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Ski alpin - Coupe du monde
Schild remporte le slalom de Flachau

Marlies Schild a remporté le 20e slalom de sa carrière à Flachau. Devant son public et en nocturne, l'Autrichienne a devancé l'Allemande Maria Riesch et sa compatriote Kathrin Zettel, tandis que les Suissesses n'ont marqué des points que par Rabea Grand (23e).


Le classement final du slalom.


Marlies Schild a fait la différence dans la seconde manche. (Photo: AP Photo)


Avec 20 succès en slalom (22 en tout dans sa carrière), Marlies Schild rejoint Janica Kostelic au troisième rang des slalomeuses les plus titrées de l'histoire. Seules les Suissesses Erika Hess (21 victoires) et Vreni Schneider (34) ont été plus prolifiques que la Salzbourgeoise de 28 ans dans la discipline.
A Flachau, la station d'Hermann Maier, Marlies Schild a fait la différence en signant le meilleur chrono de la seconde manche (3e de la première). La fiancée de Benjamin Raich a aussi profité des défaillances des soeurs Riesch, en tête après le tracé initial. Maria a dû se contenter de la place de dauphine, tandis que Susanne a été éliminée.
On rappellera encore que Marlies Schild avait manqué toute la saison passée après une grave blessure à l'entraînement en octobre 2008 (double fracture tibia-péroné). Elle n'avait repris la compétition qu'en novembre dernier à Levi (6e), puis renoué avec la victoire fin décembre à Lienz.
Vancouver s'éloigne pour les Suissesses
Comme lors des cinq premiers slaloms de l'hiver, la Suisse est absente du top 15. Sauf miracle, aucune coureuse helvétique ne remplira les critères de sélection pour les JO de Vancouver (2 top 15 ou 1 top 7). Alors qu'il ne reste que le slalom de Maribor (dimanche) avant les joutes olympiques, on voit très mal une fille du coach Hugues Ansermoz se classer parmi les sept premières en Slovénie.
A Flachau, la Valaisanne Rabea Grand a été la seule à marquer quelques points avec sa 23e place. De son côté, la Vaudoise Aline Bonjour ne s'est pas qualifiée pour la seconde manche. En difficulté dès les premières portes, la Vaudoise a perdu près de quatre secondes et échoué au 37e rang. Ses coéquipières n'ont guère été plus à la fête. Denise Feierabend et Celina Hangl ont également raté le «cut», tandis que Jessica Pünchera et Marianne Abderhalden ont été éliminées.
Vonn, Aubert et Pärson éliminées
Parmi les autres battues de la soirée, Lindsey Vonn a chuté en première manche. Ultra-dominatrice en vitesse, notamment le week- end dernier à Haus im Ennstal (3 victoires), l'Américaine continue de peiner dans les disciplines techniques, essuyant à Flachau sa sixième élimination de l'exercice. La skieuse du Minnesota conserve néanmoins la tête du classement général avec 112 points d'avance sur Maria Riesch.
Sandrine Aubert a, elle, perdu son leadership au classement du slalom. Deux fois victorieuse cette saison (Are et Zagreb), la Française a enfourché lors de son premier passage et cédé son maillot rouge à cette même Maria Riesch. A noter finalement la sortie de piste d'Anja Pärson. La Suédoise a été évacuée vers un hôpital pour des examens, en raison de douleurs à un ménisque.
(ats)

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Schumacher commence à préparer son retour






L'Allemand Michael Schumacher a commencé mardi à préparer son retour à la Formule 1 en se testant au volant d'une GP2, mardi sous la pluie, sur le circuit de Jerez (sud de l'Espagne).

Sous la pluie
Le septuple champion du monde de F1, renouvellera l'expérience mercredi et jeudi mais la pluie devrait encore être au rendez-vous, ont annoncé les organisateurs.

Schumacher était venu pour la dernière fois sur le circuit de Jerez en décembre 2007, alors retraité mais travaillant à la mise au point de la Ferrari 2008.

Proche de la F1
Schumacher a roulé, à huis clos, au volant d'une GP2 de développement de couleur blanche et bleue, dans le but également d'aider "les techniciens au développement de la GP2 pour la saison 2011-2013", ont précisé les organisateurs.

Les monoplaces sont relativement proches en performances et en comportement de celles de la F1. A 41 ans, "Schumi", recruté par l'écurie Mercedes après trois ans d'inactivité, a été autorisé par la FIA (Fédération internationale de l'automobile), la série GP2 et la commission des essais de F1 à effectuer ces essais.

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Candeloro enfourche à nouveau ses patins


A quelques semaines de sa participation aux jeux Olympiques de Vancouver comme commentateur pour France Télévisions, l'ancien patineur Philippe Candeloro a porté la flamme olympique lundi à travers les plaines de la province canadienne de la Saskatchewan (Centre).

Emulation olympique
Encouragé par plus de 600 jeunes Canadiens qui ne le connaissent pas, l'ancien athlète a couru avec le flambeau olympique dans les plaines enneigées du parc Wanuskewin, près de Saskatoon, un lieu qui célèbre l'histoire amérindienne. "C'est une autre façon de vivre l'esprit olympique, ce moment restera dans ma mémoire d'athlète", a déclaré à l'AFP le double médaillé de bronze des Jeux de Lillehammer en 1994 et de Nagano en 1998.

Nullement gêné par les -10 degrés extérieurs et accompagné par un beau soleil d'hiver, Philippe Candeloro a couru 600 mètres dans la neige au lieu des 300 mètres habituellement prévus dans le relais de la flamme de Vancouver 2010. Philippe Candeloro a pu constater l'"émulation qu'il y a autour de ce flambeau et ce qu'il représente pour les populations locales du Canada qui sont très impliquées dans le sport. Les gens sont obnubilés par cette flamme, on sent qu'ils prennent déjà plaisir aux jeux Olympiques qui vont commencer", a commenté après son relais le retraité de la compétition sur glace.

Honneur
Le champion olympique est de retour au Canada où il avait participé au ballet de clôture des JO de Calgary (Alberta, Ouest) en 1988. Il est l'une des quatorze personnalités internationales du monde du spectacle et du sport invitées à célébrer l'esprit olympique et attirer les regards du monde entier sur les atouts touristiques du Canada.

"Porter la flamme dans un pays qui n'est pas le mien est très honorifique", a dit Philippe Candeloro. L'ancien patineur s'est dit ravi de ramener le flambeau olympique en souvenir à Paris, et notamment à la conférence de presse de France Télévisions qui doit présenter l'équipe de consultants olympiques mardi après-midi.

[Pasky]

Envoyé par danlos

...PS: l'autre fois on parlait de Jean Alesi sur un autre post quand il voulait faire les 24H du mans avec Rossi, je viens de trouver un très bon article sur lui, c'est un peu long mais pour ceux qui ne connaisse pas très bien la carrière du pilote (excepté chez les Guignols), c'est très bien expliqué
http://www.sportvox.fr/article.php3?id_article=26665

Merci de remettre les choses à leurs places.
Si vous prenez le temps de lire, vous verrez que Jean Alesi n'est pas le looser abruti que les guignols ont montré.
C'était très drôle, c'est vrai, mais le problème c'est que bon nombre de gens ont pris ça au premier degré. Le pire, c'est que même des amateurs de F1, voient Alesi comme ça. Pour ceux (oui, encore des vieux), qui ont vécu la carrière d'Alesi depuis le début, il est clair qu'Alesi a du talent.
A noter qu'Alesi était l'idole de Valentino Rossi.

[Norton]

A noter qu'il n'a gagner qu'un grand prix F1 en 1995, Canada le jour de son anniversaire si je ne me trompe.................

[Norton]

VOILE

La question des voiles devant la Cour suprême


Oracle appelle les juges new-yorkais à statuer sur ce point de litige avec Alinghi.
Thomas Dayer - le 13 janvier 2010,
LeMatin.ch


Deux jours de conciliabules à Singapour en présence de David Kellett (du comité exécutif de la Fédération internationale de voile) et de David Tillett (président du jury international pour la 33e Coupe de l’America) n’ont pas débouché sur un consensus. Au petit matin mercredi, Oracle a communiqué qu’il saisirait la Cour Suprême de New York pour statuer sur la légalité ou non des voiles utilisées par Alinghi.
«Naturellement, nous sommes déçus de n’avoir pas pu nous mettre d’accord, a commenté le CEO du défi américain Russell Coutts. Mais une fois encore, la Société nautique de Genève méprise le Deed of Gift (réd.: document fondamental régissant la Coupe). D’abord, elle a revendiqué que les voiles ne faisaient pas partie du bateau. Ensuite, elle a affirmé que les voiles étaient fabriquées en Suisse, pas aux Etats-Unis. Maintenant, elle prétend que la mention «construit dans son propre pays» n’est pas pertinente jusqu’à ce qu’elle annonce son bateau pour le match.»
Comme la Cour suprême s’est déjà prononcée sur des éléments inhérents à la construction du bateau auparavant (notamment sur l’utilisation de moteurs), Oracle souhaite qu’elle se prononce désormais sur le litige concernant les voiles et sur cette question: «Le defender suisse peut-il courir avec des voiles faites aux Etats-Unis?»
Alinghi, de son côté, assure ne pas enfreindre la «règle de nationalité». Un nouveau combat d’arguments est en vue. Le verdict de la Cour est attendu avant le premier affrontement sur l’eau, prévu le 8 février prochain à Valence, en Espagne.

Vraiment de tristes personnages ces ricains de M....

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"L'Espagne sera championne du Monde"






Zinedine Zidane aime l'Espagne. A un tel point que l'ancien joueur du Real Madrid, actuellement conseiller du président Florentino Perez, vote pour la Roja en vue de la prochaine coupe du Monde en Afrique du Sud.

"J'adore Iniesta"
"Je pense que l'Espagne sera championne du Monde", a avoué Zizou dans une interview accordée à Iznews (chaîne de TV chinoise). "Cette équipe me rappelle la France en 2000. J'aime sa façon de jouer. J'adore beaucoup Iniesta pour son sens du collectif. Rencontrer le Brésil ou le Portugal en huitièmes est une bonne chose car ces équipes ne seront pas encore rôdées."

"Un jour administrateur au Real"
"C'est un honneur de travailler auprès de Florentino Perez", poursuit Zinedine Zidane. "J'apprends tous les jours. Le président me laisse une grande liberté pour connaître tous les aspects du Real Madrid. J'espère, un jour, devenir administrateur du club." (chds)

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Dakar 2010 : Vers la revanche de Sainz ?
De Joris FIORITI (AFP) – Il y a 8 heures
SANTIAGO — Leader du classement général à quatre étapes de la fin du Dakar-2010, l'Espagnol Carlos Sainz a l'occasion de prendre sa revanche dans une épreuve où il avait été accidenté alors qu'il était largement en tête durant l'édition précédente.
En 2009, Sainz, avait abandonné à deux jours de l'arrivée après un magistral plongeon de sa Volkswagen dans le lit d'une rivière asséchée. La chute de 4 mètres, outre sa fin de course, avait causé une fracture de l'omoplate droite à son copilote, le Français Michel Perin.
Une double humiliation pour "el Matador" - son surnom - qui, après six victoires d'étape, avait alors plus d'une demi-heure d'avance sur son dauphin et coéquipier, Giniel de Villiers. Le Sud-Africain, ravi de l'aubaine, ne s'était d'ailleurs pas privé de gagner le Dakar-2009.
Sainz, double champion du monde (1990 et 1992) et longtemps recordman du nombre de victoires en rallye (26), avait appris une dure leçon à ses dépens: si la retenue est impossible en rallye, elle est nécessaire en rallye-raid, où l'endurance prime sur la fougue.
"J'ai tourné la page très rapidement. Cela valait mieux. Dès la fin de la course, je pensais déjà à la suivante", a assuré l'Espagnol au départ du Dakar-2010 à Buenos Aires. En 2009, Sainz a effectivement remporté les rallyes-raid Silk Way (Asie) et dos Sertoes (Brésil).
Il a surtout pris le pas sur son plus dangereux rival, l'autre pilote de rallye Nasser Al-Attiyah, passé de BMW à Volkswagen, qu'il a à chaque fois poussé à la faute. Sainz, à la confiance renforcée, se devait donc de marquer le Dakar-2010 de son empreinte.
Mais bizarrement, l'Espagnol, qui avait juré de faire la course "plein gaz", selon Dominique Serieys, son ancien patron chez Mitsubishi, a semblé s'assagir. "Si j'étais son patron d'écurie, je le forcerais à rester en retrait la première semaine", estimait ce dernier avant la course.
Carlos Sainz a vraisemblablement intégré ces leçons. Aucun coup de tonnerre n'a ponctué sa première semaine de course. Pendant neuf étapes, il a terminé six fois deuxième, laissant Al-Attiyah et Stéphane Peterhansel (BWM) se battre pour les victoires d'étapes (3 chacun).
"Je vais à mon rythme", explique sobrement Carlos Sainz depuis le début de l'épreuve. Un rythme qui lui a permis de compter jusqu'à 15 minutes d'avance sur Al-Attiyah lors de la 6e étape. Un rythme qui a aussi permis au Qatarien de lui reprendre 6 minutes lors de la 9e spéciale.
El matador se devait donc de porter l'estocade. Mardi, il a donc remporté sa première étape, pour un gain de temps léger - 1 min 40 - sur Al-Attiyah, ce qui porte son avance à un peu plus de 10 minutes. "Mais les minutes dans le Dakar représentent des secondes dans un rallye normal", observe-t-il.
"Mercredi, je dois ouvrir la piste pour la première fois. J'espère que le roadbook sera bien fait et que Lucas (Cruz, son copilote) fera du bon boulot, que l'on perdra le moins de temps possible", poursuit-il, le premier pilote à s'élancer en piste perdant généralement du temps sur ses concurrents.
Si la 11e étape se passe correctement, la victoire finale se rapprochera d'autant. "En ce moment, je préfère me projeter jour après jour et ne pas penser à la fin de la course, tempère Sainz. A 47 ans et pour son quatrième Dakar, l'Espagnol a appris la modération.

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Rallye raid

13/01/2010 - 18:18 La bonne opération d'Al-Attiyah




DPPI

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Si Guerlain Chicherit (BMW) s'est imposé à San Juan mercredi, Nasser al-Attiyah (Volkswagen) a réalisé la bonne opération de la 11e étape en reprenant 5 min 38 sec à Carlos Sainz (Volkswagen) en tête de course. Chez les motos, Frans Verhoeven (BMW) s'est imposé.
A trois jours de l'arrivée à Buenos Aires, les concurrents en ont fini avec le Chili mercredi et ont finalement rejoint l'Argentine en traversant la Cordillère des Andes par le Paso Libertadores. Pour cette 11 étape, 220 kilomètres de spéciale étaient au programme jusqu'à San Juan, terme de l'épreuve du jour.
Si Guerlain Chicherit (BMW) a signé sa première victoire d'étape sur le Dakar 2010, le fait marquant est certainement le retour de Nasser al-Attiyah (Volkswagen) sur son équipier Carlos Sainz (Volkswagen) en tête du classement général.
Alors que l'épilogue approche à grand pas, le suspense reste total dans la catégorie auto puisque les deux leaders du classement général ne sont plus séparés mercredi soir que par 4 min 28 sec. Le retour sur le sol argentin n'a pas souri à tout le monde et notamment à Carlos Sainz.
L'Espagnol est ainsi parti à la faute au kilomètre 77, arrachant la prise d'air située sur le toit de la voiture à gauche. Après s'être arrêté deux minutes, il est reparti mais n'est jamais parvenu à revenir sur son principal adversaire. Au final, il concède 5 min 38 sec à Al-Attiyah qui se rapproche à moins de cinq minutes de la tête de course. Le casse-tête devrait donc se poursuivre pour Kris Nissen, le directeur de l'équipe Volkswagen, avec ses deux pilotes prêt à tout pour s'imposer sur ce Dakar.
Dans la catégorie moto, la victoire est revenue à Frans Verhoeven (BMW). Après avoir été tout près de l'abandon lors de la deuxième étape, le Néerlandais a signé sa troisième victoire sur un Dakar mais surtout la première pour la marque munichoise pour son retour cette année. A San Juan, il a devancé l'Américain Jonah Street (KTM) et le Franco-Malien Alain Duclos (KTM). En revanche, Marc Coma (KTM) a connu une petite mésaventure dès les premiers kilomètres en choisissant une mauvaise option de route. L'Espagnol a perdu de nombreuses minutes et a terminé la spéciale avec le neuvième chrono, à plus de cinq minutes du vainqueur du jour.
Mercredi soir, Cyril Despres (KTM) était toujours solidement en tête du classement général. Derrière, Pal Anders Ullevalseter (KTM) a conforté sa deuxième place en reléguant ses deux principaux rivaux, le Chilien "Chaleco" Lopez (Aprilia) et le Portugais Helder Rodrigues (Yamaha), respectivement à 1 min 22 sec et 7 min 31 sec.
Jeudi, les concurrents devront faire face à la plus longue étape du rallye avec 796 km de spéciale dont 476 km de spéciale.

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Formule 1
Rossi pourrait devenir le 3e pilote Ferrari

Ferrari n'exclut pas la possibilité d'aligner une troisième monoplace en championnat du monde de Formule 1.

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Dossier: Formule 1




Valentino Rossi va effectuer de nouveaux tests au volant d'une Ferrari. (Photo: Keystone)


Le multiple champion du monde moto Valentino Rossi, qui va effectuer de nouveaux tests au volant d'une Ferrari les 20 et 21 janvier à Barcelone, pourrait en être le pilote.
«On ne peut jamais dire jamais. Il y a des discussions à propos d'une troisième voiture et cela pourrait devenir une hypothèse intéressante et une amélioration pour l'ensemble de la Formule 1. Surtout avec la possibilité d'avoir Rossi comme pilote, a affirmé un responsable de la Scuderia, Stefano Domenicali. Mais quand nous parlons de trois voitures, nous ne voulons pas dire nécessairement dans notre écurie. Nous pourrions très bien la donner à une petite équipe.»