Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Envoyé par philguerin

Je viens d'entendre à la radio que Woods était sortie de l'hosto.... il semblerait que ce soit moins grave que cela avait été avancé au départ... tant mieux pour lui

Oui je viens de lire un article. Le journaliste à amplifié la nouvelle........ Bonne journée Phil à plus....................

[danlos]

Envoyé par Norton

Oui je viens de lire un article. Le journaliste à amplifié la nouvelle........ Bonne journée Phil à plus....................

les sites français disaient que c'était un accident très grave, bref on pouvait penser au pire, mais sur les sites américains, on parlait juste d'un accident de voiture sans plus de précisions. Le journaliste de l'AFP voulait faire du sensationnel mais franchement pour des choses comme ça, il faut être vraiment sur de ce qu'on dit

[philguerin]

l'information et la désinformation sont souvent réalisé par les même personnes... un journaliste qui trouve que ce n'est pas assez sanguinolant n'hésite pas à en remettre une couche... l'essentiel c'est de vendre... après ils s'en foutent... et malheureusement la presse sportive n'échappe pas à cette régle....



enfin tant mieux pour Woods et sa famille...

[Norton]

Soderling craint Del Potro

«Je me suis battu et j'ai essayé de battre Davydenko, comme je le fais pour chaque match que je joue. Maintenant, je suis resté premier du groupe et je suis concentré sur ma demi-finale contre Juan-Martin. C'est un très bon joueur, qui sert bien, et qui joue vite et bien en coup droit. Il a battu Roger (Federer) jeudi, il est en pleine confiance actuellement. Je dois bien servir, bien bouger, je crois que je dois tout faire bien parce que c'est un joueur qui ne vous laisse pas beaucoup de chances pendant un match. Je vais devoir franchir un cap par rapport au match d'hier mais je pense être capable de le faire. J'ai bien joué cette semaine, et ces derniers mois aussi. J'espère avoir ma chance», a déclaré Soderling à la sortie du court.

[Norton]

Suivez Federer - Davydenko en live comme-à-la-maison dès 15h15

Créé le 28.11.09 à 12h38
Mis à jour le 28.11.09 à 12h58 | 1 commentaires
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Le tennisman suisse, Roger Federer, lors de sa victoire face à Fernando Verdasco, le 22 novembre 2009 au Masters de Londres/REUTERS

TENNIS - La première demi-finale du Masters de Londres...
L'avant match

Nikolay Davydenko a de quoi pester. Le Russe, qui a obtenu son ticket pour les demi-finales vendredi soir, lors de la night cession du Masters de Londres, ressort ses raquettes dès cet après-midi pour défier Roger Federer. Un adversaire qu’il n’a jamais battu en douze confrontations et qui bénéficie lui d’un temps de récupération largement supérieur, puisqu’il n’a plus mis les pieds sur le court depuis jeudi soir.

Dans la soirée, la deuxième demi-finale mettra aux prises à 21h45 Juan Martin Del Potro à Robin Söderling. Vendredi, la victoire de Davydenko contre Söderling a eu pour principale conséquence d'éliminer Djokovic, le tenant du tire. Vainqueur dans l'après-midi de Nadal, le Serbe tablait sur une défaite du Russe pour entrer dans le dernier carré. Au final, ces demi-finales se disputeront donc sans les têtes de série numéro 2 (Nadal), 3 (Djokovic) et 4 (Murray).
Un match à suivre et à commenter en live comme-à-la-maison dès 15h15 sur 20minutes.fr. Un dicton russe dit «On ne bat jamais Nikolay Davydenko treize fois d'affilée». Voyons si c'est vraiment le cas...

R.S.

Suis déjà malade........Les NERFS. Je vais serrer.......

[Norton]

MASTERS DE LONDRES

Le jour de gloire d'un paria


Image © Keystone
Nikolay Davydenko bat Roger Federer pour la première fois de sa carrière. Le Suisse était, jusque-là, le seul joueur à n'avoir jamais été battu par le Russe
Nikolay Davydenko a créé la sensation en éliminant Roger Federer en demi-finale du tournoi (6-2 4-6 7-5). Le Russe, qui n'avait encore jamais battu le Bâlois mais encaissé douze défaites, était persuadé de s'incliner une treizième fois d'affilée.
Fabiano Citroni - le 28 novembre 2009,
Le Matin Dimanche



Au point qu'il pensait déjà à ses vacances! Les îles, ce sera pour un peu plus tard. Avec, peut-être, un titre du Masters dans les bagages
Même lui n'y croyait pas. «En douze rencontres, je n'avais jamais battu Federer. Alors, au moment d'entrer sur le court, je ne pensais à rien de spécial. Ou je me disais plutôt: «Bon, tu vas encore perdre. Demain tu rentres à la maison. Et après-demain tu pars en vacances aux Maldives.» C'est ce qui me traversait l'esprit, en fait.»
Avant même le début de sa demi-finale contre le numéro un mondial, Nikolay Davydenko était sûr de connaître l'issue du match. Mais, à sa plus grande surprise, le Russe s'est trompé. Après des années et des années d'attente - première confrontation entre les deux hommes en 2002 - il a enfin battu Roger Federer. «Toute ma famille, tous mes amis, tous les gens qui me soutiennent attendaient ce moment. Car Federer était le seul joueur du top 10 que je n'avais jamais épinglé, explique le Russe, sur un petit nuage lors de la conférence de presse d'après-match. Je me disais que je gagnerais peut-être en 2010 ou en 2011. Mais jamais en 2009. J'avoue que je me sens bien, là.» Et l'homme du jour d'éclater de rire.
Courte nuit
Davydenko ne s'attendait tellement pas à sortir vainqueur de son duel contre le maître qu'il avoue: «Vaincre Federer est presque plus beau que gagner le tournoi. Je ne me dis pas: «Tiens, maintenant, tu es le numéro un mondial.» Mais ce succès me met en confiance. Savoir que tu peux battre tout le monde, c'est génial.»
Le matricule 7 du classement ATP a dû batailler pendant près de deux heures pour mériter sa victoire. Embarqué dans un troisième set, il se voyait mal barré. «J'étais crevé. Je m'étais couché à 3 h la veille de la demi-finale à cause de mon match de poule contre Söderling. Du coup, j'avais du mal à me concentrer et à jouer chaque point à fond.»
Dans ce set décisif, à 5-4 pour Federer, service Davydenko, le Bâlois réussissait un point d'anthologie - il smashait un smash de son adversaire! - pour mener 30-0 et se retrouver à deux points de la victoire. Coup de blues dans le camp Russe: «Je me suis dit que Roger avait trop de chance. Je pensais: «Oh non, je vais encore perdre contre lui. Il va me mettre un 6-4 dans le troisième set et je vais pouvoir rentrer chez moi.» J'en avais marre.»
Malmené sur son engagement, il parvenait néanmoins à le préserver avant de prendre celui de Federer. Quelques instants plus tard, il s'imposait sur sa première balle de match.
Soupçons de paris truqués
Quelle revanche pour ce joueur récemment abandonné par son équipementier (Prince) et soupçonné il y a deux ans d'avoir trempé dans une affaire de paris truqués. «Si je voulais, je pourrais retrouver un nouveau sponsor pour ma raquette. Le problème, c'est que j'ai envie de jouer avec mes Prince. Mais, chez Prince, ils disent qu'ils n'ont plus d'argent. Quant aux paris truqués, c'est vrai que cette affaire m'a plombé le moral. Il a fallu un an à l'ATP pour me blanchir. Et, durant ce laps de temps, j'ai dû sans cesse répondre à des questions sur ce sujet. J'avais presque envie de laisser tomber le tennis. Mais ma famille m'a soutenu. Et j'ai pu me concentrer sur le tennis.»
A l'époque de l'affaire, Roger Federer avait publiquement défendu Davydenko. Hier, le numéro un mondial lui a rendu hommage.
«Il a traversé une période difficile et il s'en est superbien sorti. Je le respecte pour cela, mais aussi pour le joueur qu'il est. Il m'a enfin battu. Je lui souhaite vraiment le meilleur pour la finale.»


Federer: «Oui, c'est décevant»
Roger Federer n'a pas envie de s'appesantir sur sa défaite: «Oui, c'est décevant. Pas de perdre contre Davydenko pour la première fois, mais de rater la finale. Mais j'ai manqué mon début de partie, et ça m'a été fatal.» Le Bâlois préfère positiver: «Je termine l'année au premier rang, ce qui est phénoménal pour moi. Et puis j'ai réussi le doublé Roland-Garros - Wimbledon, ce qui restera parmi les meilleurs souvenirs de ma carrière. Globalement, je n'ai donc pas de regrets.» A présent en vacances, le Bâlois ne devrait pas «passer beaucoup de temps en Suisse». «Je reprendrai l'entraînement à Dubaï, puis je commencerai la nouvelle saison par une exhibition à Abu Dhabi, en fin d'année.»

Bon il reste No1

[Norton]

saut à skis

Le vent n'est pas l'ami de Simon Ammann


Image © Keystone
Dans la première manche, un trou d'air a complément déstabilisé Simon Ammann

Le Saint-Gallois n'a obtenu qu'une douzième place à Kuusamo (Finlande)
le 28 novembre 2009,
Le Matin Dimanche



Simon Ammann a terminé au douzième rang du premier concours de Coupe du monde à Kuusamo (Fin) après avoir totalement raté sa première manche. Björn Einar Romören (No) s'est imposé devant l'Allemand Pascal Bodmer alors que l'Autrichien Gregor Schlierenzauer n'a pu faire mieux qu'un modeste 19e rang.
Les deux favoris Ammann et Schlierenzauer ont subi les caprices d'Eole lors de la première manche. Un trou d'air aux alentours des 120 mètres a empêché les deux sauteurs de livrer une performance en adéquation avec leurs qualités naturelles. «A la table, j'étais en retard à l'impulsion mais c'est principalement en bas du tremplin que les conditions aérologiques ont été difficiles», regrettait le double champion olympique de Salt Lake City.

Résultats
Kuusamo (Fin). Coupe du monde de saut à skis, grand tremplin. Classement final: 1. Romoeren (No) 299,8 (139,5/139). 2. Bodmer (All) 290,7 (133/141). 3. Loitzl (Aut) 290,4 (136,5/136,5). 4. Uhrmann (All) 289,4 (138/135). 5. Jacobsen (No) 283,4 (130/140,5). 6. Tochimoto (Jap). Puis: 12. Ammann (S) 269,2 (124,0/140,0). 35. Egloff (S) 99,6 (114,5) 46. Küttel (S) 75,6 (102) 47. Français (S) 74,2 (101,5)

[Norton]

SKI ALPIN

La 100e est pour Cuche

Image © Keystone
Didier Cuche est dans une forme impressionnante en ce début de saison

Le Neuchâtelois, brillant, a offert à la Suisse son 100e succès dans une descente de Coupe du monde. Janka troisième, Hoffmann cinquième
le 28 novembre 2009,
Le Matin Dimanche



Didier Cuche entre un peu plus dans l'histoire. En remportant la descente de Coupe du monde de Lake Louise (Can), le Neuchâtelois a offert à la Suisse sa 100e victoire dans la discipline.
S'imposer à Lake Louise doit spécialement réjouir le skieur des Bugnenets. Prudent lors de l'exercice des pronostics vendredi, Cuche se serait bien vu cinquième. La piste ne lui avait en effet jamais vraiment souri. Sa meilleure performance restait jusqu'à hier une cinquième place décrochée en 2006.
Vendredi, au terme du dernier entraînement, Didier Cuche avait avoué avoir trop attaqué. Face à la question des conditions météorologiques qui faussent souvent la course dans la station de l'Alberta, le Neuchâtelois s'était montré résigné. «Je tenterai de faire le mieux possible, quelles que soient les conditions». C'est plutôt réussi.
«Pour une fois je n'ai pas eu de malchance avec la météo, relevait Didier Cuche après la course. J'ai pu mettre en oeuvre tout ce que j'avais remarqué durant la reconnaissance. En comparaison avec le dernier entraînement, j'ai skié plus finement et j'ai trouvé une meilleure ligne. Malgré la visibilité plutôt moyenne, j'ai bien maîtrisé les mouvements du terrain.»
Aucun succès suisse depuis 1991
Cela faisait 18 ans qu'aucun skieur helvétique ne s'était imposé sur les pentes de la station canadienne. C'était Franz Heinzer qui avait remporté la deuxième descente disputée en 1991.
Didier Cuche signe ainsi son 11e succès en Coupe du monde, le 5e en descente. Le champion du monde de super-G dépasse ainsi Bernhard Russi (10 victoires) mais compte encore du retard sur Franz Heizer (17 succès) et Pirmin Zurbriggen (40).
Le succès de Cuche a été complété par l'excellente performance du Grison Carlo Janka qui a pris la troisième place. Cuche premier et Janka troisième, c'est exactement les positions qu'occupaient les deux hommes lors du géant de Sölden en octobre. Janka, déjà 2e la saison dernière à Lake Louise (avec le dossard 65) continue de prouver qu'il devient également un candidat sérieux pour le globe de cristal du général. A tout juste 23 ans, le champion du monde de géant ne veut pourtant pas se mettre la pression.
Interrogé par le site spécialisé skionline.ch sur ses objectifs cette saison, «Iceman» restait mesuré. «Il faut avant tout que je confirme mes bons résultats de la saison dernière. Le général? Non, je suis encore trop jeune. J'aurai le temps d'y penser dans les années à venir.»
Si Cuche et Janka dominent leur sujet, il ne faut pas négliger les excellentes performances des autres Suisses engagés. Ambrosi Hoffmann a ainsi pris une encourageante 5e place alors que Tobias Grünenfelder, parti avec le dossard 41, s'est hissé à la 9e place. L'espoir glaronais Patrick Küng a pour sa part approché le top 10(11e).
Didier Défago équilibriste
Didier Défago n'a pas démérité en finissant 14e. Le double vainqueur de Wengen et Kitzbühel en janvier dernier ne pointait qu'à 0''13 de Cuche avant de commettre une erreur. Peu avant le passage dit du «Fall Away» le Morginois s'est retrouvé en difficulté et n'a dû son salut qu'à un numéro d'équilibriste de grande tenue.


Suissesses: raté!
Dans le slalom géant féminin d'Aspen remporté par l'Allemande Kathrin Hoelzl, ce fut la soupe à la grimace pour les Suissesses. Fabienne Suter ne s'est jamais senti à l'aise sur la piste glacée des Rocheuses.
La Schwytzoise de Sattel, pétrifiée, a perdu plus de cinq secondes sur le premier tracé. La Vaudoise Aline Bonjour, pourtant dans son élément sur les tracés gelés, n'a pas tenu. Une erreur sur le ski intérieur ruinait ses chances. La Montreusienne avait pourtant signé son meilleur résultat en Coupe du monde sur le «Ruthies Run» d'Aspen (8e) l'an dernier.

[Norton]

Le tennis et le basket également concernés par les paris truqués

Le grand scandale des paris sportifs truqués qui frappe l'Europe ne concerne pas uniquement le football. Selon le site internet de l'hebdomadaire allemand Der Spiegel, le parquet de Bochum enquête également sur des rencontres de tennis et de basket.

Une rencontre de play-off du championnat d'Allemagne de basket au mois de juin et un match de double dames au tournoi de tennis de Fès au mois d'avril, sont dans le collimateur de la justice allemande.

Selon des documents dont le Spiegel a pu avoir connaissance, les pays concernés par des paris truqués liées au football ne sont pas au nombre de 9 mais bien de 17, dont la Belgique.

[Norton]

Rugby, France - Nouvelle-Zélande, Présentation

Marée blanche sur les Bleus

François Trinh-Duc ne peut empêcher Nonu de franchir le rideau défensif tricolore (DPPI) Les Blacks avaient prévenu, ils attendaient ce match avec impatience et les Bleus ont pu constater le chemin qu’il leur reste à parcourir pour être au niveau des meilleurs, avec une lourde défaite au final (12-39).
par Yoann Palej, le 27-11-2009

Le choc entre la France et la Nouvelle-Zélande s’apparentait à une véritable « finale » entre les deux formations invaincues de cette tournée automnale. Si l’on ajoute à cela que les All Blacks restaient sur deux défaites en trois matches face aux Bleus, leurs (seuls) bourreaux habituels de l’hémisphère Nord, tout était réuni pour une affiche explosive. La seule question était de savoir quel visage présenterait une équipe de France séduisante ces derniers temps mais capable du meilleur comme du pire.
Des Blacks impressionnants
Impressionnante aux yeux de tous, la mêlée française confirmait ses bonnes dispositions en bousculant son homologue dès la première occasion, ce qui permettait à Dupuy d’ouvrir le score sur pénalité (3-0, 4e). Pas de quoi déstabiliser les Blacks pour autant. Ceux-ci profitaient de leur première incursion dans le camp adverse pour mettre le feu. Après une percée de Nonu, le ballon revenait à Sivivatu qui transperçait le dernier rideau pour le premier essai du match, aussitôt transformé par Carter (3-7, 8e). Si Cowan, sur un ballon contré, était tout près de marquer à son tour, ce sont les Bleus qui reprenaient le score grâce à deux nouvelles pénalités de Dupuy (6-7, 6e, puis 9-7, 20e). Le problème, c’est que face à la Nouvelle-Zélande, chaque erreur se paye cash et, sur un ballon perdu, Sivivatu remontait le terrain le long de la ligne de touche, avant d’adresser un ballon d’essai à Muliaina (9-12, 23e). Carter ratait la transformation, mais il se reprenait très vite avec une pénalité (9-15, 29e). Pire encore pour les Bleus, à cinq mètres de la ligne, la mêlée blanche perdait un ballon pour un essai de Kaino transformé par Carter (9-22, 33e). Un joli drop de Trinh-Duc permettait de réduire l’écart avant la pause (12-22, 35e), mais la tâche s’annonçait plus que compliquée face à des All Blacks que l’on avait pas vus aussi performants depuis longtemps.
Les Bleus débordés
Courageux, les Français n’abdiquaient pas et étaient même tout près de trouver l’ouverture, mais ils étaient repris à quelques mètres de la ligne. Dommage, d’autant plus que Dupuy ratait sa première pénalité du match (48e). Avec l’appui du vent, Carter se montrait bien plus précis dans cet exercice (12-25, 52e) et les Blacks continuaient leur œuvre de démolition, faite de contacts rugueux, de belles inspirations au pied de Carter et de passes qui mettaient les Bleus dans le rouge à chaque accélération. Pour ne rien arranger, Dupuy ratait une nouvelle pénalité et si Carter touchait la barre sur une tentative de drop (62e), la France n’était qu’en sursis. Jane tapait à suivre le long de la ligne de touche et il était encore à la réception pour le quatrième essai du match, une nouvelle fois transformé par un Carter intenable (12-32, 63e). La messe était dite, mais les Bleus allaient boire le calice jusqu’à la lie face à des Blacks monstrueux et un nouvel essai de Conrad Smith, bien évidemment transformé par l’homme du match… l’immense Dan Carter (12-39, 74e). Il n’y avait plus qu’une équipe sur le terrain et, même si le public du Vélodrome tentait de pousser, les Bleus ne pouvaient rien face à cette magnifique formation néo-zélandaise qui a frappé un grand coup lors de cette tournée automnale !

Aie la fessée?