Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Le 19/10/2009 à 15:36 | Mis à jour le 19/10/2009

Foot - Bleus

Domenech : « Angleterre-bis »


Raymond Domenech a présenté l'Irlande comme «l'Angleterre-bis», au micro de RTL, pour qualifier le futur adversaire des Bleus en barrages de la Coupe du monde. Il a exactement déclaré : «On sait ce qu'il faut faire. Quel que soit l'adversaire j'aurai dit exactement la même chose, l'objectif c'est de se qualifier pour la Coupe du monde. C'est l'Irlande, il faut le faire. L'avantage, c'est que tout le monde les connait, c'est l'Angleterre bis, ils jouent tous dans le championnat anglais, tous les joueurs les connaissent. Il y en a certains qui jouent avec eux, d'autres qui jouent contre eux : il n'y aura pas de surprise de ce côté-là, on sait ce qui nous attend. C'est une équipe qui n'a pas perdu un match dans les qualifications, qui fait match nul contre l'Italie au dernier match, en prenant un but dans les dernières minutes. On sait que c'est une équipe solide, ce sont tous des joueurs de Premier League, c'est costaud. Mais on l'est aussi.»

Il se la joue pétoche le Domenech...........

[Norton]

boxe

Vitali Klitschko défendra son titre à Berne


Image © Keystone


La Suisse accueillera pour la 3e fois depuis 2007 un combat du championnat du monde des poids lourds. Vitali Klitschko défendra son titre WBC le 12 décembre à la Post Finance Arena.
le 19 octobre 2009,
LeMatin.ch & les agences

L'Ukrainien de 38 ans, qui est devenu champion du monde l'année dernière après quatre ans de pause, affrontera l'Américain Kevin Johnson (30 ans) toujours invaincu: 22 victoires dont 9 par K.-O., 1 match nul. Le combat se déroulera en 12 rounds au maximum.
Avant Klitschko, le géant russe Nikolay Valuev avait défendu par deux fois sa ceinture de champion du monde des poids lourds sur sol helvétique: en janvier 2007 à Bâle face à Jameel McCline (EU) et en décembre 2008 à Zurich contre Evander Holyfield originaire d'Atlanta comme Johnson.

[Norton]

L'INTERVIEW

Simon Ammann: «Ce sera dur d'arrêter un jour»


Image © Genevay Yvain


Double champion olympique en 2002, champion du monde en 2007, Simon Ammann est un personnage dans le monde du saut à skis. Le Saint-Gallois raconte le plaisir qu'il a de voler.
Bernard Morel - le 19 octobre 2009,
Le Matin


Qu'est-ce qu'un sauteur à skis? Un skieur? Un oiseau? Un homme volant?
Je peux déjà dire ce que nous ne sommes pas. Un oiseau en tout cas pas car nous finissons par retomber. Il y a quelque chose d'artistique dans notre sport. Pendant le vol, nous ne sentons plus notre poids. Cela donne un sentiment spécial et c'est une expérience extraordinaire à vivre. Des tests montrent qu'il n'y a pratiquement aucune activité musculaire quand nous sommes dans les airs.
Enfant, rêviez-vous d'imiter Icare?
Je ne connaissais pas Icare, mais je rêvais de voler. J'ai eu la chance qu'il y avait une forte tradition de saut à skis dans la région du Toggenburg. Quand j'ai commencé en 1992, nous étions nombreux. Sans les structures existant à Wildhaus, je n'aurais pu réussir la carrière qui est la mienne.
A quoi pense-t-on quand on est assis en haut du tremplin?
On est très concentré, on a des petits flashes du saut. Je répète mon programme, mais parfois d'autres pensées viennent. C'est peut-être pour ça que je suis un peu moins constant. Il arrive parfois qu'on sache exactement comment le saut va se passer. C'était le cas pour moi aux JO de 2002.
Dans le saut à skis, à quel moment se situe le plaisir?
Juste après avoir décollé du tremplin, quand on sent que le corps est en accélération. C'est un instant de plaisir intense, même s'il ne dure qu'une fraction de seconde.

Et pendant les secondes où vous êtes en vol que se passe-t-il?
C'est quatre secondes sur un tremplin comme Engelberg, sept secondes en vol à skis. On peut apporter des correctifs si on ne s'est pas élancé idéalement. Quand le saut est bon, on ne corrige rien. Mais il faut rapidement songer à atterrir correctement. Des pensées viennent parfois, dont on ne se souvient pas forcément après.
Quelle différence y a-t-il entre le Simon Ammann soudain star du sport en 2002 et celui de 2009?
J'ai toujours la même volonté de voler, de vivre les sensations du sauteur à skis. Toujours la même faim de ce sport. Mais je l'aborde sous un angle un peu différent. 2002, c'était le début de la gloire. Après j'ai eu une baisse de plusieurs saisons. Depuis 2006-2007, ça va de nouveau très bien. Maintenant, je n'ai plus que des ajustements à faire, que ce soit dans mon style de saut ou dans ma manière d'aborder une compétition. Comme je suis plus calme, j'ai moins besoin de moments où je dois me régénérer.

Le suivi psychologique que vous avez eu avec Hanspeter Gubelmann a-t-il joué un rôle important dans cette évolution?
Dans les saisons difficiles qui ont suivi mes titres olympiques, ce suivi psychologique a été important pour garder une certaine stabilité. Maintenant, je travaille moins avec Hanspeter, mais je garde en mémoire les mécanismes que nous avons mis en place. Il m'a aussi aidé à préparer ma vie en dehors du ski, notamment au niveau des études, que je vais recommencer l'année prochaine à l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich.

Vous avez dit que vous vouliez cesser la compétition après les Mondiaux de 2011 à Holmenkollen. Pourrez-vous vous passer de voler?
J'ai parlé de 2011, mais je ne sais pas si ce sera ma dernière saison. Si le bonheur que j'ai à sauter, à vivre dans mon sport est le même qu'aujourd'hui, je pourrais continuer. Nous formons une équipe tellement magnifique avec Andy Küttel et notre entraîneur, Martin Künzle. Quoi qu'il en soit, ce sera dur d'arrêter un jour.
Peut-être ferez-vous comme Lance Armstrong et Kim Clijsters, qui sont revenus à la compétition. Janne Ahonen va en faire de même cet hiver.
Je crois que Ahonen n'a jamais cessé de s'entraîner. En saut, si on arrête deux ans, je ne pense pas qu'on puisse revenir. Probablement qu'il leur manquait quelque chose dans la vie. Concernant mon futur sans le saut, je suis pour l'instant optimiste. On espère tous être capables de dire au revoir un jour. Et peut-être serai-je un jour entraîneur.
Avez-vous déjà une activité qui pourrait se substituer au saut à skis?
J'ai fait du parachutisme. J'ai même passé mon brevet. C'est plus facile que le saut à skis. Si on décolle mal du tremplin, on ne peut pas faire un bon saut. En parachutisme, il suffit de se lancer de l'avion. Comme je suis léger, ça me laisse plus de temps pour préparer ma descente.
Vous êtes très populaire. Acceptez-vous l'idée de vous retrouver un jour dans l'anonymat?
C'est difficile à répondre, même si, dans ma vie privée surtout, j'aime déjà maintenant qu'on me laisse tranquille. Quand je vais recommencer mes études à l'EPFZ, je sais que je serai un anonyme. Là-bas, à peine 10% des gens savent ce que je fais.

Avez-vous envie de fonder une famille?
Pour l'instant, mes objectifs sont à court terme. J'ai besoin de réorganiser ma vie au printemps prochain. Cela dit, je vis depuis plus de deux ans avec mon amie, Yana. Elle est Russe et vivait en Finlande, en Carélie, région transfrontalière entre les deux pays. Elle se plaît beaucoup en Suisse où les paysages sont variés et où les quatre saisons sont bien marquées. J'ai beaucoup appris de l'esprit des Suisses par le regard que Yana a sur notre pays.
Que représente la Suisse pour vous?
Grâce au saut à skis, j'ai déjà beaucoup voyagé. J'aime beaucoup cette vie faite de déplacements, mais je suis chaque fois heureux de revenir en Suisse. On sait qu'on retrouve une région stable. C'est appréciable.

[Norton]

19 octobre 2009 - 18:46
Alinghi attend les Américains de pied ferme

Légende photo: Ernesto Bertarelli et son équipe sont prêts. Mais où donc reste Oracle ? (Keystone)



«Nous sommes prêts. Qu'Oracle vienne nous affronter sur l'eau et non plus au tribunal», clame Ernesto Bertarelli de sa base flambant neuve de Ras al-Khaimah. Interview du patron du Team Alinghi, qui compte bien en découdre avec les Américains en février.

Sur l'île artificielle aménagée en quelques semaines dans la lagune d'Al Hamra, village de vacances à un jet de pierre de Ras al-Khaimah, capitale du petit émirat du même nom, la base d'Alinghi est prête. Du côté d'Oracle, par contre, il n'y a encore que du sable.
C'est que les Américains ne sont pas chauds à l'idée de venir disputer ici la 33e Coupe de l'America en février 2010. Et le règlement du plus ancien trophée sportif du monde leur offre peut-être la possibilité d'y échapper.
Côté suisse par contre, on aimerait bien que la régate sorte enfin des tribunaux pour se jouer sur l'eau. Ce que confirme Ernesto Bertatrelli.
swissinfo.ch: Où en êtes-vous des préparatifs de la 33e Coupe de l'America ici à Ras al-Khaimah?

Ernesto Bertarelli: Alinghi est prêt, il est arrivé il y a une vingtaine de jours, nous avons déjà fait les premiers essais sur l'eau, avec des représentants de la délégation suisse et des médias internationaux.
Nous sommes prêts à régater, à défendre les couleurs de la Suisse et à garder la Coupe de l'America. Nous attendons avec beaucoup d'impatience que les Américains veuillent bien venir se confronter à nous.
swissinfo.ch: Justement, quelles sont leurs dernières réponses à cette invitation?

E.B.: C'est un peu décevant, on a l'impression qu'ils essaient d'éviter ce match qu'ils ont tant voulu et tant demandé. Maintenant, on est là, on a un magnifique plan d'eau et une superbe infrastructure. Encore une fois, on est prêts. Les Suisses sont prêts.
swissinfo.ch: Comment interprétez-vous l'attitude d'Oracle?

E.B.: C'est très difficile à comprendre. Peut-être qu'ils ne sont plus trop sûrs d'avoir un bateau suffisamment rapide pour nous battre et ils essaient de gagner du temps... et peut-être même essaient-ils de ne pas venir, pour ne pas perdre.
Mais quand on fait du sport – et tous les sportifs le savent – si on ne veut pas prendre le risque de perdre, et bien il faut faire autre chose. Parce que l'issue n'est jamais certaine. Au football, la balle est ronde, au tennis, il faut lui faire passer le filet, et à la voile, il faut passer la ligne pour gagner.
swissinfo.ch: Les Américains contestent le choix des Emirats pour la tenue de la compétition, en invoquant notamment des questions de sécurité. Que répondez-vous?

E.B.: Si le Détroit d'Ormuz connaissait des problèmes de sécurité, cela se saurait. 40% de la production pétrolière mondiale passe par ici, alors s'il y avait vraiment des problèmes de sécurité dans le Détroit d'Ormuz, tous les citoyens de la planète en seraient affectés, parce que chaque fois qu'ils iraient faire le plein de leur voiture, le prix serait le double de ce qu'il est aujourd'hui.
Donc, ce sont évidemment des excuses pour éviter la rencontre. Mais j'espère qu'ils reviennent à la raison et à l'honneur, et qu'ils viennent se battre comme ils l'ont voulu, sur le terrain du sport, et non pas sur le terrain juridique, contre la technologie suisse.
swissinfo.ch: Pour finir, un mot sur l'infrastructure que Ras al-Khaimah met à votre disposition...

E.B.: Simplement incroyable. Non seulement dans sa dimension, mais surtout dans la vitesse à laquelle cela a été exécuté. Je pensais que les Espagnols avaient fait des miracles à l'époque pour nous organiser des bases et un plan d'eau pour la 32e Coupe, mais alors là, je dois dire qu'ils ont été battus.
L'effort, l'engagement et la qualité de ce qui a été livré sont exceptionnels. Donc, tout est prêt, nous n'attendons que les Américains pour aller sur l'eau et voir qui est le plus fort.
Mohamed Cherif, Ras al-Khaimah, swissinfo.ch

[Norton]

Wrc - Rallye de Grande Bretagne

19/10/2009 - Loeb l'esprit conquérant




Citroën Communication

"Je me jetterai dans la bagarre", annonce Sébastien Loeb (Citroën WRT), en retard d'un point sur Mikko Hirvonen (Ford WRT) avant la finale au pays de Galles.
Après avoir conquis un cinquième titre de champion du monde des Constructeurs en Espagne, le Citroën World Rally Team se présente au départ du Rallye de Grande-Bretagne avec un nouveau défi à relever. Cette fois, il s'agit de permettre à Sébastien Loeb et Daniel Elena de décrocher un sixième titre mondial consécutif. Pour l'équipage franco-monégasque, l'équation est simple : il doit terminer dans les points devant Mikko Hirvonen.
Traditionnel rendez-vous de fin de saison, le Rallye de Grande-Bretagne sera la douzième et dernière épreuve du championnat du monde des Rallyes FIA 2009, ce week-end. Bien connu des protagonistes du WRC, ce rallye est programmé un mois plus tôt que l'an passé. "Sauf brusque changement climatique, nous ne devrions pas être contraints, comme l'an passé, d'évoluer sur des spéciales glacées avec des pneus terre", note avec satisfaction Sébastien Loeb. "Ce rallye peut toutefois être très difficile si nous devons composer avec la pluie, la boue et le brouillard, le tout de nuit… Quoi qu'il en soit, c'est un beau rallye que j'apprécie."
"En revanche, les choses sont moins compliquées lorsqu'il s'agit d'évoquer notre objectif", poursuit Seb. "Il faut tout simplement que nous terminions dans les points devant Mikko Hirvonen. Evidemment, il y aura beaucoup de pression, d'un côté comme de l'autre. D'un point de vue, la moindre erreur sera fatale dans la course au titre. Mais il ne faut pas trop réfléchir non plus, sous peine de ne plus avancer ! Bref, je ne me poserai pas trop de questions et je me jetterai dans la bagarre. En Norvège, en Finlande ou en Australie, nous avons déjà eu de belles bagarres ensemble cette saison et j'espère qu'il en sera de même pour cette dernière épreuve."
Pour préparer au mieux l'épreuve, l'équipe Citroën a mené quatre jours d'essais au Pays de Galles : "Tout s'est bien passé, je sais que la C4 WRC sera, comme les années précédentes, très compétitive sur ce terrain. Comme Mikko va ouvrir un rallye au Pays de Galles ce week-end, j'effectuerai en ce qui me concerne une journée d'essais supplémentaire dimanche. Nous arriverons ainsi à Cardiff aussi affûté l'un que l'autre !"
Après avoir apporté sa large contribution à la conquête du titre Constructeurs, Dani Sordo pourra mener librement sa course en Grande-Bretagne : "Cela ne veut pas dire que je vais gagner, mais je pars avec l'objectif de jouer avec les autres. Sinon, autant rester chez moi ! Sans pression, il est certain que je vais pouvoir me libérer un peu plus. L'an passé, j'avais terminé sur le podium et nous avions décroché le titre Constructeurs. Les essais préparatoires se sont bien déroulés, je me suis beaucoup amusé avec la voiture et je me sens en confiance. Allez, je pronostique pour une victoire de Sordo devant Loeb, comme cela nous pourrons faire une grande fête le dimanche soir !"

Ben il va y avoir de la trinque..........Suspens

[Norton]

Act. 20.10.09; 17:56 Pub. 20.10.09; 17:52
Gymnastique
Il se tue cinq jours après sa médaille de bronze

Le Russe Yury Ryazanov, 22 ans, est mort dans un accident de la route, cinq jours après avoir décroché une médaille de bronze aux championnats du monde à Londres.


Selon les médias, le sportif roulait à contresens. (Photo: AP Photo)


Ryazanov conduisait sur une autoroute le menant à sa ville de Vladimir, à environ 200 km à l'est de Moscou, lorsque sa voiture a percuté un autre véhicule.
Le gymnaste est mort sur le coup, a dit un porte-parole de la Fédération russe de gymnastique. Ryazanov venait de rentrer au pays après les Mondiaux à Londres, où il a obtenu le bronze dans le concours général.
Selon les médias, le sportif roulait à contresens. Ryazanov était membre de l'équipe nationale depuis 2006 et il avait obtenu la 6e place aux Jeux olympiques de Pékin avec sa sélection. Il avait été champion d'Europe en 2008 et médaillé d'argent aux championnats du monde en 2006.
(ats)

Triste.

[Norton]

Ecurie Renault
L'avenir de Grosjean en F1 est compromis

Romain Grosjean est de moins en moins sûr de conserver son baquet chez Renault la saison prochaine. Après Timo Glock, Adrian Sutil ou encore Jarno Trulli, un nouveau nom est évoqué par «l'Equipe»: celui de Frank Montagny (30 ans), ancien pilote essayeur de la firme française.


Le Genevois espère ne pas devoir bientôt faire ses valises. (Photo: Keystone)


Officiellement, la marque au losange n'a toujours pas communiqué le pilote appelé à seconder Robert Kubica (Pol) en 2010. Mais les rumeurs vont bon train et aucune ne semble favorable à un statu quo pour le Genevois. Grosjean a déçu au cours des six Grands Prix disputés cette saison depuis qu'il a remplacé le Brésilien Nelson Piquet Jr. Le pilote à licence française n'a en effet jamais pu faire mieux que le 13e rang enregistré le week-end dernier au Brésil.
La rumeur Montagny est une surprise, dans la mesure où le Français n'a couru que sept GP dans sa carrière. Lors de la saison 2006, il avait participé à sept courses dans une Super Aguri, avant de devoir céder son baquet au Japonais Sakon Yamamoto. Depuis, le Rhône-Alpin a été pilote-essayeur pour Toyota en 2007, avant de se lancer avec succès en ChampCar, en A1GP puis en Endurance (deux fois 2e des 24 Heures du Mans).

(si)

Je me marre, il est Genevois maintenant et il était Français à son engagement, OK Franco-suisse cela ce dit mais là......Pas sympas les journaleux de l'exagone.

[fazer72]

Envoyé par Norton

Act. 20.10.09; 17:56 Pub. 20.10.09; 17:52
Gymnastique
Il se tue cinq jours après sa médaille de bronze

Le Russe Yury Ryazanov, 22 ans, est mort dans un accident de la route, cinq jours après avoir décroché une médaille de bronze aux championnats du monde à Londres.

trop moche

[Norton]

football

Lyon frappe fort et Liverpool chute


Image © Keystone
La joie des Lyonnais après leur premier but, marqué par Maxime Gonalons (au centre).

L'Olympique Lyonnais s'est imposé chez les Reds.
le 20 octobre 2009, 23h14
LeMatin.ch & les agences


Ligue des champions
Liverpool
Liverpool - Lyon
1-2 (1-0)
Liverpool se retrouve au fond du trou dans le groupe E de la Ligue des champions. Lors de la 3e journée, les Reds ont été battus 2-1 par Lyon et occupent la 3e place, à six points de l'OL et à trois de la Fiorentina, victorieuse 4-3 à Budapest contre Debrecen.
Les Anglais ont ouvert la marque par Benayoun en fin de première mi-temps, mais ils ont subi l'égalisation de Gonalons (72e). Liverpool, en crise de confiance, n'a ensuite jamais semblé en mesure de pouvoir aller arracher une victoire qui était pourtant plus que nécessaire. Au contraire, ce sont les Français qui ont obtenu les trois points sur un contre assassin conclu par Delgado (91e).
Cette défaite, qui est la quatrième consécutive subie par les Reds, les plonge dans une sérieuse crise. Il faut remonter à mars 1987 pour trouver trace d'une pareille série noire dans la longue histoire du club. Toutes compétitions confondues, Liverpool a déjà perdu six matches cette saison, alors que l'équipe n'avait été battue que cinq fois au total sur l'ensemble de l'exercice 2008-2009.
Ce revers compromet sérieusement les chances de qualification pour les 8es de finale. Un échec à ce stade de la compétition constituerait une première sous l'ère Benitez débutée à l'été 2004.
Rafael Benitez avait récupéré son capitaine, Gerrard, mais était toujours privé de Torres, ainsi que de Johnson, blessé à l'échauffement. Par la force des choses, le manager espagnol faisait confiance aux jeunes: Kelly (19 ans) débutait sur le côté droit de la défense, alors que le Français Ngog (20 ans) se plaçait à la pointe de l'attaque.
On s'apercevait rapidement des problèmes actuels des Reds, incapables de poser le jeu et d'aller porter le danger dans la surface adverse. L'OL passait tout près de prendre l'avantage sur une tête de Lisandro (10e) sauvée avec brio par Reina.
Lyon égalise
En seconde période, Lloris réalisait une nouvelle parade décisive sur une tête de Kuyt (60e). Mais au fil des minutes, Lyon parvenait à évoluer plus haut dans le terrain, mettant la pression sur la défense rouge qui reculait de plus en plus. Elle finissait par craquer à la 72e, Gonalons marquant de la tête au terme d'une action folle après deux arrêts de Reina, puis dans les arrêts de jeu.

[Norton]

Automobilisme

Le choix de Button


Image © Keystone
Jenson Button veut avant tout continuer à piloter et gagner des courses, et sur une Brawn GP si possible.

Surmotivé, le nouveau champion du monde britannique veut rester chez Brawn GP la saison prochaine.
le 20 octobre 2009,
LeMatin.ch & les agences

Londres

Le nouveau champion du monde de formule 1, Jenson Button, espère rester dans l'équipe Brawn GP la saison prochaine et se réjouit d'être à nouveau confronté à Lewis Hamilton, a-t-il déclaré à Londres. S'exprimant à son retour de São Paulo, où il a fini 5e au GP du Brésil, Button a ajouté qu'il n'avait pas encore discuté d'un nouveau contrat.

Pas avare
Il a cependant tenu à préciser qu'il n'était pas motivé par la possibilité de gagner plus d'argent. «Je ne suis pas comme ces pilotes qui cherchent une nouvelle équipe qui peut les payer plus. Ce que je veux, c'est piloter et continuer à gagner des courses, a-t-il dit. Je veux rester avec Brawn, nous n'en avons pas discuté durant cette saison, mais maintenant nous pouvons le faire», a ajouté Button.

La perspective de se battre pour le titre avec son compatriote Lewis Hamilton le réjouit également: «Si je suis l'an prochain dans une bonne voiture et que Lewis l'est également, la saison de formule 1 sera très excitante, spécialement pour le public britannique», a-t-il ajouté.
Après avoir gagné six des sept premiers Grands Prix de la saison, Button a eu du mal durant la deuxième partie de l'année et n'a plus gagné une course depuis le GP de Turquie, en juin dernier. Selon le patron de l'équipe Brawn GP, Ross Brawn, le pilote a de bonnes chances d'être à nouveau champion du monde l'an prochain.