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Grand Prix de Malaisie: Webber partira en pole

F1 | L'Australien a relégué ses plus proches poursuivants, Nico Rosberg (All/Mercedes) et Sebastian Vettel (All/Red Bull), à plus de 1''300 !


© KEYSTONE | Mark Webber


SI | 03.04.2010 | 12:10


Mark Webber (Aus/Red Bull) s'élancera en pole-position du Grand Prix de Malaisie de Formule 1. Lors d'une séance d'essais qualificatifs disputée sous une pluie battante, Sébastien Buemi (S/ Toro Rosso) a pour sa part signé le 13e temps. Dans le final de la troisième partie des qualifications, Webber s'est octroyé avec autorité la deuxième position de pointe de sa carrière. L'Australien a relégué ses plus proches poursuivants, Nico Rosberg (All/Mercedes) et Sebastian Vettel (All/Red Bull), à plus de 1''300 !
Septième de la première séance, Sébastien Buemi a démontré toutes ses aptitudes sur le «mouillé». Le Vaudois partira finalement depuis le 13e rang, juste devant son coéquipier espagnol Jaime Alguersuari.
Plusieurs favoris ont été piégés par les conditions changeantes. Prenant la piste trop tard alors que la pluie redoublait, Fernando Alonso (Esp/Ferrari), Lewis Hamilton (GB/McLaren) et Felipe Massa (Bré/Ferrari) ont dû se contenter respectivement des 19e, 20e et 21e places sur la grille.
Jenson Button (GB/McLaren), sorti de piste lors de «Q1» a eu le temps de réussir le 13e temps, mais s'élancera finalement de la 9e ligne. Les stratèges de ces deux grandes écuries peuvent se mordre les doigts, mais leurs errements laissent augurer d'une sacrée empoignade lors du GP de dimanche.
Les Sauber ont quant à elles profité des conditions pour se rassurer. Kamui Kobayashi (Jap) a signé une belle 9e place, tandis que le vétéran espagnol Pedro de la Rosa a réussi le 12e chrono.

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Belgique

Fabian Cancellara remporte le Tour des Flandres


Image © Keystone
Le Suisse Fabian Cancellara (Saxo Bank) a remporté en solitaire, après une démonstration de force, la 94e édition du Tour des Flandres, la grande classique disputée dimanche sur 261,5 kilomètres entre Bruges et Meerbeke.
AFP - le 04 avril 2010,
LeMatin.ch & les agence


Cancellara, surnommé "Spartacus", a précédé de plus d'une minute le champion de Belgique Tom Boonen, deux fois vainqueur de l'épreuve.
Le Belge Philippe Gilbert a pris, comme l'an passé, la troisième place devant son compatriote Björn Leukemans.
Le premier peloton a franchi la ligne à plus de deux minutes et demie du vainqueur.
Cancellara, habillé du maillot de champion de Suisse, a provoqué la sélection en deux temps. Il s'est dégagé à 45 kilomètres de l'arrivée, dans le Molenberg, en compagnie de Boonen qu'il a distancé ensuite sans coup férir dans le mur de Grammont, l'avant-dernier des quinze monts flandriens du parcours.
Dans cette course disputée entre les averses, les rescapés de l'échappée matinale (Goesinnen, Ignatiev, Van Leijen) ont été rejoints après quelque 200 kilomètres de fugue, à 60 kilomètres de Meerbeke.
Le premier peloton, fort d'une soixantaine de coureurs avec entre autres l'Américain Lance Armstrong, s'est déchiré dans le Molenberg à l'initiative de Cancellara, suivi seulement par Boonen.
Le duo a creusé l'écart pour se présenter au pied du mur de Grammont, à l'entrée des 15 derniers kilomètres, avec une quarantaine de secondes d'avance sur un premier groupe de poursuivants, conduit par Philippe Gilbert.
Sur les sévères pourcentages de Grammont, Boonen n'a pu suivre Cancellara, qui est resté assis sur la selle. L'écart, d'une vingtaine de secondes, a augmenté ensuite sur la partie roulante menant à Meerbeke, où le Suisse s'est livré à un contre-la-montre, son exercice de prédilection.
Agé de 29 ans, Cancellara a enlevé sa troisième grande classique après Milan-Sanremo (2008) et Paris-Roubaix (2006).
Trois fois champion du monde du contre-la-montre, le Bernois a porté à quinze reprises le maillot jaune de leader du Tour de France, dont il a gagné à trois reprises le prologue.
Cancellara a signé la deuxième victoire suisse dans le Tour des Flandres, après Henry Suter en 1923.

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Formule 1

GP de Malaisie: Vettel en patron

Large dominateur du début d'exercice (56 tours en tête sans gagner au final !), mais frustré par des ennuis mécaniques à Bahreïn et en Australie, l'Allemand et sa Red Bull se sont imposés lors du Grand Prix de Malaisie de formule 1.
ats -

La hiérarchie sur la grille de départ à la suite d'essais qualificatifs disputés sous la pluie promettait beaucoup pour la course: les spectateurs malaisiens n'ont pas été déçus ! Entre la folle remontée de Lewis Hamilton (GB/Mercedes) - parti 20e et 6e au drapeau à damier -, les bagarres dans le peloton mettant notamment aux prises Sébastien Buemi aux Ferrari de Felipe Massa et de Fernando Alonso en début de relais, ainsi que la démonstration de force des Red Bull, tous les ingrédients d'un superbe spectacle ont été réunis dimanche à Sepang.
Après ses déboires à Melbourne et Sakhir, Sebastian Vettel n'a cette fois pas laissé passer l'occasion de remporter sa première victoire de la saison, la sixième de sa carrière, et de revenir en force au classement du Championnat du monde. Le jeune Allemand, parti de la troisième position, a réussi un envol de rêve, avant de contenir à merveille les rares velléités de son coéquipier.
Handicapé par une - mauvaise - stratégie à deux arrêts aux stands, Sébastien Buemi a été une fois n'est pas coutume dominé par son coéquipier Jaime Alguersuari. L'Espagnol, neuvième et auteur notamment d'un dépassement de toute beauté aux dépens de Niko Hülkenberg (All/Williams) au 31e tour, a marqué en Malaisie les deux premiers points de sa carrière vieille de onze GP.
Chez Sauber et au sein de la Scuderia Ferrari on fait également grise mine. Les deux bolides suisses ont "mis la flèche" plus tôt que de rigueur. Kamui Kobayashi (Jap) s'est arrêté après huit rondes, tandis que le bolide de Pedro de la Rosa (Esp) n'a même pas pris le départ. Dix-neuvième et 21e sur la grille, Felipe Massa et Fernando Alonso ont couru tout au long de l'épreuve après quelques points.
Grand Prix de Malaisie: 1. Sebastian Vettel (All), Red Bull-Renault. 2. Mark Webber (Aus), Red Bull-Renault, 3. Nico Rosberg (All), Mercedes, 4. Robert Kubica (Pol), Renault, 5. Adrian Sutil (All), Force India-Mercedes, 6. Lewis Hamilton (GB), McLaren-Mercedes, 7. Felipe Massa (Bré), Ferrari. 8. Jenson Button (GB), McLaren-Mercedes 9. Jaime Alguersuari (Esp), Toro Rosso-Ferrari. 10. Nico Hülkenberg (All), Williams-Cosworth. 11. Sébastien Buemi (S), Toro Rosso-Ferrari. Ont notamment été éliminés: Kamui Kobayashi (Jap), Sauber-Ferrari; Michael Schumacher (All), Mercedes; Fernando Alonso (Esp), Ferrari. Pas au départ: Pedro de la Rosa (Esp), Sauber-Ferrari (couple).
Classements Championnats du monde (3/19). Pilotes: 1. Massa 39. 2. Alonso und Vettel 37. 4. Button 35. 5. Rosberg 35. 6. Hamilton 31. 7. Kubica 30. 8. Webber 24. 9. Sutil 10. 10. Schumacher 9. 11. Liuzzi 8. 12. Barrichello 5. 13. Alguersuari 2. 14. Hülkenberg 1. Constructeurs: 1. Ferrari 78. 2. McLaren-Mercedes 66. 3. Red Bull-Renault 61. 4. Mercedes 44. 5. Renault 30. 6. Force India-Mercedes 18. 7. Williams-Cosworth 6. 8. Toro Rosso-Ferrari 2.

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mondial 2010

Les Suisses dans l'enfer du jeu

Image © Keystone
L'entrée du Casino des Suisses, en Afrique du Sud
En Afrique du Sud, les joueurs d'Ottmar Hitzfeld logeront dans un complexe abritant l'un des plus gros casinos du pays. Quelles sont les règles en vigueur? Qui fait la police?
Nicolas Jacquier - le 03 avril 2010,
Le Matin Dimanche



Cette semaine, Christian Constantin n'a pas hésité à faire le ménage parmi ses joueurs. Le boss du FC Sion a commencé par virer séance tenante Dos Santos, coupable d'avoir été préparé la venue du FC Bâle au casino de Montreux, où le Brésilien a été aperçu à 3h30 du matin la veille du match. Avant de doubler la mise quatre jours plus tard en licenciant Mitreski pour des accusations similaires. «Je ne veux pas payer des types qui vont se coucher à l'heure où je me lève!», s'est aussitôt exclamé le patron. L'affaire du FC Sion (et de ses multiples ramifications) n'a rien d'extraordinaire en soi. L'univers trouble du jeu et ses liaisons dangereuses, le monde de la nuit comme celui de la fête et de ses paillettes ont toujours attiré les noceurs sportifs, les flambeurs, les belles gueules. Beaucoup y ont laissé leurs illusions, d'autres s'en accommodent avec talent.

Guy Roux suivait ses joueurs à la disco
Dans ce match entre le sportif idéal au comportement irréprochable et la réalité du monde, le décalage est souvent frappant, le réveil parfois douloureux. Clients des pages people qu'ils ne cessent d'alimenter, les stars planétaires du crampon font aussi parfois la différence sur les pistes de danse comme en témoignent les débordements nocturnes des deux plus célèbres Ronaldo. Ou les frasques répétées du bagarreur Gascoigne quand celui-ci ne sombrait pas dans l'alcool. Chez nous, la participation régulière de bien des joueurs de clubs de la Swiss Football League continue de contribuer à la notoriété de plusieurs endroits branchés, que ce soit au bord de la Limmat, du Rhin, du Rhône, etc.
Bien sûr, partout, du petit club de Challenge League jusqu'au plus haut niveau, des règlements internes existent, des gardes fous ont été mis en place pour prévenir des dérapages parfois trop tentants. La liberté individuelle, le respect de la sphère privée doivent-ils primer sur tout? Ou le sportif, de par l'image qu'il véhicule, se doit-il de montrer l'exemple?
En son temps, pas si lointain, l'inénarrable Guy Roux avait apporté une réponse à la hauteur de son personnage en suivant ses joueurs à la trace. Plus célèbre gendarme de l'Hexagone, celui qui a entraîné l'AJ Auxerre pendant 4 ?ans avait pour habitude, le soir venu, de faire le tour des discothèques de la région pour aller y débusquer ses brebis égarées. Le surveillant au bonnet rouge avait aussi la manie de vérifier les compteurs kilométriques des voitures et avait même, rapporte la légende, attaché avec un cadenas la mobylette d'un certain Basile Boli afin que celui-ci ne sorte plus le soir pour y faire la bringue!
C'était il y a 25 ans mais rien n'a vraiment changé hormis les moyens de traque. «L'arrivée des téléphones portables a sonné la fin de ma carrière de détective», a du reste coutume de répéter Guy Roux. A l'époque, les DJ locaux, de collusion avec les joueurs auxerrois de sortie, diffusaient une musique convenue pour signifier la discrète arrivée de leur coach sur le parking.
Autre grand classique des dérapages: la présence d'une accorte demoiselle glissée dans les bagages, parfois jusque dans le lit. Un classique souvent revisité, avec une multitude de variantes.
Remettre de l'ordre dans le vestiaire, replacer le footballeur au centre du terrain, face à ses responsabilités d'homme public, loin des possibles dérives, voilà toujours le job de chaque entraîneur, qui plus est quand il se retrouve propulsé sélectionneur.
Le sélectionneur supprime l'alcool
Craig Levein, le tout nouveau coach écossais, peut en témoigner, lui dont la première mission a été d'interdire l'alcool durant les stages préparatoires. Conscient que la pinte et l'Ecossais ne font qu'un, Levein (!) a insisté sur quelques sobres notions - de travail et de solidarité principalement - mais il n'en a pas moins pensé aux gosiers assoiffés de ses ouailles. «Si nous travaillons bien, a commenté Peter Houston, son adjoint, ce sera récompensé et les joueurs pourront sortir et boire des verres.» Un entraînement particulier qui a sans doute coûté sa place en Afrique du Sud à la Russie, dont plusieurs joueurs, en novembre dernier, auraient été surpris verres en main et fumant le narguilé la veille du match décisif pour le Mondial 2010 contre la Slovénie. Un mois plus tôt, l'alcool aurait déjà coulé à flot avant un match amical contre l'Allemagne. Révélé par la chaîne moscovite Channel One, témoignages à l'appui, le scandale est arrivé jusqu'au Kremlin, qui aurait exigé l'ouverture d'une enquête. «Guus Hiddink (ndlr: le sélectionneur) s'est couché à 2h du matin, a expliqué un serveur. C'est alors que tout a commencé. Les joueurs jouaient aux cartes, fumaient le narguilé et certains avaient un verre à la main.» Faut-il préciser que les Slovènes surent en profiter en fêtant - sur le terrain - leur qualification.
Ouvert jour et nuit le week-end
Tombés dans le groupe C, les joueurs de Matjaz Kek ne seront pas confrontés en Afrique du Sud aux mêmes tentations que celles qui attendent les protégés d'Ottmar Hitzfeld. En choisissant comme camp de base l'Emerald Resort à Vanderbiljpark, le visiteur helvétique logera dans un complexe abritant l'un des plus grands casinos du pays. Ouvert jusqu'à 4h du matin durant la semaine et sans interruption le week-end, l'établissement propose tous les jeux imaginables (roulette, black-jack, etc.) - avec des mises illimitées sur certaines tables. Des 32 invités à la grand-messe planétaire du ballon rond, la Suisse sera du reste la seule équipe de la Coupe du monde à loger dans un complexe hôtelier abritant, outre 77 chambres grand luxe, un casino. Pour les plus contemplatifs, ou les moins fortunés, l'Emerald est aussi doté d'un zoo représentatif de la faune locale. Voilà qui changera de l'ambiance ennuyeuse et des conditions spartiates qui, lors du Mondial allemand en 2006, régnaient à Bad Bertrich, station thermale fréquentée principalement par le 3e âge. Avec comme unique distraction quotidienne: le thé dansant de l'après-midi, sous la rotonde fleurie...
Confronté cette fois à l'enfer du jeu à portée de jetons, comment le visiteur helvétique y fera-t-il face tactiquement? Verra-t-on Frei & Cie aller remettre en jeu leurs (éventuelles) primes? «Pour nous, répond Philipp Ebneter, manager de l'équipe nationale, la présence d'un casino n'est pas un problème. A la fin, c'est le coach qui décide. Et comme les internationaux ne sont plus des enfants...» Avec Hitzfeld, le bon sens l'emporte souvent. Contrairement au règlement interne du FC Sion - un document fouillé de près de dix pages A4 -, les internationaux suisses répondent à un simple code de comportement, régissant les us et coutumes de la vie communautaire au sein du groupe. «A l'ASF, on n'a pas Constantin comme président!, reprend M. Ebneter. Les joueurs n'ont pas besoin d'un règlement pour savoir à quelle heure ils doivent aller se coucher.»
Prônant la tolérance zéro dans son club, Christian Constantin s'amuse de la présence d'un casino dans l'environnement immédiat des internationaux. «Il faudra mettre une sécurité maximum!», s'exclame, goguenard, le nouveau Guy Roux du football suisse. Avant de concéder: «Un Mondial, c'est autre chose. Il n'y a pas de crainte. Tout sera tellement surveillé que chaque joueur se sentira épié. C'est un peu comme si un gars non masqué envisageait de cambrioler la Banque Nationale en plein jour. Il serait vite repéré...»
A l'Emerald Resort & Casino, on aimerait plutôt parier sur une Suisse qui raflerait la mise sur le terrain de jeu.


Le vaudeville de Sheffield et la nuit d'Oslo
La réalité se nourrit des affaires qui la peuplent. Encore ancrées dans les mémoires collectives, deux d'entre elles ont marqué le destin de l'équipe nationale. Souvenons-nous en.
16 juillet 1966. A la veille de leur premier match du Mondial anglais contre l'Allemagne, le gardien Leo Eichmann, le défenseur Werner Leimgruber et le milieu de terrain Köbi Kuhn font le mur et quittent le «Hallam Towe Hotel» pour une virée nocturne en compagnie d'une automobiliste complaisante. Ils seront aussitôt sanctionnés et suspendus à l'interne. Après cet autogoal disciplinaire suicidaire, la Suisse de Foni s'incline lourdement face à la Mannschaft (5-0). La nuit de Sheffield tourne définitivement au vaudeville quand Ernst Thommen, alors président de la commission de sélection, organise la venue en Angleterre des... épouses des trois auto-stoppeurs fugueurs!
8 septembre 1976. Dix ans après Sheffield, Köbi Kuhn se retrouve impliqué dans un autre scandale, celui de la désormais fameuse nuit d'Oslo. 24 heures avant d'affronter les Vikings, le futur sélectionneur s'associe avec le Servettien «Joko» Pfister, l'ange blond des Charmilles, pour une tournée des grands ducs dans la capitale norvégienne. Tournant à l'affaire d'Etat, cet écart de conduite met un terme définitif à la carrière de Kuhn sous le maillot national, alors que Pfister écope d'une suspension de... 3 ans! Sur le terrain, la Suisse de l'intérimaire Blazevic s'incline 1-0.

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Schumacher abandonne sur problème mécanique

GP de Malaisie | Le septuple champion du monde allemand Michael Schumacher a abandonné sur problème mécanique durant le 10e tour du Grand Prix de Malaisie de Formule 1, dimanche à Sepang.


© afp |


afp | 04.04.2010 | 11:28


"Schumi+", parti de la 8e position, avait réalisé un bon départ, dépassant deux des pilotes le précédent. Mais sa voiture l’a subitement lâché alors qu’il était 6e et roulait sans pression excessive, visiblement sur un problème de roue arrière.

A 41 ans, +Schumi+, revenu de sa retraite dorée, effectue un début de saison mitigé, qui l’a vu terminer 6e et 10e des deux premières courses, à Bahreïn et en Australie, quand son coéquipier et compatriote Nico Rosberg a fini à chaque fois 5e.

Avec 9 points en deux courses, il occupe le 9e rang du classement général, avant le résultat de la course de dimanche.
"Je sais que les gens parlent de mes résultats. Mais nous faisons du mieux que nous pouvons. J’aime satisfaire tout le monde, mais surtout moi-même. Et je ne suis pas du tout agacé", avait observé Schumacher jeudi.

"Je suis déçu que mon opinion soit différente de celle de certains médias, mais chacun est libre d’avoir la sienne. Je suis assez heureux. J’ai fait du mieux que j’ai pu avec les moyens qui m’ont été donnés", a-t-il ajouté.

La Mercedes de Schumacher n’est pour l’instant pas encore au niveau des McLaren, des Ferrari et surtout des Red Bull, ce qui empêche l’Allemand de se battre pour le podium.

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Masters

Tiger Woods applaudi pour sa première sortie


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L'Américain Tiger Woods a été accueilli par des applaudissement, lundi matin à Augusta, lors de sa première sortie sur le parcours du Masters, où il a déjà conquis quatre vestes vertes, depuis le très médiatique scandale de ses relations extra-conjugales.
le 05 avril 2010, 15h45
LeMatin.ch & les agences

L'Américain Tiger Woods a été accueilli par des applaudissement, lundi matin à Augusta, lors de sa première sortie sur le parcours du Masters, où il a déjà conquis quatre vestes vertes, depuis le très médiatique scandale de ses relations extra-conjugales.
"Bon retour Tiger, tu nous as manqué", lui ont lancé des supporteurs alors que le N.1 mondial, arrivé dimanche en Georgie, attaquait le deuxième tee en compagnie de son compatriote Fred Couples. Le "Tigre", visiblement détendu et bien dans sa peau, s'est alors retourné pour et a souri à ses fans.
"Personne n'est parfait. Nous pensions qu'il l'était, mais personne n'est parfait", a commenté son ami Mark O'Meara, après avoir joué neuf trous sur le nouveau practice d'Augusta, dimanche, en compagnie de l'homme aux 14 trophées en Grand Chelem.
"Il se sentira bien et je pense qu'il jouera aussi bien cette semaine. Si quelqu'un peut supporter la pression, c'est bien lui d'autant qu'il a fait du bon boulot", a ajouté O'Meara en faisant allusion aux séances de thérapie suivies par Woods.
Plus de 40.000 spectateurs payants sont attendus lundi.
Woods, vêtu d'un pantalon gris, d'une casquette et d'une chemise blanche, n'a pas déçu ses fans qui l'ont mitraillé de photos. Des applaudissements polis ont aussi accueilli les coups du champion qui a adressé un signe de la main à un couple qui lui lançait: "Ca va, continue Tiger!"
Lundi après-midi, Woods doit tenir sa première conférence de presse depuis qu'il a mis sa carrière entre parenthèses fin novembre, lorsque le scandale sur sa vie privée avait éclaté. Fin mars, peu après avoir présenté des excuses publiques, il avait annoncé sa décision de reprendre la compétition à l'occasion du Masters d'Augusta.
C'est à Augusta que Woods a remporté son premier Grand Chelem, en 1997, devenant le premier lauréat de couleur. Victorieux de 14 tournois du Grand Chelem, l'Américain veut battre le record absolu de victoires (18), détenu par son compatriote Jack Nicklaus.

[Norton]

Evelyne Leu arrête le saut acrobatique

06.04.2010 19:20


Evelyne Leu a fêté 21 podiums en Coupe du monde. [Keystone]
Après la grosse désillusion aux Jeux de Vancouver, avec une élimination en qualifications, Evelyne Leu dit stop. La Bâloise de 33 ans gardera néanmoins en tête son magnifique titre olympique de Turin en 2006, en saut.
Evelyne Leu range ses skis. A 33 ans, la Bâloise a décidé de mettre un terme à sa carrière. La championne olympique de saut acrobatique à Turin en 2006 n'envisage pas d'occuper un poste d'entraîneur. A 21 reprises sur le podium en Coupe du monde, Leu se dirigera vers une carrière dans le marketing.

En février dernier à Cypress Mountain, les derniers Jeux d'hiver se sont soldés par une immense déception pour Evelyne Leu. Elle avait connu l'élimination au stade des qualifications déjà, après avoir manqué la réception de son deuxième saut. Aux JO 2006, elle avait réussi un triple salto pour s'offrir la médaille d'or.

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football

Messi sort l'arsenal


Image © Keystone
Lionel Messi a démontré qu'il était sans conteste le meilleur joueur du monde.
Auteur de quatre buts, dont un hat trick en première mi-temps, le génial Argentin a qualifié le Barça à lui tout seul.
le 06 avril 2010, 23h13
LeMatin.ch & les agences



Un hat trick parfait de Lionel Messi en première période a ouvert la route des demi-finales de la Ligue des champions au FC Barcelone. Au Nou Camp, les Catalans, détenteurs du trophée, ont battu Arsenal 4-1 pour assurer leur qualification. Leur prochain adversaire sera l'Inter Milan avec le match aller à San Siro.
Très prudent, Arsenal avait pourtant le bonheur de marquer le premier par Bendtner. Les Catalans digéraient très vite ce coup du sort et laissaient leur prodige Lionel Messi réussir un show extraordinaire qu'il a conclu à la 88e minute en inscrivant tout simplement son... quatrième but de la soirée.
A la 21e, l'Argentin égalisait sur une frappe splendide après une remise malheureuse de Silvestre, qu'Arsène Wenger avait finalement préféré à Campbell. A la 37e, il était cette fois à l'origine et à la conclusion d'une attaque relayée par Abidal et Pedro. Enfin à la 42e, il envoyait Arsenal au tapis en partant en rupture après un service de la tête de Keita. Sur cette action, la défense d'Arsenal a témoigné d'une extrême naïveté. Contre un joueur aussi «magique» que Lionel Messi, ce manque de rigueur vous conduit très vite en enfer.
En seconde période, le FC Barcelone s'est contenté de gérer tranquillement en multipliant les jeux de passe à dix pour le plus grand bonheur de son public. A quatre jours du Clasico face au Real, il n'était peut-être pas utile de puiser dans ses ressources. Dans l'optique du match de Madrid, Pep Guardiola a dû déplorer la sortie sur blessure d'Abidal. Revenu à la compétition samedi dernier, le Français a malheureusement rechuté.
Contre l'Inter en demi
La tâche du FC Barcelone ne sera pas moins aisée en demi-finale face à l'Inter Milan. Présente pour la première fois depuis 2003 dans le dernier carré de la Ligue des champions, la formation de José Mourinho n'a rencontré aucune difficulté pour se qualifier face au CSKA Moscou.
Victorieux 1-0 au match aller à San Siro, les Milanais se sont imposés sur le même score sur la pelouse artificielle du Stade Luzhniki. Ils n'ont même pas eu le temps d'avoir peur avec l'ouverture du score qui est tombée très vite, à la 6e minute sur un coup franc de Sneijder qui a abusé le gardien Akinfeev.
Mission impossible à dix contre onze
A la 49e minute, les Russes perdaient leurs dernières illusions avec l'expulsion du Nigérian Odiah pour un second carton jaune. A dix contre onze et dans l'obligation de marquer à trois reprises pour se qualifier, le CSKA se retrouvait face à une véritable mission impossible.

[Margotte]

alors là chapeau bas messi ... du grand foot' avec un gand F ...

ce soir lyon bordeaux .... à vos paris !! moi lyon ...

[Cinquante]

Blonde et passionnée de foot... Tu dois avoir un succès fou dans ton village