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[medol]

Le nouvel horaire bénéficie au GP d’Australie

Bernie Ecclestone a lutté bec et ongles pour repousser l’horaire du départ du Grand-Prix d’Australie. Son interlocuteur, les organisateurs de l’évènement, ont tout d’abord eu une réaction épidermique et se sont opposés au changement, avant de revenir vers de meilleurs sentiments. Le patron de la FOM a obtenu un départ différé à 17h heure locale (7h heure Française) destiné à ne pas (trop) effaroucher le berceau des téléspectateurs de la Formule 1, situé en Europe.

Un horaire qui ravit les organisateurs du Grand-Prix… « L’intérêt que le GP suscite ne s’érode pas » se félicite Drew Ward, directeur de l’Australian Grand Prix Corporation, « Il y a un grand intérêt pour le sponsoring et la vente de billets se porte très bien pour les admissions générales ainsi que pour les tribunes. Il y a une grande excitation grâce aux nouvelles réglementations. »

« C’est le plateau F1 le plus relevé depuis des années et les V8 Supercars n’ont jamais été aussi populaires. Cette combinaison associée aux loisirs en dehors du circuit fait que l’intérêt pour les simulateurs et toutes les attractions n’a jamais été aussi grand. Je pense que l’horaire aura un impact positif sur le nombre de spectateurs car il colle à leur comportement. Le nouvel horaire est tel que les 4 jours l’action en piste débutera à l’heure du déjeuner pour se terminer avec le coucher du soleil… et si vous analysez le comportement des clients, cet horaire y correspond tout à fait. Beaucoup de gens viennent de loin pour assister à cet évènement, de l’étranger ou d’une autre province, ça leur permettra de sortir tout en ayant un début de journée relaxant. »

[medol]

12H Sebring : Audi impose la R15 TDI dès sa première course !

D'emblée, elle avait impressionné. Dès ses premiers tours de roues. Et comme l'Audi R8 en 2000, comme l'Audi R10 en 2006, l'Audi R15 TDI s'impose dès sa première course… En établissant un tout nouveau record à la distance pour les 12 Heures de Sebring : 2280,114 km. Incroyable ! Surtout pour une voiture qui n'a fait ses premiers tours de roue qu'avant Noël dernier ! Et quelle victoire ! Il a fallu aller la chercher face à des Peugeot 908 HDi FAP offrant de nouveau une résistance acharnée. Mais encore une fois, pour triompher des quatre anneaux, il aurait fallu un sans-faute au Lion. Las, avant même le départ, la n°08 s'infligeait un handicap d'une bonne vingtaine de secondes en partant de la ligne des stands suite à un changement de pompe hydraulique. Puis Sébastien Bourdais perdait une quinzaine de secondes dans un tête à queue dans le Turn 17. Enfin, une crevaison au soleil déclinant coûtait définitivement la victoire à la Peugeot n°08. Malgré un choix payant de doubler les relais avec les pneumatiques en début de course. La seule question qui reste posée est de savoir si un changement de pneus lors du dernier pit-stop aurait changé la donne et permis de réduire cet écart final de 22 secondes. Rien n'est moins sûr et refaire la course est de toute façon inutile. Mais vue de l'extérieur, la stratégie du clan Peugeot semblait être sans faille ce week-end. Ca n'a pas suffi…

Car la n°07, elle, avait déjà perdu toute chance avec un problème de climatisation ayant coûté 8 tours après 3H30 de course… De toute façon, Pedro Lamy dans la dernière heure était contraint de garer sa voiture dans l'échappatoire du Turn 7. La deuxième 908 ne finirait pas la course...

Face à ces pépins, la voiture la plus récente et la moins éprouvée signait une course sans le moindre soucis mécanique. Certes, Ralf Jüttner, le directeur technique d'Audi Sport, nous avait prévenu qu'il n'avait pas d'inquiétude particulière quant à la fiabilité mais à ce point là, c'est proprement ahurissant ! Quelle qualité dans la conception, la validation et la préparation de tous les éléments de la voiture… Si la n°1 a connu deux tous petits incidents en piste, la R15 n°2, tout comme la R10 du même numéro au Mans l'an passé a connu la course absolument parfaite. Chapeau bas messieurs McNish, Capello et Kristensen, chapeau très bas… Et si la R15 reste légèrement en retrait de la 908 sur le plan des meilleurs tours en course, elle a peut-être été plus constante sur la longueur d'un relais. Reste qu'en début de course, les pilotes ne parvenaient pas à tenir un double-relais avec les même pneumatiques et que cela devra être résolu pour Le Mans. C'est bien là, le seul point faible visible de cette auto…

Des points faibles, par contre, l'Acura ARX-02a en a montré. Toute neuve, elle aussi, elle a été loin de montrer la fiabilité de la R15 TDI. Tout d'abord, le début de course prouvait que l'on avait vu juste lors des qualifications. Même sans trafic lors des tous premiers tours, les Acura ne pouvaient pas lutter avec la puissance des diesels. L'écart s'est très vite creusé. Les safety-cars ont toutefois longtemps permis aux ARX-02a de rester dans le coup mais David Brabham a connu deux incidents de piste avec la Highcroft ce qui a peut-être générer les problèmes futurs de transmission conduisant à son abandon à la nuit tombée.

Pour la voiture du team de Ferran, la démonstration aura été un peu plus courte même si la n°66 semblait un peu plus dans le coup. Un problème de suspension éliminait cette Acura aux deux tiers de la course. Il va falloir maintenant fiabiliser cette auto et souhaiter que Audi ne décide pas de revenir jouer aux USA cette année. Sinon, le titre, même sur des circuits lents, ne serait pas assuré en P1... Face à une telle opposition, les deux Lola LM P1 n'ont joué aucun rôle comme on pouvait s'y attendre. Elles ont d'ailleurs abandonné.

Le LM P2 a donné lieu à une course malheureusement assez fade comme on pouvait s'y attendre. Non contente de ne pas être au niveau de l'Acura ARX-01b du Fernandez Racing, les deux Lola Mazda B09/80 du Dyson Racing n'ont pas non plus fait preuve de fiabilité, abandonnant toutes les deux avant la mi-course. Ce qui n'a pas empêché leurs pilotes de monter sur le podium aux côtés de Luis Diaz et Adrian Fernandez sans toutefois être officiellement classé… Etonnant ! Dans ce contexte, la victoire de l'Acura est un peu dévaluée. Sa course a été relativement claire avec toutefois de légers problèmes de surchauffe.

La rivalité entre les deux Corvette a tourné à l'avantage de la n°3 pour la victoire en GT1. Fiables comme elles le sont la plupart du temps, les deux C6.R ont très longtemps roulé roues dans roues. Elles finissent séparées par 23 secondes à l'avantage de Magnussen-O'Connel et Garcia. Vivement l'après Le Mans pour Corvette Racing, histoire de retrouver un peu de concurrence en ALMS mais dans la catégorie GT2.

Cette catégorie GT2 a offert des bagarres inattendues. Grâce à quelques artifices réglementaires quelque fois, certes. Notamment pour ce qui concerne la Panoz, auteur d'une très belle course mais dont on n'oubliera pas que certaines largesses du législateur lui ont permis de retrouver un niveau de performance digne en ne lui imposant pas les restrictions 2009. Contrairement aux Porsche ou aux Ferrari. La marque italienne qui triomphe de nouveau après avoir dû laisser Porsche s'imposer l'an passé.Risi Competizione comme Audi Sport, a connu une course parfaitement claire. Aucun ennui n'est venu troubler la course de la 403 GT n°62 et la victoire était au bout. D'autant plus méritoire que la voiture était partie en fond de grille… Jaime Melo et Mika Salo s'offrent donc un nouveau succès en GT2 à Sebring après la mémorable victoire de 2007...

Ils devancent de deux tours la Ferrari Advanced Engineering peut-être un peu moins bien conduite et de trois la Panoz qui a été au cœur de l'un des seuls véritables accrochages de cette course. La Porsche du Flying Lizard de Marc Lieb était parvenue à déborder par l'intérieur l'Esperante de Ian James mais les deux pilotes se touchèrent dans une manœuvre ou l'on peut dire que les responsabilités sont partagées. Lieb, ayant pris un museau d'avance sur James, décida de le tasser sur l'extérieur mais James ne lâcha pas et les deux autos se touchèrent, fatalement. La Panoz n'en subissait aucune conséquence et poursuivait sa route sans conséquence ni même un ralentissement. La Porsche par contre tapait le mur de l'avant et crevait à l'arrière droit perdant ainsi ses chances de podium. Après réparation, la Porsche n°45 parvenait tout de même en fin de course à doubler la petite sœur, la n°44. Un bon point dans l'optique du championnat.

La Ferrari du Krohn Racing termine à la sixième place juste devant la valeureuse Doran Ford GT-R, qui a connu plusieurs incidents dont le tout droit destiné à éviter l'Acura de Brabham en début de course et qui a causé la première des trois (courtes) neutralisations. La dernière voiture roulante est la Porsche n°87, rapidement éloignée de la course à la victoire par un problème de différentiel.

Signalons la course difficile des BMW. La n°90 a connu de multiples problèmes l'empêchant de prendre le départ avec le reste du peloton. Elle n'a couvert que 27 tours en tout. La n°92 a dû quant à elle se retirer en raison d'une fuite d'huile. Son début de course avait pourtant été intéressante puisqu'elle occupait la seconde place au tiers de la course. La voiture semble donc bien née. Un brin de performance en plus, une bonne dose de fiabilité et Ferrari et porsche trouveront à qui parler. En attendant l'arrivée de Corvette !

Voilà, le rideau est tiré sur cette 57ème édition marquée par la neuvième victoire d'Audi Sport. Si la firme allemande venait à s'imposer au Mans, elle y enregistrerait également son neuvième succès. Un chiffre mythique qui permettrait de rejoindre une certaine firme italienne au cheval cabré. Reste à savoir si le Lion parviendra cette fois-ci le sans-faute absolu. Au vu de la course de ce week-end, il s'agira d'une absolue nécessité…

Le départ !

La magnifique bagarre Audi-Peugeot !

Premier essai peu concluant pour les BMW !

Pitit tête-à queue sans conséquance pour l'équipage totalement Allemand de chez Audi !

Un ennui profond pour Corvette !

Belle déco mais cela ne suffit pas à éblouir Audi !

[medol]

Armstrong, la tuile

Victime d'une chute sur la première étape du Tour de Castille-et-Leon, Lance Armstrong s'est fracturé la clavicule droite. Même si selon son manager, Johan Bruyneel, il s'agit d'une fracture sans complication, l'Américain ne pourra pas participer au prochain Tour d'Italie.

L'Américain Lance Armstrong souffre d'une fracture à la clavicule à la suite d'une chute lundi dans la première étape du Tour de Castille-et-Leon, a indiqué l'organisation de la course dans un communiqué. "Lance Armstrong souffre d'une fracture dans la partie centrale de la clavicule, une blessure confirmée par les radiographies effectuées à l'Hôpital de Valladolid" , indique ce communiqué.

Selon le manager de l'équipe Astana, Johan Bruyneel, il s'agit d'une fracture sans complication. Cette blessure va contrarier la préparation de Lance Armstrong, de retour au sein des pelotons après trois ans et demi d'absence. Avant cette chute, le programme de Lance Arsmtrong, qui restait à préciser pour le mois d'avril, était basé sur une participation au Tour d'Italie, puis au Tour de France, dont le départ sera donné le 4 juillet à Monaco.

AH terrible !!!

[Norton]

L'INTERVIEW

Sébastien Buemi: «Je me drogue Au pilotage»


Image © Keystone


Grâce au pilote automobile vaudois , la Suisse retrouvera dimanche une place en formule 1.
Jean-Claude Schertenleib - le 23 mars 2009
Le Matin


Vous êtes sur les circuits depuis votre plus jeune âge. Vous manque-t-il quelque chose?
Mais non, j'ai toujours été très heureux de faire cela. Si j'avais pu rouler chaque jour, j'aurais dit oui.
Et les copains, oubliés?
Bien sûr qu'il y a eu des moments plus difficiles; alors oui, quand ça marchait moins bien sur la piste, j'aurais voulu avoir plus de temps avec mes copains.
Jamais envie d'aller en boîte? De s'offrir une bonne fête?
Quand les courses et les séances d'essais s'enchaînent, il y a bien sûr des instants où on a besoin de se relaxer. Je les prends.
Donc une grosse fête, c'est possible?
Une ou deux fois par année, pourquoi pas. Mais attention, en tout temps, il faut garder ses objectifs en tête et ne pas faire la chose stupide qui peut effacer en un instant des années de travail.
A vous entendre, le pilote moderne est un ascète qui renonce à tout?
Je n'ai pas dit cela. Pour être efficace, il faut être heureux dans sa vie professionnelle - pour moi, en pilotant une F1 - mais aussi en dehors. Mais il faut, surtout, toujours se rappeler le but qu'on s'est fixé.

On parle souvent du plaisir de la vitesse. Ça fait du bien où d'aller vite? Dans le bide?
C'est très difficile à expliquer. Une F1, c'est la voiture la plus rapide du monde; alors, réussir à la piloter et qu'elle réagisse à tout ce que vous exigez d'elle, c'est un vrai plaisir intérieur.
Un rapport de domination?
C'est cela: faire ce que tu veux, comme tu le veux, quand tu le veux, avec une voiture unique.
Avec tous les dangers que cela comporte, comme l'accoutumance...
Eh bien oui. Cette année, pour des questions d'économie, les essais sont diminués. Quand je ne roule pas, j'ai l'impression d'être en manque.
Sébastien gamin jouait aux petites voitures?
Je n'ai pas passé par ce cap, ni par celui de la voiture télécommandée. J'ai reçu mon premier karting quand j'étais très jeune ( 5 ans) et j'ai tout de suite voulu le conduire. Plus rien d'autre n'avait d'importance.

La F1 est un monde impitoyable et froid. N'êtes-vous pas trop normal pour y vivre?
Je fais ce qui me plaît, c'est l'important. Il y a ma vie dans le paddock et l'autre, j'ai besoin qu'elles soient différentes. Car dès qu'il y a une pause, il faut pouvoir immédiatement décompresser, sortir du milieu.

A quel moment avez-vous su que vous seriez pilote de course?
C'est arrivé petit à petit. Il n'y a pas eu un jour J, une heure H à laquelle je me suis dit: «Sébastien, tu seras pilote.» En revanche, dès que je me suis rendu compte que j'avais autant de plaisir à faire cela, les choses étaient claires dans ma tête, le but précis: la F1, un jour.
Votre famille, depuis votre grand-père Georges Gachnang, a beaucoup sacrifié pour votre carrière. Comment pouvez-vous lui rendre ce qu'elle vous a donné?
Mon grand-père a rêvé de F1, il y arrive désormais à travers moi. C'est une jolie histoire. Ce sont mes parents qui ont fait le plus de sacrifices et la plus belle récompense que je peux leur offrir, c'est d'obtenir de bons résultats. Que l'aventure puisse continuer.

C'est quoi, le plus dur: vous retrouvez sur la grille de départ aux côtés d'Hamilton ou d'Alonso ou d'être devenu un pion médiatique que l'on déplace à l'envi?
J'ai bien sûr un immense respect pour Hamilton et Alonso, mais c'est à moi d'aller plus vite qu'eux. Le pilotage d'une F1 par rapport à ce que j'ai fait jusqu'à présent, c'est une évolution que je qualifierais de normale. Les médias, en revanche...
Eh bien quoi, les médias?
Jusqu'à l'an dernier, ils n'étaient que peu nombreux à s'intéresser à moi. Désormais, c'est différent.
Et vous devez vous adapter?
Je dois faire attention à tout ce que je dis, à qui je le dis et quand je le dis.

Même à vos copains?
Par chance, j'ai gardé des vrais amis. Qui se comportent aujourd'hui avec moi comme ils l'ont toujours fait lorsque nous étions à l'école.
Mais la F1, cela attire des convoitises, non?
C'est vrai qu'il y a plus en plus de gens qui disent être mes amis...
Vous vous imaginez comment, à 45 ans?
J'ai le temps de penser à cela, vous ne croyez pas?
Oui, mais le temps passe vite...
Mon but est de m'installer pour plusieurs années en F1. Mais je m'intéresse à beaucoup d'autres choses.
Comme?
L'économie, les marchés, la crise financière actuelle. Un de mes oncles travaille dans la banque et on parle beaucoup de ces choses-là ensemble.
Sébastien Buemi en complet cravate qui manie des millions?
D'abord, Sébastien Buemi qui a un but principal et unique: réussir en formule 1. Mais je veux garder le maximum d'autres portes ouvertes.
Depuis la confirmation de votre engagement chez Toro Rosso, on vous parle souvent des stars suisses du passé, Siffert, Regazzoni. Ces noms vous disent-ils quelque chose?
Bien sûr, parce que je me suis toujours intéressé à l'histoire de la course automobile. Désormais, c'est à moi d'écrire un petit bout de cette grande histoire: la Suisse et la F1.
La nationalité suisse, cela correspond à quoi pour vous?
Je me sens profondément Suisse. Même si je sais qu'avec un autre passeport j'aurais certainement bénéficié de plus d'aides ces dernières années.
Mais cela ne vous empêche pas d'habiter à Manama (Bahreïn)...
Ce n'est pas un choix exotique: mon oncle Humbert y habite avec les siens et c'est un endroit où je me sens très à l'aise, entouré par mes proches. Comme il y fait toujours beau, c'est aussi idéal pour parfaire ma condition physique.
FICHE BIO
NOM: Buemi
PRÉNOM: Sébastien
NAISSANCE: le 31 octobre 1988, à Aigle.
PROFESSION: pilote automobile.
ÉTAT CIVIL: Célibataire.
TAILLE: 176 cm.
POIDS: 63 kg.

[Stoner27]

Envoyé par medol

Armstrong, la tuile

Victime d'une chute sur la première étape du Tour de Castille-et-Leon, Lance Armstrong s'est fracturé la clavicule droite. Même si selon son manager, Johan Bruyneel, il s'agit d'une fracture sans complication, l'Américain ne pourra pas participer au prochain Tour d'Italie.

L'Américain Lance Armstrong souffre d'une fracture à la clavicule à la suite d'une chute lundi dans la première étape du Tour de Castille-et-Leon, a indiqué l'organisation de la course dans un communiqué. "Lance Armstrong souffre d'une fracture dans la partie centrale de la clavicule, une blessure confirmée par les radiographies effectuées à l'Hôpital de Valladolid" , indique ce communiqué.

Selon le manager de l'équipe Astana, Johan Bruyneel, il s'agit d'une fracture sans complication. Cette blessure va contrarier la préparation de Lance Armstrong, de retour au sein des pelotons après trois ans et demi d'absence. Avant cette chute, le programme de Lance Arsmtrong, qui restait à préciser pour le mois d'avril, était basé sur une participation au Tour d'Italie, puis au Tour de France, dont le départ sera donné le 4 juillet à Monaco.

AH terrible !!!

l'avait plus l'habitude de prendre ses pillules???

[medol]

Envoyé par Mr Ducati

l'avait plus l'habitude de prendre ses pillules???

Arrête ce n'est pas drôle surtout de rire d'une blessure !Sachez que c'est mon cycliste préféré alors arrêtez de vous moquer de lui ! Et pis cette année il fait pas le tour pour le gagner donc il se dopera pas

[medol]

On continue aujourd'hui avec BMW !

L'équipe BMW Sauber favorite à Melbourne ?

L'équipe BMW Sauber a commencé très tôt la préparation de cette saison 2009 et il se dit dans le paddock que c'est probablement l'équipe la mieux préparée pour ce début de saison.

"J'attends le Grand Prix d'Australie avec impatience - affirme Robert Kubica - Je suis content que la saison commence enfin afin que toutes les spéculations de cet hiver s'arrêtent. Il sera intéressant de découvrir le réel niveau de compétitivité de chaque équipe."

"En général, j'aime bien les circuits en ville et celui de l'Albert Park est l'un de mes préférés. C'est une piste qui demande beaucoup de précision, car il faut toujours rester sur le côté propre de la piste. Cette grande précision sera encore plus importante cette année, notamment dans le premier virage, juste après le départ. C'est là que nous livrerons notre première bataille avec nos ailerons avant très larges. Je suis persuadé que cette course sera très intéressante. En outre, Melbourne est une ville très intéressante. Les habitants de cette ville créent une ambiance très agréable pour nous tous en F1," ajoute le pilote polonais.

"J'attends ce début de saison en Australie avec une immense impatience - déclare Nick Heidfeld - Il est enfin temps que toutes ces spéculations cessent. A partir de maintenant, seuls les faits compteront. Un certain nombre de choses ont changé depuis l'année dernière et cela signifie qu'il y a encore beaucoup de questions dont nous n'avons pas encore la réponse."

"Quels effets auront le système KERS et l'aileron avant ajustable? Que se passera-t-il dans le premier virage avec nos ailerons avant très larges? Les dépassements seront-ils plus faciles comme nous l'avons entrevu lors des séances d'essais privés? L'année dernière, les essais d'hiver ne s'étaient pas très bien passés pour nous, mais nous avions pourtant surpris tout le monde par nos performances en Australie. Cette fois-ci, cela s'est mieux passé pour nous et j'espère que nous allons confirmer cela à Melbourne," conclut Nick Heidfeld.

Nick Heidfeld et Robert Kubica pourraient utiliser le système KERS de récupération de l'énergie du freinage à Melbourne, ce qui leur offrira une puissance supplémentaire de 82 CV pendant 6,6 secondes, et ce, lors de chaque tour de la course. Mais la décision d'utiliser ce système en course n'a pas encore été prise par l'équipe.

Chaque année ils ont atteint les objectifs fixés ! Quid de cette année où ils briquent une (deux) couronne(s) mondiale(s) ? Ce qui est sûr c'est que ce sera plus dur cette année !

Robert Kubica qui est l'un des favoris au titre !

Nick Heidfeld qui est un bon pilote mais qui a fait une saison 2008 en demi-teinte !


Le casque de "Kubi" au couleurs de la Pologne !


Le nouveau casque d'Heidfeld ! Personnellement, j'adore surtout les sortes de "gribouillages" !

[Norton]

Tennis - WTA Miami

24/03/2009 - 17:23 Nadal: "Quand t'es dans le désert"




DPPI

• Classement ATP du 23 mars

Dans l'oasis ATP d'Indian Wells, Rafael Nadal a prouvé qu'il pouvait faire le vide autour de lui. L'Espagnol, assoiffé de titres, fonce vers Miami où l'on attend beaucoup des Français, invisibles en Californie, de Federer et Djokovic. Davydenko, tenant du titre, est forfait. Le point sur le top 10.
+ EN HAUSSE

. Rafael Nadal (ESP/N.1)
Derrière Rafael Nadal, c'est le désert. A Indian Wells, on peut comprendre, le tournoi se joue en plein désert. Ailleurs on peut comprendre aussi, l'Espagnol est seul sur son oasis de points ATP, et sur le court, il est irrésistible. Même David Nalbandian et ses cinq balles de match n'ont pas réussi à le stopper.
STATS : 21 victoires pour deux défaites, c'est le nouveau ratio de Rafael Nadal cette saison, soit une victoire de plus qu'Andy Murray. L'espagnol a remporté Indian Wells pour la deuxième fois en trois ans, soit son 13e titre en Masters 1000. C'est son deuxième titre cette saison après l'Open d'Australie.
RAPPEL : Nadal est devenu le premier Espagnol à remporter l'Open d'Australie et le 3e joueur à cumuler trois titres du Grand Chelem différents à 22 ans. Il n'a perdu aucun de ses 12 derniers matches en Coupe Davis.

. Andy Murray (GBR/N.4)
A 21 ans, Andy Murray est sur le point d'imiter les plus grands. A la différence de Rafael Nadal et Novak Djokovic, il n'a pourtant pas encore décroché de titre du Grand Chelem. Sur le circuit, il est le joueur le plus performant depuis la finale de l'US Open... Avec Rafael Nadal. L'Espagnol, blessé à Rotterdam et battu par l'Ecossais, vient de remettre les pendules ATP à l'heure à Indian Wells. A cause du vent, souligne Murray, qui doit encore apprendre à gérer la météo.
RAPPEL : Avec 20 victoires et 2 défaites, Murray est resté sur le rythme de sa formidable fin de saison 2008. Il n'est désormais qu'à 570 points du podium, c'est-à-dire de Novak Djokovic. Une des marques de la progression de l'Ecossais, c'est son service : il a, par exemple, gagné 47 des 50 jeux de service à Doha. Après trois mois de compétition, sa signature c'est le retour : Andy Murray est le meilleur relanceur du circuit. Il a remporté 59% de points en retour sur des premières balles, et 38% sur secondes balles. Nadal n'a pas fait mieux (59% et 36%).

. Andy Roddick (USA/N.6)
L'Amérique peut compter sur Andy Roddick en 2009. Mardy Fish, finaliste à Indian Wells l'an passé, a chuté trop rapidement face à Chardy, mais "A-Rod" a réussi son tournoi, cédant tête haute face à Nadal après avoir sorti Djokovic.
STATS : 23 victoires pour 4 défaites, c'est un ratio de top 5 pour l'Américain cette saison. C'est d'ailleurs deux victoires de plus que Nadal, soit le meilleur total du circuit. Il compte 27 titres ATP depuis son succès à Memphis, seuls Federer (57) et Nadal (33), joueurs encore actifs sont devant lui. N.9 il y a quinze jours, il est N.6 avant Miami.
RAPPEL : L'Amérique peut compter sur Roddick pour bien la réprésenter sur le circuit et pour la défendre en Coupe Davis. Avec 31 victoires dans l'épreuve, dont deux face à la Suisse (4-1) récemment, il n'est qu'à 10 victoires du total record de John McEnroe.
= STAGNE

. Roger Federer (SUI/N.2)
Après une absence de six semaines due à des problèmes de dos, Federer a fait chuter Fernando Verdasco, annoncé comme le joueur à suivre du tournoi, avant de tomber dans les filets d'Andy Murray. C'est la 28e fois qu'il atteignait les demi-finales d'un Masters 1000 (ex-Series).
RAPPEL : Toujours pas de titre pour le Suisse, comme l'année dernière au mois de mars (il avait attendu le tournoi d'Estoril). Il possède un ratio de 13 victoires pour 3 défaites. Sa défaite en cinq sets devant Rafael Nadal en finale de l'Open d'Australie est sa première défaite en 9 finales d'un tournoi du Grand Chelem jouées sur dur.

. Juan Martin del Potro (ARG)
On commence tellement à s'habituer à sa grande carcasse longiligne que voir Del Potro balayé par Nadal donne comme un sentiment de déception. Et pourtant, le jeune argentin ne venait d'accéder, à Indian Wells, qu'à son second quart de finale en Masters 1000 (ou Series).
RAPPEL : Juan Martin est le plus jeune joueur du top 10. A 20 ans, il vient d'enchaîner 15 victoires pour 4 défaites seulement, un record personnel jusqu'ici, avec un 5e titre ATP à Auckland.

. Fernando Verdasco (ESP/N.9)
On l'attendait ferme depuis son formidable Open d'Australie. Fernando Verdasco était de retour à Indian Wells, bras foudroyant façon Nadal et coiffure iroquois en bonus. Richard Gasquet a compris sa douleur quand il a croisé la route du gaucher au 3e tour. Et puis Roger Federer a bercé le taurillon avec son coup droit en quart de finale (6-3, 7-6).
RAPPEL : Verdasco avant Las Vegas et sa rencontre avec Gil Reyes et Andre Agassi, c'était un bras gauche branché sur alternatif. Après, c'est un monsieur qui se préserve. Il n'a joué que 15 fois cette saison, avec un titre (Brisbane), et une demi-finale à Melbourne dans la besace. Une longue demi-finale on s'en souvient, puisque c'est le match le plus long de l'histoire du tournoi (5h14). Entre Melbourne et Indian Wells, il y a eu un mois d'entraînement avec Gil Reyes !
- EN BAISSE

. Novak Djokovic (SRB/N.3)
Indian Wells pour Novak, c'était un peu particulier. C'est là où il s'était révélé au grand public en 2007 et il y avait toujours été à l'aise... Sauf contre Andy Roddick cette année où il a déclaré avoir fait "le plus mauvais match de sa carrière". Le N.3 mondial devra se réveiller à Miami car il est désormais à portée d'Andy Murray.
RAPPEL : 17 victoires mais 7 défaites, c'est le résumé du début de saison du Serbe. Son premier titre de l'année, à Dubaï, était sa 12e victoire en finale sur 18 disputées. Il donne une impression mitigée, celle d'un joueur qui doit digérer sa progression fulgurante des deux dernières saisons.

. Nikolay Davydenko (RUS/N.5)
La saison de la grande impasse pour le Russe ? A cause d'un talon d'Achille douloureux, Nikolay a dû renoncer à la plupart des grands rendez-vous : l'Open d'Australie (alors qu'il restait sur 29 tournois du Grand Chelem consécutifs), la Coupe Davis, Indian Wells, et Miami, dont il était tenant du titre. Malgré tout, il possède un matelas de points qui lui permet de rester dans le top 10.

. Gilles Simon (FRA/N.8)
Que se passe-t-il dans la tête de Gilles Simon ? Depuis l'Open d'Australie, le N.1 Français au classement ATP semble sur la corde raide. Le bizutage en Coupe Davis (deux défaites) n'a certes pas aidé, c'est un trouble pourtant plus ancien qui gêne son tennis. A Dubaï, il atteint la demi-finale et perd honorablement face à Novak Djokovic mais il estime qu'il joue mal. En Coupe Davis, il ne trouve pas les solutions face à Berdych et Stepanek, et néanmoins, il lance à chaud qu'il a joué "un des meilleurs matches de sa carrière." A Indian Wells, il patauge face à Ivan Ljubicic. A Miami, il devra peut-être se coltiner Lleyton Hewitt d'entrée. Une occasion de retrouver la lucidité qui le caractérise, dans le "combat".
RAPPEL : 12 victoires, 8 défaites, de la constance plutôt que des grosses perfs, le N.8 mondial a fait sa place dans le top 10. A condition de ne pas trop cogiter inutilement, son printemps peut être lumineux en termes de points. A noter : un problème actuel avec les jeux décisifs (sur six sets perdus, quatre étaient des tie-breaks).

. Gaël Monfils (FRA/N.10)
Faire des allers-retours entre le continent américain et européen, c'est bien, ça dépayse mais ça puise aussi beaucoup. Gaël Monfils, passé d'Acapulco au Mexique (tournoi ATP, finale) à Ostrava (République tchèque, Coupe Davis), puis à Indian Wells (Californie), est arrivé mal préparé. Bilan : une défaite dès son premier match. Il est le seul joueur du top 10 qui a subi cette "infamie" à Indian Wells. De quoi motiver pour Miami ?
RAPPEL : Gonflé à bloc par Roger Rasheed, son entraîneur australien, Gaël a débuté la saison en fanfare avec une victoire sur Nadal à Doha. Depuis, il alterne le fragile (abandon à Melbourne) et le costaud (finale à Acapulco). Pas beaucoup de points à défendre avant Roland-Garros, qui est son grand objectif de l'année.

[medol]

Coup double pour Leipheimer

Levi Leipheimer (Astana) a remporté la 2e étape du Tour de Castille-et-Leon, un contre-la-montre de 28 kilomètres autour de Palencia. L'Américain, qui a devancé son coéquipier Alberto Contador de 16 secondes, en a profité pour prendre la tête du classement général.

L'équipe Astana a retrouvé le sourire sur le Tour de Castille-et-Leon mardi avec la victoire de Levi Leipheimer et la deuxième place d'Alberto Contador lors de la 2e étape, au lendemain de l'abandon sur blessure de Lance Armstrong. Leipheimer, favori de ce contre-la-montre, s'empare de la première place du classement général, propriété jusqu'ici de l'Espagnol Joaquin Sobrino (Burgos Monumental), devant Contador (2e). Ce dernier, l'un des favoris pour la victoire finale après ses victoires en Castille-et-Leon en 2007 et 2008, avait dit avant la course que tout se jouerait probablement lors de ce contre-la-montre.

"Je viens avec une grosse envie de courir mais cette édition me semble très difficile parce qu'elle va se jouer lors du contre-la-montre de 28 km, vu que les fins d'étape en hauteur sont faites pour arriver groupé", avait-il assuré. "Je ferai un test le jour du chrono (du contre-la-montre, ndlr) et on verra mais en principe ce parcours favorise plus Leipheimer" , avait ajouté le coureur espagnol.

"Une autre optique"

Contador, en tête lors d'un point intermédiaire à un peu plus de la moitié du parcours, a finalement terminé à 16 secondes de son équipier américain. "Le vent a changé un peu et était moins fort à la fin", a analysé le manageur de l'équipe Astana Johan Bruyneel. Leipheimer, qui a terminé plus fort, est désormais le favori de la course alors qu'il était jusqu'ici dans l'ombre des deux leaders d'Astana, Lance Armstrong et Alberto Contador. Alors que ses équipiers luttaient contre le vent sur la route, Armstrong s'envolait lui mardi pour rentrer chez lui, à Austin (Texas, Etats-Unis).

Johan Bruyneel a estimé possible mardi matin sa participation au Giro en mai et certaine celle au Tour de France en juillet, malgré la fracture de la clavicule droite dont souffre le coureur américain après sa chute lundi lors de la 1re étape. "Personnellement je pense que c'est encore possible d'être au départ du Giro", a déclaré Bruyneel à des journalistes avant la 2e étape, ajoutant que son éventuelle participation se ferait dans "une autre optique", car Armstrong allait "quand même perdre un peu de condition physique". "On va décider maintenant dans les prochains jours s'il y a une opération ou pas. Après ça on verra bien le temps de récupération", a ajouté le manageur d'Astana.

[medol]

Senna avec Oreca

Hugues de Chaunac vient de transformer un joli essai en s'assurant les services du médiatique Bruno Senna pour les 24 Heures du Mans. Montmelo et Spa seront au programme de préparation de l'espoir brésilien.

Econduit par Ross Brawn, qui a préféré garder Rubens Barrichello pour lancer sa nouvelle écurie en Formule 1 ce week-end en Australie, Bruno Senna aura a son agenda 2009 les 24 Heures du Mans et la Le Mans Series, aussi. Le Brésilien a été officialisé mardi par Oreca dans le rôle de titulaire de la plus grande course d'endurance du monde, disputée les 12 et 13 juin prochains, ainsi que les 1000 km de Catalunya et les 1000 km de Spa-Francorchamps, courues respectivement les 5 avril et 10 mai sur les circuits des Grands Prix d'Espagne et de Belgique.

Pour les courses de répétition en Le Mans Series, l'équipe varoise associera Bruno Senna au Monégasque Stéphane Ortelli, vainqueur des 24 Heures du Mans 1998 sur Porsche, sur son proto LMP1 N.10, les Français Olivier Panis et Nicolas Lapierre se partageant la N.11.

A 25 ans, Bruno Senna fera donc ses grands débuts dans la Sarthe au sein de l'équipe de Signes. Le vice-champion GP2 2008 et postulant à un baquet en F1 avait fait ses premiers pas en prototype à l'occasion des essais officiels de la Le Mans Series, au Castellet.

Oreca a indiqué qu'elle dévoilerait prochainement les noms des deux pilotes qui complèteront chaque trio au Mans

C'est vraiment génial pour lui !