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Envoyé par Pasky

Schumi, tout comme Pedrosa, est fan de Biaggi, mais n'ose pas l'avouer

Joli Pasky !

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Janka d’un mythe à l’autre

SKI ALPIN | Après le Lauberhorn, le Grison peut faire main basse sur la terrible piste de Kitzbühel qui avait brisé son ami Daniel Albrecht il y a un an.


© AFP | Carlo Janka aborde le saut final qui avait été fatal à son ami Daniel Albrecht il y a douze mois. «On ne décolle plus beaucoup et c’est tant mieux», lâche le Grison.


GRÉGOIRE SURDEZ KITZBÜHEL | 21.01.2010 | 00:02


Ils l’ont raboté. Adouci. L’énorme saut d’arrivée n’est plus qu’une légère caresse. «Quand on revient ici, il y a forcément des images qui ressurgissent dans la tête. Et ce n’est pas facile de les évacuer.» Carlo Janka, tout «Iceman» qu’il est, a ressenti une émotion particulière en arrivant au pied du «monstre».
Il y a un an, il était encore dans la cabane de départ de la terrible Streif quand l’accident s’est produit. C’était sa première à Kitzbühel. Un dépucelage d’ordinaire douloureux. Qui allait tourner au cauchemar. Les jambes en coton, la tête dans le brouillard, il avait quand même pris le départ de l’entraînement. Deux jours plus tard, il se classait 20e de la course tandis qu’un homme luttait pour sa survie à l’hôpital d’Innsbruck. Un résultat qui en dit long sur la force mentale du prodige d’Obersaxen.
Le jeune Grison partageait la chambre de Daniel Albrecht, son ami, son modèle aussi. Il vivra douloureusement la folle embardée du Valaisan. Un an après, il tente de raboter ses émotions. Le temps adoucit ses peurs et ses souvenirs. «Aujourd’hui (lisez hier), j’avais quand même décidé de descendre avec retenue, explique Carlo Janka après un modeste 29e rang lors du premier entraînement. Pour voir comment j’allais me sentir. Ça s’est plutôt bien passé et j’ai pu prendre mes marques. Je me lâcherai un peu lors du 2e entraînement. «Le saut final? C’est vrai, on ne décolle plus. Tant mieux.»
Albrecht de retour
Daniel Albrecht sera à Kitzbühel aujourd’hui. Le symbole est fort. Debout et vivant, c’est déjà pas mal. Lors d’une conférence de presse qui s’annonce chargée en émotion, il évoquera son avenir. Retrouvera-t-il un jour le niveau qui était le sien avant l’accident. Et cette Streif, la dévalera-t-il encore un jour? «J’ai parlé au téléphone avec Dani mardi, glisse Carlo Janka. Il va bien. Mais nous n’avons pas évoqué Kitzbühel.» Ils n’ont pas évoqué cette descente de samedi dont le Grison est forcément l’un des favoris. C’est que le «bleu» a pris du galon en douze mois. Un globe de cristal de super-combiné, un titre mondial en géant, des podiums et des victoires en Coupe du monde. Et, samedi dernier, le chef-d’œuvre du Lauberhorn. Carlo Janka skie dans la trace de Didier Défago qui avait réussi le fameux doublé Wengen - «Kitz». Ils sont rares (12) les skieurs à avoir dompté les deux mythes coup sur coup. «C’est parce que les caractéristiques de ces deux descentes sont diamétralement opposées», explique Mauro Pini. L’entraîneur de Didier Cuche et Didier Défago image: «Après les grosses cuisses, le gros cœur.» A Wengen, il faut de l’endurance et de la finesse. «Sur la Streif, il faut être capable d’envoyer, de repousser la limite», explique Didier Cuche, deux fois vainqueur de la reine des classiques et meilleur temps de l’entraînement.
«Plus dure que Wengen»
Carlo Janka est-il capable de faire fi du contexte? «Il faut du courage pour gagner ici, explique Didier Défago. De l’expérience aussi. Malgré son jeune âge, Carlo a une grande maturité et il est sur son petit nuage Alors, rien n’est impossible.»
«Oui, peut-être, tranche le principal intéressé. Reste que la Streif est beaucoup plus dure que le Lauberhorn.» Son regard se brouille un peu. C’est comme si certaines images ressurgissaient…
LE PROGRAMME DE KITZBÜHEL
Vendredi: super-G à 11 h 30.
Samedi: descente à 11 h 30.
Dimanche: slalom à 10 h 30 et 13 h 45.

[Norton]

Victoire suisse à la Grande Odyssée

CHIENS DE TRAîNEAU | La 6e édition de la Grande Odyssée Savoie Mont-Blanc s’est achevée hier en Haute Maurienne Vanoise. Le musher alémanique Emil Inauen s’est imposé au terme des 1000 km de course.


© Patrick Martin-A | Emil Inauen a remporté la fameuse course.





P.M. | 21.01.2010 | 09:47


Vingt-trois minutes. C’est un écart minime qui a permis à Emil Inauen de remporter la Grande Odyssée, l’une des courses de chiens de traîneau les plus exigeantes du monde. Le musher grison, établi depuis peu en Norvège, a bouclé les dix étapes au programme de cette 6e édition en 40 h et 17 minutes. Son dauphin est le Tchèque Radek Havdra.
Des Portes-du-Soleil à la Haute Maurienne Vanoise, en passant par Megève, les vingt concurrents engagés ont dû franchir avec leurs attelages 25000 m de dénivelé positif depuis le 10 janvier. Quelque 60000 spectateurs ont suivi les épreuves, se félicitent les organisateurs.
A noter que la première femme à l’arrivée n’est autre que Barbara Inauen, l’épouse du grand vainqueur. Elle a terminé au 10e rang final. Côté romand, la Neuchâteloise Sarah Audétat a connu une course difficile pour sa toute première participation. Elle s’est classée au 20e et dernier rang, avec une vingtaine d’heures de retard sur Emil Inauen.

Super...............

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Alinghi met en avant la technologie suisse pour vanter son catamaran

VOILE | Le Defender a ouvert les portes de sa base de Valence pour une journée destinée à mieux faire comprendre les enjeux de ce duel de la 33e America’s Cup toujours paralysé par un conflit entretenu par les Américains.


© afp | Vroljik n’est pas sorti en mer hier en raison des conditions trop ventées. Toute l’équipe du Defender a pu donc se montrer plus disponible durant la journée pour répondre aux questions des journalistes.


PIERRE NUSSLÉ/VALENCE | 21.01.2010 | 00:03


Alain Gautier a un avis très personnel et plutôt sévère sur la Coupe de l’America telle qu’elle se présente au public depuis deux ans et demi. L’ancien vainqueur du Vendée Globe, le tour du monde en solitaire sans escale, apporte son expérience, son intelligence et son savoir-faire à l’équipe d’Alinghi. Si la passion qui l’anime est avant tout sportive, le skipper de Foncia ne peut s’empêcher de réprouver le gâchis qui ravage le plus vieux trophée de la voile.
«Oui, c’est triste. Cette Coupe est bonne à mettre à la poubelle! Il faut créer quelque chose de différent, qui corresponde mieux à la voile actuelle et à un monde sportif professionnel. Est-ce normal qu’autant de marins attendent que deux équipes s’affrontent enfin pour désigner celle qui va organiser la prochaine édition? Cette vieille «anglo-saxonne» a besoin d’un sérieux lifting, poursuit Gautier. Il faut réfléchir à une compétition avec de nouvelles règles, mais ça ne me paraît pas facile à mettre en place, car l’ISAF (ndlr: la Fédération internationale de voile) est hors-jeu. La Coupe de l’America est écrasée par ce litige juridique. C’est regrettable, car elle perd sa dimension humaine et sportive.»
Une grande disponibilité
Pourtant, cette dimension sportive et humaine, Alinghi a su la conserver contre vents et marées. La journée portes ouvertes hier à Valence en est une nouvelle preuve. Beaucoup de disponibilité de la part des marins, des designers et de toute une équipe qui a appris à vivre ensemble, pour certains depuis le début la campagne en 2001.
Bien sûr, le conflit avec Oracle a été évoqué longuement. Comme l’incertitude subsiste sur le résultat de la plainte américaine en justice sur la légalité ou non des voiles utilisées par Alinghi, on s’est davantage intéressé au bateau et à l’aspect sportif d’un duel qui est toujours programmé pour le 8 février.
Depuis un mois, Valence a mis la vitesse supérieure pour organiser tout ce qui n’est pas du ressort sportif. Alinghi a conclu un accord avec le consortium qui regroupe les autorités de la ville, de la région et de l’Etat espagnol.
Alinghi ne veut pas retarder l’échéance, sauf si une décision de justice l’y oblige. Pour l’heure, il préfère donc mettre en avant la technologie suisse pour vanter le potentiel, paraît-il impressionnant, de son catamaran.
Loïck Peyron fasciné
«Ce bateau est fascinant, reconnaît Loïck Peyron, très demandé par les médias. Quand on s’intéresse à tout comme moi, cela oblige à voir tous les détails. J’adore partager des idées avec des gens spécialisés dans des domaines très différents les uns des autres. Cela exige une certaine ouverture d’esprit, car il n’y a pas de mode d’emploi. Cette technologie de pointe utilisée sur ce bateau va forcément avoir un prolongement à l’avenir sur le développement des multicoques.»
Dans un coin du bar, Brad Butterworth observe toute cette agitation dans la base d’un air satisfait. Il sait que son rôle de tacticien ne sera pas aussi facile sur un multicoque que sur un Class America. En mer, il devra anticiper deux fois plus vite, surtout si les conditions changent entre le départ et la bouée au vent, près de 40 km plus au large…  

Suite........

[Norton]

Rolf Vrolijk: «Un duel unique et historique»
L’America’s Cup a toujours mis en avant la technologie et l’imagination des meilleurs designers du monde de la voile. La 33e édition n’échappe pas à la règle. Elle va même plus loin en suscitant la conception des deux multicoques les plus extrêmes jamais construits.
Rolf Vrolijk est l’architecte d’Alinghi depuis le début de l’aventure amorcée par Ernesto Bertarelli au début des années 2000. Il est l’un des artisans des deux victoires contre Team New Zealand, en 2003 à Auckland et en 2007 à Valence. Après avoir dessiné les monocoques Class America les plus rapides de l’histoire, il a pris le risque de se lancer dans un domaine nouveau pour lui: le multicoque. Et pas n’importe lequel. Un catamaran géant qui rassemble toute la technologie suisse avec l’aide de l’EPFL.
Le résultat est stupéfiant. Le bateau est élégant, racé, rapide et bien né. «Un vrai régal à piloter», souligne Loick Peyron, qui sera vraisemblablement l’un des deux barreurs à bord, avec Bertarelli. «Ce match va être fascinant, historique, avec deux bateaux uniques. On ne verra plus jamais ça, car je ne pense pas qu’il y aura d’autres challenges de ce type dans le futur, affirme Vrolijk en jetant un regard admiratif vers le catamaran. Oui, je suis fier de ce bateau, de sa taille, de sa légèreté, de sa structure stable. On a aussi beaucoup travaillé sur la qualité des appendices. Tout a été étudié, testé en laboratoire avant d’être installé sur le voilier, dont la conception est plutôt orientée pour les petits airs.»
Rolf Vrolijk a toujours le même avis sur le duel: «Après dix minutes, on saura déjà qui va gagner. Attention, la première régate de deux fois 20 milles nautiques (ndlr: 2 x 38 km) peut réserver des surprises. Le bateau qui a le meilleur potentiel en vitesse peut connaître des avaries sur un parcours offshore. Les conditions de navigation en février ne sont pas formidables, on le sait. Si on a une grosse casse dans la structure du bateau, c’est fini! On n’aura pas le temps de réparer, prévient Rolf Vrolijk. Alinghi est prêt à en découdre au début février. On n’a pas besoin d’un mois de plus. Il n’y a plus rien à faire d’essentiel sur le bateau.» (pn)


«Le trimaran d’Oracle est un bateau français»
Ernesto Bertarelli a profité de la présence de nombreux journalistes étrangers et suisses pour lancer quelques piques à l’encontre du Challenger américain.
«Le trimaran d’Oracle est un bateau français!, prétend le patron d’Alinghi. Il a été conçu par un cabinet d’architectes parisiens, et les Américains ont fait appel à l’équipe de Groupama et à son skipper, Franck Cammas, au départ pour tester le voilier. S’ils poursuivent leur action en justice pour contester la légalité de nos voiles, nous les attaquerons nous aussi sur le veritable caractère «national» de leur bateau et de certains équipements comme, par exemple, le moteur allemand BMW qui équipe leur trimaran.»
Hier, Oracle a accusé Alinghi d’avoir publié des instructions et des règles de course «fortement orientées» en faveur du Defender. Il a demandé au jury international de l’ISAF de réviser ce règlement «truffé d’erreurs».
Ernesto Bertarelli est resté ferme sur cette question. «C’est au yacht-club du Defender de fixer les règles du match, comme le stipule clairement le Deed of Gift. D’autre part, si nous ne pouvons pas utiliser nos voiles 3DL, nous ne pouvons pas gagner ce duel, c’est impossible.»
Bertarelli ironise même en affirmant que «si Ellison obtient la victoire en justice, j’amènerai le champagne à New York et je lui dirai: «Bien joué, Larry!» (pn)

[Norton]

Tournoi de Melbourne

Roger Federer: «Le prince William était content de me voir jouer»


Image © Keystone

C’est au milieu du troisième set du match entre Roger Federer et Victor Hanescu (ATP 47) que le prince William a fait son entrée dans la Rod Laver Arena, ce matin. Le Bâlois menait alors 3-0 après avoir remporté aisément les deux premiers sets.
Melbourne - Fabiano Citroni - le 21 janvier 2010,
Le Matin


Il a alors fait durer quelque peu le plaisir, histoire que le prince puisse voir un peu de tennis. Vingt minutes plus tard, Federer levait les bras au ciel après l’avoir emporté 6-2 6-3 6-2 en 1h39. Au prochain tour, le numéro un mondial sera opposé à l’Espagnol Albert Montanes (ATP 32), qu’il a déjà battu deux fois en autant de confrontations. A l’heure de l’analyse d’après match, Roger Federer a principalement été interrogé sur la venue du prince William…
Roger Federer, étiez-vous au courant que le prince William serait présent?
Oui, on m’avait averti.
Est-ce la personnalité la plus impressionnante qui est venue vous voir jouer?
A l’époque, j’étais surtout intimidé lorsque mes parents et mes amis venaient au stade. Puis d’autres sportifs, des acteurs, des musiciens sont venus. J’apprécie aussi beaucoup lorsque des légendes du tennis sont dans les tribunes. Reste que c’était un grand honneur pour moi de voir le prince William arriver. Car je sais qu’il connaît le tennis.
Une rencontre est-elle prévue?
En fait, nous avons discuté un petit moment après mon match.
Vous vous êtes dit quoi?
Je ne vais pas tout vous dire. J’ai quand même mes secrets (rires). Il m’a dit qu’il était content d’avoir pu venir et de m’avoir vu jouer. Il a ajouté qu’il était soulagé que le match ne se soit pas terminé avant son arrivée.
Vous lui en voulez d’être arrivé aussi tard?
(sourire) Pas du tout. J’étais plus ou moins informé de l’heure à laquelle il viendrait. Je savais donc que si je gagnais en trois sets, il risquait de ne pas voir grand-chose. Mais le fait que le prince vienne voir un match de tennis est fantastique pour notre sport.
Vous lui avez offert une raquette? Il vous a fait un cadeau?
Non. On s’est juste serré la main. Comme des hommes.
Vous avez déjà rencontré d’autres membres de la famille royale?
J’ai rencontré ceux qui sont présents lors de la remise des prix à Wimbledon.
Mais vous en avez rencontré dans un cadre privé?
Non, non. Il n’y a encore eu aucun English breakfast!

[Norton]

Sortie de route pour Rossi avec une Ferrari





L'Italien Valentino Rossi, neuf fois champion du monde de moto, est sorti de la route dès le deuxième tour lors d'essais au volant d'une Ferrari mercredi, sur le circuit de Montmelo, près de Barcelone (Espagne, nord-est). La Ferrari F2008 pilotée par Rossi, équipée de pneus GP2, est sortie de la route au niveau d'une courbe à la fin du circuit.

Après une interruption d'environ une heure, le pilote italien a repris la séance d'essais de la matinée, bouclant cette fois neuf tours sans problème.

L'après-midi a été beaucoup plus fructueuse pour l'Italien qui a, au total, parcouru 68 tours sur le circuit de Montmelo, où il doit poursuivre l'expérience jeudi. "Je suis content. C'était de bons essais même si c'était mouillé dans la matinée où j'ai connu quelques problèmes sans les pneus appropriés. Dans l'après-midi, c'est devenu sec et j'ai pu améliorer mon temps" (1 min 25 sec 200/1000), a commenté Rossi, qui avait déjà piloté une Ferrari lors d'essais privés.

Kimi Raikkonen détient le record du circuit (1:21.670) depuis 2008, au volant de la même Ferrari. L'écurie italienne réfléchit à la possibilité d'aligner une troisième monoplace en Championnat du monde cette saison, avec Rossi pour pilote.

"On ne peut jamais dire jamais. Il y a des discussions à propos d'une troisième voiture et cela pourrait devenir une hypothèse intéressante et une amélioration pour l'ensemble de la Formule 1. Surtout avec la possibilité que Rossi la conduise", a récemment affirmé un responsable de la Scuderia, Stefano Domenicali. (belga)





21/01/10 09h25

[danlos]

Envoyé par Norton

Tournoi de Melbourne

Roger Federer: «Le prince William était content de me voir jouer»




Est-ce la personnalité la plus impressionnante qui est venue vous voir jouer?
A l’époque, j’étais surtout intimidé lorsque mes parents et mes amis venaient au stade. Puis d’autres sportifs, des acteurs, des musiciens sont venus. J’apprécie aussi beaucoup lorsque des légendes du tennis sont dans les tribunes. Reste que c’était un grand honneur pour moi de voir le prince William arriver. Car je sais qu’il connaît le tennis.

Ca doit être bien d'être prince pour ce genre de choses, il assiste à tout ce qu'il veut gratos.
Je sais pas si Roger est impressionné par un gars plus jeune que lui qui n'a jamais rien fait de sa vie sauf être poursuivi par des paparrazzi tout les jours dès qu'il sort de chez lui.

Envoyé par Norton

Vous avez déjà rencontré d’autres membres de la famille royale?
J’ai rencontré ceux qui sont présents lors de la remise des prix à Wimbledon.

Il aurait été un peu plus fêtard il aurait déjà rencontré Harry complètement bourré dans les bars et soirées aux 4 coins du monde

[Pasky]

Envoyé par Norton

Ci dessus, la preuve que l'on peut être bourré de talent au point de coiffer 9 fois la couronne mondiale, et que l'on peut avoir un goût de chiotte quand on se coiffe d'un bonnet