Toutes New sportives autres que la moto

[danlos]

Envoyé par Pasky

Vu ou pas vu alors ........?

Et l'autre question, personne n'y réponds ?
Pas plus les joueurs que les arbitres n'abordent le sujet, mais le hors jeu non signalé est la source de la faute d'Henry.

En fait, sur la 50aine de matchs qui ont déjà été testé, les arbitres supplémentaires n'ont servis à rien car ils n'en ont pas eu l'occasion, c'est pas à tout les matchs qu'il y a des "fautes" comme celle d'Henry.
Pour le hors jeu, c'est vrai mais d'un autre côté ça se joue à rien (10 centimètres), la plupart du temps l'arbitre siffle hors jeu alors qu'il n'y a rien du tout, et les irlandais qui pleurent car la FIFA, UEFA, arbitres voulaient la France en Coupe Du Monde, je pense que l'arbitre ne s'est pas dit "tiens je ne siffle pas le hors jeu, car derrière les bleus vont marquer". Dans ce cas là, il aurait siffler sur la faute du gardien (ou simulation) sur Anelka quelque minutes avant

[Norton]

Hors jeux il y a.
Faute de main il y a et là c'est carton rouge, dans la surface de réparation.
Mais c'est fait alors..............Nous n'en avons pas fini d'en parler..........

[Norton]

Les arbitres n'aiment pas les chats

Créé le 23.11.09 à 16h43
Mis à jour le 23.11.09 à 16h55
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Capture d'écran d'un match de football en Croatie, où le gardien sauve un chat au milieu du terrain/DR

FOOTBALL - Le gardien croate n'aurait pas dû sauver la bête sur le terrain...
Sur un terrain, il est recommandé de laisser se promener un animal, quitte à ce qu’il se fasse dégommer tel une quille par une boule de bowling. Dans le cas contraire, l’arbitre peut sortir ses cartons. Un gardien de but en a fait l’expérience, samedi, pendant un match du championnat croate.

Pour avoir mis à l'abri un chat qui s'était aventuré sur le terrain, Ivan Banovic, gardien de Medjimurje Cakovec, a écopé d’un jaune. Le chat blanc et noir se promenait près de ses cages quand il l’a pris dans ses bras et l'a placé en sécurité, près du tableau d'affichage. Or il est interdit de sortir du terrain sans la permission de l’arbitre, qui l’a averti illico. Qui oser dire que les arbitres français sifflent trop facilement?

deux poids deux mesures..............

[Norton]

Pas de revanche pour Nadal contre Söderling








Rafael Nadal a très mal débuté la Masters Cup à Londres. Opposé à Robin Soderling, son bourreau à Roland Garros, l'Espagnol a été dépassé en puissance par le longiligne Suédois (6-4 6-4). Les demi-finales s'éloignent pour le numéro 2 mondial.

C'était la première fois que les deux joueurs se retrouvaient depuis ce fameux huitième de finale, qui allait marquer le début d'une période de blessures et de doutes pour Nadal. Dans la O2 Arena, le Majorquin a été nettement dominé. Malgré un break réussi tôt dans le second set, il n'a jamais donné l'impression de pouvoir retourner la situation, ses coups de fond de court ne faisant pas assez mal.

Soderling s'est appuyé sur de grosses balles de service, parfois frappées à plus de 220 km/h, et a su prendre la majorité des initiatives dans l'échange. Nadal n'est pas encore éliminé de la course aux demi-finales, mais sa tâche s'annonce très difficile dans un groupe extrêmement relevé. Il reste sur des défaites à la fois contre le Serbe Novak Djokovic et contre le Russe Nikolay Davydenko, ses deux prochains adversaires, dans un ordre à déterminer.

Cet échec confirme les difficultés rencontrées par le N.2 mondial depuis qu'il est débarrassé des blessures qui ont gâché son été. L'Espagnol a obtenu des résultats honorables (finale à Shanghai, demi-finale à Paris-Bercy), mais n'a pas réussi à franchir le cap contre les tout meilleurs. Sa dernière victoire contre un des participants au Masters date du mois de mai à Madrid, contre Djokovic. (belga/mb)






23/11/09 17h16

[Norton]

David Beckham privé du titre par le Real Salt Lake










L'Anglais David Beckham a vécu dimanche à Seattle (nord-ouest) une nouvelle déception sous le maillot des Los Angeles Galaxy, battus aux tirs au but en finale du Championnat nord-américain de football (MLS) par le Real Salt Lake (1-1, 5 t.a.b. à 4). Le sort de cette finale indécise disputée devant 46.000 spectateurs s'est décidé sur un tir au but gagnant de Robbie Russell, le septième frappeur de l'équipe de l'Utah.

Le Real doit surtout sa victoire à son gardien Nick Rimando, qui a stoppé deux tirs du but et a été désigné homme du match. Mike Magee avait ouvert la marque à la 41e minute pour les Galaxy au bout d'une belle action construite par Landon Donovan et Beckham mais Robbie Findley avait égalisé sur un but chanceux (64) pour ramener le Real dans la course.

Si Beckham a ensuite converti son tir au but, cela n'a pas été le cas de Donovan, fraîchement désigné meilleur joueur (MVP) de la saison, qui a vu le sien s'envoler au-dessus de la barre transversale. Avec un succès, Beckham, qui a joué malgré une contusion à la cheville droite, aurait pu faire oublier les déceptions qui ont pavé son séjour en MLS depuis son arrivée en Californie à l'été 2007 dans l'effervescence médiatique.

Six fois sacré champion d'Angleterre (Manchester United) et une fois champion d'Espagne (Real Madrid), l'Anglais de 34 ans avait la possibilité d'être sacré dans un troisième Championnat, après avoir pris le train des Galaxy en marche cette saison parce qu'il avait fait prolonger jusqu'en juin un prêt à l'AC Milan qui devait initialement s'étaler de janvier à mars.

Direction Milan
Le club de Los Angeles, deux fois titrés (2002, 2005) et six fois finaliste, était donné favori face au modeste Real Salt Lake. Mais la jeune franchise de l'Utah, créée en 2005, a fait montre de caractère et de nerfs en maîtrisant l'épreuve des tirs au but pour le deuxième match de suite. En demi-finales, les joueurs du jeune entraîneur Jason Kreis (36 ans) avaient éliminé le Chicago Fire de la même manière, le gardien Rimando se distinguant déjà en déniant trois des sept tirs au but adverses.

Pas mal pour un club qui avait début la saison par sept matches consécutifs sans victoire. Beckham doit maintenant retourner à Milan pour un prêt de six mois afin de réaliser son rêve de jouer le Mondial 2010 avec l'Angleterre. Il pense avoir plus de chances d'être sélectionné par Fabio Capello s'il évolue en Europe. Il a toutefois maintes fois répété qu'il reviendrait ensuite à Los Angeles pour finir la saison 2010 avec les Galaxy.

[Norton]

Guillemot-Caudrelier vainqueurs furtifs ?

C'est dans la nuit de lundi à mardi que Marc Guillemot et Charles Caudrelier sont attendus en vainqueurs de la neuvième Transat Jacques-Vabre sur la ligne d'arrivée mouillée à Puerto Limon, au Costa Rica. Les deux skippers de Safran, passés lundi matin en mode furtif comme leurs poursuivants sur Groupe Bel, Kito de Pavant et François Gabart, possédaient à 200 milles du but un matelas de 90 milles d'avance...

Caudrelier et Guillemot, la victoire est proche (J.M.Liot/DPPI/Safran).
Et aussi...



Qui arrivera le premier à Puerto Limon ? Si la victoire semble jouée en ce qui concerne les deux classes en lice sur cette neuvième édition de la Transat Jacques-Vabre, l'Imoca (monocoques de 60 pieds) et celle des multicoques de 50 pieds, la question alimentait les conversations de la vacation de lundi, puisque le suspense restait total pour savoir, qui du monocoque Safran (Marc Guillemot-Charles Caudrelier) ou du trimaran Crêpes Whaou! (Franck-Yves Escoffier-Erwan Leroux), couperait le premier la ligne. Si Safran était encore pointé en tête lundi matin, il pourrait bien être coiffé sur le fil par celui qui s'apprête à signer sa troisième victoire de rang sur cette transat, à savoir Franck-Yves Escoffier sur Crêpes Whaou !. Le Malouin fondait en effet sur le monocoque, lui qui, faute de concurrence dans sa catégorie des multicoques de 50 pieds (le deuxième, Guyader-Esprit de la Mer, est à plus de 1600 milles, soit 3000 kilomètres!), s'est fixé comme objectif, histoire de pimenter sa fin de course, de finir devant la flotte Imoca.

Un scénario que l'organisation souhaitait à tout prix éviter - le directeur de course Jean Maurel l'a d'ailleurs confirmé lors de la vacation de lundi -, craignant que cela n'engendre une confusion aux yeux du grand public comme ce fut le cas lors de l'édition 2005 de cette Jacques-Vabre qui vit l'ancien Crêpes Whaou! terminer le premier à Salvador de Bahia, devant les flottes Orma et Imoca. Mais même en rallongeant la route pour les multis (5050 milles contre 4730 pour les monocoques), Crêpes Whaou! restait en position de finir le premier à Puerto Limon, son skipper confirmant d'ailleurs lundi espérer une telle issue: "Sinon j'aurais arrêté depuis quelques jours de tirer sur le bateau au portant comme je le fais ! Même si les chances s'amenuisent d'heure en heure, c'est un objectif pour nous", expliquait Franck-Yves Escoffier, tandis que Marc Guillemot, joint juste après lui, avouait ne guère se soucier de la question: "Que Crêpes Whaou! soit arrivé depuis dix jours ou qu'il arrive demain après nous, sincèrement, c'est très bien pour Franck-Yves et Erwan, ça leur fera peut-être plus de médias. Mais ce qui m'intéresse, c'est de terminer devant Bel et tous les autres. Ce n'est pas le même bateau, pas le même parcours, s'ils sont devant, tant mieux pour haut, mais pour moi, cela ne me fait ni chaud ni froid, pour être bien clair."

Une arrivée à l'ancienne

Le skipper de Safran n'entend effectivement pas qu'on lui gâche son plaisir de signer, à 50 ans, sa première grande victoire à la barre de Safran, après avoir collectionné les places d'honneur depuis sa mise à l'eau (2e de la Transat Jacques-Vabre 2007, 5e de la Transat BtoB 2007, 4e de la Transat anglaise 2008, 3e du dernier Vendée Globe). Une victoire qui, à quelques heures de l'arrivée, prévue au mieux lundi peu avant minuit au pire mardi au petit matin, heure française, ne semblait plus faire de doute. Safran possédait en effet lundi à 8h, à 200 milles de Puerto Limon, 90 milles de Groupe Bel, qui aura vainement tenté dimanche une option au nord de la dernière chance. "On avait un écart de 90 milles entre Bel et nous, confirmait Marc Guillemot lundi à 14h, un matelas relativement confortable à 250 milles de l'arrivée. Il n'y a pas de coup mirobolant à faire, juste à se rapprocher de la ligne d'arrivée, je ne pense pas qu'il faille s'attendre à de grosses surprises, à moins que Kito et François n'aient joué un deuxième joker."

Un deuxième car à 11h lundi matin, Groupe Bel a choisi de passer en mode furtif, entraînant du coup dans sa foulée Safran, le règlement autorisant aux concurrents de rester invisibles de leurs rivaux pendant 24 heures. L'un comme l'autre ont fini par lever cette option au tout dernier moment. "C'est une carte qu'on avait en main, a commenté Marc Guillemot, on n'est pas les seuls à l'utiliser. On avait pensé l'utiliser à l'entrée de l'arc antillais, mais ce n'était pas très intéressant. On a ensuite failli la prendre pour hier, finalement on s'en sert le dernier jour. Ça peut donner une petite frustration pour ceux qui suivent la course heure par heure, mais ça donne un peu de piment à la chose."

C'est en effet un peu une arrivée à l'ancienne que nous réservent les deux tandems de tête de cette Jacques-Vabre qui se seront livré pendant un peu plus de 15 jours de mer une belle bataille, pour le plus grand bonheur d'un Marc Guillemot, qui, un an plus tôt, avait vécu un Vendée Globe davantage en mode aventure, entre pépins à répétition sur son bateau et sauvetage de Yann Eliès dans l'océan Indien: "Le côté aventure est resté aux oubliettes, par contre la partie sportive a pris 100% de place. Du coup de canon au départ au Havre jusqu'à l'arrivée, ça a été une bagarre. On s'est arrachés, l'effort physique et le côté sportif de cette épreuve ont été prédominants depuis le 8 novembre, on le sent profondément dans nos corps, on rentre fatigués parce qu'il y a eu beaucoup de manoeuvres, vivement l'arrivée !" Fatigués mais sans doute comblés...

Ben j'ai pas d'autres nouvelles sous la main là.......

[Pasky]

Envoyé par Norton

Les arbitres n'aiment pas les chats.

Qu'ils se rassurent, la réciproque est vraie
A S S A S S I N !!!

[Norton]

Le boxeur mexicain Rodriguez décède après un combat

Le boxeur mexicain Francisco Rodriguez est décédé dimanche, deux jours après un combat à Philadelphie pour la conquête du titre super coq de la Fédération nord-américaine, a-t-on appris lundi auprès du promoteur Dominic Pesoli.

Pesoli a confirmé que Francisco Rodriguez, 25 ans, était mort dimanche soir après s'être incliné vendredi soir face à Teon Kennedy.
D'après le promoteur de Philadelphie, J. Russell Peltz, le boxeur de Chicago aurait perdu connaissance alors qu'il était assis dans son coin, après que le combat, violent, eut été arrêté par l'arbitre à la 10e reprise.

Rodriguez a été transporté à l'hôpital et a subi d'urgence une opération cérébrale, mais il n'a pas repris connaissance. Connu sous le surnom d'"El Nino Azteca" (l'enfant aztèque), Francisco Rodriguez était passé professionnel en 2005. En 2001, alors qu'il était encore amateur, il avait obtenu le Gant d'or, récompensant le meilleur boxeur de l'année au niveau national.

[Norton]

Tennis - ATP - Masters

Djokovic fissure le mur

Novak Djokovic a souffert mais il n'a pas rompu face à un excellent Nikolay Davydenko (3-6, 6-4, 7-5). Après 2h47' de jeu, le Serbe a réussi son entrée en lice dans un tournoi dont il est le tenant du titre.

Novak Djokovic a dû s'employer face à un redoutable Davydenko(REUT)

Novak Djokovic, homme en forme de cette fin de saison, a subi un test dont il commence à avoir l'habitude face à Nikolay Davydenko. Largement dominé pendant un set et demi, le Serbe a su rester patient et prendre l'offensive pour venir à bout d'un Davydenko en mode muraille. Sur les bases de leur demi-finale hallucinante de Shanghaï et dans un remake de la finale du dernier Masters c'est finalement le n°3 mondial qui a eu le dernier mot (3-6, 6-4, 7-5) après 2h47' de jeu. Une fin de match au couteau avec un Serbe qui a tremblé, comme ça lui arrive parfois, au moment de conclure (5-4, 5-5) mais qui a su garder son calme pour reprendre la main dans la foulée. Davydenko pourra regretter de ne pas avoir su profiter de la fébrilité adverse en fin de rencontre en commettant bien trop de fautes, mais surtout de ne pas avoir gardé son emprise sur le match dans le deuxième set. L'arrivée du médecin avant le début du troisième set a pu laisser penser, comme son mauvais début de manche décisive, que quelque chose avait lâché chez le Russe mais sa fin de partie n'a pas montré de flagrante souffrance.

La lutte va faire rage

Djokovic, qui reste sur deux titres à Bâle et dans le Masters 1000 de Paris Bercy, a donné des signes de fatigue mais surtout de nervosité. Raquette balancée, influx perdu à s'époumonner devant son clan, le Serbe aujourd'hui avait clairement besoin d'aller puiser de l'énergie et de la sérénité chez les siens. Ses parents et son coach ont ainsi parfaitement rempli ce rôle, très souvent debout et animés pour pousser derrière leur champion. La pancarte de grand favori sur le dos pèse peut-être tout aussi lourd que la longueur de la saison. Mais la qualité de jeu produite entre les deux adversaires du jour ne trompe pas non plus. Cadence infernale sur la ligne, travail dans les angles avec une précision impressionnante : Djokovic et Davydenko ont livré un match de cadors. Comme souvent entre ces deux joueurs aux qualités si semblables même si la faculté du Serbe a varié effets, longueurs et angles lui donne souvent l'avantage.. La lutte va à n'en pas douter laisser des traces dans les organismes mais Djokovic aura, lui, la satisfaction de la victoire et des 200 points qui vont avec. La lutte dans ce groupe B n'a pas fini de faire rage. - C.B.

[Norton]

Voile: Escoffier et Leroux remportent la transat Jacques Vabre en multicoques
(AFP) – il y a 1 heure
PUERTO LIMON — Franck-Yves Escoffier et Erwan Leroux (Crêpes Whaou !) ont remporté mardi à Puerto Limon la course des multicoques de la 9e transat Jacques Vabre à la voile, partie du Havre le 8 novembre.
Escoffier et Leroux ont coupé la ligne à 05 h 31 min et 50 sec (GMT) et ont réalisé un temps de course de 15 jours, 15 h, 31 min et 50 sec (moy : sur les 4.730 milles du parcours. C'est le troisième succès d'affilée pour Escoffier dans cette course, après ceux de 2005 et 2007, et avec trois co-skippeurs différents, Karinne Fauconnier, Kevin Escoffier et Erwan Leroux.
Cette classe avait été maudite dès avant le départ, puisque sur les trois derniers bateaux mis à l'eau en 2009, un premier avait été contraint de déclarer forfait, Prince de Bretagne de Hervé Cléris et Christophe Dietsch sur avarie de flotteur. Le Prince de Bretagne, actuellement en course, est le plus vieux bateau.
Mais c'est dans les première heures de course que le malheur frappa encore une fois cette classe avec le retournement d'Actual de Yves Le Blévec et Jean Le Cam, au large de Cherbourg.
Ensuite, la tempête a entraîné l'abandon d'Alain Maignan et Nicole Harel (FenêtreA Cardinal) et les avaries de rail de grand voile du vieux Prince de Bretagne.
Il ne restait plus que deux adversaires à Escoffier-Leroux : Victorien Erussard-Loïc Fequet (Guyader pour urgence Climatique) et Lalou Roucayrol-Amaür Alfaro (Région Aquitaine-Port Médoc), qui sont des bateaux anciens, moins performants.
"Sur la fin, on a tiré un peu sur la paillasse", a dit Escoffier après avoir passé la ligne. "A partir du moment où nous nous sommes retrouvés seuls, il nous a fallu nous donner un nouvel objectif, c'était arriver devant tout le monde". Dans un sursaut de volonté, Escoffier et Leroux ont cravaché dans les derniers milles pour se présenter en premier sur la ligne d'arrivée dans une course où les multis 50 avaient eu l'avantage de partir avec un demie-heure d'avance mais avec le handicap d'avoir 320 milles de plus à accomplir.