Toutes New sportives autres que la moto

[ZEN66]

Pareil j'étais de coeur pour le canada, quel match les amis surtout quand les Américains ont égalisé à 24s du 3e tiers temps.

et le but libérateur entre les jambes du goal, magnifique !

Du coup, la nuit fut courte pour moi mais je ne regrette pas.

[FuryShoei]

Quelle finale de hockey !!!! C'était terrible ! Une prolongation de folie ! Et au final, une victoire pour le Canada ! Parfait !!!!

[Norton]

Tennis

Coupe Davis: la Suisse défie les Espagnols vendredi


Image © KEYSTONE
La Suisse dispute dès vendredi le 1er tour de la Coupe Davis sur la terre battue de Logroño.

Les trois forfaits survenus dans le camp espagnol ne changent guère la donne: Stanislas Wawrinka et ses équipiers endossent leur costume traditionnel d'outsider.
le 03 mars 2010, 11h52
LeMatin.ch & les agences


Certes, l'armada ibère n'est plus aussi impressionnante avec les absences de ses trois joueurs les mieux classés, Rafael Nadal, Fernando Verdasco et Juan Carlos Ferrero. Mais l'incroyable série de 18 succès à domicile fêtés par les doubles tenants du Saladier d'Argent dans la compétition suffit à faire de David Ferrer, Tommy Robredo, Nicolas Almagro et Marcel Granollers les favoris.
Trois ans après un 1er tour qui avait viré au cauchemar pour lui avec cette déchirure ligamentaire au genou droit survenue juste après le tirage au sort, Stanislas Wawrinka a enfin l'occasion de défier l'Espagne en Coupe Davis. Le Vaudois a désormais l'habitude d'aborder un 1er tour avec toute la pression sur ses épaules en raison du désistement de Roger Federer.
Le champion olympique de double, qui est devenu papa le 12 février, n'a pas joué depuis la défaite concédée le 22 janvier face à Marin Cilic en 16e de finale de l'Open d'Australie. Il n'y a cependant pas de souci à se faire concernant Stan, qui s'était déjà accordé le même "break" l'an passé avant de briller pour son retour avec un succès fêté sur James Blake à Birmingham en Coupe Davis. Il retrouve qui plus est sa surface de prédilection.
Les données du problème que doit résoudre l'équipe de Severin Lüthi seront d'ailleurs sensiblement les mêmes qu'en Alabama. Stanislas Wawrinka n'aura pas le droit à l'erreur en simple. En panne de confiance et en attente d'une victoire sur terre battue depuis... juillet 2006, Marco Chiudinelli paraît en effet bien incapable de tenir tête à un Espagnol sur la surface qu'il apprécie le moins.
L'autre Bâlois sera surtout attendu en double, où les Suisses auront un coup à jouer face à une paire sans doute peu expérimentée (Almagro/Granollers ?). L'heure du rachat sonnera d'ailleurs quel que soit le duo choisi par Severin Lüthi: Wawrinka et Chiudinelli avaient été transparents face à la paire Bolelli/Starace lors du barrage de Gênes en septembre dernier alors qu'Yves Allegro n'avait pas apporté le soutien escompté à Wawrinka face aux frères Bryan en mars 2009.

[Norton]

Football - Match Amical

02/03/2010 - 21:02 France-Espagne en chiffres




EFE

• Infos liées :<LI class=highlight>Dans la famille Cheyrou...
• Une première pour Ciani

Saviez-vous que la France avait battu sept fois l'Espagne sur leurs dix dernières confrontations? Que nos voisins espagnols n'ont plus gagné chez nous depuis plus de 40 ans? Que le bilan de Raymond Domenech au Stade de France n'est pas irréprochable? Voici les chiffres clés de la rencontre.
1. Le Stade de France, l'Espagne connaît. La Roja fût le premier adversaire des Bleus dans l'enceinte dionysienne, le 28 janvier 1998. Un but de Zidane avait donné la victoire à l'équipe de France. Depuis, les deux formations se sont affrontées quatre fois mais jamais sur le sol français.
4. Depuis 2006, soit quatre ans, les Bleus ont toujours perdu leur premier match de l'année. L'an dernier, ils s'étaient inclinés face à l'Argentine à Marseille (0-2). En 2008, ils avaient perdu... face à l'Espagne à Malaga (1-0). En 2007, encore l'Argentine à Saint-Denis (0-1) et en 2006, c'est la Slovaquie qui avait gagné au Stade de France (1-2).
5. Si Benoît Cheyrou (Marseille) et Michael Ciani (Bordeaux) sont les deux petits nouveaux dans le groupe France, ils ne sont pas moins de cinq au total à ne compter aucune sélection avec cette rencontre: Cédric Carrasso, Aly Cissokho et Adil Rami, déjà appelés, ne sont jamais entrés en jeu.
10. Avec les Pays-Bas, l'Espagne est la seule nation à avoir remporté tous ses matches lors des éliminatoires de la Coupe du monde. A cette occasion, elle a inscrit 28 buts, soit près de trois de moyenne par rencontre et en a encaissé seulement cinq. Elle était déjà qualifiée après huit matchs.
10. Si Benoit Cheyrou décroche sa première sélection, il formerait, avec son frère Bruno, la 10e fratrie sous le maillot national près de 40 ans après les frères Revelli (Hervé et Patrick). Jean et Lucien Laurent, Curt et Fritz Keller, Charles et Georges Geronimi, Alexis et Paul Mony, Félix et Paul Romano, Charles et Georges Bilot, Jean, Jules et Raymond Dubly ainsi que Paul et Pierre Sinibaldi sont les autres frères en Bleu.
24. C'est le dernier match de Raymond Domenech au Stade de France. C'est l'heure d'un petit bilan après 24 apparitions: 12 victoires, 10 nuls et 2 défaites: 29 buts pour et 12 contre. Rappelons qu'il a dû attendre son sixième match à Saint-Denis pour gagner (4-0 face à Chypre après cinq nuls).
29. C'est le nombre d'affrontements entre la France et l'Espagne dans l'histoire. Les Bleus comptent 11 victoires pour 12 défaites (6 nuls). Ils pourraient donc revenir à égalité en cas de victoire au Stade de France. En revanche, leur différence de but est largement négative: 35 buts inscrits pour 52 encaissés.
33. Depuis novembre 2007, l'Espagne a remporté 33 de ses... 34 matchs. En 2008, elle est restée invaincue jusqu'à égaler le record d'invincibilité détenu par le Brésil (35 matchs sans défaite) puis battre le record de victoires consécutives (15). Sa seule défaite remonte à l'année dernière lors de la Coupe des Confédérations (2-0 en demi-finale face aux Etats-Unis). Elle est à nouveau sur une série de huit succès depuis...
42. La dernière victoire de l'Espagne sur le sol français remonte au 17 octobre 1968, soit bientôt 42 ans. Ce jour-là, la Roja s'imposait en match amical à Lyon (1-3). Depuis, elle n'a dominé que trois fois les Bleus: en 1981 à Madrid (1-0), en 2001 à Valence (2-1) et en 2008 à Malaga (1-0).
55,5. C'est en pourcent le nombre de victoires de l'équipe de France depuis l'Euro 2008. Elle a remporté seulement 10 matchs sur 18 pour 5 nuls et 3 défaites (1-3 en Autriche, 0-2 contre l'Argentine, 0-1 contre le Nigeria). L'Espagne est à 95%, tout simplement...
63. C'est le nombre de buts inscrits par l'Espagne en 22 matchs depuis l'intronisation de Vicente Del Bosque en 2008. Si on l'on compare avec la France, il n'y a pas photo. Depuis août 2008, les Bleus ont joué 23 rencontres. Ils ont inscrit 22 buts.
349. Thierry Henry n'aime pas l'Espagne, c'est clair. Il a beau avoir inscrit 51 buts avec l'équipe de France, aucun ne l'a été face à la Roja. Il est resté muet pendant 369 minutes face aux Espagnols. Aucune autre formation ne lui réussit si peu.

[Norton]

Crans-Montana: la Française Marie Marchand-Arvier devant

Crans-Montana | Trois jours après la fin des Jeux olympiques, les spécialistes de la vitesse se sont retrouvées à Crans-Montana. Elles ont disputé le premier entraînement chronométré en vue de la descente Coupe du monde dames prévue samedi. La Français Marie Marchand-Arvier s'est montrée la plus rapide.

[Norton]

Football

La France matée par l'Espagne


Image © Keystone
Se jouant de la perméable défense française, David Villa ouvre le score pour l'Espagne à la 21e minute.

Les champions d'Europe se sont imposés sans forcer au Stade de France. Beaucoup de travail en vue pour les Tricolores.
le 03 mars 2010, 23h32
LeMatin.ch & les agences


Match amical
Paris
France - Espagne
0-2 (0-2)
Le 30e France - Espagne de l'histoire a tourné à l'avantage du champion d'Europe, victorieux 2- 0 d'une partie amicale qui a pleinement mérité son appellation. Si les Ibères ont suivi à la lettre la feuille de route qui doit les conduire à la Coupe du monde et à la partie contre la Suisse (16 juin), les Bleus ont, eux, pu mesurer l'ampleur de leur tâche.
Un match curieux. A se demander même si c'était bien cette équipe d'Espagne-là qui était surnommée la Furia Roja. Car, en plus d'évouler en... bleu marine, les champions d'Europe ne semblaient pas franchement énervés, ni vraiment déchaînés. En fait, la formation de Vicente Del Bosque se contentait surtout - en a-t-elle véritablement besoin? - de soigner son collectif, carburant au diesel mais privant cependant les Bleus du ballon.
De quoi nourrir les «Domenech démission!»

Voilà le paradoxe. Ce fut une Seleccion en mode «passe à dix des lendemains de rencontres» qui se présenta, douze ans après avoir eu le privilège de l'inaugurer (défaite 1-0, but de Zidane), dans un Stade de France à l'ambiance très mitigée. Une tranquillité qui suffit toutefois à «offrir» aux Français encore un peu plus de doutes. Ainsi, l'air de rien, l'Espagne inscrivit déjà deux buts avant même la pause, par David Villa et Sergio Ramos. De quoi nourrir les «Domenech démission!» hurlés régulièrement dans les travées d'une enceinte quasi comble (79 021 spectateurs).
Espagnols sereins
Articulée comme toujours sur une défense à quatre, devant laquelle travaillent trois demis presque autant récupérateurs que créatifs, la Roja gérait sereinement un match qui ne la mit jamais réellement en danger (sauf une tête de Malouda sur le poteau à la 80e). Et, quand on possède des atouts offensifs tels que Silva, Iniesta, Villa (36e but en 55 capes!) ou encore Torres (entré à la pause), la moindre erreur adverse est immédiatement rentabilisée.
D'autant plus quand le pilier de la défense opposée est dans un mauvais jour. Chargé d'encadrer le néophyte Michaël Ciani (Bordeaux), Julien Escudé passa une fois de plus à côté. Montré du doigt lors de ses dernières apparitions internationales - but contre son camp contre la Roumanie (1-1) en septembre et sorti sur blessure après 8 minutes dans le fameux barrage contre l'Irlande en novembre (1-1 a.p.) -, le défenseur du FC Séville se fit piéger par deux fois, sur une feinte de corps de Silva amenant l'ouverture du score, puis sur un dribble de Ramos qui doublait la mise dans la foulée.
A l'image d'Escudé, la France est encore un diamant à polir. Paraissant parfois manquer d'idées, elle semble surtout à court physiquement (Henry et Ribéry) et en panne de réussite, notamment dans la dernière passe. Soit autant de facteurs facilement réglables dans l'optique d'une Coupe du monde pour laquelle il ne faut pas l'enterrer trop vite.

[Norton]

football

L'Argentine surprend l'Allemagne chez elle


Image © Keystone
L’Argentin Gonzalo Higuaín a marqué le seul but du match contre l’Allemagne.

Contrairement à l'Italie, les Argentins et les Anglais ont montré qu'ils étaient fin prêts avant la Coupe du monde.
le 03 mars 2010, 23h34
LeMatin.ch & les agences


Matches amicaux
L'Angleterre, qui a dominé l'Egypte 3-1 à Wembley, et l'Argentine, victorieuse 1-0 contre l'Allemagne à Munich, ont affiché leurs prétentions à une centaine de jours de la Coupe du monde. L'Italie, par contre, inquiète un peu après le 0-0 contre le Cameroun.
A Wembley, l'Angleterre a toutefois peiné durant 45 minutes contre l'Egypte championne d'Afrique. Ce sont les récents vainqueurs de la CAN qui prenaient le meilleur départ. Zidan, profitant d'une erreur d'Upson dans l'axe, donnait l'avantage aux Pharaons (23e). Ensuite, El-Hadary réalisait deux arrêts décisifs face à Lampard puis Defoe.
Mais l'ancien portier du FC Sion ne pouvait rien sur l'égalisation de Crouch (56e) au terme d'un superbe mouvement collectif anglais. L'Angleterre, bien meilleure après le thé, faisait la décision dans le dernier quart d'heure par Wright-Phillips (75e) et Crouch encore (80e), dont l'entrée à la pause a été déterminante. Succès argentin

Inévitable HiguainA Munich, dans un remake des finales de Coupe du monde 1986 et 1990, l'Allemagne s'est cassé les dents sur la rugueuse Argentine de Diego Maradona. Les Sud-Américains ont marqué juste avant la mi-temps par Higuain. L'attaquant du Real Madrid profitait en la circonstance d'une sortie bien hasardeuse du gardien Adler.
Articulée en 4-2-3-1, la Mannschaft a trop souvent manqué d'inspiration pour bouger son adversaire. Même l'entrée de Cacau, qui restait sur une série prolifique en club, n'a pas permis aux Allemands d'arracher l'égalisation. Joachim Löw ne manque pas de sujets de réflexion...
Championne du monde en titre, l'Italie n'a pas été en mesure de trouver l'ouverture contre le Cameroun (0-0) à Monaco. Mais la Squadra a aligné une équipe expérimentale, en raison de nombreuses absences.
Le Honduras, futur adversaire de la Suisse cet été, a subi une défaite 2-0 à Istanbul contre la Turquie. Les Turcs, qui ont nettement dominé, ont marqué par Emre Güngör (41e) et Hamit Altintop (55e). Les meilleurs éléments honduriens n'ont pas évolué durant la totalité du match, Palacios sortant à la 70e et Suazo à l'appel de la seconde période. Les visiteurs ont été incapables de menacer la défense turque.

[Norton]

football

La Suisse perd 3-1 contre l'Uruguay


Image © Laurent Crottet
Les attaquants suisses - ci-dessus Bunjaku, entrée à la mi-temps à la place de Streller - n'ont pratiquement jamais été dangereux.

La Suisse rate son début d'année. les essais d'Ottmar Hitzfeld n'ont pas été convaincants et certaines questions demeurent toujours sans réponses.
Renaud Tschoumy - le 03 mars 2010, 23h23
Le Matin

Match amical
Saint-Gall
Suisse - Uruguay
1-3 (1-1)

Amis suisses, ne vous réjouissez pas trop vite: votre équipe de football est loin de nager dans la plénitude, à un peu plus de 100 jours de son entrée dans le Mondial sud-africain face à l'Espagne. Hier à Saint-Gall, elle a déçu ses supporters et - sans nul doute - son sélectionneur, Ottmar Hitzfeld.
Ce dernier avait annoncé un plusieurs essais: il a surpris son monde en lançant d'entrée dans le bain les jeunes Rossini et Shaqiri. Les deux néophytes ont clairement raté leur baptême du feu. Le premier n'y a vu que du jeu face à la vélocité de Suarez et de Forlan. Et on n'a quasi pas aperçu le second - et pas seulement à cause de sa petite taille.
Rarement l'équipe de Suisse n'aura semblé aussi dépendante de ses leaders. S'il a été plus en vue qu'en certaines récentes occasions, le nouveau capitaine, Gökhan Inler, n'est toujours pas le meneur de jeu attendu. En fait, il aura fallu attendre la deuxième mi-temps - soit les entrées de Chiumiento et de Barnetta conjuguées à un passage dans l'axe de Behrami - pour voir quelques velléités footballistiques.
Mais ce fut en pure perte face à cette solide équipe uruguayenne, et quand bien même celle-ci s'est affaiblie au fil des changements effectués par son sélectionneur. La Suisse avait ouvert le score, mais c'est en toute logique que la formation sud-américaine a inversé la tendance.
Zéro «vrai» but en trois matches
La Suisse avait mal fini l'année 2009 en s'inclinant sans gloire face à la Norvège à Genève (0-1), elle n'a pas mieux commencé 2010. Si l'on tient compte du match décisif contre Israël (0-0 en octobre), la Suisse n'a plus marqué de «vrai» but depuis trois matches. Et les attaquants ne sont pas seuls en cause...
Hitzfeld avait des questions plein la tête avant ce match, il n'a pas trouvé les réponses escomptées, loin s'en faut. Or il s'agissait du dernier match de son équipe avant qu'il ne donne sa sélection pour l'Afrique du Sud. L'Allemand risque d'avoir l'esprit bien embrouillé ces prochaines semaines. Il va aussi devoir se mettre à prier pour que ses blessés se remettent d'aplomb... et pour qu'aucun autre coup dur ne frappe son équipe.
Car la seule certitude dégagée par le match d'hier, c'est bien que la Suisse doit pouvoir compter sur la totalité de ses joueurs-cadres si elle entend ne pas être larguée sur la scène internationale...
Le chemin de croix de Streller et cie
«Surtout ne sifflez pas Streller ni personne d'autre...» Depuis lundi, les appels au calme de Barnetta et les injonctions répétées d'Hitzfeld lui-même avaient invité le public de l'Arena à mettre la pédale douce envers Marco le mal-aimé. Voici 643 jours, ici même contre le Liechtenstein avant l'Euro (succès 3-0), les sifflets visant le grand escogriffe bâlois avaient convaincu celui-ci de mettre un terme à sa carrière internationale avant de se raviser par la suite. Aussi guettait-on l'instant des retrouvailles entre M. le maudit et ses nombreux détracteurs ne lui pardonnant pas, notamment, son penalty raté contre l'Ukraine en 2006. Le résultat ne se fit pas attendre, sous la forme d'une bronca sanctionnant, sur le coup de 20 h 04, la présentation du No 9 par le speaker. Et pareil chaque fois que Streller allait toucher un ballon...
Hué par une moitié du stade
La suite? Un «match» sonore équilibré entre les sifflets des anti-Streller, à peine couverts par les encouragements des pro-Streller jusqu'à son remplacement. Streller hué par une moitié du stade, la Suisse ne devrait plus revenir à Saint-Gall si Hitzfeld mettait ses menaces à exécution. Un bon point pour Genève où la Suisse aurait pu jouer hier soir déjà s'il n'y avait eu des problèmes de logistique lié au Salon de l'auto...
Voilà pour le cas du banni Streller, dont le retour s'est transformé en chemin de croix. Un chemin emprunté également par ses partenaires, sifflés à leur tour. Preuve qu'un nouveau maillot, aussi beau soit-il, ne fait pas encore le footballeur. Au-delà de la stupidité des sifflets, c'est bien le comportement global de l'équipe qui inquiète. Si la question était de savoir où l'équipe nationale en était à 105 jours de son match contre l'Espagne, la réponse fait peur: on n'a rien aperçu de ce que l'on espérait en voir. Résultat: un grand flou peu artistique venu démontrer, après la sonnette d'alarme déjà tirée contre la Norvège en novembre, que le chantier demeure ouvert et pharaonique. Or le temps presse. Le 16 juin, c'est demain. Et ce jour-là, il y aura un épouvantail en face...
Nicolas Jacquier

[Norton]

voile

Trophée Jules Verne: Stève Ravussin au Horn

Image ©

En vue du Cap Horn, « Groupama 3 » va doubler le fameux rocher jeudi après midi, soit après trente-deux jours de mer depuis le départ d’Ouessant. Franck Cammas, Stève Ravussin et les huit équipiers du multicoque géant vont enfin pouvoir mettre le clignotant à gauche.
Jean-Guy Python - le 04 mars 2010,
Le Matin


« On va passer le Cap avec la plus petite vitesse jamais atteinte ces dernières semaines. Il reste 60 milles, on devrait y être vers 17 heures. Comme c’est notre première fois, l’équipage nous promet à Stève et à moi un bizutage en règle ». C’est un Franck Cammas détendu et confiant pour la suite qui s’exprime en visioconférence jeudi à midi TU. Stève Ravussin, lui, pourra désormais accomplir deux actions essentielles pour tout marin qui double le rocher mythique aussi appelé Cap des tempêtes. Il aura enfin le droit de « pisser au vent » et de porter comme un trophée une boucle d’oreille en or à l’oreille gauche, privilège de tout cap-hornier qui se respecte.
Pour le skipper aixois Franck Cammas et le chef de quart palinzard Stève Ravussin, ce 4 mars restera marqué comme le jour de leur premier passage du cap Dur : ils sont devenus cap-horniers, comme des centaines d'autres coureurs depuis Bernard Moitessier et Robin Knox-Johnson en 1968. Sur les dix marins à bord de « Groupama 3 », ils sont en effet sept à avoir déjà passé la pointe Sud de l'Amérique, dans un sens ou dans l'autre, à l'image de Lionel Lemonchois qui cumule cinq Horn à son actif.
Le cap Horn est aussi la troisième borne de ce tour du monde, après Bonne-Espérance et Leeuwin. Et juste après le Horn, c’est le virage à gauche et la remontée de l’Atlantique sur près de 7000 milles (12 964 km). Pour l'équipage du trimaran vert, il ne restera plus qu’à avaler cette distance en moins de dix-huit jours pour s'adjuger le Trophée Jules Verne.
Et c’est là que ça se corse, les prévisions pour les prochaines heures sont un brin pessimistes et le vent tend à mollir sérieusement au large de la Terre de Feu ! Ce sera un avant-goût de ce qui attend Franck Cammas et son équipage pour leurs premiers jours dans l'Atlantique Sud : du près dans du vent médium.
Le trimaran géant aura toutefois un petit coussin d'avance de plus de 260 milles (500 km) sur le temps de référence du Trophée au passage du cap Horn, puisqu’en 2005, Bruno Peyron et son équipage avaient mis 32j 13h 29' depuis Ouessant.

[Norton]

L'actualité sportive | Scores en direct | Résultats et classements | Foot live commenté

Sports

• > Jeux de Vancouver
• > Football
• > Ski
• > Tennis
• > Hockey
• > Voile
• > Formule 1
• > Divers
• > Moto
• > Galeries photos
• > Dossiers

Choc

Les moments les plus forts des JO de Vancouver


Ski Challenge

Le célèbre jeu de simulation de descente est disponible gratuitement !


Classements

NOUVEAU: résultats et classements de tous les sports


L'ironie du sport

Le blog du journaliste Olivier Schöpfer


Vroum!

Le blog auto-moto du journaliste Jean-Claude Schertenleib


LeMatin.ch mobile

Testez maintenant!


E-Paper

Tournez les pages de nos deux éditions sur le site!


BleuBlog

Soyez là où vous serez vus!




COUPE DU MONDE

Ski alpin: les Suisses en pleine forme à Kvitfjell


Image © KEYSTONE-a
Didier Cuche a retrouvé la grande forme.

Les skieurs suisses sont fin prêts pour la descente de Coupe du monde de Kvitfjell prévue samedi. Cuche a réussi le meilleur temps du dernier entraînement, tandis que Défago et Janka ont respectivement pris les 3e et 4e rangs.
le 05 mars 2010,
LeMatin.ch & les agences

Didier Cuche, à la recherche de son troisième triomphe sur la piste olympique de 1994 après ses succès en 2007 et 2008, a surclassé la concurrence. Erik Guay est repoussé à 0''36, alors que Didier Défago point à sept dixièmes.
Dans le duel pour le globe de cristal du classement général, Carlo Janka peut espérer combler samedi une partie de son retard sur Benjamin Raich. Le Champion olympique de géant compte actuellement 110 points de retard sur l'Autrichien. Lors de cet ultime test, le Grison a pris ses distances sur Raich, auteur du 53e chrono à plus de cinq secondes de Cuche.
Kvitfjell (Nor). Dernier entraînement en vue de la descente de Coupe du monde de samedi: 1. Didier Cuche (S) 1'47''52. 2. Erik Guay (Can) à 0''36. 3. Didier Défago (S) à 0''70. 4. Carlo Janka (S) à 0''76. 5. Aksel Lund Svindal (Nor) à 0''85. 6. Hans Olsson (Su) à 0''95. 7. Hans Grugger (Aut) à 1''11. 8. Andrej Sporn (Sln) à 1''12. 9. Georg Streitberger (Aut) à 1''18. 10. Marco Büchel (Lie) à 1''25. Puis: 15. Patrick Küng (S) à 1''47. 16. Michael Walchhofer (Aut) à 1''58. 19. Ralf Kreuzer (S) à 1''77. 20. Mario Scheiber (Aut) à 1''90. 23. Ambrosi Hoffmann (S) à 2''05. 25. Tobias Grünenfelder (S) à 2''27. 51. Beat Feuz (S) à 4''70. 53. Benjamin Raich (Aut) à 5''09. A notamment été éliminé: Cornel Züger (S). 58 skieurs au départ, 54 classés.