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[danlos]

Envoyé par Pasky

Salut Norton


Je cherchais juste si il y avait une raison à ce que Loeb soit tout de suite dans le coup lorsqu'il a effectué deux jours de roulage en F1, et que là, visiblement, il soit à la peine....
D'où mon intérigation la F1 hyper assistée électroniquement serait elle plus accessible qu'une GP2 ?

C'est assez simple:
tout d'abord il a fait sa journée d'essais le mercredi alors que les autres pilotes avaient déjà fait 2 jours d'essais le lundi et mardi.
Après il était dans l'équipe DPR, qui est une des moins bonnes équipe du championnat GP2, c'est un peu comme si en 250cc, un pilote faisait des essais sur la Honda CIP et finissait loin des premiers. Il a finit à 0.800 de son coéquipier du jour (qui n'est pas un cador il faut l'avouer), mais a surtout perdu une demi journée vu que le matin il pleuvait et qu'il n'avait jamais conduit sous la pluie. Après une GP2 n'est pas facile à régler alors qu'en F1 il y a l'électronique et la télémétrie bien plus présente (par exemple on peut dire "dans tel virage tu peux freiner 10 mètres plus loin, et réaccélérer plus tot" alors qu'en GP2, il y a moins d'aide.
Après il y a aussi le fait que l'an dernier quand il a fait ses essais avec Red Bull, la moitié des pilotes n'en avait rien à faire et faisait juste des test pour le moteur donc ne visait pas les chronos. La saison était terminé mais ils roulaient avec les voitures de 2008. Les seuls qui roulaient à fond étaient les autres invités qui recherchait un volant pour 2009.
Les perfs de loeb sont loin d'être ridicule mais lon d'être exceptionnel. On voit aujourd'hui en F1 par exemple qu'un pilote comme Alguersuari qui a remplacé Bourdais à la mi-saison est dernier mais à 1.200 du premier ce qui n'est pas énorme alors que personne ne le connaissait et qu'il n'avait jamais mis les pieds dans une F1.
Et bon de toutes façons quand on est champion du monde de Rallye, on est doué pour toute sorte de course de voiture, on a vu Raikkonen au rallye de Finlande être 3ème de sa catégorie avant son abandon.

[Pasky]

Envoyé par danlos

...... une GP2 n'est pas facile à régler alors qu'en F1 il y a l'électronique et la télémétrie bien plus présente (par exemple on peut dire "dans tel virage tu peux freiner 10 mètres plus loin, et réaccélérer plus tot" alors qu'en GP2, il y a moins d'aide........ On voit aujourd'hui en F1 par exemple qu'un pilote comme Alguersuari qui a remplacé Bourdais à la mi-saison est dernier mais à 1.200 du premier ce qui n'est pas énorme alors que personne ne le connaissait et qu'il n'avait jamais mis les pieds dans une F1..

C'est donc bien ce que je pensais, il est plus facile de piloter une F1 qu'une GP2.

[danlos]

Envoyé par Pasky

C'est donc bien ce que je pensais, il est plus facile de piloter une F1 qu'une GP2.

après ce que je dis je n'en suis pas sur et certains mais on voit que des pilotes qui n'ont jamais conduit de F1 ne sont pas largués d'entrée.
après bon il y a eu ça de la part d'un émir qui voulait faire mumuse avec une F1
http://www.youtube.com/watch?v=hMR6kCazmrk

[Norton]

TROPHÉE JULES VERNE

Yvan Ravussin: «Objectif: être en dessous des 50 jours»


Image © Yvan Zedda
Yvan Ravussin: «Ça fait une année que je travaille sur ce projet»

Yvan Ravussin et Pascal Bidégorry, le skipper basque du maxi-trimaran «Banque Populaire V», préparent le trophée Jules Verne, tour du monde par les trois caps, sans escales et en équipage. Le record est en vue
Jean-Guy Python - le 10 octobre 2009, 22h09
Le Matin Dimanche



«Avec le record de l'Atlantique Nord, nous avons couru un 100 mètres! Ce qui nous attend dans quelques semaines va plutôt ressembler à un marathon. Nous prenons ça avec beaucoup d'humilité».
C'est un Pascal Bidégorry détendu, plein d'humour et de philosophie qui le dit, lors d'un point presse organisé vendredi à Paris. Il a aussi donné les grandes lignes de la préparation des prochains jours: «Le Maxi «Banque Populaire V» a été remis à l'eau et nous allons naviguer au large pendant les trois semaines à venir. Nous faisons en sorte d'être prêts avant le 15 novembre. Nous nous sommes fixé un objectif très précis pour les prochains jours. Nous allons travailler sérieusement jusqu'à la fin du mois d'octobre et ensuite nous nous occuperons de nous. Nous avons pu nous rendre compte que, pour un record, il faut beaucoup de patience. Il faut savoir s'adapter. Aujourd'hui, je préfère ne pas penser à la barre des 50 jours pour me concentrer d'avantage sur la manière que sur le résultat». A bord, le Vaudois d'Echandens, Yvan Ravussin, chef de quart et barreur, vit une belle complicité technique avec le skipper basque.
Yvan Ravussin, pour le Trophée Jules Verne, comment vous préparez-vous?
Ça fait une année que je travaille sur ce projet. Je me prépare intensément. Physiquement, nous avons un coach, un judoka, qui m'a fait tout mon programme d'entraînement. Gymnastique tous les matins, cardio, test de volumétrie. On a aussi suivi un cours de survie à Lorient. Ça a permis de souder encore un peu plus l'équipe.
Dans quel état d'esprit abordez-vous cette épreuve autour du monde?
Avec un bateau et un team comme «Banque Populaire», je ne pouvais refuser d'aller sur le trophée Jules Verne. Et puis, j'avais envie pour la première fois dans ma vie de faire le tour de la planète. Un Jules Verne, c'est moins intense qu'un record de l'Atlantique. Il y a des heures qui peuvent passer lentement en fonction des conditions de vent. Mais la course au large, ça reste un peu de la roulette russe. Il ne faut rien toucher. En mer, entre les containers, les baleines et les ofnis, les occasions ne manquent pas... Au niveau météo, il faut avoir un peu de chance. Avoir de bon passage à niveau. Arriver au Cap Horn et le passer vite dans de bonnes conditions, ne pas rester coincé là-bas par une tempête. Tout est possible.
Dans cette chasse au record de circumnavigation, vous serez en concurrence avec votre frère Stève, qui sera sur «Groupama 3» avec Franck Cammas. Deux Ravussin autour du monde, ça risque d'être terrible, comment ça va se passer?
C'est sûr que nous allons profiter de la même fenêtre météo, si ça se trouve nous partirons en même temps et, ça sera passionnant. Et puis avec Stève, on se causera de temps en temps, on s'enverra des mails aussi. Ceci dit, l'objectif est simple: être en dessous de 50 jours!

[Norton]

Envoyé par danlos

après ce que je dis je n'en suis pas sur et certains mais on voit que des pilotes qui n'ont jamais conduit de F1 ne sont pas largués d'entrée.
après bon il y a eu ça de la part d'un émir qui voulait faire mumuse avec une F1
http://www.youtube.com/watch?v=hMR6kCazmrk

En parlant de cela danlos, cela me fait penser à un de ces émirs qui pour faire joujou avec ces ferraris et autres bolides à fait construre un tronçon d'autoroute en plein désert uniquement pour les sortirs de temps en temps.

[Norton]

Football - Qualifications 2010 Amsud

11/10/2009 - 10:02 L'Argentine respire, le Chili y est




Eurosport
Grâce à un but de Palermo dans les arrêts de jeu, l'Argentine est venue à bout du Pérou (2-1) lors de l'avant-dernière journée des éliminatoires et se hisse provisoirement à la 4e place de la zone Amérique du Sud, la dernière directement qualificative pour le Mondial. Le Chili a composté son billet.
Il y a des matches qui restent dans les mémoires, qui forgent un groupe. La confrontation entre l'Argentine et le Pérou, lors de l'avant-dernière journée des éliminatoires pour le Mondial devrait assurément faire partie de cette catégorie. Seulement cinquième de la zone Amérique du Sud, avant ce match, les hommes de Diego Maradona avaient conscience de ne pas avoir le droit à l'erreur pour ne pas devenir la première sélection albiceleste à manquer le rendez-vous planétaire depuis 1970.
Avec des joueurs de la classe de Messi, Higuain, Aimar ou autre Mascherano, l'Argentine ne devrait pas avoir besoin d'attendre le dernière journée des éliminatoires pour composter son billet pour l'Afrique du Sud, mais depuis l'arrivée de Diego Maradona, elle déjoue totalement. Lanterne rouge de la zone AmSud, le Pérou semblait la victime idéale pour relancer une formation en plein doute, défaite lors de ses trois dernières sortie. Les hommes d'El Pibe de Oro ont pourtant dû attendre un but du revenant Martin Palermo dans les arrêts de jeu pour arracher la victoire (2-1) et s'emparer provisoirement de la 4e place. La dernière directement qualificative pour le Coupe du Monde.
Palermo sauve Maradona
Incapable d'appuyer sur l'accélérateur, se contentant le plus souvent d'attaquer plein axe et de s'empaler inexorablement dans l'arrière-garde péruvienne, les Argentins sont passé tout près de la correctionnelle. Parfaitement mis en selle par le premier but d'Higuain en sélection, les troupes de Maradona n'ont jamais réussi se mettre à l'abri. Les supporters du Stadio Monumental de Buenos Aires ont même cru revivre le scénario cauchemardesque de 1969, lorsque la Rojiblanca avait privé les Albiceleste du Mondial 70 en arrachant un match nul, quand Rengifo, de la tête, égalisait à la dernière minute.
Les Argentins peinent à trouver la bonne carburation, mais poussés par un public surchauffé, ils ont fait preuve d'une force de caractère tonitruante pour renverser une tendance bien compromise. Sur une frappe Messi, Palermo, déjà buteur à deux reprises en match amical face au Ghana, après dix ans d'absence en équipe nationale, déviait le ballon au fond de filet, revêtant ainsi le costume de sauveur. Un scénario incroyable accentué encore par le dernier baroud d'honneur des Péruviens. Loin d'être démobilisés malgré leur dernière place, les hommes de José del Solar ont failli réduire au silence tout un pays. Sur le coup d'envoi, Manuel Vargas tentait ainsi un lob improbable qui finissait sa course sur la barre de Romero. Pour seulement quelques centimètres, l'Argentine reste en vie, et Diego Maradona, auteur une glissade mémorable sur le sol détrempé en fin de match, sauve sa tête...
Un combat à trois
Un énorme soulagement pour toute une nation mais une victoire qui n'est pas encore synonyme de qualification. Même si elle a repris la quatrième place de la zone Amérique du Sud, l'Argentine va trembler jusqu'au bout. Alors que le Chili, vainqueur de la Colombie sans frayeur (2-4) a d'ores et déjà composté son billet pour l'Afrique du Sud, un match à trois se profile pour décrocher le dernier ticket.
Sixième des éliminatoires à l'attaque de cette avant-dernière journée, deux points derrière l'Equateur et un derrière l'Argentine, l'Uruguay n'avait pas le droit à l'erreur pour conserver ses chances de participer au prochain mondial. Menés au score par l'Equateur, les joueurs de la Céleste ont su à l'image des Argentins forcer leur destin, ne rien lâcher pour arracher un succès, lui aussi dans les arrêts de jeu, sur un penalty transformé par Forlan (1-2). La confrontation face aux voisins argentins dans la nuit de mercredi à jeudi promet donc d'être explosive. En cas de match nul, l'Equateur, qui affronte un Chili certainement peu concerné, pourrait les coiffer sur le poteau. Tout reste à faire...

[Norton]

Tennis à Pékin : Novak Djokovic et Svetlana Kuznetsova remportent le tournoi
(AFP) – Il y a 5 heures
PEKIN — Novak Djokovic a fêté son retour dans le trio de tête du tennis mondial en remportant son troisième tournoi de la saison, dimanche à Pékin, aux dépens du Croate Marin Cilic, en deux sets 6-2, 7-6 (7/4).
La Russe Svetlana Kuznetsova a pour sa part renoué avec la victoire en tournoi, quatre mois après son succès à Roland-Garros, en battant facilement la Polonaise Agnieszka Radwanska en deux sets 6-2, 6-4 dimanche en finale.
Le Serbe, déjà sûr de dépasser le Britannique Andy Murray en troisième position au classement ATP, a dominé le tombeur de Rafael Nadal en tirant avantage d'une interruption de 90 minutes par la pluie.
En difficulté en début de match, Djokovic avait déjà dû sauver plusieurs balles de break lorsque la rencontre a été suspendue. Au retour des vestiaires, il a aligné quatre jeux consécutifs pour boucler la manche.
Dans la seconde, le jeune Croate de 21 ans, 15e mondial, a servi deux fois pour égaliser à une manche partout, en vain, avant de céder dans le tie-break.
Djokovic, 22 ans, a remporté le 14e titre de sa carrière, le troisième cette année après Dubai et Belgrade, sa ville natale. Pékin était son premier tournoi depuis sa défaite en demi-finale de l'US Open contre Roger Federer.
C'est la quatrième fois en quatre rencontres qu'il s'impose face à Cilic.
Plus puissante, Kuznetsova, 24 ans, a pris trois fois l'engagement de son adversaire dans la première manche et fait le break tôt dans la seconde pour filer vers un succès qui n'a jamais fait de doute.
Grâce à ce titre, le troisième de la saison après Stuttgart et Roland-Garros et le douzième de sa carrière, la Russe devrait passer du sixième au quatrième rang mondial dès lundi.
Après sa deuxième victoire en Grand Chelem à Paris, Kuznetsova avait vécu un été et un début d'automne difficiles. En sept tournois, elle n'avait jamais dépassé les quarts de finale. A l'US Open, son parcours s'était achevé en huitièmes contre la Danoise Caroline Wozniacki.
Radwanska, 20 ans, devrait réintégrer le Top 10.
Simple dames (finale):
Svetlana Kuznetsova (RUS/N.6) bat Agnieszka Radwanska (POL/N.12) 6-2, 6-4
Double dames (finale jouée samedi):
Peng Shuai/Hsieh Su-wei (CHN/TPE/N.5) battent Alla Kudryavtseva/Ekaterina Makarova (RUS) 6-3, 6-1

[Texas Terror]

Rugby - Coupe d'Europe
11/10/2009 - 20:51Fortunes diverses


Avec quatre victoires sur six, le week-end des clubs français en H Cup est globalement positif. Mais si les victoires de Toulouse, Paris et Clermont étaient prévisibles, celle de Biarritz à Glasgow, un peu moins. Et que dire de la très inattendue défaite de Perpignan à Trévise...


LE CARTON PLEIN: TOULOUSE ET PARIS
S'ils tâtonnent parfois en championnat, les deux stades ont prouvé en faisant le spectacle ce week-end que l'expérience en Coupe d'Europe pouvait servir. Paris et Toulouse ont inscrit neuf essais à eux deux. Outre le bonus offensif, les deux clubs ont également connu la même entame de match tonitruante. A la demi-heure de jeu, le Stade français avait déjà réglé le compte d'Edimbourg et empoché le bonus (28-0). Le Stade toulousain s'est aussi facilité la tâche avec trois essais dont le premier dès la deuxième minute et celui du bonus juste après la pause (41e). Des victoires attendues mais avec la manière. On attend les confirmations à l'extérieur dans une semaine: à Bath (Paris) et chez les Harlequins (Toulouse).


LA BONNE SURPRISE: BIARRITZ
De Glasgow, où il n'est jamais facile de s'imposer, le BO a ramené un succès qui pourrait être décisif dans l'optique de la qualification. Si les Basques ont pour eux l'expérience (10e campagne), la formation écossaise s'affirmait tout de même comme l'adversaire le plus coriace de la poule. Une bonne chose donc que cette victoire une fois de plus basée sur la solidité défensive de Biarritz. Pas un essai encaissé, comme lors des quatre derniers matchs de championnat, soit plus d'un mois. Biarritz est ambitieux et les mots de Serge Blanco après le match le prouvent. "On a dormi pendant deux ans, on a envie de se réveiller et de montrer que Biarritz est toujours Biarritz".

LA LOGIQUE RESPECTEE: CLERMONT ET BRIVE
Pour son retour en Coupe d'Europe après 12 ans d'absence, Brive a débarqué à Llanelli sans grandes certitudes. Le début de saison en deçà des ambitions affichées (12e) n'a pourtant pas empêché les Corréziens d'accrocher les Gallois pendant 40 minutes (6-9). Un essai juste avant la pause et un autre en toute fin de match ont eu raison des espoirs du CAB de rentrer avec un point (24-12). De son côté, Clermont a aussi respecté la logique en dominant Viadana avec le bonus offensif (36-18). Les Auvergnats en ont également profité pour reposer certains joueurs (James, Nalaga). De bon augure avant le déplacement chez les Ospreys, auteurs d'un bon nul à Leicester (32-32).


LA (TRES) MAUVAISE SUPRISE: PERPIGNAN
Ceux qui ont misé sur une défaite de Perpignan à Trévise ont aujourd'hui les poches pleines. Ils ne doivent pas être nombreux. Les Catalans partaient en effet largement favoris. Plus que la victoire, c'est cinq points qu'ils voulaient ramener d'Italie. Quatre vingt minutes plus tard, ils sont repartis avec un bonus défensif qui ne console personne. Entre les deux, un non match, de l'indiscipline et un manque d'envergure dans le jeu. Pour Marius Tincu, le talonneur catalan, le constat est clair. "J'ai l'impression que nous n'avons pas le même état d'esprit que l'an dernier. Je ne sais pas d'où ça vient. Aujourd'hui (samedi, ndlr), on a touché le fond". Les chances de qualification sont fortement compromises pour les Catalans. On ne parle même pas du rêve éternel d'un quart à Barcelone...


Norton je me suis permis de poster des infos sur le Rugby puisque il n'en y a pas beaucoup sur ce topic.

[Norton]

Posté par Texas Terror

Norton je me suis permis de poster des infos sur le Rugby puisque il n'en y a pas beaucoup sur ce topic

Salut Texas,
Ben continue à te permettre, ce poste et à tous et libre à chacun d'y déposer des nouvelles.......

[Norton]

Rugby - CE

Clerc:«Nous sommes montés d'un cran»

Après avoir battu le record d'essais inscrits en Coupe d'Europe (29) lors de la victoire du Stade Toulousain sur Sale (36-17), Vincent Clerc pouvait se satisfaire de l'état d'esprit des Rouge et Noir.




Vincent Clerc, auteur de deux essais face à Sale (36-17).(EQ)

Vincent Clerc (trois-quarts aile du Stade toulousain): «On avait du mal à concrétiser nos temps forts depuis le début de la saison et aujourd'hui nous y sommes parvenus. C'est bien d'être allé chercher le point de bonus. Nous sommes encore montés d'un cran par rapport au match de Montpellier, où nous avions déjà été performants. C'est une première étape mais nous sommes encore loin d'être qualifiés. Concernant mon record, je remercie tous ceux qui m'ont fait croquer depuis sept ans, mais cela reste anecdotique. Je vais essayer de ne pas en rester là.»

Thierry Dusautoir (troisième ligne et capitaine du Stade toulousain): «On est bien rentré dans cette compétition et c'est important pour toute l'équipe. Il y a du mieux dans notre jeu et dans notre état d'esprit depuis le match à Montpellier. On récupère de la confiance petit à petit. Prendre un match de cette intensité par le bon bout c'est intéressant, mais maintenant il faut parvenir à garder cette qualité sur la durée. Il va surtout falloir améliorer nos deuxièmes parties de match pour devenir une grande équipe car la fin de rencontre m'a beaucoup moins plu que les 60 premières minutes». (Avec AFP)