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XV de France
ILS ONT MANGÉ LES GAZELLES Superbes de détermination, dominateurs dans le jeu et dans le combat, les Français ont remporté une magnifique victoire de prestige face a l’Afrique du Sud championne du monde en titre (20-13).

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Transat Jacques-Vabre
Les Français Josse et Cuzon sains et saufs

Les navigateurs français Sébastien Josse et Jean- François Cuzon (BT) ont été récupérés vendredi sains et saufs par un hélicoptère de l'armée portugaise.


Sébastien Josse et Jean-François Cuzon, le 6 novembre, dans leur monocoque BT. (Photo: AP Photo)


Ils avaient déclenché la balise de détresse de leur monocoque plus tôt dans la journée.
Alors qu'une forte tempête a frappé la flotte de la course, partie le 8 novembre du Havre à destination de Puerto Limon (Costa Rica), Josse et Cuzon avaient actionné la balise de détresse vendredi à 11h00 GMT, à quelque 200 milles (environ 370 km) au nord des Açores.
Ils ont ensuite attendu les secours équipés de leur combinaison de survie à bord de leur bateau, à moitié rempli d'eau et dont le roof a été arraché.
Hélitreuillés, ils devaient être ramenés vers une base de l'armée américaine aux Açores.
La transat a été secouée par des vents établis entre 45 et 50 noeuds (80 et 90 km/h) avec des pointes à 65 noeuds (120 km/h), dans une mer hachée et croisée.

(ats)

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Foot - Bleus

Domenech démine le terrain

La dernière conférence de presse des Bleus avant Irlande-France a vu Raymond Domenech déployer des efforts inlassables et presque risibles pour n'alimenter aucune polémique.

Raymond Domenech n'a révélé aucun secret vendredi à Dublin à la veille du match aller face à l'Irlande. (Reuters)

Le match, le match, le match, rien que le match. Et, comme si cela allait de pair, du vent, du vent et rien que du vent. Face aux micros comme en toute chose, la quantité ne fait pas la qualité. S'il est exact que Raymond Domenech et Thierry Henry ont plutôt moins expédié la conférence de presse d'avant-match que d'habitude, vendredi à Dublin, celle-ci s'est soldée par une impression de vide assez rare, même pour les habitués, à moins que ce soit le contraste avec celle tenue par Giovanni Trapattoni, non loin de là, quatre heures plus tôt. En sortant, il aurait presque fallu s'excuser de s'intéresser au barrage le plus attendu de ce mois de novembre et de l'intérêt que suscite l'équipe de France.

Toulalan « en phase de préparation et de récupération »

Des exemples ? Première question : «Comment ça se présente ?». « Moyen, il pleut », répond Raymond Domenech, et voilà la jeune traductrice rappelée à l'ordre car elle a traduit «moyen» par «malheureusement». Avec la plus parfaite mauvaise foi, le sélectionneur a ensuite présenté Jérémy Toulalan comme « pas forfait » mais « en phase de préparation et de récupération ». Les journalistes irlandais médusés ont découvert le mythique « Je ne m'occupe pas de l'adversaire », même si le sélectionneur a fini par rendre hommage à son alter ego Giovanni Trapattoni. «C'est quelqu'un que je respecte beaucoup, un grand entraîneur qui a beaucoup prouvé. Je suis admiratif de ses talents.»

S'il fallait trouver les raisons d'un jeu si défensif, ce serait celle-là : Raymond Domenech a fait un effort particulier pour ne rien dire qui puisse alimenter un début de polémique. Et apparemment, tout pouvait faire polémique, puisque l'auditoire a appris que «l'idéal était de gagner» et de marquer des buts. Ces efforts sont allés jusqu'à rendre hilare un journaliste irlandais (Domenech : «comme en 2005, ce sera l'Irlande, la France, l'un jouera en vert, l'autre en bleu-blanc-rouge», «c'était pour la Coupe du monde 2006, là c'est pour 2010»).

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Rugby - Tournée

Un grand combat de plus

Au terme d'un match héroïque en terme d'engagement, le XV de France a triomphé du jeu minimaliste des Springboks (20-13). Impressionnants dans le combat, les Bleus ont fait vaciller les champions du monde.




Louis Picamoles s'attaque à Jaque Fourie.(REUT)


Il y eut 1958 et l'Ellis Park de Johannesbourg avec Lucien Mias. Il y aura désormais 2009 et ce Stadium frénétique dévoué au XV de France. L'incipit de ce premier test-match venteux n'a pas trahi le scénario écrit toute la semaine. A Toulouse où, paraît-il, même les mémés aiment la castagne, le Stadium a pu vérifier que la violence est bien le relais de l'âme springbok. Dix secondes ont suffi à Lionel Nallet pour s'assurer au plus près du double mètre de Bakkies Botha, de l'agressivité des champions du monde dont l'hymne fût malencontreusement "remixée". Ces gars du Sud sont nés pour emporter avec leur masse démesurée les ambitions adverses. Mais pas celles des Français préparés durant huit jours à ce face à face. Il suffisait de s'attarder sur les orbites de Fabien Barcella et William Servat au terme de la Marseillaise pour mesurer le degré de motivation de nos Coqs. Oui, les Bleus ont bien mis les Boks sur le derrière pendant le premier quart d'heure. En dynamiteur des hostilités, Louis Picamoles s'est présenté auprès de Burger avant que Barcella ne désosse Matfield, sorti quelques minutes plus tard, K.-O.


Un pack conquérant


En transe, le pack du XV de France a résisté, mieux, a comprimé la mêlée springbok. Les Sud-Afs ont eux fidélisé leur culture de la chandelle, avec Fourie du Preez en éclairagiste des cieux toulousains. Ce jeu sud-africain, minimaliste, fût au fil des minutes une redite sans saveur. Et que dire des interventions illicites de Botha sur les regroupements. Exemplaire dans le jeu au sol, Servat le malheureux a offert au bras de Smit, en fond d'alignement, le premier essai de la rencontre, comme pour mieux rappeler qu'avec ces gens-là, le réalisme est une façon d'être. Les visages blêmes, les Bleus se sont pourtant sublimés dans l'effort pour dissoudre lentement la défense des Boks sous les chants inspirés du Stadium. En bout de ligne, Vincent Clerc a ainsi réveillé les espoirs tricolores juste avant la pause (11-13).


L'occupation française...


Venus en Europe dédicacer le livre d'or d'une année triomphante, les Springboks espéraient sans doute que leurs châtiments allaient épuiser le XV de France pour rejoindre leur fosse commune, où gisent Lions, Blacks et Wallabies. Le Sud'Af aime les côtés, surtout ceux des rucks. Et c'est bien ça qui a failli déboussoler la formation de Marc Lièvremont. En naufragés de l'île du Ramier, les Bleus ont été ranimés par la Marseillaise du Stadium. Sur quarante mètres (53e), le XV de France a joué, enchaîné avec Marty, crocheté avec les cannes de Clerc pour mourir si près de l'en-but. Les Bleus se sont battus pour ne pas avoir à s'excuser. Tous. Trinh-Duc, Heymans, Dusautoir bien sûr, les Tricolores se sont époumonés pour reprendre chaque Sud-Africain échappé dans l'intervalle.

Marc Lièvremont et ses sbires, Didier Retière et Emile N'Tamack, avaient minutieusement étudié leur tactique dans leur retraite de Marcoussis. Résister à l'engagement des Boks pour les déplacer avec le jeu au pied de Damien Traille et Cédric Heymans. Leur shéma a triomphé du pragmatisme sud-africain. Douter, c'est tout perdre. Les Tricolores ont toujours su relever la tête en sortie de regroupement. Dans leur imaginaire naïf, les Boks ne s'attendaient certainement pas à une telle maturité dans le jeu français, à une telle agressivité sur quatre-vingt minutes. Et quand Sébastien Chabal découpe un Springbok en bord de touche (71e) pour annihiler sa relance, son plaquage s'imprime sur la rétine des spectateurs. Installés dans la moitié de terrain adverse, les Bleus ont essoufflé les Boks en enchaînant sans relâche. Comme un symbole, les Français ont triomphé sur la dernière mêlée. Un triomphe inconstesté. Les Boks pensaient peut-être que ce séjour à Toulouse se résumerait à flâner entre le Palais Niel et le jardin des plantes de la Ville Rose. Ce soir, la nuit toulousaine a seulement pansé leurs plaies. Les Français ont cogné plus fort. Et ici, si tu cognes, tu gagnes...

Vincent PERE-LAHAILLE, à Toulouse

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Rugby - XV de France

«Ce groupe vit bien»

L'entraîneur du XV de France, Marc Lièvremont, estime que la victoire des Bleus sur l'Afrique du Sud (20-13), vendredi à Toulouse, symbolise avant tout la cohésion du groupe tricolore. Une victoire importante pour sa continuité.

Marc Lièvremont, très concentré sur le jeu, a répondu avec le sourire aux questions d'après-match.(EQ)


«Marc Lièvremont, vous avez pris l'Afrique du Sud à son propre jeu...
On avait dit qu'on ne pouvait pas les jouer à la sud-africaine. Les joueurs ont d'abord dominé dans le combat et puis ils ont mis autre chose. C'est d'autant plus une satisfaction. Ça ressemble à quelque chose, c'est une victoire qui a du faire plaisir à nos glorieux anciens et aux jeunes parce qu'il y avait du spectacle.

Etes-vous satisfait de la manière dont l'équipe a géré le match ?
Au-delà du résultat, il y a eu une maîtrise tactique avec beaucoup d'intelligence. Sur l'essai de Smit, il y a eu une superbe réaction de l'équipe au niveau de la conquête, de l'alternance du jeu au pied. Les joueurs ont superbement terminé le match, c'est seulement dommage de ne pas avoir mis deux, trois essais sur nos occasions de la seconde période.
Le XV de France n'a jamais rien lâché.
Ce groupe vit bien et le montre sur le terrain. On est content (sourire). Physiquement, on est allé crescendo, c'était une des craintes. Et c'est vrai que le fait d'avoir pris le score assez vite, de jouer avec le vent dans le dos, d'avancer, nous a aidés. C'est une bonne nouvelle pour la continuité de la tournée. On aura bien besoin de souffler...

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Rugby : l'Angleterre pour rebondir, l'Irlande pour confirmer


Image © AFP
Richard McCaw en action, le 31 octobre 2009 à Tokyo
Au stade San Siro de Milan, la Nouvelle-Zélande, privée de Daniel Carter suspendu pour un plaquage dangereux samedi dernier face au pays de Galles, jouera un match sans danger contre l'Italie, qui n'a jamais battu les All Blacks en 11 confrontations.

AFP - le 14 novembre 2009, 12h47


L'Angleterre doit se relancer samedi face à l'Argentine après sa défaite contre l'Australie qui s'attaque dimanche à l'Irlande, l'adversaire le plus redoutable de sa tournée dans les îles britanniques, bien décidé à confirmer son Grand Chelem dans le Tournoi des six nations.
Une semaine après sa défaite face à l'Australie (9-18), la septième en douze matches de l'ère Martin Johnson, le XV de la Rose a tout à prouver face aux Pumas dans le test a priori le plus abordable de l'automne. Les Anglais affronteront les All Blacks le 21 novembre.
Au-delà du résultat, la manière sera particulièrement observée après la piètre prestation offensive offerte contre les Wallabies, où les Anglais ne se sont pas créé la moindre occasion d'essai. D'autant que l'Argentine sera privée de ses deux maîtres à jouer, Felipe Contepomi et Juan Martin Hernandez, blessés.
Au Croke Park de Dublin, l'Australie aborde face à l'Irlande une étape conséquente dans sa quête d'un "Grand Chelem" contre les équipes des îles britanniques.
Pour leur premier match depuis leur triomphe dans le Tournoi des six nations, les Irlandais voudront confirmer leur rang de première nation européenne.
L'équipe sera la même --à deux exceptions près-- que celle qui avait décroché le Tournoi au pays de Galles le 21 mars dernier.
Au stade San Siro de Milan, la Nouvelle-Zélande, privée de Daniel Carter suspendu pour un plaquage dangereux samedi dernier face au pays de Galles, jouera un match sans danger contre l'Italie, qui n'a jamais battu les All Blacks en 11 confrontations. A Edimbourg, l'Ecosse et son nouvel entraîneur Andy Robinson reçoivent les Fidji.
Le programme du week-end (en heures françaises):
Joués vendredi:
(20h30) Pays de Galles - Samoa, à Cardiff : 17-13
(20h45) France - Afrique du Sud, à Toulouse : 20-13
Samedi:
(15h00) Italie - Nouvelle-Zélande, à Milan
(15h30) Angleterre - Argentine, à Twickenham
(15h30) Ecosse - Fidji, à Edimbourg
Dimanche:
(16h00) Irlande - Australie, à Dublin

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Le TAS confirme la suspension à vie de la nageuse brésilienne Gusmao


Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a confirmé la suspension à vie de la nageuse brésilienne Rebeca Gusmao pour trois infractions aux règles antidopage, selon un communiqué du TAS vendredi soir.

La Brésilienne avait été contrôlée positive à la testostérone en mai 2006 lors des Championnats nationaux brésiliens, puis une deuxième fois en 2007 lors d'un contrôle inopiné avant les Jeux panaméricains de Rio de Janeiro, où elle avait remporté quatre médailles.

Pendant ces mêmes Jeux, elle avait passé un test en compétition, pour lequel les observateurs de l'Agence mondiale antidopage présents avaient émis des doutes. Des analyses ADN faites à leur demande avaient permis de démontrer que l'échantillon d'urine que la nageuse avait fourni n'était pas le sien.

La Fédération internationale de natation (FINA) avait tranché une à une sur ces trois infractions au cours de l'année 2008, prononçant d'abord une suspension de deux ans pour son premier contrôle positif, avant de la suspendre à vie en septembre 2008. (belga/th)

Trop belle pour moi, vous la laisse les copain

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Le TAS confirme la suspension à vie de la nageuse brésilienne Gusmao

contrôlée positive à la testostérone

Au Brésil, les filles font pipi debout.

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Tennis ATP

Djokovic balaye Nadal en demi-finale à Paris


Image © Keystone


Novak Djokovic a balayé le numéro 2 mondial Rafael Nadal en deux sets 6-2, 6-3 en une heure 16 minutes de jeu samedi en demi-finale du Masters de tennis de Paris.
le 14 novembre 2009, 16h25
LeMatin.ch & les agences


Pour sa première finale à Bercy, le Serbe tête de série 3, affrontera dimanche le vainqueur de l’autre demi-finale entre le Français Gaël Monfils et le Tchèque Radek Stepanek.
Djokovic aux 74 victoires record sur le circuit cette saison a fait cavalier seul après une entame de match équilibrée à 2-2. Il a ensuite aligné sept jeux de rang pour boucler la première manche 6-2 en 33 minutes puis mener 3-0 dans la deuxième.
Servant pour le match à 5-2 dans le deuxième, il s’est offert deux balles de match sur un retour dans le filet de Nadal et a converti la première d’un long coup droit sur la ligne de fond.
Le Serbe de 22 ans a confirmé, à grands coups de coups droits giflés décroisés, une fin de saison exceptionnelle. Il avait battu en finale à Bâle il y a une semaine le numéro 1 mondial Roger Federer pour s’octroyer le 15e titre de sa carrière.
Nadal, qui avait sorti vendredi en quart de finale le tenant du titre Jo-Wilfried Tsonga, ne s’est pas procuré la moindre balle de break. Il n’a marqué que 53% de points sur son premier service contre 83% au Serbe.
Djokovic s’est offert le droit de disputer sa cinquième finale d’un Masters 1000 cette saison après Miami, Monte-Carlo, Rome et Cincinnati. Il n’en a gagné aucune et a perdu contre Nadal pour le titre à Monaco et Rome. Nadal menait 14 à 5 dans leurs confrontations avant cette demi-finale de Bercy.
Outre Bâle, Djokovic a gagné trois autres titres cette saison, à Dubaï, Belgrade et Pékin.

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La Nouvelle-Zélande qualifiée pour la Coupe du monde

WELLINGTON | La Nouvelle-Zélande s'est qualifiée pour la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud grâce à son succès sur Bahrein (1-0).


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si | 14.11.2009 | 10:52


La Nouvelle-Zélande s'est qualifiée pour la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud grâce à son succès sur Bahrein (1-0) en match retour des barrages Asie-Océanie à Wellington. Après un 0-0 à l'aller, Rory Fallon a inscrit le seul but de la rencontre juste avant la pause.
La Nouvelle-Zélande, qui accède pour la deuxième fois à une phase finale de Coupe du monde (après le Mondial espagnol en 1982), est le 24e pays qualifié pour la Coupe du monde.