Ross Brawn l'affirme: 2010 sera l'année de Michael Schumacher.
le 18 janvier 2010,
LeMatin.ch & les agences
Le patron de l'écurie Mercedes, Ross Brawn, a dit hier miser sur l'Allemand Michael Schumacher pour le titre de champion du monde 2010 de F1 mais pas pour gagner le premier grand Pprix de la saison.
A la question de savoir quel pilote parmi les quatre concurrents champions du monde Lewis Hamilton, Fernando Alonso, Jenson Button et Michael Schumacher avait le plus de chances de remporter le titre de champion du monde 2010, M. Brawn a répondu au quotidien Bild: «Michael sera champion du monde.»
«Si je dois parier sur quelqu'un, c'est clair que Michael sera champion du monde», déclare Ross Brawn, cité lundi par le quotidien allemand Bild. «Il est plus détendu maintenant. Quand il a pris sa retraite en 2006, la F1 était un fardeau pour lui. Aujourd'hui, je sens que son enthousiasme est revenu. En revanche, je ne crois pas que Michael Schumacher puisse gagner la première course, le 14 mars à Bahreïn après 1239 jours sans compétition.»
Le septuple champion du monde de F1, sorti de sa retraite par Mercedes, «aura besoin de quelques courses avant de s'habituer aux autres voitures et aux nombreux nouveaux pilotes», a estimé l'ingénieur.
Pour les premiers essais officiels sur le circuit de Valence (Espagne) du 1er au 3 février, l'Allemand «Nico Rosberg sera le premier à piloter la nouvelle voiture. C'était prévu depuis le début, bien avant que Michael ne rejoigne notre équipe», a indiqué le Britannique.
Première monoplace
Mercedes a fait sensation à l'intersaison en rachetant Brawn GP, champion du monde pilotes et constructeurs en 2009, et en recrutant Michael Schumacher pour trois ans fin décembre.
Schumi, âgé de 41 ans depuis le 3 janvier, avait pris sa retraite fin 2006.
Il faudra attendre le 1er février pour voir la première monoplace conçue entièrement par Mercedes depuis cinquante-cinq ans.
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19/01/2010, 06h51
Australie
Tennis. Melbourne : la pluie perturbe le 1er tour
Tennis lundi 18 janvier 2010
A l'instar des autres têtes de série qui ont pu jouer normalement, Andy Murray s'est imposé. Le Britannique a même signé le match le plus expéditif face au Sud-Africain Kevin Anderson.
Reuters
La première journée de l'Open de Melbourne a été sérieusement perturbée par la pluie, et de nombreux matches, commencés, ont dû être interrompus et reportés.
C'est notamment le cas de ceux des Français Gaël Monfils (opposé à l'Australien Matthew Ebden), Fabrice Santoro mené 7-5, 4-2 par le Croate Marin Cilic, Sébastien Grosjean dominé par le Turque Marsel Ilhan 4-6, 2-4, ou encore du duel fratricide entre Julien Benneteau et David Guez. RESULTATS Simple messieurs (1er tour)
Ivan Ljubicic (Cro) bat Jason Kubler (Aus) 6-1, 6-2, 6-2.
Fernando Gonzalez (Chi) bat Olivier Rochus (Bel) 6-3, 6-4, 3-6, 6-1.
Florian Mayer (All) bat Philipp Petzschner (All) 0-6, 2-6, 6-4, 6-2, 6-2.
Andy Roddick (USA) bat Thiemo de Bakker (Hol) 6-1, 6-4, 6-4.
Andy Murray (GB) bat Kevin Anderson (AFS) 6-1, 6-1, 6-2.
Wayne Odesnik (USA) bat Blaz Kavcic (Slo) 4-6, 6-1, 6-4, 6-2.
Ivo Karlovic (Cro) bat Radek Stepanek (Tch) 2-6, 7-6 (7/5), 6-4, 3-6, 6-4.
Bernard Tomic (Aus) bat Guillaume Rufin (Fra) 6-3, 6-4, 6-4.
Juan Martin Del Potro (Arg) bat Michael Russell (USA) 6-4, 6-4, 3-6, 6-2.
Rafael Nadal (Esp) bat Peter Luczak (Aus) 7-6 (7/0), 6-1, 6-4. Simple dames (1er tour)
Anastasia Pavlyuchenkova (Rus) bat Anastasija Sevastova (Let) 6-2, 6-4.
Dinara Safina (Rus) bat Magdalena Rybarikova (Slo) 6-4, 6-4.
Zhenh Jie (Chi) bat Peng Shuai (Chi) 0-6, 6-1, 6-2.
Kateryna Bondarenko (Ukr) bat Raluca Olaru (Rou) 6-2, 7-6 (8/6).
Yvonne Meusburger (Aus) bat Timea Bacsinszky (Sui) 6-4, 4-6, 6-2.
Maria Kirilenko (Rus) bat Maria Sharapova (Rus) 7-6 (7/4), 3-6, 6-4.
Elena Baltacha (GB) bat Pauline Parmentier (Fra) 6-4, 3-6, 7-5.
Kim Clijsters (Bel) bat Valérie Tétreault (Can) 6-0, 6-4.
Yanina Wickmayer (Bel) bat Alexandra Dulgheru (Rou) 1-6, 7-5, 10-8.
Svetlana Kuznetsova (Rus) bat Anastasia Rodionova (Aus) 6-1, 6-2.
Flavia Pennetta (Ita) bat Anna Chakvetadze (Rus) 6-3, 3-6, 6-2.
Maria José Martínez (ESP/N.24) bat Evgeniya Rodina (Rus) 6-0, 6-0.
Justine Henin (Bel) bat Kirsten Flipkens (Bel) 6-4, 6-3.
Elena Dementieva (Rus) bat Vera Dushevina (Rus) 6-2, 6-1.
Alisa Kleybanova (Rus) bat Jelena Dokic (Aus) 6-1, 7-5.
Grâce à sa victoire bonifiée contre les Harlequins ce dimanche à Ernest-Wallon 33-21, le Stade toulousain a rejoint Biarritz parmi les qualifiés pour les quarts de finale de la H Cup. Malgré un début de match balbutiant, les Français ont fourni un match de très grande qualité face aux Anglais.
L’essai de Brown à la 23e était entaché d’un en-avant. C’est vrai. Mais celui de Fritz un quart d’heure plus tard l’était aussi. En revanche, celui de Bouilhou (49e, après un bon travail de Poitrenaud, excellent ce dimanche) était parfaitement valable. Celui d’Heymans (58e) aussi. De même que celui de Médard (65e), celui du bonus offensif qui a permis aux Rouge et Noir d’empocher dès ce dimanche leur billet pour les quarts de finale de la H Cup. Ils comptent désormais six points d’avance sur leur dauphin, Cardiff, et ne pourront, quoi qu’il arrive, pas être devancés lors de la dernière journée de phases de poule le week-end prochain.
Durant la première demi-heure pourtant, les Toulousains ont piétiné. Maladroits au pied et dans la construction de leurs attaques en début de match, ils ont eu du mal à entrer dans la partie. Malgré leur domination territoriale, ils devaient attendre la 19e minute de jeu pour ouvrir le score grâce à la botte d’Elissalde. Et ils étaient vite menés après l’essai de Brown. Un simple contre-temps toutefois, puisque les Français accéléraient à la demi-heure de jeu et viraient en tête à la pause avec une confortable avance de neuf points (16-7).
Toulouse très bien en place
Ils prenaient véritablement le pas sur leurs adversaires durant le deuxième acte. Emmenés par une ligne de trois-quarts à son meilleur niveau et une mêlée ultra-conquérante, les hommes de Guy Novès surclassaient leurs adversaires et ne tardaient pas à inscrire le point de bonus offensif. Ils dominaient, tant dans la possession de balle qu’au niveau territorial, et offraient un rugby de très haut niveau aux spectateurs d’Ernest-Wallon.
Les deux superbes essais de l’ailier international Ugo Monye (77e et 80e) après un relâchement de la défense française ne changeaient pas grand chose. Toulouse s’imposait finalement 33-21 et assurait sa place en quarts. Après Biarritz, c’est le deuxième club français à gagner son billet dès ce week-end. Et c’est, déjà, mieux que l’an dernier.
Au terme d'un gros match, Clermont a dominé les Ospreys (27-7) à Marcel-Michelin. Seul regret, les Auvergnats n'ont pas obtenu le bonus offensif. L'ASM n'a donc pas son destin en main, mais si elle ramène une victoire à 5 points de Viadana la semaine prochaine, les quarts ne devraient pas être loin.
Le scénario idéal. Ils en avaient rêvé, ils l'ont fait : battre les Ospreys sans leur laisser le point de bonus défensif.
Les Clermontois sont plus que jamais candidats à la qualification pour les quarts de finale de la Coupe d'Europe, même s'ils ne sont toujours pas en tête de leur poule au soir de cette avant-dernière journée. Seule ombre au tableau, ils n'ont pas réussi à prendre le point de bonus offensif qui leur aurait permis de rester maîtres de leur destin. Une victoire bonifiée des Anglais de Leicester, lors de la dernière journée, sur la pelouse des Ospreys condamnerait les hommes de Cotter. De leur côté, les Auvergnats devront s'imposer avec le point de bonus offensif. Voilà pour les comptes scientifiques que nécessite cette poule très relevée.
Un mal de tête que Clermont s'est offert en livrant un grand match face à la formation galloise emmenée par Enrico Januarie, l'ancien demi de mêlée de l'Afrique du Sud. Jouant leur survie, les Auvergnats se montraient pourtant très fébriles à l'entame de ce quitte ou double.
Des premières catastrophiques complètement dominés par des visiteurs conscients qu'ils fallaient instaurer rapidement le doute dans la tête des locaux. Un premier quart d'heure à sens unique (à l'exception d'un contre emmenée par Floch) qui permettait aux Ospreys d'ouvrir logiquement le score grâce à un essai limpide de l'arrière Tommy Bowe.
Au fil des minutes, les locaux arrivaient tout de même à entrer réellement dans la rencontre. Mieux, ils viraient en tête à la pause grâce à trois pénalités et un drop de Brock James (12-7). L'ouvreur australien, inspiré comme chef d'orchestre, touchait malheureusement trois fois les poteaux sur ses tentatives de but. Des maladresses qui permettaient aux Ospreys de rester au contact jusqu'à l'heure de jeu. Jusqu'à une chandelle réceptionnée par Rougerie pour mettre sur orbite Julien Malzieu qui pointait en coin. Une premier essai qui sortait enfin les Gallois du bonus défensif.
En toute fin de rencontre, Nalaga donnait un peu plus d'ampleur au score en interceptant une passe au niveau de la ligne médiane avant de s'offrir un raid solitaire qui délivrait définitivement tout le stade.
Re : Toutes New sportives autres que la moto -
19/01/2010, 11h34
Tennis - AUS (H)
Santoro n'a pas de regrets
Battu (7-5, 7-5, 6-3) par Marin Cilic, Fabrice Santoro a conclu son 70e tournoi du Grand Chelem et affirme que c'était la der des ders. Sa tenue est partie au musée du tennis à Newport, à la demande de l'ATP.
Fabrice Santoro était de retour à Melbourne.(EQ)
«Fabrice Santoro, est-ce la der des ders ?
Oui, c'était le dernier match. De toute façon, ma carrière s'est terminée à Bercy. Mais je suis vraiment content d'être venu ici. J'avais de bonnes raisons de faire ce voyage pour jouer un 70e tournoi du Grand Chelem sur quatre décennies ou pas (sourires). Ce n'est pas banal et c'est une ville très spéciale pour moi dans un tournoi que j'aime énormément. J'ai reçu tellement de messages qui me disaient que j'allais le regretter si je ne venais pas. Je n'ai pas de regrets. C'était un très bon match car c'était un tour extrêmement difficile après deux mois sans compétition et face à Marin Cilic, 14e mondial. J'ai bien résisté.
Quand vous avez vu le nom de votre adversaire, est-ce que vous avez eu peur ?
Oui. Le tirage aura aussi pu être pire. N'ayant pas joué et bien déconnecté dans la tête après Bercy, je ne savais pas si j'allais retrouver la concentration sur la durée. Avoir réussi un break d'entrée m'a rassuré et réconforté pour la suite du match. Au bout du compte, j'aurais signé des deux mains pour réussir ce match. C'était du lourd, il est invaincu cette année et ce n'est pas le gars qu'on fait dégoupiller. Il n'a jamais montré un signe d'énervement ou une perte de lucidité. J'ai l'impression d'avoir eu des occasions dans chaque set.
«C'était le dernier match. De toute façon, ma carrière s'est terminée à Bercy. Mais je suis vraiment content d'être venu ici.»
Existe-il une chance de vous revoir sur un court cette saison ?
Sauf si vous venez me voir taper avec des copains. Sinon ce n'est vraiment pas prévu. Si je pouvais être joueur de tennis professionnel en disputant 8-10 tournois par an, je le ferai. Mais je sais que ce n'est pas possible. J'ai donc décidé de mettre un terme à ma carrière. Si j'arrête, ce n'est pas parce que je n'aime plus le tennis, c'est ma vie et ma passion. Si un joueur me demande de faire un double, j'irai peut-être le faire mais cela ne voudra pas dire que je suis de retour sur le circuit.
Vous êtes-vous ennuyé en novembre-décembre ?
Non, je ne m'ennuie jamais. Je ne sais pas ce que c'est que de me poser deux heures à la maison avec les bras croisés. J'ai toujours des choses à faire, des projets, j'appelle des copains. J'ai toujours besoin d'avoir des projets et il y a plein de choses qui vont se mettre en place dans les prochains jours ou semaines. J'ai des objectifs qui sont nouveaux et différents. Je n'ai ressenti aucun manque.
A quoi votre retraite va-t-elle ressembler ?
Je vais peut-être travailler pour les TV et radio françaises et dans l'événementiel avec la reprise du tournoi de Metz. Puis il y aura peut-être un peu de formation et des exhibitions. Je suis très ouvert à d'autres projets. Je n'ai pas encore envie de devenir coach et de repartir sur la route.»
Ben bravo Msieur, toujours eu plaisir à vous voir jouer......Bonne route........
Le pilote espagnol de Formule 1 Pedro de la Rosa aannoncé s'être engagé avec l'écurie Sauber pour la saison 2010, qui débutera le 14 mars avec le Grand Prix de Bahreïn.
le 19 janvier 2010,
LeMatin.ch & les agences
"J'ai toujours pensé que j'aurais une autre chance comme pilote officiel", a indiqué sur son site internet De la Rosa, pilote d'essais pour McLaren-Mercedes de 2003 à 2009.
"Je suis très motivé pour courir cette saison avec l'équipe de Peter Sauber", a ajouté l'Espagnol, 38 ans, qui a disputé quelques Grands Prix avec McLaren lors des dernières saisons.
"Pedro a travaillé ces dernières années pour l'une des meilleures équipes. Nous voulons profiter de son expérience", adéclaré le Suisse Peter Sauber, patron de l'écurie, sur le site du pilote.
De la Rosa, qui a débuté en F1 chez Arrows en 1999, pilotera la saison prochaine aux côtés du Japonais Kamui Kobayashi, remplaçant chez Toyota en 2009.
Le patron d'Alinghi a affirmé mercredi qu'Oracle allait utiliser un "bateau français" pour leur duel en multicoques, début février, au titre de la 33e Cup.
le 20 janvier 2010,
LeMatin.ch & les agences
M. Bertarelli a fait ce commentaire lors d’une conférence de presse en réponse aux accusations d’Oracle affirmant qu’Alinghi allait utiliser sur son maxi-catamaran des voiles "illégales" fabriquées aux Etats-Unis, en violation de la règle de "nationalité" de l’épreuve.
Ces voiles "ont pour base une technologie suisse", alors que "l’équipe américaine utilise un bateau français", a déclaré M. Bertarelli au sujet du trimaran géant USA 17 que va utiliser Oracle pour le duel prévu à partir du 8 février à Valence (est de l’Espagne).
Selon le patron milliardaire d’Alinghi, alors qu’Alinghi 5 est de conception suisse, USA 17 est une "copie conforme" des grands trimarans français, et a été conçu par des "designers français" et Oracle a fait appel à "l’équipe Groupama" française au départ pour l’aider à naviguer.
Le trimaran américain construit en Californie a été dessiné en coopération avec le cabinet d’architectes navals français VPLP (Van Peteghem-Lauriot Prévost) et le spécialiste français des multicoques Franck Cammas (Groupama) a participé à ses premiers essais.
M. Bertarelli a demandé à Oracle d’abandonner son action en justice à New York contre les voiles utilisées par Alinghi, menaçant d’attaquer à son tour les Américains sur le véritable caractère "national" de leur bateau et certains de ses équipements étrangers.
Cette nouvelle passe d’armes aiguise le litige entre les deux syndicats à moins de trois semaines de leur duel au meilleur des trois manches, dont le résultat ou l’organisation pourraient dépendre de la décision attendue de la justice américaine sur les voiles suisses.
Mardi soir, Oracle avait accusé les Suisses d’avoir publié des "instructions de course" et un "avis de course" "fortement orientés" en faveur d’Alinghi et demandé au jury international de réviser ce règlement.
M. Bertarelli a une nouvelle fois accusé mercredi Oracle et son patron milliardaire Larry Ellison de vouloir gagner la Coupe devant les tribunaux plutôt que sur l’eau et a estimé que "si nous ne pouvons utiliser nos voiles, nous ne pourrons gagner". "Si Ellison gagne en justice, j’amènerai le champagne à New York et je lui dirai + bien joué Larry ! +", a déclaré ironiquement le patron d’Alinghi, rappelant qu’Oracle avait déjà lancé neuf actions en justice à New York contre Alinghi.
Oracle s’est dit prêt à donner un délai de plusieurs semaines aux Suisses si leurs voiles étaient déclarées non conformes, au cas où la Cour Suprême de l’Etat de New York statuerait avant le 8 février.
M. Bertarelli a affirmé que son équipe était "prête" pour le duel du 8 février, écartant pour le moment tout report à mars ou avril des régates, comme le souhaiteraient Oracle et la ville de Valence.
Pour la quatrième fois de l'hiver, Didier Cuche s'est montré le plus rapide lors de l'entraînement chronométré d'une descente. A Kitzbühel, le Neuchâtelois a précédé les Autrichiens Mario Scheiber et Michael Walchhofer.
le 20 janvier 2010,
LeMatin.ch & les agences
Pour la quatrième fois de l'hiver, Didier Cuche s'est montré le plus rapide lors de l'entraînement chronométré d'une descente. A Kitzbühel, le Neuchâtelois a précédé les Autrichiens Mario Scheiber et Michael Walchhofer.
Sur le mythique tracé de la Streif, Cuche a tout de suite placé le niveau du débat: il est là pour triompher une troisième fois dans la station huppée des Alpes autrichiennes. Le Neuchâtelois s'était montré le plus rapide à Lake Louise, Val Gardena et Wengen dans les premiers entraînements.
Le Glaronais Tobias Grünenfelder est le deuxième Suisse, classé au 6e rang à 0''71 de Cuche. Le vainqueur de l'édition 2009, Didier Défago a perdu 1''17 et figure au 9e rang. Le leader de la Coupe du monde et vainqueur du Lauberhorn, Carlo Janka, n'a pris aucun risque comme prévu. Il a concédé plus de 3''.
Kitzbühel. Premier entraînement chronométré en vue de la descente Coupe du monde messieurs de samedi: 1. Didier Cuche (S) 1'55''22. 2. Mario Scheiber (Aut) à 0''17. 3. Michael Walchhofer (Aut) à 0''36. 4. Natko Zrncic-Dim (Cro) à 0''60. 5. Aksel Lund Svindal (No) à 0''66. 6.Tobias Grünenfelder (S) à 0''71. 7. Klaus Kröll (Aut) à 0''98. 8. Patrik Järbyn (Su) à 1''14. 9. Didier Défago (S) à 1''17. 10. Bode Miller (EU) à 1''31. Puis les autres Suisses: 24. Silvan Zurbriggen à2''55. 29. Carlo Janka à 3''22. 40. Patrick Küng à 4''17. 41. Cornel Züger à 4''18. 42. Ralf Kreuzer à 4''21. 52. Beat Feuz à 5''49.
Re : Toutes New sportives autres que la moto -
20/01/2010, 19h05
Formule 1 Un Schumi supersticieux obtient gain de cause
Michael Schumacher a obtenu de l'écurie Mercedes de piloter la monoplace no 3 et non no 4, comme initialement prévu.
«Ross Brawn sait bien que je préfère les chiffres impairs», a expliqué Michael Schumacher. (Photo: Keystone)
Le septuple champion du monde allemand, de retour après une absence de trois ans, préfère les chiffres impairs, a-t-il reconnu dans la presse allemande.
«Ross (ndlr: Brawn, le patron de l'écurie) sait bien que je préfère les chiffres impairs», a expliqué Schumacher au quotidien «Bild». L'Allemand a en effet remporté ses sept titres mondiaux à bord de voitures portant des chiffres impairs: cinq fois avec le no 1, une fois avec le no 3 et une fois avec le no 5.
Le 3 devait initialement revenir à son coéquipier Nico Rosberg, qui avait rejoint la nouvelle écurie Mercedes (ex-Brawn) avant lui. Ce changement pourrait laisser des traces entre les deux équipiers, alors que Rosberg refuse d'être présenté comme le jeune pilote en apprentissage aux côtés du «maître» Schumacher.
Le «Bild» en a profité pour rappeler que le no 4 ne portait pas chance au pilote qui en héritait, puisqu'aucun no 4 n'a jamais été sacré champion du monde.
Sur son site internet, Schumacher a évoqué les ennuis de santé qui l'avaient contraint à renoncer à un retour l'an passé déjà, en remplacement de Felipe Massa chez Ferrari. Il a assuré qu'il n'avait ressenti aucune douleur au cou la semaine dernière, lors de sa séance d'essai au volent d'une monoplace du championnat GP2.
«Les effets secondaires de ma chute ont cessé depuis longtemps, j'étais certain que mon cou n'allait pas me poser de problème, a expliqué Schumacher. La chute remonte maintenant à un an, c'est du passé. Je m'entraîne à nouveau physiquement depuis décembre avec le plus grand soin et je me sens extrêmement en forme et frais physiquement.»
Schumacher avait lourdement chuté au guidon d'une moto, en février 2009 sur le circuit espagnol de Carthagène. Les séquelles de cette chute avaient essentiellement été des douleurs persistantes à la nuque. (ats)
Re : Toutes New sportives autres que la moto -
19/01/2010, 06h44
mange un castor tu sauves un arbre
Bonne route........
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Mode linéaire
