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[Norton]

Bobsleigh - CM (H)

Hefti enchaîne

Le Suisse Beat Hefti a remporté sa troisième victoire de la saison en s'imposant, samedi à Winterberg, lors de la quatrième épreuve de la Coupe du monde. Il a pris le meilleur sur l'Allemand Karl Angerer et son compatriote Ivo Rueegg. L'Allemand Andre Lange, double champion olympique 2006, a du mal à retrouver ses sensations cette saison et n'a pu faire mieux que sixième. Au classement général, Rueegg est en tête avec 810 points devant Hefti qui n'a disputé que trois courses cette saison. Lange est 15e avec 464 points.

Le classement de l'épreuve de Winterberg (après les deux manches):
1. Beat Hefti/Thomas Lamparter (SUI) 1'53''17 (56''73 + 56''44)
2. Karl Angerer/Gregor Bermbach (ALL) à 0''07 (56''71 + 56''53)
3. Ivo Rueegg/Roman Handschin (SUI) 0''11 (56''72 + 56''56)
4. Daniel Schmid/Juerg Egger (SUI) 0''15 (56''73 + 56''59)
5. Thomas Florschütz/Andreas Bredau (ALL) 0''26 (56''71 + 56''72)

Le classement de la Coupe du monde de bobsleigh à deux (après quatre des huit épreuves):
1. Ivo Rueegg (SUI) 810 points
2. Beat Hefti (SUI) 795
3. Steven Holcomb (USA) 770
4. Karl Angerer (ALL) 722
5. Alexander Zubkov (RUS) 712

[danlos]

Envoyé par Norton

Ski de fond/Davos

15 km messieurs : Maurice Manificat 3e

L'équipe de France a réussi une impressionnante performance d'ensemble avec cinq représentants dans les huit premiers. Emmanuel Jonnier s'est classé 4e, devant le leader de l'équipe de France Vincent Vittoz et Robin Duvillard, tandis que Jean-Marc Gaillard, 7e mondial l'hiver dernier, a terminé à la 8e place.

ah ah, c'est ça d'être plus intelligent et de trouver des raccourcis.
Alors là, je crois que j'ai vu une course historique pour l'équipe de France, eux qui ont du mal a finir dans les 10 premiers et là, les 5 dans les 8 premiers. En plus c'est la première fois que Duvillard rentre dans les 30, pareil pour Manificat qui n'avait jamais fait mieux que 13ème.
Au moins toute l'équipe est homogène, dommage qu'il n'y en ai aucun qui réussisse à gagner.
Bravo à eux 5

[nofoot]

Envoyé par danlos

ah ah, c'est ça d'être plus intelligent et de trouver des raccourcis.
Alors là, je crois que j'ai vu une course historique pour l'équipe de France, eux qui ont du mal a finir dans les 10 premiers et là, les 5 dans les 8 premiers. En plus c'est la première fois que Duvillard rentre dans les 30, pareil pour Manificat qui n'avait jamais fait mieux que 13ème.
Au moins toute l'équipe est homogène, dommage qu'il n'y en ai aucun qui réussisse à gagner.
Bravo à eux 5

vittoz a deja gagné des manches de coupes du monde sur 15 km style libre et a meme eté champion du monde sur cette meme distance

[danlos]

Envoyé par nofoot

vittoz a deja gagné des manches de coupes du monde sur 15 km style libre et a mette eté champion du monde sur cette meme distance

ouai mais excepté Vincent et un peu Gaillard depuis 2 ans, le reste c'est souvent 15 ou 20 mais pas mieux. D'habitude on a Vittoz dans les 6, Gaillard pas loin derrière et Jonnier dans les 20 alors que là c'est 5 (!!!!) dans les 8. Les 2 ptits jeunes m'ont vraiment impressionné, même eux avait l'air surpris

[Norton]

Ski: la Française Tessa Worley remporte le slalom géant d'Are

ARE | La Française Tessa Worley, 20 ans, a remporté samedi le slalom géant d'Are, sa 2e victoire en Coupe du monde de ski alpin, en devançant, en 2 min 23 sec 22, la Slovène Tina Maze et l'Autrichienne Kathrin Zettel, de 57 et 69/100e.


© AFP | La Française Tessa Worley, le 12 décembre 2009 lors de la 1ère manche du géant d'Are en Suède.


AFP | 12.12.2009 |


Dominatrice de la 1re manche, avec 81/100e d'avance sur Maze et Zettel, ex aequo, la skieuse française avait ouvert son palmarès le 29 novembre 2008 en gagnant le slalom géant d'Aspen (Etats-Unis), son seul podium de Coupe du monde jusqu'à Are.

[Norton]

coupe de l'america

Christian Karcher : «On ne peut plus attendre»


Image © Keystone
Christian Karcher du temps d'Alinghi

Une verve unique, cinq Coupes, dont deux gagnées avec Alinghi, Christian «Kiki» Karcher travaille pour Oracle depuis 2007. Entretien d'une franchise rare
Jean-Guy Python et Thomas Dayer - le 12 décembre 2009,
Le Matin Dimanche



Il est des personnages incontournables dans l'histoire de la Coupe de l'America. L'ancien rugbyman devenu wincheur Christian Karcher (49 ans) est de ceux-là. Le colosse français n'a rien perdu de sa gouaille. S'il n'a pas le droit de tout dire, il parle sans gêne. On le sait: comme toute son équipe, il prépare ses cartons et son envol vers Valence, car, enfin, le dénouement de l'imbroglio judiciaire semble proche. Paroles d'un passionné prêt à déménager. Encore.
Christian Karcher, vous portiez les couleurs d'Alinghi lors de la dernière Coupe de l'America. Vous voilà chez l'«ennemi». De quand date le transfert?
J'ai rejoint Oracle au lendemain de notre victoire avec Alinghi.
Déjà?
Oui. Je vous raconte l'histoire?
Bien sûr!
La Coupe à peine gagnée, Brad Butter-worth et Grant Simmer me disent que je suis trop vieux, qu'ils n'ont plus besoin de moi. A ce moment-là, j'ai 47 ans. C'est un peu triste. Je me demande ce que je vais devenir. J'ai toujours ressenti le besoin de suivre des gens qui tiennent la route, en qui j'ai confiance. Russell Coutts (ndlr: ancien patron d'Alinghi) est de ceux-là. Je l'appelle le jour même, il accepte. À cet instant, j'imagine qu'il travaille pour une équipe italienne, Prada par exemple. Je suis heureux de rejoindre une équipe italienne. Manger des pâtes, parler italien, génial! Mais, au moment de signer le contrat, je deviens un employé d'Oracle. (Rires.) J'ai beaucoup ri de moi-même. D'autant que je répétais toujours: «Jamais avec ces prétentieux Américains!»
Et puis le conflit juridique entre Oracle et Alinghi a démarré. Que vous inspire-t-il?
Avant de parler de mon sentiment, je voudrais rappeler qu'une telle situation n'est pas du tout rare dans le monde de la Coupe de l'America. Cette compétition a toujours été le terrain de jeu favori des milliardaires pour tester la valeur de leurs avocats. (Sourire.) Ce qu'il faut comprendre, c'est que très souvent les guerres se gagnent avant le premier coup de canon, parce qu'un côté est mieux préparé que l'autre, possède les meilleures armes, les meilleurs soldats. C'est pareil ici. Seulement, avec les méthodes d'information modernes, tant qu'une équipe pense qu'elle a du retard sur son adversaire, elle dépose des plaintes au tribunal. Je me moque, mais je pense sincèrement que le jour où les deux syndicats seront d'accord pour dire que les bateaux sont assez proches, on cessera d'aller en justice. Plus personnellement, je trouve aberrant qu'une équipe dépense autant d'argent en frais d'avocats qu'en frais de fonctionnement pour 120 personnes. Et puis ça me chagrine un peu: mon petit coeur de citoyen du monde aurait préféré que la Cour suprême serve à des choses plus utiles pour l'avenir de la planète et de l'humanité. Mais c'est juste mon avis, et ce n'est pas moi qui changerai la Coupe.
Racontez-nous l'ambiance au sein de l'équipe américaine.
Si nous vivons très clairement sous la bannière américaine, il y a quand même beaucoup de Néo-Zélandais, ce qui rend la langue anglaise moins accessible. (Rires.) Pour ce qui est de l'ambiance, elle est celle de personnes qui n'arrêtent pas de travailler et dont le planning change à chaque atermoiement judiciaire. C'est difficile à gérer d'un point de vue familial et très demandeur en heures de boulot. A la limite, si nos managers voulaient faire du team building, ils ne s'y prendraient pas autrement. Imaginez que depuis deux ans les gens du chantier de Mark Turner, là-haut à Anacortes, dans l'Etat de Washington, travaillent entre 13 et 15 heures par jour, six jours par semaine. Et qu'il y a des coups de bourre où l'on atteint plutôt 18 heures par jour, dimanche inclus. Or une équipe qui tient la route, c'est une équipe dont le chantier est incassable. Avec Alinghi, en 2007, je suis persuadé que nous avons gagné parce que nous avions une shore team (réd.: équipe à terre) qui sortait de l'ordinaire. Ici, chez Oracle, j'ai la même sensation. Croyez-moi, construire un bateau si imposant en douze mois, c'était une énorme contrainte.
Mais c'est vous qui avez décidé de partir sur un multicoque.
Mais on n'avait pas le choix! Si vous voulez réclamer, la règle vous impose de lancer un défi avec un bateau à l'appui. Autrement dit, c'est une menace. Or, si une menace est ridicule, elle ne fait peur à personne. Le bateau potentiellement le plus rapide, le multicoque, s'imposait donc. Mais ensuite les plannings et les façons de voir ont changé au fur et à mesure des résultats des appels juridiques. Vu de l'extérieur, c'est incompréhensible. Vu de l'intérieur, c'est incroyablement compliqué à gérer.
Quand vous avez appris qu'Alinghi se lançait dans la construction d'un catamaran, ça vous a quand même fait peur?
Il est possible que notre équipe de design ait pensé: «Oops, qu'est-ce qu'on va faire?» Mais pour nous, les navigants, c'était une superbe sensation car nous savions enfin que nous servirions à quelque chose. Il n'y a rien de pire que de travailler d'arrache-pied sur un bateau et de penser qu'il ne naviguera pas. Oui, le jour où nous avons appris qu'Alinghi avait lancé sa construction, plutôt que de spéculer sur le seul dénouement judiciaire, l'ambiance s'est incroyablement améliorée. Enfin, on travaillait pour quelque chose de concret. Il y avait quelqu'un en face.
Votre famille habite avec vous à San Diego?
C'est une bonne question. (Rires.) Oui, elle était avec moi à Valence, elle m'a suivi à Anacortes puis à San Diego. Mon fils attaque sa quatrième école cette année.
Et dire que vous êtes bientôt prêts à repartir! Mais est-ce bien la fin des péripéties juridiques?
Je n'en suis pas totalement certain, mais de toute façon il y a un moment où on ne peut plus attendre. Le temps de démontage, de chargement, de transport, de remontage du bateau est incompressible. S'il faut naviguer le 8 février à Valence, et nous serons prêts, nous devons démarrer à l'heure d'ici en Californie.
Au final, cette Coupe aura donc bien lieu à Valence.
Comment le dire sans dévoiler de secret? Il est officiel que notre cargo lève l'ancre sous peu et que nous arriverons à Valence la première semaine de janvier. Il est à moitié officiel que ça bouge beaucoup chez Alinghi. Les Suisses auraient un cargo agendé pour le 20 décembre.
Pensez-vous que Valence soit un endroit idéal pour un duel entre deux multicoques, en février?
Les marins ne sont jamais contents. Quand on arrive sur un plan d'eau, la première phrase est toujours: «Comme d'habitude, le vent n'est pas habituel.» C'est comme les jolies filles qu'on marie, on découvre après qu'elles ne sont jamais comme on veut. Les filles changent autant que le vent. En revanche, le defender a toujours le moyen, avec le comité de course, de délimiter une fenêtre qui convienne mieux à son bateau. Ainsi, il nous paraît logique qu'Alinghi ait construit un multicoque typé pour le très petit temps. C'est la culture du lac: on arrive à faire avancer des bateaux par trois noeuds de vent, bravo les gars! Et nous, comme nous ne connaissions pas le plan d'eau, nous avons été obligés de concevoir un catamaran à la plage d'utilisation beaucoup plus large. Mais, où qu'on soit, le defender a toujours moyen d'édicter une règle qui l'arrange. Ça, c'est l'esprit même de la Coupe. Elle a été créée pour être difficile à gagner.
A quelque part, ça revient à ce que vous disiez avant. La guerre est jouée d'avance.
Disons que quelqu'un d'extérieur qui aurait tous les renseignements sur nous et tous les renseignements sur Alinghi saurait dire aujourd'hui qui va gagner. Mais personne n'a cet oeil-là. (Il hésite.) Depuis 1831, cette Coupe est très difficile à remporter. Mais depuis trois ans c'est pire: elle est devenue impossible à perdre. Voilà pourquoi nous en sommes là aujourd'hui.
Vous sous-entendez qu'Alinghi veut poser trop de conditions qui rendent la Coupe impossible à reprendre?
C'est ce que nous pensons ici, chez Oracle.

[Norton]

Affaire Tiger Woods
Gillette prend ses distances avec le golfeur

Gillette, un des principaux sponsors de Tiger Woods, prend ses distances avec lui.


Les apparitions de Tiger Woods dans les publicités Gillette seront «limitées».
(Photo: Keystone)

La marque de rasoirs a annoncé samedi qu'elle allait «limiter» les apparitions du golfeur américain, qui a mis sa carrière en suspens pour se consacrer à sa famille.
«Comme Tiger se retire provisoirement de l'espace public, nous allons soutenir son souhait de vie privée en limitant son rôle dans nos programmes de marketing», selon le communiqué diffusé par Gillette.
«Nous allons le soutenir en l'aidant à adopter un profil plus bas», a renchéri un porte-parole de Gillette, Damon Jones, en ajoutant que le contrat conclu avec Tiger Woods en 2007 n'est pas rompu. Concrètement, selon M. Jones, Tiger Woods n'apparaîtra plus dans les publicités de Gillette à la télévision et dans les journaux. De même, il ne fera plus d'apparitions publiques pour promouvoir la marque et ses produits.
Tiger Woods a annoncé dans un communiqué diffusé vendredi soir sur son site Internet son intention de s'éloigner du green pour sauver son mariage.
«Après beaucoup de réflexion, j'ai décidé de prendre une pause d'une durée indéfinie dans le golf professionnel. Je dois concentrer mon attention à être un meilleur époux, un meilleur père et une meilleure personne», explique-t-il, demandant une fois encore que l'on respecte l'intimité de sa famille. Pour la première fois depuis les révélations sur ses supposés écarts conjugaux, il utilise le terme d'``infidélité».
L'annonce intervient deux semaines après l'accident de voiture de Tiger Woods, qui avait déclenché une cascade de révélations et d'allégations sur de supposées aventures extraconjugales du numéro un mondial du golf. Le champion, marié depuis cinq ans, a une fille de deux ans et un petit garçon de dix mois avec son épouse Elin. Agé de 33 ans, le prodige du golf américain n'est pas apparu en public depuis l'accident.
Sportif le mieux payé de la planète, il est le premier a avoir gagné un milliard de dollars (684,1 millions d'euros), grâce notamment à ses nombreux contrats publicitaires.
(ap)

[Norton]

Sports
Formule 1: Schumacher va s'engager avec Mercedes, selon Bild

AP | 12.12.2009 |


Michael Schumacher, le septuple champion du monde de Formule 1, serait sur le point de sortir de sa retraite pour piloter une voiture de l'écurie Mercedes GP l'an prochain, selon le quotidien allemand Bild.
Le journal a annoncé samedi sur son site Internet que les deux parties sont d'accord pour un contrat d'un an et que l'annonce sera faite la semaine prochaine.
"Le contrat est prêt à être signé", écrit le journal.
Schumacher a refusé de commenter l'information alors qu'il assistait à une compétition de karting à Kerpen, sa ville natale. Sa porte-parole, Sabine Kehm, n'a pas souhaié s'exprimer.
Mercedes a indiqué qu'il "y aurait toujours des spéculations tant qu'il resterait un baquet à occuper au sein de notre écurie".
Le pilote de 41 ans s'est retiré en 2006. Il a abandonné un projet de retour la saison dernière en raison d'une blessure au cou subie dans un accident de motocyclette.
Bild a cité l'ancien champion Damon Hill: "J'ai remporté une course avec Jordan à 37 ans. Michael peut assurément gagner à 41 ans", a dit le Britannique.
Le pilote Mercedes Nico Rosberg a pour sa part indiqué au quotidien qu'un retour de Schumacher "représenterait un défi intéressant". AP

[Norton]

ski

Géant de Val d'Isère: Janka encore éliminé


Image © KEYSTONE


Carlo Janka a appris les vicissitudes du ski alpin à Val d'Isère (Fr). Trois fois vainqueur à Beaver Creek (EU) la semaine dernière, le Grison de 23 ans a essuyé dimanche en géant sa troisième élimination en autant de jours dans la station savoyarde.
le 13 décembre 2009,
LeMatin.ch & les agences



Remportée par l'Autrichien Marcel Hirscher, cette manche a viré à la déroute dans le camp suisse, comme d'ailleurs l'ensemble des épreuves de Val d'Isère. Didier Défago et Sandro Viletta ont été éliminés, tandis que Didier Cuche a renoncé à prendre le départ (douleurs aux côtes dues à une chute en ski libre jeudi). Seul Marc Berthod, 11e provisoire, peut encore espérer quelque chose en deuxième manche (13h15).
Val d'Isère (Fr). Coupe du monde messieurs. Géant. Résultat après la 1ère manche et 30 concurrents: 1. Marcel Hirscher (Aut) 1'06''39. 2. Massimiliano Blardone (It) à 0''05. 3. Romed Baumann (Aut) à 0''24. 4. Philipp Schörghofer (Aut) à 0''37. 5. Manfred Mölgg (It) à 0''49. 6. Alexander Ploner (It) à 0''72. Puis les Suisses: 11. Marc Berthod à 1''70. Eliminés: Didier Défago, Carlo Janka, Sandro Viletta. Non partant: Didier Cuche.

[Norton]

Géant de Val d'Isère
Première victoire pour le jeune Hirscher

Après un début de saison dominé par la Suisse, l'Autriche a pris une cinglante revanche à Val d'Isère (Fr). Après les succès de Benjamin Raich et Michael Walchhofer, c'est Marcel Hirscher qui a apporté une troisième victoire à ses couleurs en dominant le géant dominical.


Carlo Janka a appris les vicissitudes du ski alpin à Val d'Isère (Fr). (Photo: AP Photo)


Marcel Hirscher a remporté dimanche le slalom géant de Val d'Isère. (Photo: Reuters)


Déjà deuxième vendredi en super-combiné, la perle du ski autrichien a remporté à 20 ans son premier succès sur le circuit. En tête après la manche initiale, le triple champion du monde juniors a tenu le choc pour s'imposer avec une marge confortable sur l'Italien Massimiliano Blardone (à 0''77) et Raich (1''32).
Après les éliminations en première manche de Carlo Janka, Didier Défago, Sandro Viletta et Beat Feuz, couplées au forfait de Didier Cuche, seul Marc Berthod a pu marquer des points en prenant la 12e place. Déjà 15e à Sölden (Aut), le Grison a rempli les critères de sélection pour les JO de Vancouver. Même si sa participation au Canada n'est pas encore acquise au vu de la concurrence interne dans la discipline, ce deuxième top 15 va lui remonter le moral après un début de saison délicat.
Au classement général de la Coupe du monde, Janka a perdu la première place au profit de Raich. Encore solide leader dimanche dernier après son triplé à Beaver Creek, le Grison compte 26 points de retard sur l'Autrichien.
Val d'Isère (Fr). Coupe du monde messieurs. Géant. Résultat final: 1. Marcel Hirscher (Aut) 2'16''28. 2. Massimiliano Blardone (It) à 0''77. 3. Benjamin Raich (Aut) à 1''32. 4. Manfred Mölgg (It) à 1''40. 5. Aksel Lund Svindal (No) à 1''53. 6. Romed Baumann (Aut) à 1''80. Puis les Suisses: 12. Marc Berthod à 3''06. Eliminés en 1ère manche: Didier Défago, Carlo Janka, Sandro Viletta, Beat Feuz. Non partant: Didier Cuche.