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Sports
Lausanne : Bolt sera là


Le Jamaïcain Usain Bolt disputera le 200 mètres de la réunion d'athlétisme de Lausanne le 7 juillet prochain. Le triple champion olympique de Pékin en 2008 a confirmé sa présence lors du meeting de Lausanne le 7 juillet prochain. Il s'alignera sur 200 mètres, pour ce qui devrait être sa première course européenne de l'année. « Monsieur 100 000 Bolt » doit ensuite disputer les réunions de Paris (17 juillet) et Crystal Palace (24-25 juillet).

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Rallye - WRC - Argentine - Loeb sème ses rivaux


La victoire n'est pas encore totalement acquise pour Sébastien Loeb (Citroën C4), mais c'est tout comme. Au terme d'une deuxième journée marquée par la panne moteur de Mikko Hirvonen (Ford Focus), l'Alsacien s'est parfaitement remis sur les bons rails à cinq spéciales de la fin. Avec près d'une minute d'avance sur son coéquipier Dani Sordo (Citroën C4), il est excellente position pour décrocher le 52e succès de sa carrière, le cinquième de la saison en.. cinq courses !

Vainqueur des quatre premières secteurs chronométrés, Loeb n'a d'ailleurs pas tardé à reprendre ses bonnes habitudes. A la mi-journée, il avait déjà repris la tête. Oubliées ces deux erreurs commises vendredi dans les derniers mètres, oubliée cette position d'ouvreur qui l'a considérablement handicapé la veille, place à un Sébastien Loeb offensif, qui a réalisé six temps scratch sur dix possibles. «Tout va bien pour le moment, a-t-il déclaré en fin de journée, juste après avoir disputé la super-spéciale dans le stade de Cordoba. Je n'ai plus qu'à rester sur la route parce qu'on a une bonne avance maintenant. Il faut essayer de terminer.» Ce qui ne devrait pas lui poser trop de problèmes dimanche s'il se comporte comme lors de l'ES15. Dans cette portion, celle de El Condor, la plus mythique du rallye, le quintuple champion du monde a mis les gaz, et tout écrasé sur son passage. En l'espace de 22 kilomètres, il a relégué Sordo à plus de vingt secondes. Seul Jari-Matti Latvala (Ford Focus) est parvenu à suivre le rythme, et encore, concédant neuf secondes au Français. Le Finlandais a tout même récupéré la troisième place, du fait de l'adandon de son compatriote Hirvonen.

Pour Sébastien Ogier, victime d'un amortisseur cassé, mais aussi Dani Sordo, la journée a été moins facile que la veille. Parti en première position, l'Espagnol a rencontré les mêmes difficultés que Loeb lorsqu'il s'était élancé en tête. Ça ne l'a tout de même pas empêché de remporter la super-spéciale. Et malgré une deuxième place quasiment assurée, c'était la déception qui primait. «J'ai essayé d'aller plus vite possible, mais c'était vraiment difficile et je ne sais pas pourquoi, a-t-il expliqué. Peut-être est-ce mon style de conduite pour ce type d'étape qui ne convenait pas, ou être le fait d'être premier sur la route. Je ne sais pas. J'ai essayé différentes choses pour être plus rapide, mais ça n'a pas marché. Sébastien était plus vite que moi à chaque fois.» Si le scénario se répète dimanche, le Français remportera son cinquième succès cette saison et totalisera en principe vingt points d'avance sur Hirvonen. Autant dire un gouffre à une manche de la mi-saison. - H.S.

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Duval en tête du Rallye de Wallonie, Snijers abandonne


Après une spéciale-show terminée aux petites heures dans la nuit de vendredi à samedi, le Rallye de Wallonie est entré dans le vif du sujet samedi avec une première boucle marquée par plusieurs événements importants.

Après avoir signé le 3-ème chrono à Mohiville derrière Pieter Tsjoen (Ford) et François Duval (Toyota), Patrick Snijers (Subaru) a tout d'abord abandonné dans le secteur suivant, Natoye, sur bris de moteur.

Ce retrait constitue évidemment un coup très dur pour le Limbourgeois, dont les chances de conquérir le titre national sont désormais quasi nulles. Nombreux d'ailleurs sont les observateurs à prévoir un changement de programme axé peut-être sur des épreuves à l'étranger.

Cette spéciale de Natoye a également coûté cher à Pieter Tsjoen qui a perdu 48 secondes sur crevaison. Malgré deux meilleurs temps dans les spéciales suivantes, le pilote de la Ford accusait un retard de 43,6 secondes sur François Duval au terme de la première boucle, Mélissa Debackere s'intercalant entre eux à 32 secondes du meneur.

Classement après la 1ère boucle :
1. François Duval-John Muth (Toyota Corolla WRC) 24:53.1; 2. Mélissa Debackere-Lara Vanneste (Toyota Corolla WRC) à 0:32.0; 3. Pieter Tsjoen-Eddy Chevaillier (Ford Focus WRC07) à 0:43.6; 4. Timothy Van Parijs-Kurt Heyndrickx (Ford Focus WRC05) à 0:43.9; 5. Hubert Deferm-John Lavaerts (Subaru Impreza WRC) à 0:58.8; 6. Stéphane Lhonnay-Ktos Botson (Mitsubishi Evo 9) à 1:17.8; 7. Bob Colsoul-Tom Colsoul (Mitsubishi Evo 10) à 1:20.5; 8. Pol Lietaer-Andy De Baerenmaker (Subaru Impreza WRC) à 1:20.5; 9. Kris Princen-Bram Eelbode (Renault Clio R3) à 1:22.5; 10. Olivier Collard-Damien Simons (Subaru Impreza STi) à 1:32.7; ...

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Rubgy: Perpignan, le Stade Toulousain, le Stade Français et Clermont en demies

PARIS | Les quatre demi-finalistes du Top 14 sont désormais connus à l'issue de la 24e journée avec, dans l'ordre du classement, Perpignan, le Stade Toulousain, le Stade Français et Clermont, qui composent ce quatuor pour la deuxième année consécutive.




© AFP | Le joueur de Perpignan Marius Tincu (d) à la lutte avec le joueur de Clermont Dato Zirakashvili, le 25 avril 2009 à Perpignan


AFP | 25.04.2009 |


Les deux dernières journées dans le haut du classement auront pour enjeu principal de déterminer l'affiche des demi-finales qui, l'an dernier, avaient opposé Toulouse à Paris et Clermont à Perpignan.
Seuls les Auvergnats se sont inclinés lors de cette journée, à Perpignan (16-20), tandis que Toulouse a difficilement battu Bourgoin (13-6), comme le Stade Français vendredi, vainqueur à Castres en fin de match (21-16).
Les défaites conjuguées de Brive à Montauban (10-15) et de Bayonne à Montpellier (11-20) ont donc permis aux Parisiens et aux Clermontois, de retrouver les Catalans et les Toulousains, qui avaient déjà assuré leur billet pour le dernier carré.
Dans la course pour la Coupe d'Europe, qui concernera les six premiers de la saison (ou les cinq premiers, si Bourgoin remporte le Challenge européen pour lequel il est encore en lice, ndlr), c'est donc Biarritz a fait la bonne affaire de la journée en remportant face à Toulon à Aguiléra sa quatrième victoire consécutive (19-12).
Les Basques (5e) passent ainsi devant leurs rivaux bayonnais et Brive, ces trois équipes se tenant en deux points.
Les Brivistes semblent les moins bien placés avec cette troisième défaite consécutive, même s'ils ont a priori le calendrier le plus favorable avec la réception de Montpellier et un déplacement à Bourgoin.
Les enseignements de cette journée dans le bas du classement ne pourront être tirés qu'après le derby landais Dax - Mont-de-marsan dans la soirée. Si les Montois, derniers, semblent condamnés, Dax (13e) recollerait trois points de Bourgoin en cas de victoire, voire à deux points s'ils y ajoutent le bonus offensif.
Résultats de la 24e journée:
Vendredi:
Castres - Stade Français 16 - 21
Samedi:
Montpellier - Bayonne 20 - 11
Biarritz - Toulon 19 - 12
Stade Toulousain - Bourgoin 13 - 6
Montauban - Brive 15 - 10
Perpignan - Clermont 20 - 16
(20h35) Dax - Mont-de-Marsan
Classement:
1. Perpignan
2. Stade Toulousain
3. Stade Français
4. Clermont
5. Biarritz
6. Bayonne
7. Brive
8. Montauban
9. Montpellier
10. Castres
11. Toulon
12. Bourgoin
13. Dax
14. Mont-de-Marsan

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Button et Brawn GP intouchables
FORMULE 1 | Et de trois pour l’Anglais qui repousse Vettel et Trulli au GP de Bahreïn. Ferrari se console avec ses 3 premiers points.

© AP | Jenson Button et la jeune écurie Brawn GP ont remporté leur troisième victoire en quatre courses!

MARIO LUINI | 27.04.2009 |


On attendait un GP «normal» * sans pluie, sans neutralisations* pour avoir une idée plus claire de la hiérarchie. La chaleur sèche du désert de Bahreïn l’a proposé hier. Et force est de constater qu’il n’y a pas eu de surprise.

Battu en Chine, dimanche dernier, par la faute de pneus refroidis à force de rouler trop longtemps au ralenti sous la pluie derrière la voiture de sécurité, Jenson Button a repris sa marche triomphale des deux premiers GP, ajoutant une 3e victoire à sa prestigieuse collection de l’année, après celles de Melbourne et de Sepang. Button ne partait qu’en 4e position, derrière les impressionnantes Toyota de Jarno Trulli et Timo Glock et la Red Bull-Renault du vainqueur de Shanghaï, Sebastian Vettel.

MAUVAIS CHOIX Mais les Toyota étaient parties légères, pour assurer la première ligne, et le fait de devoir ravitailler bien avant leurs principaux rivaux * Button, Vettel et Lewis Hamilton les rejetaient dans le trafic, d’où elles ne parvenaient plus à s’extirper. Notamment par la faute d’un mauvais choix de pneus durs. Plus lourd, Button avait de quoi boucler quatre tours de plus que Glock (parti en tête) et trois de plus que Trulli, ce qui lui suffisait pour ressortir devant tout le monde. Seul Vettel, * qui pouvait attendre quatre tours de plus que l’Anglais pour passer à la pompe, paraissait avoir le rythme pour jouer la gagne. Mais le jeune Allemand * passé par Hamilton au départ – repartait derrière Trulli dans son 2e relais, et il était alors longuement bloqué par la Toyota, ralentie par ses pneus durs. Pendant que Button s’échappait tout seul devant, construisant une avance décisive.

RÄIKKÖNEN EN «SAUVEUR» Button triomphait sous les yeux d’un témoin de choix: Luca di Montezemolo. Le président de Ferrari avait fait le déplacement de Bahreïn pour soutenir «sa» Scuderia. Il était aux premières loges pour assister au nouveau triomphe de l’équipe (ex-Honda) de Ross Brawn, celui-là même dont il n’avait pas voulu pour prendre les commandes de son équipe, fin 2007, préférant une solution 100% italienne. Montezemolo avait la satisfaction de voir Kimi Räikkönen marquer les premiers points de Ferrari cette saison, mais avec une 6e place peu convaincante. Et le crève-cœur de le voir impliqué dans la touchette fatale à l’aileron avant de son équipier Felipe Massa, dans la bousculade du premier virage, qui torpillait la course du Brésilien, rejeté en queue de peloton. Seule consolation pour le boss de Ferrari: McLaren faisait à peine mieux (Hamilton 4e), Renault moins bien (Alonso 8e) tandis que les BMW Sauber touchaient le fond: Kubica 18e, Heidfeld 19e, tous deux également après accrochages dans le premier tour.

BUEMI FREINÉ PAR BMW SAUBER! 17e en qualifications, 17e en course: le premier GP «national» de Sébastien Buemi – Bahreïnien d’adoption – ne lui laissera pas un souvenir indélébile. «Samedi, c’était de ma faute, j’ai fait une grosse erreur dans le 3e secteur de mon meilleur tour et je me suis retrouvé avec un chrono bien inférieur à ce que valait la voiture ici, admettait honnêtement le jeune espoir vaudois. «Normalement, je devais passer facilement en 2e phase des qualifications.» En course, Buemi estimait que le rythme de la Toro Rosso devait lui permettre de remonter des places, mais les événements allaient en décider autrement: «Je n’ai pas pris un bon départ, j’ai trop fait patiner mes roues. Et je me suis retrouvé dernier. Après, la voiture ne tenait plus la route, j’étais incapable d’attaquer, et je ne sais pas pourquoi, elle avait un comportement très étrange. J’ai souffert, c’était difficile.» Si la chaleur extrême (38 degrés au départ!) ne lui posa aucun problème, la seule autre satisfaction qu’il pouvait retirer de son GP était d’être à l’arrivée: «Une bonne expérience, mais pas grand-chose à dire de plus. Je ne suis pas content de ce week-end.» Et de fait, parti dernier sur l’autre Toro Rosso, Sébastien Bourdais parvenait à remonter jusqu’à la 13e place, donnant une bonne indication de ce qu’aurait pu espérer Buemi. Après l’arrivée, les mécaniciens découvraient un débris de BMW Sauber coincé dans l’aileron avant de la Toro Rosso du Suisse. «Cela lui a provoqué beaucoup de sous-virage», précisait Franz Tost, le patron de la Scuderia.

Vivement Barcelone, dans deux semaines, avec une version évoluée de la voiture

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cyclisme

Cancellara content...de son vélo


Image © Jean-Guy Python


Le Bernois n’a terminé que onzième du prologue dont il était le favori. Mais il ne s’en formalisait pas, car le plus important pour lui était de tester sa nouvelle bécane de contre-la-montre.
Bernard Morel - le 28 avril 2009
Le Matin


Tour de romandie
Lausanne
LE PODIUM
1. Rabon (Tch)
2. Casar (Fr) à 2’’
3. Valverde (Esp) à 3’’«N’oubliez pas que c’est la première course de Fabian depuis Paris-Roubaix.» Hier en début de soirée, sur la place de la Navigation, tandis que Fabian Cancellara faisait un petit décrassage, Bjarne Riis n’avait pas la mine trop affectée par la performance de son coureur, onzième seulement du prologue à 5 secondes du surprenant vainqueur, Frantisek Rabon. Le Bernois, pourtant, était bien loin d’avoir répondu aux espoirs placés en lui. Concéder 5 secondes sur ce parcours qui semblait taillé pour lui, c’est beaucoup.
Fabian Cancellara, compte tenu de son manque de compétition, savait que ce serait difficile de s’imposer. Le déroulement de la course confirme d’ailleurs que le Bernois était un peu juste. Il a concédé pas moins de 7 secondes dans la partie difficile du parcours, la montée de l’avenue d’Ouchy. «Si on avait vraiment voulu gagner, on aurait établi le programme de Fabian différemment», précise Bjarne Riis.
A vrai dire, Fabian Cancellara a surtout utilisé ce prologue pour tester en course un nouveau vélo de contre-la-montre. Lundi, il était encore au Luxembourg avec les frères Schleck pour essayer cette nouvelle bécane. Alors, plutôt que de parler de la petite déception liée à son résultat, il préférait évoquer les points positifs, en particulier son vélo. «Bien sûr, j’étais au départ de ce prologue avec l’espoir de le gagner, mais, compte tenu de tout ce que j’ai fait les deux jours précédents, du fait aussi que c’était ma première course depuis Paris-Roubaix, je ne vais pas attacher d’importance à ce résultat. Je suis content avec ce vélo, même s’il a encore besoin de quelques réglages. C’était important de pouvoir le tester en course.»

Appel à la chance
Pour le champion olympique du contre-la-montre, c’est presque une nouvelle saison qui commence avec ce Tour de Romandie. Suivront le Giro, le Tour de Suisse et le Tour de France. «Si je peux gagner une étape ici, je ne m’en priverai pas, mais c’est le Tour de Suisse et le Tour de France qui sont mes objectifs principaux. Après un début de saison difficile, j’espère que la chance sera maintenant de mon côté.»
L’info
Initialement annoncé au départ du Tour de Romandie, Aurélien Clerc a changé de programme en dernière minute. Le coureur d’AG2R trouvera un terrain plus approprié à ses qualités de sprinter aux Quatre-Jours de Dunkerque du 5 au 10 mai. Le vainqueur
Frantisek Rabon. A 25 ans, le champion tchèque du contre-la-montre courant sous les couleurs de Columbia a signé la 12e victoire de sa carrière en prenant le meilleur sur des coureurs aussi coté que Cancellara, Kreuziger ou Valverde.L’absent
Johann Tschopp. Appelé à courir le Tour d’Italie dès le samedi 9 mai à Venise sous les couleurs de Bbox Bouygues Télécom, le pro de Miège a préféré effectuer une coupure après la Flèche wallonne et Liège-Bastogne-Liège.

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hockey sur glace

La france offre un point à la suisse


Image © Keystone
L’Allemand Felski et le Français Hecquefeuille s’invitent dans le but de l’excellent portier des Bleus Lhenry.
En éliminant l’Allemagne, les Bleus se qualifient pour le tour intermédiaire. L’équipe de Suisse poursuivra ainsi l’aventure avec les trois points acquis face aux Français.
SI - le 28 avril 2009
Le Matin



Mondiaux 2009
Berne
France - Allemagne
2-1(2-1 0-0 0-0)
L’équipe de France a donné un joli coup de main à la Suisse en battant l’Allemagne 2-1 lors de son dernier match du tour préliminaire. Les Bleus se qualifient ainsi pour le tour intermédiaire, permettant ainsi à la troupe de Ralph Krueger d’entamer cette deuxième phase avec une unité de plus à son compteur.
Comme les points égarés face au quatrième du groupe n’entrent pas en ligne de compte lors du tour intermédiaire, la Suisse peut tracer sa victoire en prolongation face à l’Allemagne et la remplacer par celle acquise au terme des 60 minutes contre les Coqs.

Lhenry en état de grâce
Sans Cristobal Huet, la troupe de Dave Henderson a pu compter mardi sur un gardien en état de grâce avec Fabrice Lhenry. Le portier d’Esjberg n’a capitulé qu’une seule fois sur un envoi de Jochen Hecht à la 5e minute. Par la suite, il s’est multiplié pour permettre à ses coéquipiers d’éviter la poule «de la mort», et ce malgré les nombreuses pénalités concédées par ses partenaires. Au final, il a arrêté 30 des 31 tirs qui lui ont été adressés.
Anthoine Lussier avait pu ouvrir la marque dès la 4e minute déjà. Le Chaux-de-Fonnier pouvait tromper la vigilence de Pätzöld pour mettre son équipe sur les rails du succès. Après l’égalisation de Hecht, Tardif marquait l’ultime but à la 17e minute déjà. L’équipe germanique disputera le tour contre la relégation sans la moindre pression. En effet, l’Allemagne accueillera la prochaine compétition et ne peut ainsi pas être reléguée. Il n’y aura ainsi qu’un repêché parmi les trois autres nations se battant contre la descente en deuxième division.
LA RENCONTRE
PostFinance Arena, 9956 spectateurs.
Arbitres: Baluska (Slq)/Reiber (S); Kaspar (Aut) et Kicha (Ukr).
Buts: 4e (3’50’’) Lussier 1-0. 5e (4’22’’) Hecht (Bakos/5 c 4) 1-1. 17e Tardif (Meunier) 2-1.
France: Lhenry; Bachet, Amar; Manavian, Mille; Quessandier, Roussel; Igier; Raux, Meunier, Yorick Treille; Rozenthal, Gras, Lussier; Bellemare, Hecquefeuille, Fleury; Tardif, Zwikel, Sacha Treille; Da Costa.
Allemagne: Pätzöld; Bakos, Schmidt; Schubert, Buntenschön; Osterloh, Mueller; Horlder, Renz; Wolf, Gogulla, Hackert; Hager, Ullmann, Seidenberg; Mulock, Barta, Hecht; Kreutzer, Hospelt, Felski.
Notes: Temps mort pour l’Allemagne qui joue sans gardien de 58’45’’ à la fin de la rencontre.
Pénalités: 10 x 2’ contre la France; 3 x 2’ contre Allemagne.

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Football

Le Barça face à un mur!


Image © Keystone


Demi-finale de la ligue des champions Barcelone: les Catalans ont tout tenté face à un Chelsea regroupé en défense
le 28 avril 2009
Le Matin


Barcelone - Chelsea 0-0
Grandissime favori de la Ligue des champions, Barcelone se retrouve en ballottage défavorable après le 0-0 concédé devant Chelsea en match aller des demi-finales.
Mercredi prochain à Stamford Bridge, le Barça sera condamné à l’exploit s’il entend disputer la finale de Rome le 27 mai prochain. Sauront-ils répondre au défi physique que chercheront à imposer les Londoniens devant leur public? Il est permis d’en douter dans la mesure où les Catalans risquent d’abandonner bien des forces samedi lors du «clasico» qui les opposera au Real Madrid à Bernabeu.
C’est sans doute un zeste de fraîcheur physique qui a manqué au FC Barcelone pour faire sauter le verrou de Chelsea. Mais, face à l’extrême réalisme des Anglais, la tâche proposée aux Catalans n’était guère aisée. On ne peut pas vraiment parler de contre-performance tant leur maîtrise sur le jeu fut totale.
Drogba seul en pointe
Chelsea a présenté le visage que l’on n’attendait au Nou Camp: celui d’une équipe venue uniquement défendre. Les Londoniens n’alignaient qu’un seul attaquant: Drogba.
Malgré son isolement et l’ascendant total exercé par Barcelone, l’Ivoirien a réussi un singulier exploit en première période. Il s’est ménagé la plus belle occasion de cette mi-temps. A l’affût sur une passe trop molle de Marquez, il se présentait seul devant Vicor Valdez qui sauvait son camp.
Face au «mur» érigé par Guus Hiddink, Barcelone a dû attendre la 34e minute pour se procurer une première véritable possibilité, une frappe de Henry qui concluait une action menée par Messi et Iniesta. Sur le flanc gauche, le Français a souvent pris le meilleur sur Ivanovic. Seulement, il s’est montré parfois un peu trop «gourmand». Malgré tout, la manœuvre du Barça était toujours orchestrée d’une manière magistrale. Xaxi et Iniesta n’ont cessé de faire les bons choix pour permettre l’instauration d’un véritable jeu de puissance.
Le scénario de la rencontre ne bougeait pas d’un iota à la reprise. Avant de reprendre leur domination presque écrasante, les Catalans devaient digérer la sortie de Marquez. Tout seul, le Mexicain se blessait au genou gauche et cédait sa place à Puyol.
A défaut de s’appuyer sur un Messi des grands soirs, le Barça pouvait compter sur l’incroyable débauche d’énergie de Daniel Alves sur le flanc droit et sur un Eto’o inspiré. Le Brésilien armait une frappe très puissante à la 61e et le Camerounais réussissait une percée étonnante entre Alex et Terry à la 69e. Mais, sur ces deux actions, Chelsea était sauvé par Cech.

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Rebellin contrôlé positif à Pékin



L'Italien Davide Rebellin (Diquigiovanni), médaillé d'argent lors de l'épreuve cycliste sur route aux jeux Olympiques de Pékin en 2008, a été contrôlé positif en Chine, annoncent mardi soir les médias italiens.

Mardi en début de soirée, le Comité olympique italien (Coni), informé par le Comité international olympique (CIO), avait annoncé dans un communiqué qu'un athlète italien, dont l'identité pas plus que la discipline pratiquée n'avaient été alors dévoilées, avait été contrôlé positif aux Jeux l'été dernier.

D'autres suivront
Selon les médias italiens, l'intéressé serait Rebellin, 37 ans, récent vainqueur de la Flèche Wallonne et actuel deuxième au classement mondial de l'Union cycliste internationale (UCI). Il aurait été contrôlé positif à l'EPO Cera, une EPO dite à effet retard, c'est-à-dire que les effets se font sentir près d'un mois après une seule injection.

Par ailleurs, selon le site web du Corriere dello Sport, cinq autres athlètes dont l'identité et la nationalité ne sont pas encore été rendues publiques auraient été contrôlés positifs à l'EPO Cera au cours des Jeux sur des épreuves de canöe-kayak, natation et athlétisme.

A son siège suisse de Lausanne, le CIO a pour sa part annoncé que six athlètes, dont l'identité et la discipline n'ont pas été révélées, avaient été contrôlés positifs à l'EPO Cera à Pékin.

2004, les trois Ardennaises
Rebellin, qui a débuté sa carrière professionnelle en 1992, est un des meilleurs coureurs italiens en activité et l'un des plus grands spécialistes des courses d'un jour sur lesquelles il a bâti l'essentiel de son palmarès. Il a réalisé son grand fait d'armes en 2004, remportant en l'espace de huit jours les trois classiques ardennaises, l'Amstel Gold Race, la Flèche Wallonne et Liège-Bastogne-Liège.

De 2002 à 2008, Rebellin a fait partie de l'équipe allemande Gerolsteiner dont deux des coureurs, l'Allemand Stefan Schumacher et l'Autrichien Bernhard Kohl, avaient été convaincus de dopage à l'issue de contrôles pratiqués lors du Tour de France 2008, soit un mois avant les Jeux de Pékin. Schumacher et Kohl avaient été contrôlés positifs à l'EPO Cera.

Rebellin avait rejoint l'équipe Diquigiovanni cette saison avec laquelle il ambitionnait notamment de participer au prochain Tour d'Italie, qui s'élancera le 9 mai de Venise. Un autre coureur italien, le grimpeur Riccardo Ricco, 25 ans, avait été contrôlé positif à cette nouvelle forme d'EPO au cours du Tour de France 2008. Il est actuellement suspendu jusqu'au 18 mars 2010.

CERA
Le Comité International Olympique (CIO) a informé mardi que six athlètes avaient été contrôlés positifs à la CERA, l'EPO de troisième génération, lors des Jeux Olympiques de Pékin. L'identité, pas plus que les disciplines concernées n'ont été dévoilées. Le CIO a indiqué avoir informé les comités olympiques des pays auxquels appartiennent les athlètes concernés.

Dans le cadre de sa politique de tolérance zéro en matière de dopage, le CIO conserve pendant huit ans les échantillons prélevés durant les Jeux Olympiques, ce qui lui permet de procéder à des analyses rétroactives dans l'éventualité où des tests entièrement validés seraient disponibles pour détecter la présence de nouvelles substances ou l'utilisation de nouvelles méthodes. (chds)

[medol]

AH un de plus malheureusement ! Mais il me tarde de savoir qui sont les prochains dopés des J.O !