Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

VOILE - TROPHÉE JULES VERNE

«Groupama 3»: l’Equateur en avance


Franck Cammas et Stève Ravussin comptait plus de 450 milles d’avance sur le temps de référence vendredi matin.
Jean-Guy Python - le 05 février 2010,
LeMatin.ch

Dans le cadre du Trophée Jules Verne, «Groupama 3» accumulait vendredi matin plus de 450 milles d'avance sur le temps de référence établi par Bruno Peyron et son équipage en 2005. Au point que le trimaran géant devait, à ce rythme, posséder une bonne journée de marge au passage de l'équateur, programmé pour samedi matin.
«Groupama 3» a aligné tranquillement plus de vingt-cinq noeuds de moyenne et le trimaran géant a tiré un trait de plus de 620 milles ces dernières 24 heures. Il faut dire que le vent est bien installé depuis l'archipel du Cap-Vert. C'est donc un franchissement de la ligne annoncé en moins de six jours! Pour une fenêtre météorologique étroite au départ de Brest, c'est déjà une belle performance en perspective.

[pool]

Envoyé par Norton

foot

John Terry n'est plus capitaine de l'équipe d'Angleterre
C'est du n'importe quoi...................

effrayant que pour une histoire de cul on remettent en cause ses qualités sportives

[webamanu]

Pas bien, tiré la femme d'un collègue de taff, pas bien.

[pool]

c'est une ex, donc il a le droit de ramasser les miettes

[webamanu]

Ah bin si c'était l'ex de l'autre au moment des faits ca change tout. Par contre si c'est devenue l'ex de l'autre par la suite, c'est pas pareil.

Imagine les deux mecs se tapé dessus lors d'un match officiel, ca serait plutôt comique.

[danlos]

c'est surtout ça que je ne comprends pas trop, les 2 n'étaient plus ensemble, la fille fait ce qu'elle veut, elle ne va pas demander l'autorisation, mais bon c'est toujours comme ça, il faut se méfier de son meilleur ami, on ne sait jamais de quoi il est capable.

[Norton]

2700 athlètes de 82 pays à Vancouver, un record


Avec plus de 2700 athlètes représentant 82 nations, les Jeux Olympiques de Vancouver vont enregistrer un nouveau record de participation pour des JO d'hiver, a annoncé vendredi le Comité International Olympique (CIO), vendredi dans la cité canadienne.

Ils étaient 2508 à Turin et représentaient 80 pays en 2006.

Quelque 86 épreuves vont donner des médailles. Il y avait 84 à Turin.

[Norton]

Murray: "Le Christ ne veut pas de rugby le dimanche"


Le pilier de l'Ecosse Euan Murray explique sa décision de ne pas disputer le match d'ouverture dans le Tournoi des Six nations contre la France, par le fait que, selon lui, "le Christ ne veut pas qu'on joue au rugby le dimanche", dans un entretien au Guardian vendredi.

"Je souhaiterais juste qu'il n'y ait pas de matches de rugby le dimanche. Le Christ ne veut pas qu'on joue au rugby le dimanche", explique Murray, un "Born Again Christian" militant. Le joueur explique qu'il n'allumera même pas son poste de télévision pour voir ses équipiers tenter de battre les Français: "Je ferai ce que je fais tous les dimanches: me détendre, me reposer, profiter de la journée. Je ne regarderai pas le match. C'est un jour où je veux profiter du Seigneur."

Expliquant que "le rugby n'était pas ce qui nourrissait (son) bonheur dans la vie", il ajoute toutefois qu'il compte "prier pour l'équipe". "On verra ce qui se passera", dit-il. Elément essentiel du pack écossais, Murray se dit convaincu que sa décision "est la bonne d'un point de vue biblique".

La je tombe.................

[Norton]

33e coupe de l'america

L'aile d'Oracle vole la vedette

Image © Jean-Guy Python
«Un bateau muni d'une aile peut décélérer ou accélérer de manière beaucoup plus brutale» Pierre-Yves Jorand, coach d'Alinghi

L'adversaire américain d'Alinghi utilise une voile rigide impressionnante et unique. Quelles sont les implications d'un tel choix? Réponse avec, notamment, le coach du Défi suisse Pierre-Yves Jorand
Thomas Dayer - le 05 février 2010,
Le Matin



Elle cristallise les attentions, fascinant symbole de la démesure technologique de cette Coupe de l'America. Elle séduit au premier regard, monumentale, presque écrasante. Elle incarne la riposte architecturale d'Oracle au maxi-catamaran d'Alinghi. Elle, c'est l'aile.
Soixante mètres de haut qui équivalent à une tour de dix-neuf étages. Treize mètres de largeur potentielle. Trois tonnes et demie. 625 mètres carrés de surface. Fruit de 20 000 heures de travail, elle est presque aussi grande que deux ailes de Boeing 747: monstrueuse, elle pourrait constituer la clé de voûte d'un succès américain - donc d'un revers suisse. «Je vois Oracle vainqueur grâce à cette technologie qui lui donnera un avantage en termes de vitesse», pronostique le Suisse Christian Scherrer, ancien équipier sur la Coupe de l'America et consultant nautique.
«C'est une très belle pièce technique, reconnaît Pierre-Yves Jorand. Le design team d'Oracle, sur ce coup, a fourni un magnifique travail.» Le coach d'Alinghi détaille les avantages d'une telle option: «Le mât-aile peut produire une puissance égale à une voile, mais avec moins de friction. Il est plus malléable. Un bateau muni d'une aile peut décélérer ou accélérer de manière beaucoup plus brutale, ce qui pourra jouer un rôle dans une phase de départ.»
Pour comprendre son fonctionnement, il suffit d'imaginer l'aile d'un avion. Finalement, qu'il s'agisse d'une aile, d'une voile ou d'une quille - ce que le jargon appelle des «plans porteurs», le but est toujours de créer une force, la portance. C'est elle qui permet à un avion de voler, à un bateau d'avancer.
Réapprendre à marcher
Ingénieur aéronautique, Joseph Ozanne consomme sa deuxième campagne avec Oracle. Le Français est considéré comme le cerveau du mât-aile. Son concept est simple à saisir: «Il est difficile de maîtriser la forme d'une voile ordinaire. L'aile rigide, se contrôle plus facilement et permet de trouver la forme aérodynamique idéale pour la meilleure propulsion.» Le directeur du design team d'Oracle Mike Drummond est encore plus radical: «Avec une voile solide, vous savez précisément quel est votre potentiel de puissance et de quoi vous avez besoin pour l'atteindre.»
C'est grâce à une centrale de contrôle que les huit volets du profil arrière sont manipulés. «L'aile nécessite beaucoup plus de logistique et n'est forcément simple à utiliser», relève Pierre-Yves Jorand. «Naviguer avec cette aile revient à réapprendre à marcher», avait imagé le skipper d'Oracle Russell Coutts. Et puis ce beau bébé qui n'a pas livré tous ses secrets exige une attention tatillonne.
«Grâce à leur mât-aile, les Américains ont resserré l'écart avec nous, estime Alain Gautier qui, pour Alinghi, a longuement observé le bateau états-unien. Sans cet ajout, ils n'auraient à mon avis aucune chance.»

[Norton]

La Suisse aura une équipe de rêve pour glisser vers l’or

BOBSLEIGH | Pour les Jeux de Vancouver, la Fédération a créé une dream team en bob à quatre. Le point avec le pousseur genevois Cédric Grand, qui sera de l’aventure.


© KEYSTONE | Le retour de Beat Hefti avec Suisse I permettra de recréer la dream team sacrée dans les Grisons lors des Mondiaux 2007.


Grégoire Surdez | 06.02.2010 |


On a parlé de coup de théâtre. A moins de deux semaines du début des compétitions de bob, la Suisse a chamboulé la composition de ses équipages en bob à quatre. La raison? Beat Hefti, pilote de son état – il sera d’ailleurs aux commandes de Suisse II en bob à deux – a fait part de son intention de renoncer à l’épreuve à quatre. C’est Daniel Schmid, 3e pilote à l’origine, qui reprendra le flambeau de Suisse II. Se sachant limité dans cette spécialité, Hefti a souhaité intégrer l’équipage No 1 d’Ivo Rüegg, composé également de Thomas Lamparter et de Cédric Grand.
«L’idée, c’est de recréer la dream team qui avait été sacrée championne du monde à Saint-Moritz en 2007», explique ce dernier. Le Genevois sait de quoi il parle puisqu’il faisait déjà partie de l’aventure et en garde un souvenir lumineux. «L’intégration de Hefti signifie l’éviction de Roman Handschin, explique-t-il. Humainement, c’est assez difficile à vivre car je suis très proche de lui. Pour Roman, le coup est rude et il est actuellement au plus bas.»
Pas de prix
Seulement, voilà, l’or olympique n’a pas de prix. «Je dois passer outre mes sentiments, continue Cédric Grand. Sportivement, la décision est excellente et me réjouit. Avec Beat Hefti, nous n’aurons plus comme simple objectif une place sur le podium. Avec ce team, on vise la plus haute marche.»
Concrètement, l’apport de Beat Hefti se fera sentir lors de la poussée, phase essentielle où se bâtissent les succès. «On va gagner 4 ou 5 centièmes par poussée, résume Grand. Sur 4 manches, ça fait deux dixièmes, c’est énorme et ça peut faire toute la différence.»
Devant la réalité des chiffres, tout le monde a décidé de mettre son ego de côté. Ainsi, «Hefti le pilote» deviendra «Beat le pousseur» et se mettra au service de son meilleur ennemi. «C’est un peu exagéré, tempère Cédric Grand. Ils sont rivaux car ils sont en concurrence pendant la saison. Alors, c’est sûr, ils se regardent toujours un peu du coin de l’œil. A Vancouver, il n’y aura pas de souci.»
Pas de problème non plus sur le plan technique et de la coordination. «On a poussé ensemble pendant quatre ans, rappelle-t-il. De Salt Lake City en 2002 jusqu’aux Jeux de Turin en 2006, on était ensemble avec Martin Annen comme pilote. L’intégration se fera donc très vite car on se connaît par cœur. Je crois que c’est les autres nations qui doivent se faire du souci et regretter que nous ayons rassemblé nos forces.»

A suivre.....................