Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

L’Olympique de Marseille et son univers féroce à l’épreuve de Zurich

LIGUE DES CHAMPIONS | Le club le plus populaire de France se déplace à Zurich ce soir (20 h 45). Gros plan.


© KEYSTONE | A peine intronisé entraîneur de l’OM après le départ du Belge Gerets, Didier Deschamps a déjà menacé de démissionner dans la foulée du remplacement à la direction du club.


Olivier Breisacher | 21.10.2009 | 00:03


La victoire convaincante obtenue à Nancy, samedi (3-0), a offert un répit bienvenu à l’Olympique de Marseille, qui restait sur trois revers consécutifs. Mais sur la Canebière, ce n’est que le calme provisoire avant la prochaine tempête.
Le nouveau défi qui se dresse sur la route de l’OM se nomme Zurich ce soir, «l’adversaire le plus faible de ce groupe, celui contre lequel il faut impérativement marquer six points», selon les paroles de Didier Deschamps et son staff au moment du tirage. Entre-temps, la donne a changé. Les Marseillais sont toujours à la recherche de leur premier point, alors que le champion suisse a créé la sensation en s’imposant à Milan.
«Je n’ai jamais sous-estimé Zurich, souligne Didier Deschamps. J’ai juste constaté que parmi nos adversaires se trouvaient deux géants, Real Madrid et Milan, ainsi qu’une équipe moins renommée dont je ne connais pas grand-chose, à part les extraits de ses matches. Aujourd’hui plus que jamais, nous avons besoin de deux victoires contre Zurich pour entretenir l’espoir.»
Crises à répétition
Sous peine de déclencher une nouvelle crise, l’une de celles qui accompagnent le quotidien du club le plus populaire de l’Hexagone, à défaut de fêter des résultats à la hauteur de ses ambitions et de ses investissements financiers. L’année 1993, celle du dernier titre national (retiré par la suite sur le tapis vert) et de la victoire en Ligue des champions, appartient à une autre époque.
Les deux Coupes de France (2006, 2007) ont néanmoins mis un terme à plus d’une décennie sans aucun titre. Mais cela ne saurait suffire, malgré les investissements du propriétaire de l’OM, Robert-Louis Dreyfus, décédé voici trois mois, après avoir investi 210 millions d’euros.
Les crises à répétition subsistent au Stade Vélodrome, là où il suffit de deux défaites pour que la tête de l’entraîneur et du directeur soit exigée par les supporters, voire une partie des médias. Eric Gerets avait forcé le respect et presque dégagé l’unanimité. Mais las, l’entraîneur-miracle cédait au printemps à l’appel des sirènes en Arabie saoudite.
A peine intronisé, son successeur, Didier Deschamps, menaçait de démissionner dans la foulée du remplacement à la direction du club de Pape Diouf par Jean-Claude Dassier, l’ancien patron de l’information de TF1. Sous la direction de Margarita, la veuve de Robert-Louis Dreyfus, qui continue à mener la barque en tant qu’actionnaire principale d’«Eric Soccer», la holding qui détient l’OM.
Les résultats corrects de l’OM en championnat (5e avec 17 points en 9 matches) ne suffisent pourtant pas à calmer les esprits. Chacun espérait mieux, après une campagne de transferts dynamique, enrôlant pour 40 millions d’euros les internationaux argentins Lucho Gonzalez (Porto, pour 18 millions d’euros, le transfert le plus onéreux de l’histoire de l’OM) et Gabriel Heinze, ainsi que l’Espagnol Fernando Morientes, le défenseur sénégalais Souleymane Diawara ou le Camerounais Stéphane Mbia, suspendu ce soir contre le FCZ. Autant d’arrivées qui ont notamment repoussé dans l’ombre le Brésilien Hilton (ex-Servette), qui devrait malgré tout être titularisé au Letzigrund, après un retour réussi à Nancy.
L’OM reste un univers impitoyable. Celui où chacun donne son avis. Voici deux jours, le maire marseillais faissait entendre sa voix. «Chacun à sa place, relève Jean-Claude Gaudin dans la presse régionale. Mais je demande à Jean-Claude Dassier d’être un patron rigoureux et peut-être même un peu sévère. Il faut ça dans le Midi.» Comment réagirait-il si Mandanda, Niang et leurs coéquipiers connaissent une désillusion en territoire helvétique?

[Norton]

GP d'Abou Dhabi
Loeb ne sera pas de la partie

Sébastien Loeb, le quintuple champion du monde des rallyes, n'a pas obtenu la «super-licence» qui lui aurait permis de participer éventuellement au Grand Prix d'Abou Dhabi de Formule 1, le 1er novembre, a-t-on appris mardi auprès de Citroën Racing.


Sébastien Loeb est quintuple champion du monde des rallyes. (Photo: Keystone)


«Seb avait fait la demande et il a eu la réponse aujourd'hui. Il n'est pas si déçu que cela, même si cela aurait été une belle opportunité», a indiqué une porte-parole de Citroën Racing, mardi soir à Cardiff.
La super-licence est indispensable pour piloter en F1. Elle doit être attribuée par la Fédération internationale de l'automobile (FIA), après examen du dossier et du palmarès du pilote qui la demande.
Loeb prépare jusqu'à jeudi le rallye de Grande-Bretagne, 12e et dernière manche du championnat du monde 2009, qu'il entamera vendredi matin à Cardiff dans sa Citroën C4. Il compte un point de retard sur Mikko Hirvonen (Ford Focus), le leader du championnat WRC.

[Norton]

Kazan fait mordre la poussière au Barça tout-puissant







Le Rubin Kazan, dernier du groupe F avant la 3e journée, a terrassé mardi au Camp Nou le FC Barcelone (2-1), tenant de la Ligue des champions et jusqu'ici invaincu cette saison.

Cette défaite complique singulièrement la vie du Barça dans le groupe F alors qu'il a deux déplacements à effectuer lors des trois dernières journées, à Kazan et à Kiev. L'équipe catalane a d'abord été surprise à peine entrée sur le terrain par un coup de fusil de Ryazantsev (1-0, 2'). Le Camp Nou restait sans voix.

Progressivement, le Barça allait entrer dans le match et se créer plusieurs occasions face au leader du Championnat russe: par Ibrahimovic (4', 10'), Touré (5'), Alves (15'), Pedro (24') et surtout Messi, d'une frappe puissante du gauche (39'). Mais Kazan et son gardien Ryzhikov conservaient leur surprenant avantage à la pause.

Le tenant du titre, également souverain en Espagne la saison dernière, allait finir par égaliser, au tout début de la seconde période (48): "Ibra", magistralement servi par Xavi, contrôlait parfaitement avant d'enchaîner avec une frappe que Ryzhikov, cette fois, ne pouvait dévier.

L'attaquant suédois du Barça manquait de peu le doublé, et l'avantage au score pour les Catalans, avec une frappe qui rasait le poteau droit du gardien russe (71e). Mais deux minutes plus tard, le Rubin Kazan, sur une contre-attaque parfaitement menée, reprenait l'avantage, grâce au Turc Gökdeniz Karadeniz (73').

[Norton]

"La mort de Senna a fait du bien à la Formule 1"





La langue de Bernie Ecclestone a encore fourché. Le grand patron de la F1 a encore prouvé qu'il n'était pas un adepte du "politiquement correct". Après avoir exprimé sa sympathie pour les idées d'Adolf Hitler, il a déclaré, dans un grand quotidien brésilien, que la mort tragique d'Ayrton Senna a été "bénéfique pour la Formule 1". Une nouvelle gaffe qui provoque le tollé.

Polémique
"La mort d'Ayrton Senna (au Grand prix de San Marin en 1994, ndlr) fut une tragédie mais elle a fait du bien à la Formule 1 en lui faisant de la publicité".

Bernie en rajoute même une couche: "Ayrton Senna était populaire mais beaucoup de gens ne le connaissaient pas comme pilote jusqu'à sa mort". Des propos qui risquent de faire couler beaucoup d'encre.

Un malade ce mec.............

[Xor]

Envoyé par Norton

"La mort de Senna a fait du bien à la Formule 1"





La langue de Bernie Ecclestone a encore fourché. Le grand patron de la F1 a encore prouvé qu'il n'était pas un adepte du "politiquement correct". Après avoir exprimé sa sympathie pour les idées d'Adolf Hitler, il a déclaré, dans un grand quotidien brésilien, que la mort tragique d'Ayrton Senna a été "bénéfique pour la Formule 1". Une nouvelle gaffe qui provoque le tollé.

Polémique
"La mort d'Ayrton Senna (au Grand prix de San Marin en 1994, ndlr) fut une tragédie mais elle a fait du bien à la Formule 1 en lui faisant de la publicité".

Bernie en rajoute même une couche: "Ayrton Senna était populaire mais beaucoup de gens ne le connaissaient pas comme pilote jusqu'à sa mort". Des propos qui risquent de faire couler beaucoup d'encre.

Un malade ce mec.............

Pffff... ce mec est aussi abject intérieurement qu'extérieurement !

[Norton]

EXCLUSIF - HOCKEY

Slovénie: un pro prend la voiture du club en otage!


Image © Keystone
photo prétexte.

Un joueur canadien cache la voiture de son club dans une forêt. Il n’indiquera l’endroit que lorsque ses dirigeants se seront acquittés de leur dette à son égard.
Emmanuel Favre - le 21 octobre 2009,
LeMatin.ch


Au sujet des anecdotes cocasses, on pensait avoir tout vu et tout entendu dans le monde du hockey sur glace. Eh bien non!
L’histoire s’est développée en Slovénie ces dernières heures, au sein de la formation de Ljubljana pilotée par Dany Gelinas (ex-coach d’Ajoie et de Lausanne)…
Un hockeyeur canadien, qui avait été mis à l’essai par Ljubljana pendant 30 jours, a séquestré la voiture mise à sa disposition par son club!
Ce joueur avait dû payer de sa poche le montant nécessaire à l’obtention de sa carte de transfert international. Oralement, il avait obtenu la garantie de l’organisation slovène que la somme lui serait remboursée. Or, à la fin de sa période d’essai, le directoire a refusé de régler l’addition.
La réaction du joueur: il a imposé un marché «carte de transfert contre carte géographique» à ses anciens patrons. Il a caché le véhicule du club dans une forêt slovène, est rentré dans son pays avec les clés de la voiture et a laissé ce message à l’intention de ses ex-dirigeants: «Je vous indiquerai l’endroit où la voiture est cachée et vous enverrai la clé lorsque vous m’aurez versé ce que vous me devez!»
L’agent du joueur se peut s’empêcher de sourire: «Je le connais bien, mon client. Je ne sais pas où est l’auto. Mais je peux vous garantir qu’elle est bien, très bien cachée!»

Elle est bonne...................

Ok des nouvelles plus tard là.................................

[danlos]

Envoyé par Norton

EXCLUSIF - HOCKEY

Slovénie: un pro prend la voiture du club en otage!

un champion celui là, ils vont être obliger de lui redonner l'argent car je pense que la voiture coute plus cher que ce qu'il demande. En tout cas très bonne idée

[manu94600]

Envoyé par Norton

"La mort d'Ayrton Senna (au Grand prix de San Marin en 1994, ndlr) fut une tragédie mais elle a fait du bien à la Formule 1 en lui faisant de la publicité".

Enc***

[steph26]

Envoyé par Xor

Pffff... ce mec est aussi abject intérieurement qu'extérieurement !

+1000000000000000000000 avec toi

Pffff il est trop nul Bernie Ecclestone

Ayrton s'était mon idole

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L’Olympique de Marseille et son univers féroce à l’épreuve de Zurich

LIGUE DES CHAMPIONS | Le club le plus populaire de France se déplace à Zurich ce soir (20 h 45). Gros plan.


© KEYSTONE | A peine intronisé entraîneur de l’OM après le départ du Belge Gerets, Didier Deschamps a déjà menacé de démissionner dans la foulée du remplacement à la direction du club.


Olivier Breisacher | 21.10.2009 | 00:03


La victoire convaincante obtenue à Nancy, samedi (3-0), a offert un répit bienvenu à l’Olympique de Marseille, qui restait sur trois revers consécutifs. Mais sur la Canebière, ce n’est que le calme provisoire avant la prochaine tempête.
Le nouveau défi qui se dresse sur la route de l’OM se nomme Zurich ce soir, «l’adversaire le plus faible de ce groupe, celui contre lequel il faut impérativement marquer six points», selon les paroles de Didier Deschamps et son staff au moment du tirage. Entre-temps, la donne a changé. Les Marseillais sont toujours à la recherche de leur premier point, alors que le champion suisse a créé la sensation en s’imposant à Milan.
«Je n’ai jamais sous-estimé Zurich, souligne Didier Deschamps. J’ai juste constaté que parmi nos adversaires se trouvaient deux géants, Real Madrid et Milan, ainsi qu’une équipe moins renommée dont je ne connais pas grand-chose, à part les extraits de ses matches. Aujourd’hui plus que jamais, nous avons besoin de deux victoires contre Zurich pour entretenir l’espoir.»
Crises à répétition
Sous peine de déclencher une nouvelle crise, l’une de celles qui accompagnent le quotidien du club le plus populaire de l’Hexagone, à défaut de fêter des résultats à la hauteur de ses ambitions et de ses investissements financiers. L’année 1993, celle du dernier titre national (retiré par la suite sur le tapis vert) et de la victoire en Ligue des champions, appartient à une autre époque.
Les deux Coupes de France (2006, 2007) ont néanmoins mis un terme à plus d’une décennie sans aucun titre. Mais cela ne saurait suffire, malgré les investissements du propriétaire de l’OM, Robert-Louis Dreyfus, décédé voici trois mois, après avoir investi 210 millions d’euros.
Les crises à répétition subsistent au Stade Vélodrome, là où il suffit de deux défaites pour que la tête de l’entraîneur et du directeur soit exigée par les supporters, voire une partie des médias. Eric Gerets avait forcé le respect et presque dégagé l’unanimité. Mais las, l’entraîneur-miracle cédait au printemps à l’appel des sirènes en Arabie saoudite.
A peine intronisé, son successeur, Didier Deschamps, menaçait de démissionner dans la foulée du remplacement à la direction du club de Pape Diouf par Jean-Claude Dassier, l’ancien patron de l’information de TF1. Sous la direction de Margarita, la veuve de Robert-Louis Dreyfus, qui continue à mener la barque en tant qu’actionnaire principale d’«Eric Soccer», la holding qui détient l’OM.
Les résultats corrects de l’OM en championnat (5e avec 17 points en 9 matches) ne suffisent pourtant pas à calmer les esprits. Chacun espérait mieux, après une campagne de transferts dynamique, enrôlant pour 40 millions d’euros les internationaux argentins Lucho Gonzalez (Porto, pour 18 millions d’euros, le transfert le plus onéreux de l’histoire de l’OM) et Gabriel Heinze, ainsi que l’Espagnol Fernando Morientes, le défenseur sénégalais Souleymane Diawara ou le Camerounais Stéphane Mbia, suspendu ce soir contre le FCZ. Autant d’arrivées qui ont notamment repoussé dans l’ombre le Brésilien Hilton (ex-Servette), qui devrait malgré tout être titularisé au Letzigrund, après un retour réussi à Nancy.
L’OM reste un univers impitoyable. Celui où chacun donne son avis. Voici deux jours, le maire marseillais faissait entendre sa voix. «Chacun à sa place, relève Jean-Claude Gaudin dans la presse régionale. Mais je demande à Jean-Claude Dassier d’être un patron rigoureux et peut-être même un peu sévère. Il faut ça dans le Midi.» Comment réagirait-il si Mandanda, Niang et leurs coéquipiers connaissent une désillusion en territoire helvétique?

Ca va masser....................