Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

f1

Briatore sur la sellette


Image © Keystone


Le patron de Renault aurait triché...
le 31 août 2009,
LeMatin.ch & les agences


L'AFFAIRE. Comme «Le Matin» l'écrivait dans sa dernière édition, la Fédération internationale de l'automobile (FIA) enquête sur l'accident de Nelson Piquet Jr (l'ex-pilote Renault) au Grand Prix de Singapour 2008.
L'ACCUSATION. «L'accident de Nelsinho (Piquet) avait été prémédité pour que la voiture de sécurité entre à Singapour. Il était rentré dans le mur de manière très étrange, a avancé, dimanche, un commentateur de la Télévision brésilienne, Rede Globo. Récemment, en parlant avec Felipe Massa, il a attiré mon attention sur ce sujet. Felipe est allé voir Briatore ( ndlr: directeur général de Renault F1 ) et lui a dit: «Cet accident n'est pas normal, il s'est produit parce que vous le souhaitiez.»
TÉMOIGNAGES CINGLANTS. «D'au-tres pilotes avaient envisagé cette hypothèse à l'époque, dont on reparle maintenant à cause d'une enquête que la FIA est en train de mener, a-t-il ajouté. La fédération a engagé une entreprise indépendante (pour mener l'enquête) et dispose de témoignages cinglants qui incriminent Flavio Briatore.»
RAPPEL DES FAITS. Parti 15e du GP de Singapour, le 28 septembre 2008, Fernando Alonso avait ravitaillé le premier, très tôt dans la course, juste avant que son coéquipier brésilien Piquet Jr. heurte un mur au volant de sa Renault et que la voiture de sécurité entre en piste. La plupart des autres pilotes étaient rentrés aux stands pendant que la course était neutralisée. Alors qu'il naviguait à petite allure derrière la voiture de sécurité, l'Espagnol avait vu ses concurrents s'écarter un par un pour ravitailler, ce qui lui avait permis de remonter tout le peloton et de finalement se retrouver en tête.
AVEU. «J'ai clairement été chanceux: la voiture de sécurité a beaucoup fait pour moi», avait déclaré le double champion du monde...
REMERCIEMENT. Nelson Piquet Jr a été remercié par l'écurie Renault début août.

[Norton]

cyclisme

Henderson par hasard!


Image © Keystone
Greg Henderson s'est retrouvé au-devant de la scène presque sans le vouloir!

Le Néo-Zélandais ne trouve pas son leader, mais... le succès! Cancellara résiste.
le 31 août 2009
LeMatin.ch & les agences


Tour d'Espagne
Venlo (Pays-Bas)
Si Fabian Cancellara a préservé sa tunique en or, il s'en est fallu de six petites secondes qu'il la cède à... Greg Henderson (Columbia).
Habituellement au service de ses leaders (Mark Cavendish, qui n'est pas présent sur la Vuelta, et Greipel, 4e hier), le Néo-Zélandais a signé, à 33 ans, et presque sans le vouloir, son premier succès dans un grand Tour, en remportant, hier, à Venlo (PB), la troisième étape de la Vuelta. «J'étais aux avant-postes pour emmener Greipel. C'était mon boulot. Mais à 600 mètres de la ligne, après un virage très dangereux, je ne l'ai plus vu dans ma roue. Je l'ai cherché quelques instants puis j'ai décidé de faire mon propre sprint», a-t-il déclaré.
Spécialiste de la piste et principalement du scratch, épreuve dans laquelle il avait été sacré champion du monde en 2004, Henderson avait appris «cinq jours seulement avant la Vuelta» qu'il en prendrait le départ.
Les coureurs vont quitter, aujourd'hui, les Pays-Bas en direction de Liège en Belgique pour la dernière étape hors d'Espagne, sur un parcours plus accidenté. En empruntant des routes de l'Amstel Gold Race et de Liège-Bastogne- Liège, la Vuelta prendra une première fois un peu de hauteur (avec les ascensions du Cauberg, du Mont Theux et de la côte Saint-Nicolas) tout en faisant un clin d'oeil à deux des plus belles classiques de la saison. Avant de prendre l'avion pour l'Espagne et Tarragone, ville départ de la 5e étape jeudi.

[Stoner27]

Envoyé par Norton

f1

Briatore sur la sellette


Image © Keystone


Le patron de Renault aurait triché...
le 31 août 2009,
LeMatin.ch & les agences


L'AFFAIRE. Comme «Le Matin» l'écrivait dans sa dernière édition, la Fédération internationale de l'automobile (FIA) enquête sur l'accident de Nelson Piquet Jr (l'ex-pilote Renault) au Grand Prix de Singapour 2008.
L'ACCUSATION. «L'accident de Nelsinho (Piquet) avait été prémédité pour que la voiture de sécurité entre à Singapour. Il était rentré dans le mur de manière très étrange, a avancé, dimanche, un commentateur de la Télévision brésilienne, Rede Globo. Récemment, en parlant avec Felipe Massa, il a attiré mon attention sur ce sujet. Felipe est allé voir Briatore ( ndlr: directeur général de Renault F1 ) et lui a dit: «Cet accident n'est pas normal, il s'est produit parce que vous le souhaitiez.»
TÉMOIGNAGES CINGLANTS. «D'au-tres pilotes avaient envisagé cette hypothèse à l'époque, dont on reparle maintenant à cause d'une enquête que la FIA est en train de mener, a-t-il ajouté. La fédération a engagé une entreprise indépendante (pour mener l'enquête) et dispose de témoignages cinglants qui incriminent Flavio Briatore.»
RAPPEL DES FAITS. Parti 15e du GP de Singapour, le 28 septembre 2008, Fernando Alonso avait ravitaillé le premier, très tôt dans la course, juste avant que son coéquipier brésilien Piquet Jr. heurte un mur au volant de sa Renault et que la voiture de sécurité entre en piste. La plupart des autres pilotes étaient rentrés aux stands pendant que la course était neutralisée. Alors qu'il naviguait à petite allure derrière la voiture de sécurité, l'Espagnol avait vu ses concurrents s'écarter un par un pour ravitailler, ce qui lui avait permis de remonter tout le peloton et de finalement se retrouver en tête.
AVEU. «J'ai clairement été chanceux: la voiture de sécurité a beaucoup fait pour moi», avait déclaré le double champion du monde...
REMERCIEMENT. Nelson Piquet Jr a été remercié par l'écurie Renault début août.

DALLAS, ton univers impitoyable......

Bref, cela ne m'étonnerait même pas...

Vive le sport, hein Norton....

[Norton]

Par Mr Ducati

DALLAS, ton univers impitoyable......

Bref, cela ne m'étonnerait même pas...

Vive le sport, hein Norton....

Le faux crash de Piquet menace l’avenir de Renault

FORMULE 1 | Le jeune pilote brésilien, récemment licencié par l’écurie française, aurait confié avoir obéi aux ordres de son équipe lors du GP de Singapour l’an dernier. Mais est-ce crédible?


© ARC | ​Au volant de la Renault 28, Nelson Piquet Jr était sorti de la piste lors du GP d’Espagne de l’an dernier. Cette fois-là, le jeune Brésilien ne l’avait pas fait exprès.


MARIO LUINI | 01.09.2009 | 00:01


Nelson Piquet Jr s’est-il délibérément jeté dans le mur, il y a de cela bientôt une année, lors du premier GP de Singapour (le 27 septembre 2008), faussant ainsi la course en provoquant l’entrée en piste de la voiture de sécurité au meilleur moment? L’incident – volontaire ou non - avait permis à son équipier de chez Renault Fernando Alonso, qui venait juste de ravitailler, de prendre la tête lorsque tous ses adversaires profitèrent de la neutralisation de la course pour se ruer dans les stands, puis de voler vers une victoire totalement inattendue.
La F1, dévorée par la passion qui anime ses acteurs et ses suiveurs, n’échappe pas à l’attrayante théorie de la conspiration. Au soir du GP, déjà, les premières rumeurs avaient circulé, et dans la salle de presse de Singapour, comme dans certains motor-homes d’équipes adverses, ulcérées d’avoir perdu une course aussi importante, les images du crash du jeune Piquet passaient et repassaient en boucle, avec arrêts sur images, commentaires, et dissection avisée par les nombreux ex-pilotes consultants auprès des diverses chaînes de TV. Et puis, l’affaire était passée par pertes et profits.
De Piquet à Mosley?
Pourtant, la rumeur avait la vie dure. A Monaco, en mai dernier, un chef d’équipe qui n’a pas l’habitude de parler pour rien révéla même plusieurs détails troublants, issus des relevés télémétriques transmis par la R28 de Piquet aux ingénieurs qui la suivaient depuis les stands Renault. C’est la dynamique de l’accident, le régime-moteur, et d’autres données comme l’angle de braquage des roues qui attirèrent l’attention. Avec cette conclusion: soit Piquet était particulièrement maladroit, soit il l’avait fait exprès. «Même sortir de la piste, il ne sait pas le faire», rigolaient d’ailleurs les mauvaises langues.
L’affaire a rebondi dimanche soir au GP de Belgique à Spa. La FIA aurait bénéficié de «nouveaux éléments» l’ayant poussé à ouvrir une enquête, mais elle n’a pas voulu préciser lesquels. La nouvelle est partie de la TV Brésilienne O Globo, mais à Spa, il se disait que c’est Piquet Jr lui-même qui aurait révélé l’histoire, et qu’il se serait adressé directement au président de la FIA, le très contesté et futur démissionnaire Max Mosley.
Des preuves, s.v.p.
Des révélations à prendre avec des pincettes, car d’une part Piquet Jr s’est fait virer de Renault le mois dernier, et il a donc une dent contre Flavio Briatore, le patron. Une dent que partage d’autre part Mosley, car Briatore – qui est un des meneurs de la révolte des constructeurs – a joué un rôle déterminant dans les événements qui ont forcé l’actuel président de la FIA à s’annoncer partant en octobre prochain. Si Renault devait être convaincu de manipulation du GP de Singapour, l’équipe risquerait très gros, jusqu’à une possible radiation.
On n’en est pas encore là, car il faudra des preuves. On voit mal une équipe de F1 demander à un pilote de sortir volontairement de la piste. Et on voit encore plus mal un pilote assez fou – ou stupide – pour accepter un tel risque.

Perso cela m'étonne........

[webamanu]

Le "Spiderman français" Alain Robert a ajouté mardi un nouveau gratte-ciel à son palmarès en escaladant les tours Petronas, à Kuala Lumpur.

Alain Robert, âgé de 47 ans, a profité de la pénombre avant le levée du soleil pour déjouer le service de sécurité et gravir le bâtiment de 88 étages, haut de 452 mètres, en une heure et 45 minutes.


Comme après chacun de ses exploits, réalisés en solo et sans assurance, Alain Robert a été arrêté par la police.
Il avait déjà tenté à deux reprises, en vain, de gravir ce gratte-ciel, qui fut un temps le plus haut d'Asie.


Spécialisé dans l'escalade urbaine, Alain Robert compte plus de 80 bâtiments à son palmarès à travers le monde dont le gratte-ciel le plus grand du monde, le Taipeh 101 (508 mètres), dans la capitale taiwanaise.


Razak Ahmad, version française Clément Dossin
Reuters

[webamanu]

Envoyé par Norton

On voit mal une équipe de F1 demander à un pilote de sortir volontairement de la piste. Et on voit encore plus mal un pilote assez fou – ou stupide – pour accepter un tel risque.

Effectivement, au prix ou coute une F1 je j'imagine mal un team manager demander a un pilote d'aller la crashé volontairement ET en admettant que cela soit vrai, si le Piquet a été assez con pour le faire, c'est qu'il n'a rien dans la tête.

Ce journaliste brésilien a l'imagination très fertile est surement aussi romancier a c'est heures perdu. Il pensait peut-être rendre service a Piquet, mais d'après moi il le dessert ( <=encore une aberation de la langue française ) plus qu'autre chose.

Tiens ca me donne une idée, faire courir le bruit que Valentino Rossi et Dani Pedrosa ont étés approcher par Hirsch et que celui-ci leurs aurait donné une grosse sommes d'argent pour se crashé volontairement a Indy et laisser gagner Jorge Lorenzo.

Crédible non ?

[Stoner27]

Je n'ai pas dit que j'y croyais, je trouve cela assez abérrant d'ailleurs, mais que cela ne m'etonnerait pas si cela s'averait etre la verite.
La F1 a deja connu pas mal d'histoire tordue d'espionnage et j'en passe.
Cela fait deja longtemps que le sport a quitte ce monde de la F1.

De toute facon, il y a enquete, on verra bien ce qui en decoule.

[Norton]

Mardi 1er septembre 2009 - 10:51
Bernie ne croit pas que Renault a triché

F1 « Il n’y a pas de véritable preuve »
Bernie Ecclestone ne pense pas que l’équipe Renault a demandé à Nelson Piquet d’avoir un accident à Singapour l’an dernier. La FIA enquête sur les évènements qui se sont produits durant cette course.
Le succès de Fernando Alonso au Grand Prix de Singapour 2008 a été grandement facilité par une sortie de piste de son équipier, Nelson Piquet, ce qui avait entraîné la sortie de la voiture de sécurité et chamboulé les stratégies.
Depuis, certains soupçonnaient Renault d’avoir demandé au Brésilien de provoquer cet accident. Dimanche, la FIA a confirmé avoir lancé une enquête, après avoir visiblement reçu de nouveaux éléments.
La fédération va analyser toutes les données possibles, les relevés télémétriques et les communications radio notamment. Au GP d’Australie de cette année, l’exclusion de Lewis Hamilton a été décidée après l’écoute des communications entre le pilote et son équipe.
Renault se refuse a tout commentaire sur cette affaire pour le moment. Mais Bernie Ecclestone doute que l’équipe française ait pu manigancer une telle tricherie. « Je ne peux pas dire grand chose, pour être honnête » a confié le grand argentier de la F1 au Times.
« Tout ce que je sais est que Flavio insiste en disant qu’il ne sait rien sur ça. Je pense que la FIA va tout analyser. Ils veulent connaître la vérité. Je suppose qu’ils seraient choqués s’ils découvraient que ce qu’on dit est vrai. »
« La seule chose que l’on peut dire sur cette affaire est qu’il n’y a pas de véritable preuve. »
La FIA n’a pas révélé quels sont les éléments qui motivent cette enquête. Selon plusieurs médias, tout serait parti de propos tenus par Nelson Piquet père à TV Globo, la chaîne de télévision qui retransmet les Grands Prix au Brésil. Depuis quelques semaines, Nelson Piquet Jr est parti en guerre contre son ancienne équipe, qui l’a limogé durant l’été.
« Si c’est juste le jeune Piquet qui dit ça parce qu’il a envie de le dire, c’est une chose » précise Ecclestone. « Si, au contraire, il y a une réalité derrière ça, alors ça change tout. Ce sera difficile à prouver. S’il y a quelque chose comme un message par radio “Euh, Nelson, pourrais tu sortir de la piste maintenant ?”, alors que peuvent-ils [Renault] faire ? Tout dépendra de l’enquête. »
Bernie craint que cette affaire provoque le départ de Renault : « Ce n’est pas le genre de choses dont nous avons besoin en ce moment » reconnaît-il après les départs de Honda et BMW. « Il y a le danger qu’ils s’en aillent. J’espère que ça ne sera pas le cas, mais ça peut arriver. »

Calme les copains.................Histoire à suivre

[Norton]

Mats Wilander: «Nadal fait moins peur»


Image © Keystone
Rafael Nadal (ici à l'entraînement à New York) a disputé deux tournois depuis sa blessure. Bilan: quart à Montréal et demi-finale à Cincinnati.
L'Espagnol rencontre aujourd'hui Richard Gasquet. Peut-il jouer les premiers rôles? Les spécialistes ont des avis divergents
Fabiano Citroni - le 01 septembre 2009,
Le Matin


Rafael Nadal peut-il retrouver son meilleur niveau, encore remporter des titres du Grand Chelem voire figurer à nouveau au premier rang du classement mondial? Depuis son élimination en huitième de finale à Roland-Garros, le 31 mai, et l'absence prolongée qui a suivi - victime de tendinite aux genoux, il n'a repris la compétition que le 12 août -, l'Espagnol suscite de multiples interrogations. «Nadal fait moins peur», osait affirmer Mats Wilander lundi dans L'Equipe.
Et le Suédois, reconnu comme un fin analyste dans le milieu, de préciser: «Je pensais que Nadal gagnerait peut-être plus de titres du Grand Chelem que Federer. Or je n'en suis plus sûr. Même si je réalise que ses blessures ont pesé sur ses résultats récents, je ne crois pas que son jeu va lui permettre de dominer autant que je le pensais initialement. (...) Il faudrait qu'il se décide à agresser l'adversaire dès le premier coup de raquette. Mais il n'est pas facile de changer d'état d'esprit. Moi, je n'ai jamais été capable de le faire.»
Forcer sa nature
Pour Jean-Paul Loth, ancien capitaine de l'équipe de France de Coupe Davis, Nadal pourra encore jouer les premiers rôles si sa blessure n'est que passagère. Mais si elle est chronique, il souffrira. «S'il n'est pas à 100% physiquement, Nadal pratiquera son jeu naturel axé sur la défense et la contre-attaque. C'est ainsi qu'il a gagné Roland-Garros. Mais pour l'emporter à Melbourne et à Wimbledon, il a dû forcer sa nature et attaquer. Il a misé sur sa vitesse de déplacement pour couper la trajectoire de la balle voire monter à la volée.»
Interrogé sur le sujet, le quadruple vainqueur de Roland-Garros se montre catégorique: «Je n'ai plus de problème. Je ne ressens aucune douleur aux genoux. Mais, après un break de près de deux mois, il va de soi que j'aurai besoin de temps pour pratiquer mon meilleur tennis.»
Malgré ces paroles rassurantes, Claudio Mezzadri reste sceptique. «Un joueur de seulement 23 ans qui a de tels problèmes aux genoux, c'est préoccupant. Le signal d'alarme est tiré.» L'ancien joueur croit connaître le remède: «Nadal doit arrêter de jouer autant de tournois. Car il a besoin d'être à 120% pour gagner. Quand il l'emporte, il n'a jamais autant de marge qu'un Federer. S'il lui manque quelque chose, il perd. Nadal doit donc pouvoir utiliser son physique au maximum.»
«Un type intelligent»
Rafa va-t-il alléger son programme et s'économiser? L'Espagnol a souvent dit qu'aligner les tournois n'était pas un problème. Mais il n'a plus abordé le sujet depuis sa blessure. «Nadal est un type intelligent. Et il progresse d'année en année, estime Marc Rosset. S'il rencontre quelques pépins physiques, il s'aménagera des plages de repos à l'image d'un Federer. Et en continuant de progresser, il s'économisera encore plus sur le court.»
Alerte sérieuse
Jakob Hlasek va encore plus loin que son ancien coéquipier de Coupe Davis. «Même si sa blessure est chronique, Nadal peut composer avec. Il n'a pas perdu sa tête et sa capacité d'adaptation tactique d'un jour à l'autre», martèle le Zurichois. Hlasek est donc persuadé que Nadal peut encore remporter des tournois du Grand Chelem, mais peut-être pas l'US Open, dont la surface ne lui convient guère.
Alors, Nadal redeviendra-t-il Nadal? Patrice Dominguez, actuel directeur technique de la Fédération française, apporte une réponse nuancée. «Beaucoup d'Espagnols (Bruguera, Corretja, Berasategui, Ferrero) ont énormément puisé dans leurs réserves physiques dans leurs jeunes années et se sont brûlé les ailes. Nadal a connu une alerte sérieuse. Reste qu'il a bien fait de couper pour se soigner. Il se donne ainsi une chance de se régénérer et de retrouver son meilleur niveau.»

[Norton]

tour d'espagne

En or sur sol espagnol


Image © Keystone
Fabian Cancellara à l'heure de signer des autographes pour les petites Hollandaises, avant de rejoindre les routes d'Espagne.

La Vuelta quitte la Hollande pour rejoindre la péninsule Ibérique. Après une étape marquée par une chute collective, Cancellara y fera son entrée dans le tricot de leader.
le 01 septembre 2009,
Le Matin


Fabian Cancellara portera le maillot amarillo jeudi pour l'arrivée de la Vuelta en Espagne, lors de la 5e étape entre Tarragone et Vinaros. Aucun sprinter n'est parvenu à détrôner le Bernois au terme de la 4e étape, remportée par André Greipel à Liège.
La formation Columbia a eu la tâche facile dans ce sprint. Trois de ses coureurs faisaient en effet partie des sept qui ont échappé à la chute collective survenue dans les derniers kilomètres. Fabian Cancellara a été retardé mais est classé dans le même temps que le vainqueur, la chute étant survenue à moins de 3 km de l'arrivée.
Le parcours plus accidenté de cette 4e étape, disputée sous la pluie et qui empruntait des routes de l'Amstel Gold Race et de Liège-Bastogne-Liège, n'a pas permis aux baroudeurs de prendre le dessus sur les équipes de sprinters. Les coureurs vont désormais rejoindre en avion l'Espagne et Tarragone.