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Qualification Mondial 2010

La Suisse est toujours en tête!


Image © Sébastien Féval
A la 80e minute, Derdiyok, pour son premier ballon.
Alors que la Suisse avait sans doute mieux à faire, ses joueurs ont dû se contenter d'un partage des points qui fait cependant leur affaire. La très bonne nouvelle est venue de Moldavie, avec le nul de la Grèce.
Nicolas Jacquier - le 09 septembre 2009,
Le Matin


Lettonie - Suisse 2-2 (0-1)
23h25 hier soir dans la nuit de Rega. Les visiteurs quittent la pelouse et rejoignent leurs vestiaires sur un sentiment partagé. L'opération Riga ne s'est pas déroulée comme ils l'avaient espéré.
Un seul point au lieu des trois cherchés, ce n'est sans doute pas le résultat idéal qu'elle escomptait. Et pourtant, à y regarder de près, ce demi-échec peut être considéré ce matin comme une «victoire» après les deux points également abandonnés par la Grèce, accrochée de manière surprenante sur la pelouse de Chisinau.
La Suisse serait d'ailleurs bien inspirée d'envoyer des fleurs au camarade Androvic, auteur du but moldave à l'entame des arrêts de jeu. Après ce statu quo général en tête du groupe, le leader helvétique sait ce qu'il lui reste à faire, une victoire au Luxembourg étant synonyme de qualification virtuelle. Dans moins d'un mois, c'est une balle de match qui attend des Helvètes apparus terriblement empruntés hier soir.

Une suisse quelconque
Cette fin de partie incroyable, avec des égalisations tombées tant à Riga qu'à Chisinau dans les ultimes minutes, ne doit pas faire oublier les difficultés rencontrées par la troupe d'Ottmar Hitzfeld. Ni le fameux imperméable porte-bonheur du sélectionneur, pièce de collection déjà portée à Bâle, ni le soutien inconditionnel d'une très forte cohorte de supporters venus annexer le Skonto Stadium n'ont suffi pour égayer le très quelconque ordinaire suisse. A l'image d'un Barnetta qui n'est plus ce qu'il était. Aussi ce retour sur terre suscite-t-il bien des questions.
Dont celle de savoir comment la Suisse a pareillement pu lâcher le contrôle d'un match qu'elle semblait pouvoir gérer à sa guise à la pause. Au lieu de calmer le jeu et de contrôler son adversaire, le visiteur allait tout faire pour relancer son hôte! Ce qui fut fait en deux temps trois mouvements, avec la complicité d'une défense peu à son affaire, gardien compris. Alors que l'arrière-garde restait sur quatre blanchissages successifs, elle allait craquer deux fois en moins d'un quart d'heure.
D'entrée de jeu d'ailleurs, le visiteur, qui se présentait avec deux nouveaux latéraux, avait été emprunté dans l'élaboration du jeu et son expression collective. La faute à une circulation du ballon trop horizontale et à un milieu du terrain où Fernandes et Huggel donnaient déjà le sentiment de doublonner. Aussi n'est-ce peut-être pas un hasard si le but d'Alex Frei était tombé au terme de la première action jouée dans le dos de la défense.
Faute de réussir à gérer son acquis, la Suisse se mit alors à paniquer inexplicablement tout en ratant les rares occasions qu'elle se créait. 2-2 final. Comme à Bâle, le coaching de Hitzfeld a permis à son équipe de trouver le chemin de filets en sauvant les apparences.
Le 10 octobre, la Suisse aura l'occasion de prendre au Luxembourg une autre dimension. Mondiale cette fois-ci...
Hitzfeld: «un match très intense»
Ottmar Hitzfeld: «Nous avons assisté à un match très intense.
Les deux équipes se sont neutralisées. La possession du ballon était nôtre, mais les Lettons ont mené de très rapides contres. L'ouverture du score était chanceuse. En deuxième mi-temps, nous avons mis du temps à trouver le rythme. Après le 1-1, une énorme frappe sur laquelle Benaglio ne pouvait rien, nous avons pris des risques et avons été punis par le 2-1. Mais l'équipe a tout donné jusqu'au bout pour gagner, mais notre adversaire était plutôt coriace.»
Diego Benaglio: «Le 1-1 était un ballon difficile. Il est arrivé soudainement et de manière flottante. On peut toujours faire mieux et c'est sûr que je n'ai pas l'air très heureux sur cette action.»

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football

Israël cartonne au Luxembourg


Image © Keystone


Les Israéliens n'ont pas fait dans le détail.
le 09 septembre 2009, 23h20
Le Matin


Éliminatoires mondial 2010
Ramat gan
Israël - Luxembourg
7-0(4-0)
Israël, désormais écarté de la course à la première place, a maintenu ses chances de finir à la place de barragiste.
Dans son stade de Ramat Gan, la sélection israélienne a écrasé le Luxembourg 7-0, grâce notamment à un départ en fanfare puisqu'il y avait déjà 3-0 après 21 minutes de jeu. Auteur de trois des quatre premiers buts, Barda a été le bourreau de l'équipe du Grand-Duché.
LA RENCONTRE
Ramat Gan.
Arbitre: M. Svendsen (Dan).
Buts: 9e Barda 1-0. 15e Baruchyan 2-0. 21e Barda 3-0. 44e Barda 4-0. 58e Golan 5-0. 63e Ben Sahar 6-0. 84e Ben Sahar 7-0.
Israël: Aouate (46e Davidovitch); Ben Haim, Strool, Ziv; Kayal, Cohen; Benayoun, Golan (67e Itzhaki), Baruchyan; Ben Dayan, Barda (58e Ben Sahar).
Luxembourg: Oberweis; Kintziger, Hoffmann, Blaise, Mutsch; Jänisch (50e Collette), Payal (46e Pedro), Peters, Bettmer; Lombardelli (65e Leweck), Pupovac.

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football

Portugal: espoir


Image © Keystone


Vainqueurs en Hongrie, les Portugais peuvent à nouveau rêver.
le 09 septembre 2009,
Le Matin


Éliminatoires mondial 2010
Zone Europe

Le Portugal peut encore rêver à la Coupe du monde 2010. Victorieux 1-0 en Hongrie, Cristiano Ronaldo et ses coéquipiers reviennent à hauteur de leurs adversaires du soir, mais restent devancés par les Suédois (vainqueurs 1-0 à Malte) et les Danois (1-1 en Albanie).
Chanceuse suède
Le héros portugais de la soirée se nomme Pepe. Jaillissant sur un corner à la 9e minute, le défenseur du Real Madrid a inscrit un but qui pourrait valoir de l'or pour les hommes de Carlos Queiroz. Au classement de cet indécis groupe 1, le Portugal passe à 13 points, soit autant que la Hongrie qu'il rencontrera à nouveau le 10 octobre prochain. Devant, le Danemark compte 18 unités et la Suède 15.
Bien que toujours leaders, les deux équipes scandinaves, qui en découdront lors de la prochaine journée, ont fait pâle figure.
Le Danemark s'est contenté d'un modeste 1-1 en Albanie, alors qu'il avait ouvert la marque par Bendtner (déjà auteur du goal danois samedi contre le Portugal).
Quant à la Suède, qui jouait avec le «Bâlois» Behrang Safari, elle n'a dû son salut qu'à un autogoal maltais à neuf minutes du terme de la rencontre, inscrit malgré lui par Azzopardi à l'issue d'un cafouillage dans les 16 mètres.
Belgique: la défaite de trop
Le sélectionneur belge Franky Vercauteren a présenté sa démission mercredi après la défaite (2-1) des Diables Rouges en Arménie dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde. «Après une prestation pareille, ça n'a aucun sens de continuer», a-t-il déclaré, cité par le site Internet du journal Le Soir.

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Les Bleus révoltés limitent la casse


L'équipe de France, plongée en plein cauchemar avec l'exclusion de son gardien Lloris dès la 9-ème minute, a trouvé les ressources pour ramener mercredi de Serbie, grâce au 50-ème but d'Henry, un nul précieux (1-1) sur la route de la qualification au Mondial, qui passera sans doute par les barrages.

Les Français restent toujours deuxièmes du groupe avec 15 points, derrière la Serbie à 19 points. Une qualification directe des Bleus devient hypothétique: cela dépendrait d'un sans-faute français dans leurs deux derniers matches, combiné à des faux pas des Serbes.

Bonne nouvelle
Mais la bonne nouvelle pour les Français vient de l'arrière: la Lituanie est en effet tombée (2-1) aux Féroé et reste 4-ème à 10 points, tandis que la Roumanie, larguée, a neutralisé l'Autriche (1-1), 3-ème avec 11 points. La France a donc de grandes chances, sauf accident, d'assurer sa 2-ème place.

Lloris, qui s'était montré fébrile à deux reprises sur ses relances au pied, a touché Zigic, qui a bien joué le jeu dans la surface: Exclusion du gardien lyonnais dès la 9-ème minute et penalty à la clé pour les Serbes. Mandanda ne pouvait qu'encaisser ce penalty tiré par Milijas (1-0, 13-ème).

Honneur à Henry
Mais l'égalisation est venue assez rapidement mercredi pour une équipe en infériorité numérique. L'honneur en est revenu au capitaine Henry pour son 50-ème but (record en cours) en 113 sélections. Sur une longue ouverture d'Evra, une frappe d'Anelka trouva le gardien qui relâcha le ballon, pour le plus grand bonheur du joueur du Barça.

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Tyler Farrar s'impose devant Philippe Gilbert


7S7 mise à jour L'Américain de Gand Tyler Farrar (Garmin), 25 ans, a remporté mercredi la 11-ème étape du Tour d'Espagne cycliste (HIS), disputée sur 200 km entre Murcie et Caravaca de la Cruz, où il a battu au sprint notre compatriote Philippe Gilbert (Silence-Lotto) et l'Italien Marco Marcato (Vacansoleil).
Farrar a dégagé beaucoup de force et de facilité, semblant même relâcher son effort à la fin. "Je me suis battu toute la saison pour gagner une étape d'un grand Tour", a déclaré l'Américain, qui a confortablement devancé Gilbert.

Freire se désole
Ancien roi du sprint, l'Espagnol Oscar Freire, triple champion du monde sur route, se désole. Mercredi, il a encore essayé mais a vite compris qu'il ne tiendrait pas la cadence imposée dans les dernières dizaines de mètres. "J'ai eu un coup de chaud après un effort aussi grand. Je n'arrive toujours pas à trouver mes marques au sprint", reconnaissait-il avant d'ajouter: "On ne peut pas toujours gagner".
Freire est aussi revenu sur ses propos publiés mercredi dans le journal El Mundo, expliquant qu'il prendrait sa retraite à la fin de la saison prochaine, soit en 2010. "Il est probable que j'arrête", a dit Freire, qui n'aurait pas apprécié l'attitude de son équipe Rabobank, laquelle ne souhaiterait pas le laisser partir pour qu'il puisse préparer les Mondiaux en Suisse (23-27 septembre).
Pas de changement au classement général, Valverde n'ayant eu aucun mal à conserver le maillot or de leader, qu'il avait arraché à Cadel Evans (Silence-Lotto) grâce aux bonifications à l'issue de la 9-ème étape, lundi à Xorret de Cati. Il a toujours 7 secondes d'avance sur l'Australien. Le Néerlandais Robert Gesink (Rabobank) est 3-ème à 32 secondes, l'Américain Tom Danielson (Garmin) 4-ème à 51 secondes, et l'Italien Ivan Basso (Liquigas) 5-ème à 53 secondes.
Sans les frères Schleck
La nouvelle du jour a cependant été connue avant même le départ à Murcie. Elle concerne le Luxembourgeois Fränk Schleck (Saxo Bank), souffrant du genou, qui ne s'est en effet pas présenté, et doit renoncer au Mondial de Mendrisio fin septembre. Il sera opéré cette semaine.
Son frère cadet Andy, dauphin d'Alberto Contador au Tour, avait abandonné lors de la 8-ème étape, disputée sur 204,7 km entre Alzira et le col d'Aitana, certainement pour mieux préparer le rendez-vous en Suisse. Ce forfait avait fortement déplu aux organisateurs de la Vuelta.
Les frères Schleck, étincelants sur la Grande Boucle, ne jouaient toutefois pas les premiers rôles sur les routes espagnoles.
Jeudi, les coureurs se reposent. Deuxième et dernière journée de repos avant l'arrivée à Madrid le 20 septembre. Ca tombe bien, le leader, Valverde, a "envie de se reposer". L'Espagnol fait un "bon bilan" de cette première moitié de Vuelta mais prévient qu'il faut "rester sur ses gardes.

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Football

L'Espagne est favorite de la Coupe du monde 2010


Image © KEYSTONE
Les Espagnols on fêté hier leur succès sur l'Estonie.

Championne d'Europe en titre, l'Espagne a conforté son statut de co-favori pour la prochaine Coupe du monde en survolant son groupe de qualifications.
le 10 septembre 2009,
LeMatin.ch & les agences


"Huit victoires en huit matches. Peu de sélections peuvent en dire autant", a commenté Cesc Fabregas après le succès sur l'Estonie, synonyme de ticket pour l'Afrique du Sud.
Décomplexés: Habituée à briller en clubs sur la scène européenne avec le Real Madrid et le FC Barcelone, l'Espagne a rompu le maléfice de sa sélection en remportant brillamment l'Euro 2008. Cette première victoire dans un grand tournoi international a servi de déclic, comme ce fut le cas pour le France avec sa victoire à la Coupe du monde 1998, couronnée par celle de l'Euro 2000. Alors pourquoi pas le doublé inversé pour "La Roja", qualifiée pour la 9e fois d'affilée pour un Mondial, mais qui n'y a jamais dépassé le cap des quarts de finale.
Génération enchantée: La Roja s'appuie sur une myriade d'individualités de talent au service d'un collectif rapide et technique porté sur l'attaque. C'est une machine à garder le ballon, étourdir l'adversaire en le faisant tourner très vite façon handball... avant de porter l'estocade. L'équipe repose d'abord sur un milieu de terrain exceptionnel mené par les deux complices du Barça, le métronome Xavi et le lutin Iniesta, épaulés par Cesc Fabregas, Xabi Alonso, Marcos Senna ou Sergi Busquets. Qui dit mieux ? Sans oublier David Silva, qui trouve les yeux fermés son comparse de Valence, le buteur David Villa, et le Kid de Liverpool Fernando Torres... Derrière, les buts sont solidement gardés par Iker Casillas, la classe mondiale, le capitaine Carles Puyol, l'increvable Sergio Ramos et le nouveau mur catalan Gerard Piqué.
L'héritage Aragones: En un an à la tête de la sélection, Vicente del Bosque a pris en douceur le relais du bougon Luis Aragones, architecte de ce groupe forgé dans la douleur sur le pari d'une très jeune génération et l'éjection de l'intouchable capitaine de l'époque, sa majesté Raul. "Je n'ai pas eu la tentation de faire le malin", a expliqué del Bosque, ex-entraîneur du Real Madrid "Galactiques I" de Zidane et Ronaldo. Il a fait débuter 10 joueurs sans modifier la formule chimique du groupe. Pas d'interrogations métaphysiques, un vestiaire soudé, de la continuité. Seul accroc: l'élimination surprise en demi-finales de la Coupes des confédérations en juin face aux Etats-Unis (0-2), qui avaient pris à la gorge le milieu créateur espagnol. Une piste pour les adversaires de l'Espagne ?
Saison marathon: la plupart des titulaires évoluent dans l'élite de l'élite européenne, avec la Ligue des champions en ligne de mire. Certains arriveront en Afrique du Sud avec 70 à 80 matches dans les jambes. Huit évoluent au Barça (Iniesta, Xavi, Puyol, Busquets) ou au Real (Casillas, Xabi Alonso, Ramos, Albiol). Sans oublier Torres (Liverpool) ou Fabregas (Arsenal). Débarqueront-ils frais dans l'hiver sud-africain ?

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athlétisme

Corée du Sud: Usain Bolt renonce


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Le triple champion du monde et triple champion olympique a déclaré forfait pour la réunion de Daegu, prévue le 25 septembre.
le 10 septembre 2009,
LeMatin.ch & les agences


Le Jamaïcain, qui évoque la fatigue, pourrait également renoncer au meeting de Shanghai le 20 septembre. Il terminerait alors sa saison par un 200 m lors de la Finale mondiale, ce week-end à Salonique (Gr).

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"Le chaos, un scandale pour le football belge"


Les Diables ont touché le fond.
Les Diables ont touché le fond en Arménie. Inutile de préciser que la presse (francophone et flamande) s'en est donnée à coeur joie ce matin. Petite revue de presse.

Logiquement, les critiques ont fusé dans la presse pour les Diables.


Het Laatste Nieuws, le journal le plus lu dans le pays donne le ton. "Merci, c'était chouette, à la prochaine ! Franky Vercauteren aurait pu prendre cette décision il y a un mois déjà. Aujourd'hui, il n'y a plus d'équipe sur le terrain, plus d'organisation. Quelqu'un doit doit mettre de l'ordre dans ce chaos."

"Les Diables ont tout perdu"
Du côté de la presse francophone, on n'y va pas par quatre chemin non plus. "Le malaise est total: la Belgique a perdu contre une équipe qui se classe à la 125e place. Avec 7 sur 24, les Diables ont tout perdu. C'est la dernière blague belge du moment", juge Sudpresse.

"Manque de fierté"
Pour la DH, "il s'agit d'un énorme scandale pour le football belge. A Erevan, les Diables ont manqué de fierté pour l'équipe nationale. Le pire, c'est qu'on ne peut même pas exiger la "tête" du sélectionneur. Il démissionne avant."

"La bonne décision"
Seul Het Nieuwsblad tempère et prend la défense de Franky Vercauteren. "Il a pris la bonne décision. Il n'a commis qu'une seule faute: avoir accepté ce job après avoir appris que Dick Advocaat serait le futur sélectionneur à partir du 1er janvier 2010." (chds)

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Eliminatoires du Mondial 2010
Emile Mpenza privé de match à cause de ses chaussures

L'attaquant belge du FC Sion n'a pas disputé la rencontre en Arménie mercredi soir. La raison? Il n'avait pris avec lui qu'une seule paire de chaussures, ce qui n'a pas plu au sélectionneur...


Vercauteren tente d'expliquer son point de vue à Mpenza. (Photo: Keystone)


L'entretien ressemble plus à un monologue... (Photo: Keystone)


Quatre jours après leur lourde défaite en Espagne (5-0), les Diables rouges ont connu une nouvelle humiliation, mercredi soir en Arménie (défaite 2-1). Une rencontre à laquelle n'a pas pris part la nouvelle recrue du FC Sion, Emile Mpenza (31 ans). L'entraîneur de la sélection belge(ndlr: qui a démissionné après le match) Frank Vercauteren l'a renvoyé dans les gradins à Erevan, rapporte le site 7sur7.be. Les deux hommes ont eu une longue discussion avant la rencontre, qui ressemblait toutefois plus à un monologue de Vercauteren. L'attaquant sédunois, poursuit le site, ne semblait pas vraiment d'accord avec les propos tenus par le sélectionneur.
La raison de son renvoi dans les gradins? Mpenza n'avait emporté dans ses valises qu'une seule paire de chaussures, en plus usagée... Vercauteren l'a donc sanctionné pour son manque de professionnalisme. Le joueur avait bien tenté d'acheter une nouvelle paire dans la capitale arménienne, mais rien n'y fit... Gageons qu'à l'avenir Mpenza accordera une plus grande importance à ce genre de «détails».

Si c'est vrai....C'est à pleurer

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US OPEN

Impressionnant, Del Potro se qualifie pour les demi-finales


Image © Keystone
L'Argentin Del Potro a imposé sa puissance

Del Potro s'est logiquement qualifié pour les demi-finales de l'US Open. L'Argentin a imposé sa puissance au Croate Cilic. Le match Nadal-Gonzales stoppé par la pluie.
le 11 septembre 2009, 06h33
LeMatin.ch & les agences


Victorieux 4-6 6-3 6-2 6-1 après avoir pourtant été mené 6-4 3-1, Del Potro affrontera samedi le vainqueur de la rencontre entre Rafael Nadal (no 3) et Fernando Gonzalez (no 11). Il avait déjà disputé une demi-finale cette année dans un tournoi du Grand Chelem, à Paris où Roger Federer l'avait battu en cinq manches.
"Bourreau" d'Andy Murray mardi, Marin Cilic a tenu une bonne heure avant de craquer. Avec le gain du premier set et un break à l'entame du deuxième dans sa poche, le protégé de Bob Brett avait, pensait-il, pris une sérieuse option sur la victoire. Mais son mental encore fragile et la froide détermination de son adversaire expliquent pourquoi le match a basculé de la sorte. Cilic a tout simplement perdu dix-sept des vingt derniers jeux de la partie!
Nadal stoppé par la pluie
Le quart de finale entre Rafael Nadal (no 3) et Fernando Gonzalez (no 11) a été interrompu par la pluie alors que les deux joueurs disputaient le tie-break du deuxième set. Le match reprendra vendredi si le temps, annoncé maussade, le permet.
Nadal est en ballottage favorable. Le Majoquin a remporté la premième manche 7-4 au jeu décisif et menait 3-2 dans celui de la deuxième. Mais c'est Gonzalez qui doit servir à la reprise.
Le Chilien a galvaudé deux balles de premier set à 5-4 sur le service de Nadal. Gêné par une douleur aux abdominaux, Nadal a été soigné pendant de longues minutes après le premier set. Il n'a pas pu donner sa pleine mesure au service. Il est visiblement diminué comme l'a confirmé d'ailleurs son oncle et coach Toni.