Toutes New sportives autres que la moto

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SKI ALPIN

Descente à Haus: Lindsey Vonn s'impose à nouveau


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Une victoire de plus pour Lindsey Vonn.

L'Américaine Lindsey Vonn a remporté vendredi la descente de Haus im Ennstal, confirmant sa suprématie sur l'épreuve reine avec trois victoires dans les trois premières descentes de Coupe du monde de ski alpin cette saison.
le 08 janvier 2010,
LeMatin.ch & les agences


L'Américaine Lindsey Vonn a remporté vendredi la descente de Haus im Ennstal, confirmant sa suprématie sur l'épreuve reine avec trois victoires dans les trois premières descentes de Coupe du monde de ski alpin cette saison.
La championne du monde de la spécialité et double tenante du globe de cristal a devancé la Suédoise Anja Pärson, championne du monde 2007, et l'Allemande Maria Riesch, à qui elle a ravi du même coup la tête du classement général.
Vonn compte désormais 26 victoires sur le circuit, dont quatre depuis octobre. La star des deux dernières saisons a l'occasion de creuser encore un peu plus l'écart, avec une deuxième descente samedi et un super-G dimanche prévues dans la station autrichienne.
Adepte de modèles de skis masculins, l'Américaine a dominé d'un bout à l'autre de la piste, pour finir en 1 min 38 et 84/100, avec 35/100 d'avance sur Pärson, l'ancienne reine du circuit pour la première fois sur le podium cette saison.
Les Françaises Marion Rolland et Marie Marchand-Arvier, vice-championne du monde du super-G, ont pris la 5e et 6e place, signant chacune leur meilleur résultat de la saison.

Les suisses dans le vent

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Davydenko prive Federer de finale à Doha

TENNIS | L’Espagnol Rafael Nadal, N.2 mondial, affrontera samedi en finale du tournoi de tennis de Doha le Russe Nikolay Davydenko, tombeur de Roger Federer


© ap |


AFP | 08.01.2010 | 17:15


L’Espagnol Rafael Nadal, N.2 mondial, affrontera samedi en finale du tournoi de tennis de Doha le Russe Nikolay Davydenko, tombeur du Suisse Roger Federer, N.1 mondial, en deux sets 6-4, 6-4, vendredi, en demi-finale.
Un peu plus tôt, Nadal, vainqueur notamment de l’Open d’Australie et de la Coupe Davis avec l’Espagne en 2009, a dominé le Serbe Viktor Troicki, tête de série N.5, 6-1, 6-3.

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Rugby - Pro D2

Qui arrêtera Agen ?

Fin de la trêve et retour de la Pro D2. Avec une question principale. Qui pourra enrayer la marche triomphale d'Agen vers le Top 14 ?



Pour l'instant, aucun obstacle ne freine Agen.(EQ)


Le constat est rapide mais éloquent. Agen occupe la première place sans discontinuer depuis la huitième journée. Et dans cette période, le SUALG n'a concédé qu'une seule défaite (22-16, face à Narbonne) pour sept victoires dont quatre bonifiées. Qui dit mieux ? Personne. Dans ces conditions, et avec un confortable matelas de dix points d'avance sur le dauphin du jour Oyonnax, les Agenais semblent promis au Top 14 sans passer par la case phases finales.

Bien sûr, il ne faut pas s'emballer et, mathématiquement, rien n'est fait. Mais être en tête à mi-parcours a souvent été un gage de titre final en Pro D2. De plus, Agen est en avance sur la feuille de route par rapport aux deux derniers champions de France en ce qui concerne l'écart avec ses poursuivants. A la même époque, Toulon n'avait que sept points d'avance et l'an dernier, le Racing n'en comptait que neuf. Bref, si les Agenais ne mangent pas la feuille de match, leur avenir semble radieux. A eux de rester concentrés et de prendre garde à des adversaires qui pourraient avoir envie de contrarier leur scénario parfait. A commencer par Dax ce week-end. Si tant est que la neige permette au match d'avoir lieu. B.L.

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Grande Odyssée: 6e édition de la course de chiens de traîneaux d'Avoriaz
(AFP) – Il y a 18 heures
GRENOBLE — Le coup d'envoi de la 6e édition de la Grande Odyssée, course de chiens de traîneaux dans les Alpes figurant parmi les plus difficiles au monde, sera donné dimanche à Avoriaz, en Haute-Savoie, dans des conditions d'enneigement "parfaites" pour la compétition.
"Les conditions sont parfaites car il a beaucoup neigé ces derniers jours", a souligné l'organisateur de la course, Henry Kam, qui craint juste que les fortes précipitations neigeuses en plaine retardent certains participants.
Vingt "mushers" (conducteurs de chiens de traîneaux) de neuf nationalités différentes prendront le départ de cette compétition de 1.000 kilomètres à travers les Alpes qui s'achevera le 20 janvier à Val Cenis, en Savoie.
Conduisant 300 chiens, ces 20 athlètes, dont trois femmes, parcourront 25.000 mètres de dénivelé au terme d'un parcours en dix étapes à travers les massifs français et suisses.
Considérée comme l'une des courses les plus dures et les plus techniques au monde, au même titre que l'Iditarod en Alaska et au Canada ou que la Finnmarkslopet en Norvège, la Grande Odyssée allie étapes de plaines, de vitesse et de franchissements de cols.
Trois bivouacs, dont deux à plus de 2.000 mètres d'altitude, sont prévus lors de cette compétition qui se déroule en majorité en dehors des domaines skiables.
Le favori de cette édition est le Tchèque Radek Havrda, qui avait remporté la course en 2009 en 40 heures et 12 minutes.
Les compétiteurs se partageront des gains d'un montant total de 100.000 dollars.
Copyright © 2010 AFP. Tous droits réservés.

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Dakar 2010 - Autos
7e étape: Despres survole, Al-Attiyah recolle

Le motard français Cyril Despres (KTM), leader du Dakar-2010, a remporté vendredi la 7e étape, distançant un peu plus ses concurrents, alors que le vainqueur du jour en auto, le Qatarien Nasser Al-Attiyah (Volkswagen), revient sur son coéquipier Carlos Sainz.


Nasser Al-Attiyah a remporté vendredi la 7e étape de la course auto du Dakar-2010. (Photo: AFP)


Despres, qui n'a jamais fait moins bien que 4e d'étape depuis le début de ce rallye-raid, a aussi pris pour habitude de gagner les jours qui marquent. Non content d'avoir remporté la 3e manche, dantesque, qui avait causé l'abandon ou l'exclusion de 65 équipages, il a posé son empreinte sur la 7e, la plus longue spéciale (600 km) de la course.
"Cette spéciale était exigeante physiquement et mécaniquement, avec par exemple du hors-piste dans des gros cailloux, où je roulais en première. Il y a eu aussi un long cordon de dunes de plus de 50 kilomètres. C'était vraiment complet", a décrit David Frétigné (Yamaha), 3e du jour.
"Je suis fatigué car, en plus, au km 150 j'ai pris une grosse saignée et j'ai explosé l'hydraulique de l'amortisseur. Depuis lors, je roule sur un ressort. J'ai pris plein de chocs dans les bras, dans les poignets, dans le cou. Ce n'était déjà pas facile. Là, c'est devenu éprouvant", a confié Despres.
Pression
"La journée de repos va être bienvenue. La moto n'a pas souffert, malgré l'absence d'hydraulique. La visserie doit être à revoir maintenant, mais la moto m'a ramené jusqu'ici. C'est bien", s'est félicité le leader.
Son principal adversaire, l'Espagnol Marc Coma, également marqué par "une étape incroyablement longue", s'est déclaré heureux d'être arrivé à la journée de repos, pour pouvoir "s'occuper de la moto" et "se reposer un peu".
En voiture, le Nasser Al-Attiyah a remporté cette spéciale prestigieuse, 3 min 29 sec devant l'ancien leader de l'épreuve, le Français Stéphane Peterhansel (BMW), et surtout 4 min 21 sec devant son coéquipier Carlos Sainz, actuel numéro 1 de la course, sur lequel il a remis la pression.
Le duel annoncé entre les deux pilotes de rallye va bien se produire, Al-Attiyah comptant désormais à peine 11 minutes de retard sur Sainz à la mi-course, une paille en rallye-raid.
Et si Sainz et Al-Attiyah, à force d'attaquer, en venaient à casser leur mécanique ou à s'accidenter, leur partenaire américain Mark Miller, actuel 3e au général, serait encore là pour leur succéder. L'affaire se présente bien pour Volkswagen.
(afp)

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Ski alpin
Les deux Didier ambitieux à Adelboden

par Marc Fragnière, Adelboden
Les skieurs suisses se sont confiés à la presse en fin d’après-midi à Adelboden. Didier Défago et Didier Cuche sont apparus particulièrement décontractés malgré la pression inhérente à l’arrivée de la Coupe du monde dans l’Oberland bernois.


Les skieurs suisses se sont confiés à la presse en fin d’après-midi à Adelboden. (Photo: Keystone)


«Je me sens en bonne forme et le résultat obtenu à Bormio a boosté mon capital-confiance. Il me reste toutefois à trouver la constance en géant. Actuellement, je suis capable de skier très vite sur quelques passages. Les entraînements effectués à Veysonnaz m’ont donné satisfaction», a déclaré un Défago particulièrement détendu. Dans une discipline où il peine à jouer les premiers rôles depuis deux saisons, «Dèf» aimerait bien toutefois frapper un grand coup demain: «Adelboden, avec la passion du public, c’est un peu le petit Kitzbühel helvétique. On a forcément envie de briller ici. Ca risque d’être un peu chaud pour cette année, mais bon… Personne n’est à l’abri d’un exploit», a plaisanté le Valaisan avant de rappeler: «en géant, il y a un grand panier de favoris et ils sont dans le coup actuellement. Il y a aura peut-être un ou deux outsiders, j’espère être l’un d’eux».
Pour sa part, Didier Cuche a déclaré que les entraînements de Veysonnaz avaient réveillé les douleurs relatives à sa côte cassée: «A Bormio (n.d.l.r: descente), je n’avais rien ressenti. Mais en géant, comme on bouge plus avec le haut du corps, j’ai ressenti une gêne. Quatre jours ont passé depuis lors et je me sens bien maintenant». A la question de savoir s’il prendrait le départ sous infiltration, le Neuchâtelois a confié qu’il déciderait avant la course, selon ses sensations.

Vainqueur sur la Chuenisbärgli en 2002, le Vaudruzien espère retrouver le bon flow demain afin de pouvoir rééditer son exploit. «De temps en temps, lorsque tu touches la grâce, tu te demandes même si t’es dans un bon jour, parce tout semble couler de source, au point que tu crains de ne pas être assez rapide. C’est seulement une fois en-bas de la pente que tu te rends compte à quel point tu as bien réussi. C’est ce que j’ai vécu en 2002». Sur une piste où il a connu le meilleur comme le pire (grave blessure lors d’un entraînement en 2005), «Koukè» entend donner le change à un public helvétique qui l’a élu sportif suisse de l’année 2009.

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SKI ALPIN

Dominique Gisin: le cauchemar


Image © Keystone
Nadja Kamer
Victime d'une chute, la skieuse d'Engelberg ne verra peut-être pas Vancouver. Les ligaments du genou droit sont touchés
Laurent Guyot - le 08 janvier 2010,
Le Matin



Ce n'était pas sa journée. Ce ne sera, selon toute vraisemblance, pas non plus ses Jeux olympiques. Ceux de Vancouver 2010, où Dominique Gisin, 24 ans, avait imaginé décrocher le gros lot. Ce jackpot que tous les athlètes rêvent, une fois, de s'approprier. Sur le coup de 12h14, son genou droit a arrêté de résister une nouvelle fois. Une fois de plus. Une fois de trop suite à un de ces faux mouvements du ski extérieur provoqué par des vaguelettes qui a fait tomber la malheureuse sur le côté.
Courageuse, la meilleure Helvète actuelle dans les disciplines de vitesse se relèvera. Se laissera glisser près de 200 mètres avant de s'asseoir encore dans la neige et de pleurer sur le bord de la piste. Juste derrière son maudit dossard No 20, Maria Riesch et Anja Pärson passeront sans encombre afin d'entourer Lindsey Vonn, l'invincible, sur la plus haute marche d'un podium de reines. Une «boîte» où ce pilote d'avion d'Engelberg pouvait espérer, au vu des temps intermédiaires, monter. Las, le destin, en a décidé autrement.
Pas de diagnostic précis
Dur au mal après... 7 opérations pratiquées sur ces genoux blessés, Dominique Gisin s'est encore effondrée dans l'aire d'arrivée, où Fabienne Suter lui a glissé des premiers mots réconfortants. Des larmes qui n'étaient pas celles d'un crocodile. La skieuse d'Engelberg savait déjà. Pressentait ce qu'elle allait apprendre, aux côtés de Constanze Eppinger, le médecin de Swiss-Ski, lors de la résonance magnétique pratiquée en début de soirée à l'Hôpital de Salzbourg.

Et de miracle, il n'y en a pas eu. Même si pour l'heure, les images ne permettent pas de poser un diagnostic précis. Dès son retour en Suisse, l'Alémanique se soumettra à d'autres examens. Pour savoir la nature de sa blessure et surtout la durée d'un nouveau cauchemar qui gommera dans sa mémoire les joies connues lors de ses succès, en janvier dernier, dans les descentes de Cortina et d'Altenmarkt. Et si Hugues Ansermoz, le chef alpin féminin de Swiss-Ski, pourra tout de même l'emmener avec lui du côté de Whistler Mountain. «Ces JO, c'était son objectif No 1 depuis deux ans. C'est une piste pour elle la descendeuse. Alors oui, ça me fait mal au coeur. Elle ne mérite pas ça. Croisons les doigts!»
Classements
Haus im Ennstal (Aut). Coupe du monde dames. Descente. 1. Vonn (EU) 1'38''84. 2. Pärson (Su) à 0''35. 3. Riesch (All) à 0''39. 4. Fanchini (It) à 0''84. 5. Rolland (Fr) à 0''94. 6. Marchand-Arvier (Fr) et Merighetti (It) à 0''96. 8. Fischbacher (Aut) à 1''21. 9. Kamer (S) à 1''26. 10. Brydon (Can) à 1''55. 11. Suter à 1''57. 12. Styger à 1''58. 13. Cook (EU) à 1''59. 14. Mancuso (EU) à 1''60. 15. Schild à 1''62. 16. Rebensburg (All) à 1''68. 17. Fenninger (Aut) à 1''74. 18. Fanchini (It) à 1''80. 19. Stechert (All) à 1''87. 20. Maze (Sln) à 1''98. 21. Dettling (S) et McKennis (EU) à 1''99. 23. Jacquemod (Fr) à 2''04. 24. Görgl (Aut) à 2''05. 25. Recchia (It) à 2''06. 26. Weirather (Lie) à 2''15. 27. Lindell-Vikarby (Su) à 2''16. 28. Dumermuth (S) à 2''17. 29. Mader (Aut) à 2''19. 30. Kling (Su) à 2''21. Puis: 57. Fuhrer (S) à 4''76. 61 skieuses au départ, 58 classées. Eliminées notamment: Gisin (S). Aufdenblatten (S).
Données techniques. Krummholz: 2639 mètres, 734 m de dénivelé, 40 portes, traceur Jan Tischahuser (FIS/S).
Coupe du monde. Dames. Général (15/33): 1. Vonn (EU) 694. 2. Riesch (All) 659. 3. Zettel (Aut) 569. 4. Pärson (Su) 426. 5. Maze (Sln) 411. 6. Aubert (Fr) 340. 7. Hölzl (All) 311. 8. Görgl (Aut) 305. 9. Pietilä-Holmner (Su) 289. 10. Zahrobska (Tch) 253. 11. Brydon (Can) 221. 12. Riesch (All) et Schild (Aut) 220. 14. Poutiainen (Fin) 219. 15. Mölgg (It) 199. Puis les Suissesses: 17. Styger 172. 19. Suter 169. 23. Aufdenblatten 145. 24. Gisin 139. 39. Schild 94. 43. Dettling 67. 49. Kamer 61. 64. Grand 39. 69. Bonjour 34. 88. Feierabend 16. 95. Dumermuth 11. 103. Camastral et Pünchera 7.
Descente (3/8): 1. Vonn (EU) 300. 2. Riesch (All) 200. 3. Pärson (Su) 170. 4. Brydon (Can) 166. 5. Rolland (Fr) 90. 6. Gisin (S) 85. 7. Janyk (Can) 82. 8. Mancuso (EU) 66. 9. Fischbacher (Aut) 65. 10. Marchand-Arvier (Fr) 61. Puis les Suissesses: 13. Styger 56. 19. Kamer 47. 22. Suter 37. 23. Dettling 35. 25. Aufdenblatten et Schild 32. 38. Dumermuth 3.
Nations (31/68): 1. Autriche 4312 (dames 1846 + messieurs 2466). 2. Suisse 3155 (961+2194). 3. Italie 2691 (984+1707). 4. France 2387 (1285+1102). 5. Etats-Unis 1943 (1121+822). 6. Allemagne 1827 (1727+100). 7. Canada 1471 (578+893). 8. Suède 1379 (885+494). 9. Norvège 851 (54+797). 10. Slovénie 838 (464+374). 11. Croatie 403 (130+273). 12. République tchèque 335 (253+82). 13. Finlande 258 (258 + 0). 14. Liechtenstein 180 (70+110). 15. Grande-Bretagne 102 (102 + 0).

[philguerin]

merci Norton... pour cette revue de presse sportive...! je viens de rattraper mon retard en quelque clic.

l'autriche à nouveau en tête des classements sur beaucoup de disciplines... mais bon la suisse reste une valeur sûr... pour la France c'est toujours aussi en dents de (ski)scie

[Norton]

Rallye raid - Dakar 2010

09/01/2010 - 09:45 Etape 7 : déclarations




Volkswagen Motorsport

• Infos liées :
• Despres en patron

Voici ce qu'ont dit les principaux protagonistes de l'étape 7 du Dakar 2010, qui reliait vendredi Iquique à Antofagasta.
Nasser Al- Attiyah ( Volkswagen , vainqueur) : "Une spéciale vraiment difficile, une voiture parfaite, un excellent copilote et un bon pilote aussi, je crois, ont formé la combinaison qui nous a permis de gagner. La spéciale était tout sauf facile avec une grande variété de terrains. Il fallait tenir mentalement. Avant le départ, j’avais pris la décision d’attaquer ce que nous avons bien réussi à faire. Nous sommes en bonne position pour la suite du rallye."

Carlos Sainz (Volkswagen, 3e) : "De hautes dunes et des passages rapides constituaient la première partie de l’étape. Une erreur mineure de navigation nous a coûté un peu de temps ce qui a permis à Nasser Al-Attiyah de nous dépasser peu après la neutralisation. Il a été rapide et mérite sa victoire de spéciale. Rester en tête du classement après cette étape difficile est notre petite victoire du jour."
Mark Miller ( Volkswagen , 4e) : "Je pense que quand nous étions sur la route exacte, nous étions rapides aussi. Malheureusement, nous avons perdu du temps sur une erreur de navigation avec un road book qui n’était pas toujours facile à comprendre. Nous sommes actuellement troisièmes et notre objectif sera d’améliorer ce classement dans la seconde moitié du rallye."
Giniel de Villiers ( Volkswagen , 6e) : "Nous avons vécu une nouvelle journée un peu chaotique. Nous nous sommes trompés deux fois de direction et avons perdu du temps dans un vaste champ de pierres. Nous avons également subi deux crevaisons. Nous avons fini la spéciale avec une seule roue de secours et donc à un rythme prudent. Nous allons continuer d’aider nos équipiers jusqu’à l’arrivée à Buenos Aires."
Kris Nissen (Volkswagen Motorsport, directeur) : "Je tire mon chapeau à nos équipages et au Race Touareg. Nous achevons l’étape la plus longue avec une victoire de spéciale et en occupant les trois premières places du classement général. Les mécaniciens vont avoir beaucoup de travail pendant la journée de repos tandis que les pilotes et copilotes vont pouvoir récupérer un peu. Nous sommes très satisfaits pour le moment mais nous sommes conscients que nous avons encore la moitié du rallye devant nous."
Christian Lavieille ( Nissan , 11e) : "Les 50 premiers kilomètres étaient composés de dunes, on y évoluait avec aisance et plaisir. C’était plus délicat après, avec un terrible fesh fesh puis des gués, des passages réellement triallisants et enfin du rapide où s’exprimait le pilotage pur. Seul ombre au tableau une crevaison dans la dernière partie de course."
Cyril Despres (KTM, vainqueur Motos) : "Je suis fatigué car, au km 150 j'ai pris une grosse saignée et j'ai explosé l'hydraulique de l'amortisseur. Depuis lors, je roule sur un ressort. J'ai pris plein de chocs dans les bras, dans les poignets, dans le cou. Ce n'était déjà pas facile. Là, c'est devenu éprouvant. La journée de repos va être bienvenue. La moto n'a pas souffert, malgré l'absence d'hydraulique. La visserie doit être à revoir maintenant, mais la moto m'a ramené jusqu'ici. C'est bien".
David Frétigné ( Yamaha , 3e) : "Cette spéciale était exigeante physiquement et mécaniquement, avec par exemple du hors-piste dans des gros cailloux, où je roulais en première. Il y a eu aussi un long cordon de dunes de plus de 50 kilomètres. C'était vraiment complet".

[HAGA 04]

j'adore le Hummer, depuis que j'en ai vu un dans les rues de Paris en 1997 wouahhhhh
Ce n'est pas raisonnable avec la conjoncture actuelle, mais quelle bête... Surtout le 1... apres il s'est civilisé, a rapetissé, et a perdu pour moi de son gingantesque

J'en ai vu un en 1999 a l'arrivée du Paris Dakar sur le bord du lac Rose, les Américains posent debout sur le toit, ils sont au moins 6 dessus

là cette année ils tournent bien, mais je n'arrive pas à les suivre (à la TV)