de l'arrivée, à l'initiative de Samuel Dumoulin (Cofidis). Outre Vandevelde, on trouvait là notamment Xavier Flornecio (Cervelo) ou Nicolas Roche (AG2R).

Jamais ce groupe n'a réussi à prendre une marge suffisante sur le peloton, qui s'est toujours tenu à portée de fusil, l'écart n'excédant jamais les deux minutes. Dans le final, vandevelde a donc tenté sa chance en solitaire. Un tout pour le tout indispensablen, et finalement salvateur. L'Américain a résisté à tout. A la contre-offensive lancée par trois Français, Pierre Rolland (Bouygues), Christophe Le Mével (Française des Jeux) et Geoffroy Lequatre (Agritubel). Puis, surtout, au démarrage fulgurant d'Alberto Contador, qui a tout de même repris 45 secondes en moins de deux kilomètres dans la dernière bosse.

En bas de la descente, dans Saint-Etienne, Vandevelde a conservé 14 secondes sur la ligne. Cela suffit à son bonheur. Contador, lui, avait été repris par un groupe d'une vingtaine d'hommes, au sein duquel figuraient donc Garate, mais aussi Frank Schleck, David Moncoutié, Christophe Moreau, ou le jeune Jonathan Hivert, d'Agritubel, qui s'est payé le luxe de régler ce joli monde au sprint. Sylvain Chavanel, lui, n'était pas parmi ces hommes forts. Les jours passent, et les temps changent. Le Poitevin a eu la confirmation aujourd'hui que Contador "ne voulait pas lâcher ce Paris-Nice comme ça." Le message est clair, au moins...

Déterminé à gagner ce Paris-Nice, Contador !

L'Américain sera un outsider lors du prochain Tour de France !

Personnellement, je pense que Chavanel n'a pas les épaules pour gagner dimanche !

[medol]

Clichés officiels : L'Audi R15 sous toutes les coutures !

Elles sont arrivées sur les serveurs ! Voici enfin les photos officielles détaillées de la nouvelle arme d'Audi Sport, la R15 TDI ! Nous vous livrons 10 clichés dans cet article et vous retrouverez la totalité des clichés officiels dans cette galerie. Une première analyse très rapide des clichés permet de voir que certaines retouches ont été apportées à la voiture vue en essais à Vallelunga. Mais il nous faudra la voir de près pour pouvoir prendre la mesure du choc qu'apporte l'Audi R15 par sa conception très novatrice...

Je trouve l'avant assez aplati par rapport à la R10 et me rappelle la F1 !

J'aime pas trop les couleurs.

[medol]

Nigel Mansell va tester la Formula Le Mans !

Après Bruno Senna au volant de la Courage-Oreca, place à Nigel Mansell dans le baquet de la Formula Le Mans ! Le Britannique, Champion du monde de F1 en 1992, va prendre le volant de la FLM09 le 25 mars prochain sur le circuit Paul Ricard HTTT. Nigel Mansell effectuera ce test en compagnie de ses deux fils, Leo et Greg, à l'occasion de la première séance d'essais du championnat. La famille Mansell pourrait s'engager dans la discipline, se partageant les commandes de l'auto à tour de rôle.

Dans deux semaines, Nigel, Leo et Greg se relayeront au volant du châssis de développement, qui va passer la barre symbolique des 5000km ! D'autres pilotes intéressés par la Formula Le Mans Cup vont d'ailleurs profiter de cette session pour découvrir le proto conçu par Oreca. Plusieurs teams engagés dans la série seront également présents. Ils effectueront ainsi leurs premiers tours avec leurs FLM09, la livraison ayant débuté au début du mois.

La Formula Le Mans, c'est ça !

[medol]

Premières photos de la Lola Aston Martin LMP1 !

Voici les premières photos de la (Lola) Aston Martin LMP1. Première constatation, le design est particulièrement fidèle aux esquisses présentées fin janvier par Aston Martin. La partie avant a été sérieusement revue depuis l'an dernier, avec une calandre qui n'est pas sans rappeler les modèles de série de la firme britannique.

MA-GNI-FIQUE !!

[medol]

Voila pour la page Endurance ! Passons à la F1 !

Barcelone – J3 : Brawn GP est musclée !

En Anglais, Brawn désigne la partie charnue, musclée des membres. Depuis ses débuts, cette semaine à Barcelone, près de 2 mois après les premiers lancements 2009, Brawn GP a fait honneur à sa signification. Après avoir bousculé la hiérarchie les 2 premiers jours avec un 3è et un 4è meilleurs temps, l’écurie de Brackley a musclé les débats en signant aujourd’hui la référence 2009 du circuit Catalan ! Jenson Button s’est chargé de rejeter la concurrence à 1 seconde, un véritable gouffre qui laisse planer le doute quant aux performances intrinsèques de la BGP-001. Brawn GP garde le secret sur la teneur de son programme et les spéculations vont bon train dans le paddock au sujet de la quantité d’essence embarquée par la monoplace blanche. Button a allié l’assiduité et la fiabilité à la performance en bouclant 124 tours du Circuit de Catalunya.

Felipe Massa offre à Ferrari la 2è place devant BMW Sauber et Toyota alors que McLaren Mercedes continue de fermer la marche. Lewis Hamilton a été l’une des 3 victimes d’une sortie de piste (dans la grande courbe Renault), avec son plus sérieux rival la saison dernière, Felipe Massa, ainsi qu’avec Sebastian Vettel.

Notez la forme du bas de l'aileron arrière !

Comment appeler cet objet aérodynamique autour du pilote ?

[medol]

Toyota a l'intention de rester jusqu'en 2012

Le constructeur japonais Toyota souhaite rester en Formule 1 après 2012, malgré un palmarès pour l'instant vierge, a déclaré le président de Toyota Motorsport, John Howett, mercredi à Barcelone, où les écuries de F1 procèdent à des essais d'avant-saison.

"Nous sommes désignés comme la seule équipe qui s'en ira si elle ne gagne pas. Mais si vous observez le climat économique général, toutes les écuries doivent être examinées avec minutie. Et toutes ont besoin d'être très performantes, ce qui leur met la pression", a déclaré M. Howett à l'AFP.

"Toyota à l'intention de rester (en F1) jusqu'en 2012, et peut-être plus tard encore. Mais en même temps il y a une pression forte sur le marché. Nous devons donner de la valeur à l'entreprise. Je suis confiant : si nous faisons une forte saison, nous resterons", a-t-il affirmé à l'AFP.

L'objectif semble à la portée de Toyota, après des essais à Bahreïn, Jerez et Barcelone où la TF109 a collectionné les places d'honneur. "Nous semblons plus compétitifs que nous l'avons été à cette période de l'année", a estimé John Howett.


Bonne nouvelle donc !

[pierminator]

l'aston martin LOLA est magnifiqueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee