Toutes New sportives autres que la moto

[philguerin]

Et bien çà promet du plaisir.... impressionnant ce type...! Y'va y'avoir du sport...!!

j'adore !

[Norton]

Ski nordique

La Coupe du monde pour Simon Ammann!


Image © Keystone (Archives)


Simon Ammann est devenu le premier Suisse de l'histoire à remporter le classement général de la Coupe du monde. A Lillehammer, le Saint-Gallois a ajouté la manière en remportant son huitième succès de la saison pour asseoir sa domination sur le cirque blanc après son doublé aux Jeux olympiques de Vancouver.
le 12 mars 2010, 18h53
LeMatin.ch & les agences


Leader après la première manche, Adam Malysz n'a pas su tenir la pression lors du deuxième envol en ne se posant qu'à 127,5 mètres. "Simi", pour sa part, a sauté à 133,5 m, reléguant à plus de trois points Gregor Schlierenzauer (Aut).
Andreas Kuettel peut définitivement oublier cette saison. Alors qu'il s'était qualifié haut la main pour la première épreuve de Lillehammer, le champion du monde en titre s'est posé à 108,5 mètres seulement. Le Schwytzois a réalisé la 49e longueur de la première manche à près de trente mètres des meilleurs.

Une superbe journée pour le ski suisse........Trop fort le Simi (alias Harry Potter) Je vais ouvrir le champ ce soir............

[xleu]

Envoyé par Mr Ducati

je dois dire que son retour me rend impatient de suivre la saison de F1 cette année. Avec en plus l'abolition des ravitaillements et des stratégies qui en découlent, on devrait avoir plus de spectacle en piste. J'espère ne pas être déçu une nouvelle fois

pareil, j'ai souvent délaissé la F1 ces dernières années, par manque de temps et surtout d'intérêt mais la son retour me donne envie...

[Norton]

Oslo: ça tombe à l'eau pour Cologna

Ski de fond | Dario Cologna renonce aux épreuves de Coupe du monde d'Oslo (No) le week-end prochain, pour cause d'infection aux sinus.


© KEYSTONE | De retour de Vancouver, Cologna était accueilli en héros à l'aéroport de Zurich, le 2 mars.


si | 11.03.2010 | 17:28


Dario Cologna renonce aux épreuves de Coupe du monde d'Oslo (No) le week-end prochain. Le champion olympique du 15 km souffre d'une infection virale aux sinus et estime ne pas être en mesure de défendre ses chances dans la très difficile épreuve des 50 km prévue samedi dans la Mecque du ski nordique.
Actuellement troisième du général de la Coupe du monde, le Grison devrait néanmoins être au départ des finales prévues à Falun (Su) du 19 au 21 mars. Il devrait préparer le dernier grand rendez-vous de l'hiver en disputant le Marathon de l'Engadine dimanche prochain, si son état de santé ne se détériore pas.

[Norton]

Envoyé par xleu

pareil, j'ai souvent délaissé la F1 ces dernières années, par manque de temps et surtout d'intérêt mais la son retour me donne envie...

Idem, nouvelles règles -pilote -écuries cela peut être une belle saison.

[Pasky]

Envoyé par Mr Ducati

je dois dire que son retour me rend impatient de suivre la saison de F1 cette année. Avec en plus l'abolition des ravitaillements et des stratégies qui en découlent, on devrait avoir plus de spectacle en piste. J'espère ne pas être déçu une nouvelle fois

Pas de ravitaillement en essence, mais des changements de pneus oui.
Ceux qui participent à la Q3 devront partir avec ces pneus là....
Donc se placer sur devant de la grille avec des pneus tendres, obligera à un premier run court......
La vrai course c'est pas d'arrêt au stand sauf en cas de pluie. Ce n'est pas la présence de Schumi qui me fera regarder la F1, qui est tout sauf du sport.

[Norton]

Lillehammer (noR)

Ammann: c'est grandiose!


Image © Keystone
Le concours vient de se terminer. Simon Ammann prend conscience qu'il vient de remporter le classement général de la Coupe du monde

Le quadruple champion olympique est le premier Suisse à inscrire son nom au palmarès de la Coupe du monde
le 12 mars 2010,



Simon Ammann est devenu le premier Suisse de l'histoire à remporter le classement général de la Coupe du monde. A Lillehammer, le Saint-Gallois a ajouté la manière en remportant son huitième succès de la saison pour asseoir sa domination sur le circuit, moins d'un mois après son doublé aux Jeux olympiques de Vancouver.
Le Saint-Gallois est tout bonnement inarrêtable. Lors de la première manche, il avait tout de même vu Adam Malysz lui passer devant. «J'ai donné mon impulsion un peu trop tôt car j'avais sans doute envie de trop bien faire», sourit-il. Leader après la première manche, le Polonais n'a pas su tenir la pression lors du deuxième envol en ne se posant qu'à 127,5 m. Simi, pour sa part, a sauté à 133,5 m, reléguant à plus de trois points Gregor Schlierenzauer (Aut).
«C'était une motivation supplémentaire d'être au deuxième rang après la première manche», explique le dominateur incontesté de cette saison. Le 16e succès de sa carrière, Simon Ammann l'a conquis sur un terrain qui lui convient à merveille. Entre les tremplins d'Oslo et de Lillehammer, le planeur du Toggenburg a glané six victoires. Nul doute que l'air norvégien convient à merveille à Simi. «J'ai toujours été bon en Norvège, c'est pour ça que j'avais à coeur de m'imposer ici.»
Troisième de la Coupe du monde en 2007 et deuxième en 2009, ce sacre tombe comme un fruit mûr pour Simon Ammann. La saison passée, il avait vu Gregor Schlierenzauer triompher avec seulement 19 points d'avance sur lui. «C'est un sentiment incroyable de remporter le globe de cristal de la Coupe du monde. Etre le premier Suisse à y parvenir est encore plus spécial pour moi. Je suis vraiment fier de ce que j'ai accompli cette saison.» Auparavant, Walter Steiner avait également pris la deuxième place en 1974 et 1977.
Il reste la Tournée
Vainqueur du Grand Prix d'été, des deux concours olympiques et de la Coupe du monde, il ne lui a finalement manqué que la Tournée des Quatre-Tremplins pour que cette saison soit un carton plein. Cinquième de la compétition germano-autrichienne, Simon Ammann sait désormais sur quel objectif il va se concentrer. Avec son titre de champion du monde en 2007 à Sapporo et ses quatre médailles d'or olympiques, il ne lui manque désormais que deux lignes à son incroyable palmarès pour que la boucle soit bouclée. La Tournée et les championnats du monde de vol à skis.

Encore un titre possible en vol à skis
Après le dernier concours de Coupe du monde dimanche à Oslo, les meilleurs sauteurs mondiaux ont un dernier rendez-vous avec les championnats du monde de vol à skis, qui auront lieu à Planica du 20 au 22 mars. Simon Ammann n'a jamais remporté la moindre médaille dans cette compétition depuis son arrivée sur le circuit, terminant 5e à Harrachov et 8e à Oberstdorf en 2008. Nul doute que Simi trouvera facilement la motivation pour se rendre en Slovénie et rejoindre au palmarès Walter Steiner, double champion du monde de vol à skis à Planica (1972) et à Vikersund.




Classements
Lillehammer. Coupe du monde (Grand tremplin)
Classement final: 1. Ammann (S) 274,5 points (135 m/133,5 m). 2. Schlierenzauer (Aut) 271,4 (132/132,5). 3. Malysz (Pol) 265,9 (135,5/127,5). 4. Zauner (Aut) 252,7 (130,5/130). 5. Morgenstern (Aut) 251,8 (129/130,5). 6. Kofler (Aut) 241,2 (122/133). 7. Chedal (Fr) 235,6 (122,5/131,5). 8. Romoeren (No) 234,9 (123,5/126,5). 9. Kasai (Jap) 233,6 (123,5/129,5). 10. Stoch (Pol) 233,0 (119,5/130). 11. Evensen (No) 231,3 (122/127,5). 12. Ljökelsoy (No) 229,5 (122,5/129). 13. Schmitt (All) 229,3 (121,5/129). 14. Fettner (Aut) 227,4 (120,5/128). 15. Loitzl (Aut) 227,2 (122,5/128). Puis, éliminé après la 1re manche: 48. Küttel (S) 73,9 (108,5).

[Norton]

Pour Fernando Alonso, gagner avec une Ferrari a une autre saveur

FORMULE 1 | Avec le grand retour de Schumacher, le passage de l’Espagnol dans la Scuderia est l’autre pôle d’intérêt de la saison qui démarre dimanche, à l’occasion du GP de Bahreïn.


© ARC | ​Fernando Alonso a hâte que débute la saison, il l’aborde au sein d’une écurie Ferrari qui ne sera jamais vraiment comme les autres, même si le grand retour de Michael Schumacher éclipse quelque peu sa présence dans le baquet de la Scuderia.


MARIO LUINI SAKHIR | 13.03.2010 | 00:01


L’un des aspects les plus intéressants d’une nouvelle saison de F1 est immanquablement la découverte des comportements de chacun. Le bla-bla de l’hiver terminé, les discours politiquement corrects s’effacent devant l’imminence de l’action. La vérité guette, avec les premiers chronos, et la tension monte. Même si les plus forts s’efforcent de ne pas le montrer. Plus que la première journée d’essais d’hier, qui n’a rien dévoilé (meilleur temps pour Rosberg, devant Hamilton et Schumacher) dans la touffeur du désert d’Al Sakhir (33 degrés à l’ombre des stands, 43 degrés sur la piste), la conférence de presse de la veille fut un modèle du genre.
«UN PLUS»
Lors de ce premier grand déballage, il n’y en avait évidemment pas que pour Michael Schumacher. Les «McLaren Boys» Lewis Hamilton et Jenson Button, au 2e rang, en profitaient pour rigoler entre eux comme deux collégiens farceurs. Felipe Massa buvait littéralement les paroles du «frère», ex-coéquipier et maître qu’est pour lui Schumi. Quant à Fernando Alonso, il avait déjà repris cet air ombrageux du danseur de flamenco à qui on vient de marcher sur les pieds. Avec le temps et ses deux titres mondiaux, «Nando» a appris à composer. Visiblement, l’attention dévolue au septuple champion du monde de retour lui restait en travers de la gorge, mais il ne se déroba pas: «C’est sûr, le retour de Michael est une surprise. Mais c’est un plus pour tout le monde: gagner une course ou un championnat quand il est aussi en piste donne davantage de valeur au succès…»
DES SIMILITUDES
Ses yeux bruns perdus dans le vague, sous de gros sourcils charbonneux, un vague sourire à peine esquissé, Alonso avait surtout l’air de dire «causez toujours, on se reverra dimanche sur le podium». Visiblement, tout se passe comme s’il s’était déjà imposé comme le nouvel homme fort de la Scuderia Ferrari. Schumi et Alonso ont ceci en commun qu’ils comptent chacun deux victoires à Sakhir. Et à la question de savoir ce qu’ils attendaient de ce week-end, ils donnèrent la même réponse, sans se concerter: un troisième succès. Tous les deux abordent aussi un nouveau défi au sein d’une autre équipe. Leur rapidité d’intégration sera probablement l’une des clés de la saison. «Nous sommes bien préparés, reconnaît l’Espagnol, mais notre but est d’être champion du monde en novembre, pas de dominer le mois de mars…»
UNE AUTRE SAVEUR CHEZ FERRARI
Fernando Alonso faisait ainsi allusion au fait que les essais, avec l’interdiction des ravitaillements et la présence au départ de monoplaces désormais dotées de réservoirs de 220 litres, sont plus difficiles que jamais à déchiffrer. Qui a roulé avec quelle charge de carburant? Bien que cela ne soit pas la force première des grands pilotes, Alonso a appris la patience. «Pour l’instant, je mets Ferrari, Mercedes, Red Bull et McLaren au même niveau», s’avance-t-il tout de même. Conscient du fait que l’aventure ne fait que commencer et qu’elle est appelée à prendre une autre dimension. «Mon père m’a toujours dit que je pouvais gagner encore et encore, mais que cela n’aurait jamais le même impact si je le faisais au volant d’une Ferrari. Alors voilà: je suis prêt…»

[Norton]

f1

GP de Bahreïn: Vettel en pole


Image © L'Allemand Sebastian Vettel au volant de sa Red Bull lors des essais du Grand Prix de Bahrein, le 13 mars 2010 à Manama

L'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) occupera dimanche la pole position du Grand Prix de Bahreïn de Formule 1, première épreuve de la saison 2010, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications samedi sur le circuit de Sakhir.
le 13 mars 2010,
LeMatin.ch & les agences


Sur le deuxième tracé le plus long de la saison (6,299 km, derrière Spa Francorchamps 7,004 km), pour le premier vrai test chronométré de l'exercice 2010, les Ferrari et surtout les Red Bull se sont montrées largement les plus rapides. Michael Schumacher (All/Mercedes) a pour sa part signé un retour prudent et s'élancera de la quatrième ligne.
Sébastien Buemi a réussi à s'immiscer en "Q2", mais sa Toro Rosso ne lui a pas permis de faire beaucoup mieux. Au final, l'Aiglon a dû se contenter d'un modeste 15e rang, trois places devant son coéquipier Jaime Alguersuari (Esp).
Les premiers tours de roue des Sauber ont été décevants. Après des essais hivernaux très prometteurs, les bolides helvétiques ont été relégués en bas de grille. L'Espagnol Pedro de la Rosa et le Japonais Kamui Kobayashi n'ont pu faire mieux que les 14e et 16e temps.
Comme prévu, les nouvelles écuries ont terminé bien loin des meilleures. La Virgin de Timo Glock (All) a en revanche étonné, en prenant le 19e rang et première place des viennent-ensuite. Les pilotes Hispania Bruno Senna (Bré) et Karum Chandhok occuperont la dernière ligne, après avoir lâché plus de huit secondes en "Q1".
GP de Bahreïn. Grille de départ: 1 Sebastian Vettel (All), Red Bull 2 Felipe Massa (Bré), Ferrari 3 Fernando Alonso (Esp), Ferrari 4 Lewis Hamilton (GB), McLaren 5 Nico Rosberg (All), Mercedes 6 Mark Weber (Aus), Red Bull 7 Michael Schumacher (All), Mercedes 8 Jenson Button (GB), McLaren 15 Sébastien Buemi (S), Toro Rosso

[Norton]

GP DE BAHREÏN

Schumacher, la folie et ses millions

Image © Keystone

On ne parle que de lui, on ne s'intéresse qu'à lui: Michael Schumacher monopolise l'attention dans le paddock de Bahreïn. Et fait de même avec les millions. En ces temps de crise, cela fait grincer des dents
Luc Domenjoz - le 14 mars 2010,
Le Matin Dimanche



La saison 2010 qui démarre cet après-midi sur le circuit de Sakhir, dans le petit royaume de Bahreïn, se pose comme une illustration flagrante de la crise mondiale.
Depuis l'an dernier, les transferts et les changements de tous ordres ont radicalement changé le visage de la F1. Du passage de Fernando Alonso chez Ferrari au retour de Felipe Massa, en passant par l'interdiction des ravitaillements, l'arrivée de trois nouvelles écuries ou celle de Bruno Senna, le neveu d'Ayrton, les sujets d'intérêt ne manquent pas.
Pourtant, dans le paddock, un seul thème monopolise les conversations: le retour de Michael Schumacher au volant d'une Mercedes. Le meilleur pilote de tous les temps est de retour après trois saisons d'absence, et la marque à l'étoile revient à la formule?1 après l'avoir quitté il y a cinquante-cinq ans.
Depuis 2006, Michael Schumacher n'a pas changé d'un cheveu - qu'il a toujours aussi court. En le croisant, on constate le même sourire quelque peu supérieur, le même physique hyperaffûté, le même regard concentré. Il semble même avoir rajeuni, mû par une volonté et une force qu'il avait perdues lors de ses dernières saisons chez Ferrari.
Les propos qu'il martèle lors de chaque interview - son envie de courir, son ambition, sa rage de vaincre - seraient donc vrais. «Quand j'ai annoncé mon retour, je me suis senti comme un petit enfant devant un sapin de Noël, raconte-t-il. Puis je me suis habitué à l'idée. Et depuis tous mes réflexes reviennent.»
Accompagné de son épouse
Ainsi d'ailleurs que toutes ses habitudes: Schumi est toujours accompagné de son épouse, Corinna, et l'embargo sur ses enfants est encore plus sévère qu'avant puisqu'il n'autorise personne à écrire une ligne à leur sujet sous peine de poursuite pénale.
Mais, si son retour fait plaisir à toute l'Allemagne, l'enthousiasme n'est guère partagé par ses collègues pilotes. Officiellement, ses adversaires se félicitent de voir le septuple champion du monde de retour, saluant son courage ou soulignant la chance qu'ils ont de se battre avec une légende.
Mais, au-delà du discours châtié, beaucoup affichent des signes de lassitude envers celui qui tire déjà la couverture médiatique à lui, et surtout qui ne s'intéresse pas au GPDA, l'association des pilotes de grand prix dont il est le seul à ne pas faire partie.
Le plus âgé du plateau
Au lieu de se montrer grand seigneur et d'afficher un caractère bon enfant, Michael Schumacher affiche un visage encore plus fermé qu'avant sa retraite. Il fait même preuve d'une certaine agressivité dans le paddock, où il écarte sans ménagement les photographes et les quémandeurs d'autographes.
Fusent alors les phrases assassines. «Je suis content que tu sois de retour, lui lâche Jenson Button en lui tapotant l'épaule. Grâce à toi, je me sens plus jeune!» Une allusion aux 41 ans de l'Allemand qui en font le pilote le plus âgé du plateau. Schumi pourrait être le père de bon nombre de ses rivaux, à commencer par Sébastien Buemi, qui n'accuse que 21 ans. «Quand on a annoncé son retour, j'étais content
de rouler avec l'idole de ma jeunesse, confie le Vaudois. Mais, maintenant que la saison a commencé, cela ne me fait ni chaud ni froid. Sur la piste, c'est un concurrent comme un autre.»
Soixante millions sur trois ans
Il y a aussi ceux qui se montrent plus sévères: «Si j'étais le père de Michael, je lui demanderais pourquoi il revient. Quel est son but?», s'interroge Eddie Jordan, patron de l'écurie qui l'a fait débuter en formule 1, en 1991. «Il est en passe de s'enfoncer dans une situation impossible. Il pourrait perdre toute son aura s'il n'était plus à la hauteur. Je pense qu'il peut éventuellement gagner une course, mais le championnat? Jamais de la vie!»
Le système Schumacher s'est en tout cas remis à fonctionner comme au bon vieux temps. Willy Weber, le manager de ses débuts, a repris du service pour s'assurer que l'Allemand ne rate aucun contrat. Jusqu'ici, de ce côté-là, tout se passe très bien: en plus des 7 millions d'euros annuels versés par Mercedes (que la marque allemande a réussi à faire verser par Petronas, le sponsor de l'écurie), Michael Schumacher empoche 3 millions de mieux de la société financière Deutsche Vermögensberatung, toujours présente sur sa casquette, et y ajoute les montants versés par ses autres partenaires, Omega, Bacardi, Navyboot, Schuberth ou Monster Energy Drink.
Au total, le quotidien allemand Bild estime à 61 millions d'euros (88 millions de francs) les gains de Schumi au fil des trois ans de son contrat. En ces temps de crise, il est le seul à réussir un tel carton. Cela justifie-t-il pour autant le sourire en coin et la suffisance qu'il affiche dans le paddock? Sans doute cela explique-t-il au moins l'inimitié que lui portent les autres pilotes.