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Descente de Crans-Montana: victoire et globe de cristal pour Lindsey Vonn

Ski alpin | L'Américaine a gagné à Crans-Montana cette saison sa sixième victoire en sept courses. La Suissesse Marianne Abderhalden termine troisième, le premier podium de sa carrière.


© KEYSTONE | Lindsay Vonn a survolé la discipline de la descente cette saison.


SI | 06.03.2010 | 11:35


La descente de Crans-Montana a marché sur la tête. Si la victoire de Lindsey Vonn a répondu à la logique, la météo changeante a offert un podium déconcertant avec l'Italienne Johanna Schnarf (2e) et, surtout, la St-Galloise Marianne Abderhalden (3e).
Avant ce coup d'éclat, Abderhalden n'avait jamais fait mieux que 21e en Coupe du monde, déjà à Crans-Montana en 2008 (super-combiné). La soeur de Jörg, trois fois sacré roi de la lutte suisse, a su profiter de son dossard no 35 et d'un vent devenu généreux sur le haut du parcours.
Il en a été de même pour Schnarf (no 32), mais aussi pour Marusa Ferk (42) ou Viktoria Rebensburg (37) qui ont talonné Abderhalden au classement. Même s'il a été acquis dans des conditions particulières, ce podium pourrait servir de déclencheur à la St-Galloise de 23 ans, elle qui avait été championne du monde juniors de descente en 2006.
Hormis une 5e place à St-Moritz, Vonn a tout raflé cet hiver dans l'épreuve reine, y compris la descente olympique de Vancouver. Une domination couronnée par le globe de cristal de la discipline, qu'elle est désormais assurée remporter pour la troisième année consécutive.
Déjà victorieuse sur la piste "Nationale" lors de la dernière édition en 2008, la skieuse du Minnesota a toutefois eu très chaud en Valais en s'imposant avec un seul centième d'avance sur Schnarf.
Descente de Crans-Montana: 1. Lindsey Vonn (EU) 1'35''26. 2. Johanna Schnarf (It) à 0''01. 3. Marianne Abderhalden (S) à 0''38. 4. Marusa Ferk (Sln) à 0''39. 5. Viktoria Rebensburg (All) à 0''61. 6. Maria Riesch (All) à 0''64. Puis les autres Suissesses: 9. Nadja Kamer. 15. Rabea Grand. 22. Nadia Styger.

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Solberg en tête du rallye du Mexique devant Ogier et Loeb

Automobilisme | Le Norvégien Petter Solberg a bien entamé le rallye du Mexique, vendredi dans la région de Leon, en signant cinq temps scratch sur neuf pour prendre puis conserver la tête.


© AFP | Le Norvégien Petter Solberg (Citroën C4), le 5 mars 2010 lors du rallye du Mexique.


AFP | 06.03.2010 | 09:50


Vainqueur au Mexique en 2005, Solberg a profité au mieux de sa position sur la route, dans sa C4 privée, car il passait plus de 20 minutes après Mikko Hirvonen (Ford Focus) grâce à sa course complètement ratée en Suède (9e).
Vainqueur en Suède le mois dernier et donc leader du championnat du monde, le Finlandais était lui obligé, comme prévu, de balayer la piste recouverte d'une épaisse couche de terre et de graviers.
"Il se passe ce qu'on craignait un peu, le balayage, et ceux qui arrivent derrière bénéficient de conditions plus agréables", disait Olivier Quesnel, le patron de Citroën Racing, à la pause de midi.
"On a l'habitude de servir nos clients de la même façon que l'usine, Petter Solberg est 8e sur la route, il a les meilleures conditions de route, mais ça ne suffit pas. Il roule vraiment très vite", a jugé Quesnel, très impressionné aussi par les chronos de ses hommes en rouge, Ogier, Loeb et Sordo.
Ogier, un peu mieux classé que Solberg en Suède (5e), a aussi tiré profit de sa position sur la route. Le champion du monde Junior-WRC 2008 a signé le meilleur temps de l'ES4, courue sur 1,5 km en pleine ville, puis dans l'ES7 et lors des deux passages dans la super-spéciale tracée sur l'autodrome de Leon. Il n'était qu'à 15 secondes de Solberg vendredi soir.
Sébastien Loeb, qui partait deuxième dans chaque spéciale, trois minutes après Hirvonen dont il pouvait suivre les traces, n'a concédé que 26 secondes à Solberg le matin, puis n'en a lâché qu'une de plus l'après-midi. Trois fois vainqueur au Mexique, il a passé la journée à la 3e place, en embuscade, juste devant son coéquipier Dani Sordo.
"Comme prévu, il y avait pas mal de graviers sur la route et l'ordre de passage a beaucoup joué", résumait le sextuple champion du monde à midi. "Hirvonen a vraiment été pénalisé devant, donc le classement est un peu bizarre. Mais rien n'est fait, car si Hirvonen est encore 6e ce soir, sa position sur la route pourra faire de gros écarts samedi, en sa faveur..."
La prédiction de Loeb s'est réalisée et rien n'a changé dans l'après-midi, pas même dans Ortega (23 km) qui culmine à 2737 m d'altitude, la plus haute spéciale de toute la saison en WRC. Seul l'écart entre Solberg et Hirvonen s'est un peu creusé, de 55 secondes à une minute et demie, ce qui ne changera rien à leur position sur la route samedi.
Quant à Kimi Räikkönen, le champion du monde de F1, il a commencé par perdre une demi-heure dans l'ES2 (Ortega 1), à cause d'une panne électrique au niveau de la pompe à essence de sa C4, puis il est parti en tonneaux à la fin de l'ES7 (El Cubilete 2).
Quatre Citroën en tête devant six Ford Focus, la 1re journée a donc tourné à l'avantage des Rouges mais rien n'était joué, loin de là: il restait 158 km de spéciales samedi, une journée marathon, et encore une cinquantaine de km dimanche matin, malgré l'annulation dès vendredi matin de l'ES20, pour raisons de sécurité.
Selon toute logique, Hirvonen devrait signer de meilleurs chronos samedi, mais pas forcément meilleurs que Loeb, alors que Solberg et Ogier, les vedettes du 1er jour, seront forcément désavantagés.
Classement provisoire du rallye du Mexique, 2e manche du Championnat du monde des rallyes (WRC), après les neuf épreuves spéciales de la 1re journée (ES1 à ES9), disputées vendredi dans la région de Leon (Etat de Guanajuato), au nord-ouest de Mexico:
1. Petter Solberg-Phil Mills (NOR-GBR/Citroën C4) 1 h 23:39.9
2. Sébastien Ogier-Julien Ingrassia (FRA/Citroën C4) à 15.0
3. Sébastien Loeb-Daniel Elena (FRA-MON/Citroën C4) 27.5
4. Dani Sordo-Marc Marti (ESP/Citroën C4) 40.8
5. Jari-Matti Latvala-Miikka Anttila (FIN/Ford Focus) 1:01.2
6. Mikko Hirvonen-Jarmo Lehtinen (FIN/Ford Focus) 1:31.5
7. Henning Solberg-Ilka Minor (NOR-AUT/Ford Focus) 1:37.5
8. Matthew Wilson-Scott Martin (GBR/Ford Focus) 2:47.2
9. Federico Villagra-Jorge Perez-Companc (ARG/Ford Focus) 4:19.8
10. Ken Block-Axel Gelsomino (USA/Ford Focus) 4:33.3

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SKI ALPIN

En s'imposant en descente à Kvitfjell, Cuche entre dans l'histoire


Image © Keystone
Il n'y a plus que Franz Klammer devant Didier Cuche. En s'imposant en descente à Kvitfjell (No), le Neuchâtelois s'est adjugé le globe de la discipline pour la troisième fois après 2007 et 2008.
le 06 mars 2010,
LeMatin.ch & les agences



Le coureur des Bugnenets rejoint dans l'histoire Franz Heinzer (S), Luc Alphand (Fr), Stephan Eberharter (Aut) et Michael Walchhofer (Aut), tous sacrés à trois reprises. Personne n'a fait mieux, sauf le maître absolu en la matière, l'Autrichien Franz Klammer, titré cinq fois entre 1975 et 1983.
Revenu bredouille des JO de Vancouver, Cuche n'a donc pas tardé à rebondir, s'offrant une quatorzième victoire en Coupe du monde. Le Neuchâtelois y a mis la manière en larguant à près d'une demi- seconde son dauphin norvégien Aksel Lund Svindal.
Son trophée de meilleur descendeur de l'hiver n'a rien d'usurpé. En huit courses, il a gagné trois fois (Lake Louise, Kitzbühel, Kvitfjell), glané un podium (Beaver Creek) et ajouté deux top 5 (Wengen et Bormio). Seules les descentes de Val Gardena (10e) et des JO (6e) ont moins souri au natif du Val-de-Ruz. A noter aussi que c'est la première fois que Cuche remporte un globe avant même les finales.
Quant à Carlo Janka, le seul qui pouvait encore priver Cuche du globe, il a terminé à la sixième place. Le Grison se consolera en prenant 40 points à Benjamin Raich (hors du top 30) et revenant à 70 unités de l'Autrichien au classement général de la Coupe du monde. De son côté, Didier Défago a étrenné son titre olympique en terminant à un modeste 14e rang.

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SKI ALPIN

La Suissesse Dominique Gisin remporte le super-G


Image © Keystone


La Suissesse Dominique Gisin a remporté dimanche le super-G de Crans Montana, devant les deux Américaines Lindsey Vonn, leader de la Coupe du monde de ski alpin, et Julia Mancuso.
le 07 mars 2010,
LeMatin.ch & les agences


La Suissesse Dominique Gisin a remporté dimanche le super-G de Crans Montana, devant les deux Américaines Lindsey Vonn, leader de la Coupe du monde de ski alpin, et Julia Mancuso

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Super-G de Kvitfjell: la victoire à Guay, Grünenfelder sur le podium

SKI ALPIN | Cuche et Défago éliminés en super-G, c'est Tobias Grünenfelder qui a signé la "perf" suisse du jour. Ex aequo avec Aksel Lund Svindal, le Glaronais a pris la 3e place.


© KEYSTONE | Le Canadien Erik Guay sur la piste de Kvitfjell.


SI | 07.03.2010 | 12:22


Cuche et Défago éliminés en super-G à Kvitfjell (No), c'est Tobias Grünenfelder qui a signé la "perf" suisse du jour. Ex aequo avec la star locale Aksel Lund Svindal, le Glaronais a pris la troisième place lors d'une épreuve remportée par le Canadien Erik Guay.
A 32 ans, Grünenfelder est monté sur le quatrième podium de sa carrière, à chaque fois sur la troisième marche. Le coureur d'Elm n'avait toutefois plus connu cet honneur depuis décembre 2005 à Bormio, lui qui a l'habitude de passer ses hivers dans l'ombre de ses leaders.
Des leaders qui ont été moins à la fête dimanche en Norvège. Auteurs de bons chronos intermédiaires, les deux Didier ont été éliminés à quelques secondes de l'arrivée. Cuche a manqué une porte, Défago a perdu un ski. Quant à Carlo Janka, il a dû se contenter d'une septième place. Le Grison a fait néanmoins une bonne opération au classement général de la Coupe du monde, lui qui revient à moins de 50 points de Benjamin Raich (hors du top 15).
Bredouille lors de "ses" JO de Vancouver (deux 5es places), Erik Guay s'est offert une belle consolation à Kvitfjell. Vainqueur avec deux centièmes d'avance sur Hannes Reichelt (Aut), le Québécois a triomphé pour la deuxième fois de sa carrière sur le circuit, trois ans après son succès en descente à Garmisch.
Kvitfjell (No). Super-G: 1. Erik Guay (Can). 2. Hannes Reichet (Aut) à 0''02. 3. Aksel Lund Svindal (No) et Tobias Grünenfelder (S) à 0''31. 5. Mario Scheiber (Aut) à 0''32. 6. Michael Walchhofer (Aut) à 0''48. 7. Carlo Janka (S) à 0''51. Notamment éliminés: Didier Cuche (S), Didier Défago (S) et Ambrosi Hoffmann (S).

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Simon Ammann prend une option sur le globe

Saut à ski | En survolant l'épreuve de saut à ski au tremplin de Lahti, Simon Ammann a pris une belle option sur la victoire au général de la Coupe du monde.


© KEYSTONE | Simon Amman sur le tremplin de Lahti, en Finlande.


ATS | 07.03.2010 | 17:08


Simon Ammann compte 107 points d'avance sur Gregor Schlierenzauer à trois concours de la fin.
Aucun Suisse n'a jamais décroché le gros globe: qui d'autre d'Ammann pouvait prétendre écrire cette nouvelle page d'histoire de la discipline? Au-delà de son confortable matelas de points, le planeur du Toggenburg a le vent en poupe ces dernières semaines, avec un doublé olympique à Whistler et cette 14e victoire en Coupe du monde, la 6e de la saison, record égalé.
Ammann, avec des sauts à 128 et 131 m, a devancé de plus de 10 points le Polonais Adam Malysz, déjà son dauphin à deux reprises aux Jeux, et de 12 points l'Autrichien Thomas Morgenstern. Le Tyrolien Gregor Schlierenzauer, malade ces derniers jours, finit 4e et concède 50 points à Ammann au général.
Le Saint-Gallois a une nouvelle fois atterri si loin qu'il n'a pas pu poser un télémark propre, ce qui ne porte pas à conséquence lorsqu'il survole pareillement les débats. Le circuit poursuit sa tournée nordique avec l'étape de Kuopio (Fin) mardi, avant Lillehammer (No) jeudi et Oslo dimanche.

[Pasky]

Wrc - Rallye du Mexique

08/03/2010 - 11:49 Loeb en démonstration




Citroën Racing

• Infos liées :<LI class=highlight>Loeb et Citroën triomphent <LI class=highlight>Rallye du Mexique : Résultat <LI class=highlight>Etape 3 : déclarations
• Loeb : "Une super course"

Vainqueur au Rallye du Mexique de son cinquante-cinquième rallye, Sébastien Loeb (Citroën WRT) a impressionné sur les pistes d'Amérique Central. Pour Olivier Quesnel, le directeur de l'équipe, le Français a effectué une véritable démonstration.
Le sombrero vissé sur la tête, un verre à la main, Sébastien Loeb (Citroën WRT) peut savourer son nouveau succès. Dimanche à Leon, l'Alsacien a marqué les esprits en décrochant une 55e victoire en rallye. Mais surtout, il a effectué une véritable démonstration sur les pistes mexicaines, un terrain où il est désormais invaincu depuis 2006. Mais ce qui impressionne le plus, outre la série de quatre victoires en cours au Mexique, c'est surtout la manière avec laquelle le Français s'est adjugé ce succès.
"Seb" n'a ainsi pas bénéficié de conditions favorables dès le départ. Deuxième sur la route vendredi matin, il a du balayer une grande partie de la journée et tenter de limiter la perte de temps sur ses concurrents qui s'élançaient bien plus loin. En ne concédant que 27.5 sec à Petter Solberg (Citroën Solberg) sur les 137 kilomètres de spéciale, il a marqué son territoire. D'ailleurs, Olivier Quesnel ne s'y est pas trompé. "Là où il a été le plus vite, c'est vendredi, mais ça ne s'est pas vu", a déclaré le directeur de Citroën Racing après coup. Pour preuve, son rival direct pour le titre, Mikko Hirvonen (Ford WRT) qui s'élançait en première position, a complètement hypothéqué ses chances dès le vendredi en lâchant 1 min 31.5 sec à l'issue des neuf premières spéciales.
Loeb : "profiter du paysage"
Samedi, Loeb a profité de sa troisième place sur la piste pour porter une attaque décisive. Après avoir dépassé Sébastien Ogier (Citroën Junior) dans l'ES10, il a surclassé Petter Solberg dans la spéciale suivante avant de faire cavalier seul le reste de la journée, signant huit des neufs temps scratches. Dimanche, le Français n'avait plus qu'à gérer. "Quand on arrive à construire une course comme ça, c'est pour moi le déroulement idéal, mais ça ne marchera pas forcément à chaque fois. C'était une grosse attaque vendredi et samedi, puis dimanche matin, il n'y avait plus de risque à prendre. Même si c'est sympa aussi de se battre jusqu'au bout, c'est agréable quand on peut rouler au soleil et profiter du paysage", plaisantait Loeb à l'arrivée.
De son côté, Olivier Quesnel ne tarissait pas d'éloge sur son pilote. "Loeb, tout le monde attend le moment où il va chuter. La Suède était peut-être le prétexte pour commencer à dire qu'il n'est plus ce qu'il était, et là, il y a eu démonstration." Avec Solberg et Ogier en deuxième et troisième position, le directeur du Citroën Racing ne pouvait de toute façon que se réjouir. "Les C4 WRC se sont montrées souveraines sur ce rallye, puisqu’elles ont signé tous les meilleurs temps. Il s’agit également du premier triplé d’une marque française sur un rallye terre, donc ça reste exceptionnel", concluait-il.

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Ex-champion automobile, Stirling Moss se blesse dans un accident d'ascenseur

LONDRES | L'ancien champion de Formule 1 Stirling Moss, âgé de 80 ans, souffre de multiples fractures après une chute de trois étages dans un accident d'ascenseur samedi soir, a-t-il annoncé lundi sur son site internet (stirlingmoss.com).


© AFP | L'ex champion de F1 Stirling Moss, dans sa Mercedes Benz W196 de 1954, le 5 juillet 2009 à Goodwood, en Angleterre


AFP | 08.03.2010 | 15:02


Sortant de son domicile londonien, Moss s'est engagé dans la cage après l'ouverture des portes alors que l'ascenseur n'était pas à l'étage.
Moss s'est brisé les deux chevilles, s'est fracturé quatre os du pied et s'est fêlé quatre vertèbres.
"Après une bonne nuit de repos après l'opération, il se porte bien et est sur la voie de la convalescence", selon le communiqué. Sa famille "est très soulagée que Sir Stirling ait survécu à sa chute, ce qui montre que son corps résiste aussi bien aux blessures que dans ses années de compétition."
Bien que n'ayant jamais été champion du monde, Moss, qui a remporté seize Grand Prix, est considéré comme l'un des plus grands pilotes britanniques de l'histoire.

Ben il est solide le Moss

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F1 - reprise ce week-end
Schumi prêt à en découdre pour un 8e titre

L'Allemand Michael Schumacher s'est dit prêt à la bagarre pour conquérir un 8e titre de champion du monde, alors que la saison débute dimanche à Barheïn.




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Le retour de Schumi sera-t-il couronné de succès? Réponse dès ce dimanche. (Photo: Keystone)


«Absolument, oui», a-t-il répondu à la question de savoir s'il était prêt à en découdre pour remporter le titre de champion du monde, alors qu'il sera le coureur à battre.
«Je suis là pour ça, et je suis persuadé qu'on a un rôle à jouer dans la bagarre (...), la saison sera longue et difficile, cela ne fait aucun doute, mais j'aime cette empoignade - c'est pour ce combat que je suis revenu en Formule 1», a-t-il ajouté.
Il a toutefois reconnu que les premières courses pourraient être délicates. «Savoir si l'on gagnera à la fin est une autre question, comme toujours en sport».
«Je le dis clairement dès le début: nous ne sommes pas obligés - et nous n'arriverons sans doute pas - à gagner des courses en début de saison. Ce qui est important, c'est d'être au contact et d'utiliser la longueur de la saison pour être en tête à la fin. Ce n'est pas au début que ça se joue, mais à la fin», a-t-il souligné.
Après trois ans d'inactivité, Schumacher, 41 ans, s'apprête à reprendre la compétition dimanche pour le Grand Prix de Bahreïn. Il s'est engagé dans l'écurie Mercedes qui a racheté 75,1% des parts de Brawn GP, ex-Honda F1, une écurie que Ross Brawn avait reprise début 2009 et qu'il avait menée, notamment grâce à Jenson Button, au sacre pilotes et constructeurs.
Dimanche, le patron de Mercedes Sport, Norbert Haug, a également demandé par avance clémence et patience pour les premiers pas de son écurie pour la saison 2010. «A mon avis, on ne sera pas en mesure de viser le podium lors des premières courses, mais après, on le sera à coup sûr», avait-il déclaré à l'édition dominicale du quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung.

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Cyclisme - Paris-Nice
Greg Henderson s'adjuge la première étape

Le Néo-Zélandais Greg Henderson (33 ans/Sky) a remporté la 1re étape de Paris-Nice à Contres. Au terme des 201 km de course, il a battu au sprint un groupe d'une quinzaine d'échappés dont le leader du général, Lars Boom.

Le groupe de tête comprenait plusieurs favoris de l'épreuve, notamment les Espagnols Luis Leon Sanchez et Alejandro Valverde. Le peloton principal est arrivé à 17 secondes. Par contre, l'Espagnol Alberto Contador s'est retrouvé piégé par cette attaque dans le final de cette étape disputée dans des conditions difficiles, avec un fort vent. Le double vainqueur du Tour de France a chuté à quelque 3 kilomètres de la ligne, mais il a pu réintégrer à temps le peloton.


Au général, le Néerlandais Lars Boom (Rabobank) conserve le maillot jaune. Le vainqueur du prologue possède 5 secondes d'avance sur le vétéran allemand Jens Voigt et 13 sur l'Ecossais David Millar.