Toutes New sportives autres que la moto

[pierminator]

superbe victoire de voeckler,la premiere victoire francaise ca fait plaisir

[Norton]

Alinghi 5 vogue sur le Léman

Efficace | L'hélicoptère géant s'est stabilisé à la verticale du catamaran à 16 h pile pour l'emporter sept minutes plus tard, direction Le Bouveret. Environ une demi-heure plus tard, il flottait sur le lac Léman

P. M./Rédaction online | 08.07.2009 |


Dix heures d'attente pour sept minutes de spectacle... Mais quel spectacle!
Espéré dès 6 h du matin, l'hélicoptère russe MI-26 a décollé de la Blécherette peu avant 15 h 30. A 15 h 30, l'appareil survole la rive du lac, élingues (câbles utilisés pour le transport) pendant sous le ventre, direction Villeneuve.
Il est arrivé sur la Riviera une demi-heure plus tard. A 16 h pile, il se stabilisait au dessus du catamaran. Sept minutes pour arrimer la charge et l'engin arrachait Alinghi 5 du terrain villeneuvois et prenait le cap du Bouveret.
Un détour par le lac et vers 16 h 30 le MI-26 posait délicatement Alinghi 5 au large du Bouveret. L'équipage est immédiatement monté à bord du catamaran qui attend encore son mât.
De report en attente
Le premier acte du transport d'Alinghi 5 au Bouveret s'est joué vers 9h45: un hélicoptère a emporté le mât géant et s'est envolé en direction du Bouveret. Il ne s'agissait pas du MI-26 géant qui emportera le catamaran, mais du Kamov 32 d'Héliswiss, un appareil de même origine et déjà de taille respectable (celle d'un Super Puma).
Commençait une longue attente: et la double coque du catamaran géant? Cet après-midi, peut-être... Météo et complexité de l'opération obligent, impossible de préciser à quelle heure l'hélicoptère géant MI-26 emportera le catamaran Alinghi 5 vers Le Bouveret. Selon la police sur place, harcelée de questions par les badauds, il faudrait au mieux attendre la fin de l'après-midi. "Si quelque chose se passe..." Le Team Alinghi, muré dans son silence, ne donnait guère plus d'informations.
A Villeneuve, les curieux s'étaient massés devant le site depuis 6 heures, mitraillant à tout-va. Beaucoup venaient de Suisse alémanique, certains même de Zurich, et d'aucuns admettaient être venu avant tout pour admirer le MI-26 russe.

Un monstre L'helico sans parler du bâteau..........

Alinghi 5 vogue sur le Léman

Efficace | L'hélicoptère géant s'est stabilisé à la verticale du catamaran à 16 h pile pour l'emporter sept minutes plus tard, direction Le Bouveret. Environ une demi-heure plus tard, il flottait sur le Léman.

P. M./Rédaction online | 08.07.2009 | 17:30


Dix heures d'attente pour sept minutes de spectacle... Mais quel spectacle!
Espéré dès 6 h du matin, l'hélicoptère russe MI-26 a décollé de la Blécherette peu avant 15 h 30. A 15 h 30, l'appareil survole la rive du lac, élingues (câbles utilisés pour le transport) pendant sous le ventre, direction Villeneuve.
Il est arrivé sur la Riviera une demi-heure plus tard. A 16 h pile, il se stabilisait au dessus du catamaran. Sept minutes pour arrimer la charge et l'engin arrachait Alinghi 5 du terrain villeneuvois et prenait le cap du Bouveret.
Un détour par le lac et vers 16 h 30 le MI-26 posait délicatement Alinghi 5 au large du Bouveret. L'équipage est immédiatement monté à bord du catamaran qui attend encore son mât.
De report en attente
Le premier acte du transport d'Alinghi 5 au Bouveret s'est joué vers 9h45: un hélicoptère a emporté le mât géant et s'est envolé en direction du Bouveret. Il ne s'agissait pas du MI-26 géant qui emportera le catamaran, mais du Kamov 32 d'Héliswiss, un appareil de même origine et déjà de taille respectable (celle d'un Super Puma).
Commençait une longue attente: et la double coque du catamaran géant? Cet après-midi, peut-être... Météo et complexité de l'opération obligent, impossible de préciser à quelle heure l'hélicoptère géant MI-26 emportera le catamaran Alinghi 5 vers Le Bouveret. Selon la police sur place, harcelée de questions par les badauds, il faudrait au mieux attendre la fin de l'après-midi. "Si quelque chose se passe..." Le Team Alinghi, muré dans son silence, ne donnait guère plus d'informations.
A Villeneuve, les curieux s'étaient massés devant le site depuis 6 heures, mitraillant à tout-va. Beaucoup venaient de Suisse alémanique, certains même de Zurich, et d'aucuns admettaient être venu avant tout pour admirer le MI-26 russe.



Deux monstres...................

[Norton]

Oups, un doublon............... J'ai vu l'helico partir de la Blécherette....... Mes excuses........

[Norton]

VTT

La Suisse peut y croire


Image © Keystone


La délégation helvétique affiche de grandes ambitions pour les Championnats d’Europe.
SI - le 08 juillet 2009,
Le Matin


Championnats d’Europe zoetermeer
Swiss Cycling peut espérer glaner de nombreuses médailles lors des Européens de Zoetermeer (PB), où 42 coureurs (!) helvétiques seront engagés d’aujourd’hui jusqu’à dimanche dans les épreuves de cross-country. Florian Vogel, Christoph Sauser et Cie ont toutes leurs chances dans l’épreuve reine en l’absence de Julien Absalon.
«Nous avons des chances de médailles dans chaque course», assure Rolf Vollenweider, responsable des équipes masculines et féminines depuis le licenciement de Jürg Graf. Vollenweider n’a pas donné d’objectif chiffré précis. Pour mémoire, la Suisse avait récolté trois titres, une médaille d’argent et une de bronze l’an dernier à Sankt Wendel (All).
Tenant du titre, l’Argovien Florian Vogel fait partie des favoris de la course élite au même titre que le champion du monde bernois Christoph Sauser, Ralph Näf (Andwil) et le 3e des JO de Pékin, Nino Schurter (Coire). Fabian Giger (Rieden) peut également rêver d’or chez les M23. Chez les dames, Katrin Leumann, Petra Henzi et Nathalie Schneitter sont en mesure de prendre une place d’honneur. Les coureurs s’élanceront cependant sur un tracé atypique, ressemblant plus à un parcours de cyclocross avec des montées peu marquées. Spécialiste de cyclocross, le Belge Sven Nys pourrait ainsi jouer les trouble-fête.
Revanche à prendre
L’équipe de Suisse aura une revanche à prendre ce soir dans l’épreuve d’ouverture de ces joutes, le relais. L’an dernier, la formation helvétique avait été disqualifiée pour un passage non conforme alors qu’elle caracolait en tête. «Le relais est un grand objectif. Une bonne performance serait positive pour l’esprit d’équipe», souligne Vollenweider.

[Norton]

Un rêve bientôt réalité


Image © Jean-Guy Python
Mike Aigroz pose à Vevey-Plage, avec tout son équipement d'Ironman (homme de fer). Le triathlète se sent prêt pour un podium à Zurich.

Dimanche à Zurich, le Vaudois Mike Aigroz tentera de décrocher son billet pour l'épreuve mythique d'Hawaii. Son bonheur sera peut-être au bout de ces huit heures de course.
Gaëlle Cajeux - le 08 juillet 2009,
Le Matin


«Je suis impatient d'y être. Depuis une semaine, je ne pense qu'à ça!» Ce qui hypnotise ainsi Mike Aigroz Le triathlon Ironman de Zurich qui a lieu ce dimanche. L'épreuve alémanique a une importance toute particulière pour le Vaudois puisqu'elle est qualificative pour l'Ironman d'Hawaii (le 10 octobre, à Kona), la légendaire compétition qui lui a donné le goût du triathlon. «C'est mythique, l'équivalent du Lauberhorn pour un skieur. Gamin, je la suivais à la télévision. Les athlètes qui y participaient étaient mes idoles. Aujourd'hui, pour moi Hawaii est plus un objectif qu'un rêve.»
Prêt à affronter le pire
Objectif qu'il atteindra s'il se classe parmi les trois premiers à Zurich. «Si je fais la course à mon niveau, sans ennui technique ou physique (maux d'estomac...), ça passera, assure Mike Aigroz. Je n'ai pas eu de problème dans ma préparation, je suis bien. Je me suis entraîné pour faire dans les 8 h 20. Mais c'est une longue journée. Il faudra faire avec la forme du jour. Je sais que tout peut arriver, le meilleur comme le pire. Car le moindre grain de sable peut déclencher une catastrophe. Mais je suis prêt à affronter tout ça. D'autant que je ne suis pas seul. J'ai la chance d'avoir une grosse équipe qui me soutient.» Les encouragements de ses supporters et de son coach seront précieux, car, s'il est à l'aise sur les trois disciplines (natation, cyclisme et course), Mike Aigroz avoue un point faible: son manque d'expérience. «Ce n'est que mon deuxième Ironman...» D'ailleurs, pourquoi a-t-il choisi de changer de discipline à 30 ans, pour s'aligner sur la plus difficile qui soit? «J'avais donné tout ce que j'avais à donner sur le triathlon de courte distance, répond Mike Aigroz. J'ai essayé de me qualifier pour les JO, sans succès, alors je ne me voyais pas repartir pour un tour. J'ai donc passé à l'Ironman, dans lequel je me sens plus libre.» La liberté au bout de l'effort.
L'ironman: la version extrême du triathlon
Natation, 3,8km
Equipement: Bonnet, lunettes et combinaison en néoprène, «qui flotte beaucoup». Tactique: «Comme un joueur de tennis qui joue point après point, je nage en visant la bouée, puis la suivante, explique Mike Aigroz. Il faut voir où tu te situes à la sortie de l'eau pour établir une stratégie. Est-ce que je vais chercher celui qui est devant, ou est-ce que je stabilise ma position en gardant des forces pour la course, etc.»
Cyclisme, 180km
Equipement: Vélo de contre-la-montre «léger, fait pour aller vite», casque et maillot «en matériau hypertechnique, qui sèche très vite» (l'athlète le porte depuis le début, sous la combinaison de natation). Tactique: «Essayer de perdre le moins possible de force. Le secret réside dans l'alimentation. Il faut profiter d'être sur le vélo pour bien boire et manger (des gels, des barres énergétiques) afin d'emmagasiner un maximum d'hydrates de carbone.»
Course à pied, 42km

Equipement: Même maillot que pour le cyclisme et chaussures avec beaucoup d'amorti qui permet de «repousser un peu la fatigue musculaire», explique Mike Aigroz. Tactique: «C'est au marathon que tout se joue, rappelle le triathlète vaudois. Il y a forcément des passages à vide, mais, après dix minutes, ça peut repartir. Il faut donc être fort mentalement pour gérer, tenir quand ça ne va pas

[Norton]

Alonso chez Ferrari en 2010, affirment les médias espagnols


Le pilote espagnol de Renault Fernando Alonso pilotera bien pour l'écurie italienne de Formule 1 Ferrari en 2010, ont réaffirmé jeudi les quotidiens sportifs espagnols AS et Marca.

L'accord est pratiquement bouclé et pourrait être annoncé lors du Grand Prix d'Italie à Monza fin août, ont précisé ces journaux, confirmant des informations publiées mercredi par La Gazzeta dello Sport et Autosprint.

Alonso, double champion du monde en 2005 et 2006 avec Renault, est sous contrat pour deux ans avec l'écurie française jusqu'à la fin 2010, mais avec l'option de partir au bout d'un an.

Seulement 9e du classement des pilotes, il n'est pas satisfait des performances de la monoplace R29, qui demeure loin de leaders après les premiers Grands Prix de la saison en cours, même si des améliorations sont annoncées.

Ferrari, pour sa part, est mécontent des prestations de son pilote finlandais Kimi Raikonnen, à qui la Scuderia devrait toutefois payer une forte indemnité pour laisser la place à Alonso, toujours selon AS et Marca.

Alonso, 27 ans, signerait pour 5 ans chez Ferrari, avec notamment le soutien financier de la grande banque espagnole Santander. AS et Marca spéculent depuis plusieurs mois sur son transfert chez Ferrari.

[Stoner27]

notre drogué national vient de tomber sur la ligne blanche...
aurait mieux fait de la sniffer celle la

[chrisgaz]

Envoyé par Mr Ducati

notre drogué national vient de tomber sur la ligne blanche...
aurait mieux fait de la sniffer celle la

mékilékon

[Norton]

Hushovd s'impose, Boonen chute





Le Norvégien Thor Hushovd (Cervélo) a remporté la 6e étape du Tour de France, jeudi à Barcelone, où le Suisse Fabian Cancellara (Saxo Bank) a conservé le maillot jaune de leader. Dans un sprint en légère montée, Hushovd s'est nettement imposé devant l'Espagnol Oscar Freire, triple champion du monde.

Un autre Espagnol, José Joaquin Rojas, a pris la troisième place au terme des 181,5 kilomètres de cette étape disputée entièrement en territoire espagnol, devant l'Allemand Gerald Ciolek. Le Britannique David Millar, grand animateur du jour, a été rejoint à moins de 1500 mètres de la ligne, sur la pente menant au stade olympique de Montjuich. Pour la première fois depuis le départ de Monaco, le Tour a rencontré la pluie en cours d'étape, sur le littoral méditerranéen.

Sur les routes de la Costa Brava, Millar a trouvé l'ouverture au 45e kilomètre. Il a vu revenir quelques instants plus tard les Français Sylvain Chavanel puis Stéphane Augé et le trio a creusé l'écart pour s'assurer jusqu'à plus de 4 minutes d'avance. Le peloton s'est ensuite rapproché, avant que l'Espagnol Amets Txurruka se lance en contre-attaque pour réaliser la jonction à 70 kilomètres de l'arrivée.

Sous la menace d'un retour du peloton à moins d'une minute, Millar a distancé ses compagnons à l'approche de Barcelone et a basculé au sommet de la dernière difficulté (Km 159), sur une chaussée détrempée, avec une quarantaine de secondes d'avance seulement. Le vainqueur sortant, l'Espagnol Carlos Sastre, a chuté durant la première heure de course mais a pu repartir rapidement.

D'autres chutes se sont produites dans la dernière heure de course, qui ont concerné notamment l'Australien Michael Rogers, l'Allemand Heinrich Haussler ainsi que Tom Boonen, à terre dans la traversée de Barcelone. Augé a endossé le maillot à pois du meilleur grimpeur, à la veille de la première arrivée au sommet qui doit redistribuer les cartes. Vendredi, la 7e étape relie Barcelone à la station andorrane d'Arcalis, sur 224 kilomètres.

Hushovd, 31 ans, a rejoint cette saison la formation Cervélo après avoir couru depuis le début de sa carrière professionnelle (1999) pour la formation Crédit Agricole, disparue fin 2008. Habitué des succès d'étape dans le Tour, le Norvégien a déjà conquis le maillot vert du classement par points en 2005.





¨Triste un article aussi petit (Suisse)Hop Suisse

[Norton]

Cyclisme

Tour de France en Valais: un gros défi pour la police


Image © Keystone
Christian Varone, gauche, commandant de la police cantonale du valais, et Gaston Barben, droite, president du comite d'organisation du Tour de France a Verbier et Martigny.

Trois jours en Valais pour la caravane du Tour de France: un gros défi à relever pour la police valaisanne. Les chiffres sont éloquents. Ils dépassent tout ce que le Valais a connu en affluence sur une période aussi courte.
le 09 juillet 2009
LeMatin.ch & les agences


"L'enjeu sera de sécuriser l'événement tout en lui conservant son caractère festif", a déclaré jeudi lors d'une conférence de presse à Martigny (VS) le commandant de la police valaisanne Christian Varone. Car la caravane du tour ne se contente pas d'arriver à Verbier. Elle y passera un jour de repos le lendemain avant de repartir de Martigny pour la 16e étape.
"Nous ne voulons pas transformer le Bas-Valais en un camp retranché policier", précise M. Varone. Pourtant pas moins de 740 policiers, pompiers, militaires, médecins et secouristes sont mobilisés, une débauche sécuritaire qui coûtera 460 000 francs au canton.
Sécurité d'abord
Il n'en faut pas moins pour assurer le bon déroulement du 3e plus gros événement sportif mondial. La caravane du tour ce sont 180 coureurs, 280 accompagnateurs, 1200 organisateurs, 2000 journalistes, autant de personnes dans la caravane publicitaire, 2270 voitures et motos, 133 poids-lourds, 8 hélicoptères.
La montée Martigny - Verbier, final de la 15e étape qui part de Pontarlier (F), sera prise d'assaut. Et pour peu que le maillot jaune soit alors sur les épaules d'un Italien, la foule sera encore plus importante, estiment les spécialistes.
Les autres cantons traversés par l'étape, Vaud et Fribourg, ne sont pas en reste: 225 personnes mobilisées à Fribourg et 1000 pour les routes vaudoises. "La collaboration est excellente", précise Christian Varone.
Transports publics
Pour les automobilistes, le passage du tour est aussi synonyme de perturbations. L'accès à Verbier sera totalement fermé dès 13h00 le dimanche 19 juillet, jusqu'au terme de l'étape. Le mardi, la route du Grand St-Bernard sera fermée de 10h00 à 13h30 pour la 16e étape entre Martigny et Bourg-St-Maurice (F), via le col, toit du tour, qui culmine à 2473 mètres d'altitude.
La police a négocié avec divers propriétaires de terrains à proximité de la route principale pour aménager des parkings temporaires. Au total elle promet 55 650 places de parc entre Martigny et le Grand St-Bernard.
Les transports publics resteront le meilleur moyen pour éviter les désagréments routiers. Les trains entre Martigny et Le Châble circuleront le dimanche toutes les demi-heure jusqu'à minuit. Et la télécabine entre Le Châble et Verbier sera aussi en activité jusque tard dans la nuit.
Verbier Tourisme propose même un itinéraire plus bucolique qui emprunte les remontées mécaniques depuis Siviez, au-dessus de Nendaz (VS). L'occasion d'une balade dominicale en montagne.

Le Valais avec ......des astuces.............