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Platini, de l'Euro 84 à l'UEFA

26/01/2007 - 15:27 Par DAVID CHARPENET
De Sports.fr Michel Platini a été élu au premier tour du scrutin à la tête de l'UEFA, en devançant 27 voix à 23, vendredi, le Suédois Lennart Johansson. Un triomphe pour l'ancien capitaine des Bleus qui accède, à 51 ans, à l'un des postes les plus convoités de la planète football. L'échec de Paris 2012, qui a marqué toute une génération de dirigeants du sport français, est presque oublié après cette élection qui ouvre de nouvelles perspectives d'influence française dans le monde sportif. Offertes qui plus est par l'un de ses plus brillants représentants.

Michel Platini, l'itinéraire d'un homme gâté par le football.
Michel Platini a fait rêver plusieurs générations de supporteurs de l'équipe de France, il se propose maintenant d'offrir un nouveau visage au football européen. Né à Joeuf, en Meurthe-et-Moselle, il brillera tout d'abord comme joueur sous le maillot de Nancy puis de Saint-Etienne, avant de tenter l'aventure italienne à la Juventus de Turin après la Coupe du Monde 82. Meneur de jeu génial des Bleus dans les années 80, il a échoué deux fois en demi-finale de la Coupe du Monde, en 1982 et en 1986. Mais Platini a tout de même offert son premier trophée à l'équipe de France en remportant le Championnat d'Europe en 1984.

Le capitaine des Bleus profite de cette occasion pour obtenir les titres de meilleur buteur et de meilleur joueur de la compétition. Car Platini savait se muer en buteur sur le terrain pour sauver la patrie. Avec 41 buts au compteur, il reste d'ailleurs le meilleur buteur de l'histoire de l'équipe de France. Cette volonté d'aller de l'avant et cette persévérance lui seront des plus utiles dans sa carrière de dirigeant pour bousculer l'ordre établi. Triple Ballon d'Or entre 1983 et 1985, il met fin à sa vie de footballeur à la Juventus, avec laquelle il a tout gagné, en juin 1987 sur la pointe des pieds, un an après une seconde défaite en demi-finale de la Coupe du Monde au Mexique.

Un dirigeant précoce

De retour sur le devant de la scène en 1988, il accepte de prendre les commandes du bateau bleu laissé à la dérive par Henri Michel lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 1990. Platini ne parvient pas à qualifier les siens, mais il reste néanmoins sélectionneur et réussit un Grand chelem lors des qualifications de l'Euro 1992 avec 8 victoires en autant de rencontres. Le décevant Euro suédois marque la fin de l'aventure de Platini en tant que sélectionneur et le début d'une brillante carrière de dirigeant. Co-organisateur de la Coupe du Monde en France en 1998 aux côtés de Fernand Sastre, la victoire des partenaires de Zidane et Deschamps est aussi la sienne.

Porté par cet élan, le jeune quadragénaire se voit offrir un poste de conseiller spécial par Sepp Blatter, fraîchement élu à la tête de la Fifa, deux jours avant le début du Mondial. Cette complicité va donner un coup d'accélérateur à la carrière de dirigeant de Michel Platini. Vice-président de la Fédération Française de Football en 2001, il jette son dévolu vers l'institution qui gère les affaires du football européen, l'UEFA. Membre du comité exécutif depuis 2002, il lui a fallu moins de cinq ans pour prendre les commandes et renverser Lennart Johansson qui briguait un cinquième mandat.

Michel Platini a proposé un programme tourné vers le jeu et l'équité qui a habilement su séduire les plus petites fédérations tout en rassurant quelques poids lourds, lassés des seize ans de règne du Suédois. Il lui reste à mettre en application ses idées et à tenir ses promesses pour ne pas subir les foudres de ceux qui le trouvent trop jeune à 51 ans pour avoir la main mise sur les toutes puissantes instances européennes du football

[Norton]

Football: la vente de l'OM entérinée par son comité d'entreprise
ven. janv. 26, 2007




MARSEILLE (Reuters) - Le comité d'entreprise de l'Olympique de Marseille a approuvé "à l'unanimité" le plan de reprise du club marseillais par l'homme d'affaires canadien Jack Kachkar.
"Les réponses apportées ont satisfait le CE dans son ensemble, qui a choisi de donner une opinion favorable à l'unanimité au projet de reprise et de développement de l'OM", a-t-il précisé dans un communiqué vendredi.
La vente du club par Robert Louis-Dreyfus à Kachkar, pour une somme estimée à 115 millions d'euros, s'accompagne d'un plan d'investissement sur cinq ans destiné assurer la "pérennité" de l'OM, qui compte environ 150 salariés.
Elle devrait être effective avant la fin du mois de février.
Le nouvel homme fort du club phocéen devait également rencontrer les représentants des huit clubs de supporters

[Norton]

Tottenham qualifié d'office

Le club anglais du Tottenham Hotspur FC est dispensé de 16es de finale de la Coupe UEFA, suite à l'exclusion de son adversaire, Feyenoord.
Qualification automatique
Le club de Premiership anglaise a appris jeudi de l'UEFA qu'il bénéficiait d'une qualification automatique pour les huitièmes de finale, où il affrontera le vainqueur le SC Braga ou le Parma FC. La décision de l'UEFA suit le paragraphe 32.01 du règlement du tournoi.
Débordements des supporteurs
Le 19 janvier, l'Instance d'appel de l'UEFA a décidé d'exclure Feyenoord de la Coupe UEFA, suite à des débordements provoqués par les supporteurs du club néerlandais lors du match de phase de groupes contre l'AS Nancy-Lorraine, en France, le 30 novembre. Feyenoord peut faire appel devant le Tribunal arbitral du Sport.

[Norton]

Les Lyonnais ouvrent la page Bourse
Par Nicolas CORI
QUOTIDIEN : samedi 27 janvier 2007

En plus du magazine Allez Lyon, les fidèles supporteurs de l'Olympique lyonnais vont-ils devoir s'acheter un guide de la finance et de la Bourse ? Ils en auront en tout cas bien besoin pour comprendre les 46 pages de la notice d'introduction, ainsi que les 288 pages du document de base, qui comportent des termes comme offre de placement globale, option de surallocation, retraitement d'éléments non récurrents, etc. La culture footballistique s'efface derrière le jargon financier : l'OL a lancé vendredi son processus d'introduction en Bourse. Dès lundi, les particuliers pourront réserver auprès de leur banquier ou courtier des actions du premier club de sport français à aller sur les marchés financiers. L'objectif est de lever au moins 100 millions d'euros. Et la première cotation sur Euronext aura lieu le 8 février.

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• Les joueurs, des actifs à gérer

D'ici là, Jean-Michel Aulas va faire son apprentissage des marchés financiers. Au programme pour le PDG du quintuple champion de Ligue 1, road show dans les capitales européennes pour vendre l'OL aux analystes et aux gestionnaires de fonds. Avec un discours rodé. Devant les journalistes, vendredi, Aulas a parfaitement vendu sa boutique. Il a même, pour l'occasion, inventé un nouveau concept : le «sportainment». L'OL Groupe n'est pas un vulgaire club de foot, c'est une «véritable entreprise», un «acteur majeur des médias et du divertissement sportif». Son modèle ? Une «médiatisation croissante», liée à la hausse de la «notoriété du club et des joueurs», entraînant un «développement de la marque OL», qui, déclinée à l'infini, génère ensuite des revenus. Un film présenté en introduction de la conférence de presse présentait la longue liste des activités OL : OL Image, qui tourne des images sur l'OL, les revend aux télévisions ou produit des DVD, OL TV, qui informe sur l'OL 24 h/24, OL Merchandising, qui a vendu 200 000 maillots de l'OL en 2006, OL Organisation, qui gère des événements sportifs au stade Gerland. Mais aussi OL Voyages, OL Restauration, OL Brasserie et même OL Coiffure... Et, dans le futur, Aulas rêve d'OL Land : le futur stade de 60 000 places qui devrait être construit à Décines et comprendra en son sein une zone commerciale de 20 000 m2. Un stade dont le nom sera vendu à la marque la plus offrante, comme l'Allianz Arena du Bayern de Munich ou l'Emirates Stadium d'Arsenal.
Et la glorieuse incertitude du sport n'a pas à rentrer en ligne de compte. «L'OL a développé un modèle économique avant de développer un modèle sportif», rappelle Aulas, qui a les chiffres pour lui : 166 millions d'euros de chiffre d'affaires sur l'exercice 2005-2006 pour l'OL Groupe, en croissance de 30 %, et un bénéfice net de 16 millions d'euros. Pourquoi recourir à la Bourse, alors ? «Pour financer une partie d'OL Land», répond Aulas, «développer la marque à l'international», poursuivre les «activités de diversification». Et enfin «se construire un palmarès européen». Quant à faire vibrer les foules, vu que cela ne se mesure pas en euros, on en reparlera un autre jour.

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Direction générale et Comité exécutif La Grèce a été sacrée championne d'Europe en 2004 (©AFP)
Vers un EURO à 24 ?

Vendredi, 26 janvier 2007 par Simon HartDe Düsseldorf

L'UEFA va étudier la possibilité d'une phase finale de Championnat d'Europe de l'UEFA à 24 équipes. Les associations membres de l'instance dirigeante européenne ont retenu une proposition d'étude de faisabilité immédiate en ce sens. Le vote a eu lieu vendredi, lors du XXXIe Congrès ordinaire de l'UEFA, à Düsseldorf, en Allemagne.
Objectif 2012
La phase finale du Championnat d'Europe de l'UEFA est passée de 8 à 16 équipes avant l'EURO '96™ en Angleterre. Le Comité exécutif de l'UEFA, qui sera chargé de l'étude de faisabilité, examinera si un nouveau format à 24 équipes peut être introduit pour l'UEFA EURO 2012™.
Plus grande envergure
L'Association écossaise de football a émis sa proposition avec le soutien de l'Association de football de la République d'Irlande, de l'Association de football de Lettonie et de l'Association suédoise de football. Argument avancé : avec un plus grand nombre de nations participantes, les tours de qualification de l'EURO auraient une plus grande envergure. De plus, un tournoi final à 24 équipes serait plus attractif pour les sponsors et les chaînes de télévision, et permettrait de redistribuer les gains entre un plus grand nombre de pays.
Admission du Monténégro
L'Association de football de Monténégro (MNE) est devenue membre de l'UEFA à part entière suite à un vote des associations membres. La demande d'adhésion de l'Association de football de Gibraltar (GFA) a été refusée. La MNE et la GFA étaient devenues membres provisoires sur décision du Comité exécutif de l'UEFA l'année dernière, en attendant le vote du Congrès.
Amendements des statuts
Le Congrès a également approuvé une série d'amendements aux statuts, dont notamment un renforcement des objectifs de l'UEFA ; une définition du fair-play ; des dispositions concernant les relations avec les parties intéressées au football européen ; et une définition plus globale des droits et des devoirs des associations membres. Le Congrès a en outre approuvé le rapport financier pour 2005-2006 et le budget pour 2007-2008, ainsi que le programme HatTrick pour 2008-2012, qui va mettre à disposition 450 M€ pour les associations

[Norton]

Divers : Gonzalo Higuain sera argentin !

L’attaquant franco argentin du Real Madrid Gonzalo Higuain a choisi son camp, il sera international argentin.
Il vient en effet d’entamer les démarches administratives afin obtenir la nationalité argentine. Né à Brest, Gonzalo Higuain avait donc le choix entre la sélection argentine et celle de la France. La nouvelle étoile madrilène avait récemment refusé une convocation en Equipe de France car il voulait prendre son temps pour réfléchir.
L’ancienne star de River Plate a donc fait son choix "C’est le choix de mon cœur. Tous mes amis, ma famille et mon football sont là-bas, je ne me voyais pas prendre une autre décision" a déclaré le joueur dans l’Equipe.
Toujours selon le quotidien sportif, Raymond Domenech pourrait tenter une dernière visite à Madrid afin de convaincre Higuain de jouer pour la France... Peine perdue ?
Le 7 février prochain, rappelons que Higuain pourrait être au Stade de France pour la rencontre amicale France-Argentine... mais sous quel maillot ?

[Norton]

Serena se joue de Sharapova


Serena Williams a remporté son 3e titre à l'Open d'Australie en écrasant la future n°1 mondiale, Maria Sharapova, en lui laissant que trois jeux en une heure de match. L'Américaine, 81e mondiale, remontera, elle, à la 14e place au classement WTA grâce à ce 8e succès en Grand Chelem.

OPEN D'AUSTRALIE - Finale dames
Serena Williams (USA) bat Maria Sharapova (RUS, 1) 6-1, 6-2
> Revivez le film du match !
Soufflée comme une brindille. Maria Sharapova a connu ce samedi 27 janvier son premier chagrin en finale d'un tournoi majeur de WTA à cause du passage de l'ouragan Serena. La soeur cadette des Williams a remporté son troisième titre à l'Open d'Australie, son huitième en Grand Chelem, en infligeant une soufflante à la Roger Federer : c'est-à-dire en faisant valser son adversaire par des coups gagnants sans que celui-ci ne puisse réagir.
Et l'impensable s'est bien produit : Maria Sharapova, future n°1 mondiale lundi prochain, n'a pas fait long feu en finale face à Serena Williams qui s'imposa en une heure de jeu, tout rond, lors de sa dizième finale du Grand Chelem. Elle qui n'était pas tête de série en raison d'une 81e place mondiale et qui sera 14e au classement WTA la semaine prochaine. Même les plus optimistes n'auraient osé le pronostiquer en début de compétition...
De la 81e et la 14e place mondiale
L'ancienne N.1 mondiale est ainsi la deuxième joueuse non-tête de série à s'imposer à Melbourne, après l'Australienne Chris O'Neil en 1978. Mais cette information est à relativiser, les meilleures joueuses du moment ne faisant pas le déplacement aux antipodes pour tenter leur chance. Une chance que Serena a voulu tenter en pleine connaissance de cause : si l'an passé elle est venue en sachant qu'elle ne pouvait faire le poids, l'Américaine avait prévenu que, cette année, elle ne faisait pas le voyage pour rien...
Avec une mentalité de fer, Serena est parvenue à refaire surface sur la planète tennis de la meilleure des manières après avoir chuté jusqu'à la 140e place mondiale, son plus mauvais classement depuis 1997. Blessures et drame familial ont précipité la championne américaine vers le fond du classement WTA. Mais, en bonne nageuse, il lui a fallu un peu de bonne volonté pour revenir à son meilleur niveau pour faire honneur à son statut de seule joueuse encore en activité à avoir remporté les quatre tournois du Grand Chelem.
Federer, ce modèle
Et Maria Sharapova n'a rien vu venir. Les défauts de la Russe au service tout au long de la quinzaine ont été son principal ennemi en finale : en panne de premières, ses secondes balles liftées n'ont eu aucun effet sur Serena qui gifflaient ses retours sans réfléchir davantage. Pour confirmer ses breaks d'avance, Williams se reposaient sur une mise en jeu pointant à 200km/h de moyenne. Que trop pour la Russe qui ne parvenait pas à répondre à l'échange.
Cette finale est donc allée à toute allure, sans laisser le temps à Sharapova de rétorquer. Après trois finales remportées à Wimbledon 2004, l'US Open et le Masters en 2006, Maria prend son premier "vent" en finale majeure WTA, à la Federer lorsqu'il a dicté une leçon de tennis à Roddick en demi-finale il y a deux jours. Avant ce match, la vainqueur 2007 annonçait que son modèle masculin était Roger Federer. On comprend mieux maintenant le scénario du match.



Eurosport - Sébastien PETIT - 27/01/2007 07:13





GameZone

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Boxe: le Mexicain Ulises Solis conserve son titre

Le Mexicain Ulises Solis a conservé son titre de champion des mi-mouche version IBF en battant l'Américain Will Grigsby par KO technique à l'issue de la 8e reprise, jeudi à Las Vegas. Solis, qui avait pris le titre en battant aux points Grisby en janvier 2006, a facilement dominé son adversaire, arrêté par le médecin et son clan à l'appel de la 9e reprise, après avoir été touché à l'oeil.

Au moment de l'arrêt, le pointage des trois juges était largement favorable à Solis, qui a frappé quatre fois plus de coups que son adversaire. Le boxeur de Guadalajara, qui effectuait sa 3e défense, a signé ainsi la 23e victoire de sa carrière (17 avant la limite) entachée d'une défaite et de deux nuls. Grigsby a concédé la quatrième défaite d'un palmarès riche de 18 victoires et d'un nul.

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Open d'Australie: les frères Bryan conservent leur titre
sam. janv. 27, 2007









MELBOURNE (Reuters) - Les frères Mike et Bob Bryan ont conservé leur titre samedi en remportant la finale du double messieurs des internationaux d'Australie 7-5 7-5 face à la paire Jonas Bjorkman et Max Mirnyi.
A 28 ans, les jumeaux américains, têtes de série n°1, ont décroché en 93 minutes leur cinquième tournoi du Grand Chelem, face au Suédois Bjorkman et au Biélorusse Mirnyi, têtes de série n°2.

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Open d'Australie: Jonathan Eysseric battu en finale juniors
sam. janv. 27, 2007









MELBOURNE (Reuters). Le Français Jonathan Eysseric, 16 ans, a échoué samedi à Melbourne en finale du tournoi juniors, en s'inclinant 6-2 4-6 6-1 face à l'Australien Brydan Klein.
Pour la première fois dans l'histoire des tournois du Grand Chelem, cette finale a eu pour cadre le central, en l'occurrence la Rod Laver Arena.
"Je suis déçu, a dit Jonathan Eysseric. J'ai eu du mal à trouver mes repères sur ce court immense. Mais il (Klein) a fait un gros match, bravo à lui".
"C'est une bonne initiative de programmer notre finale sur le central", a estimé le Français. "L'autre avantage, c'est que mon match a pu être diffusé à la télé en France. Ca a permis à ma mère d'être moins stressée que sur Internet !".
Eysseric a indiqué qu'il comptait disputer des tournois seniors, à commencer par le Future de Bressuire puis, peut-être, les qualifications de l'Open 13 à Marseille.
"Je vais retrouver les Juniors à Roland-Garros. Si je joue bien, j'espère décrocher la place de numéro un à la fin de l'année", a-t-il déclaré.
Malgré cette défaite, Jonathan Eysseric, qui réside à Grasse et s'entraîne à Sophia Antipolis au sein du Team Lagardère, conserve sa place de numéro un mondial.
Cinq joueurs français avaient auparavant inscrit leur nom au palmarès : Georges Goven (1965), Julien Jeanpierre (1998), Clément Morel (2002), Gaël Monfils (2004) et Alexandre Sidorenko (2006).