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c'est inquiétant une casse comme ça...

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FOOTBALL

Les propriétaires américains de Liverpool vont vendre le club


Image © Keystone
Une supportrice des Reds manifeste son mécontentement avec une écharpe au slogan sans équivoqie: "Dehors les Yankies!"
Les copropriétaires américains de Liverpool, Tom Hicks et George Gillet, ont annoncé que Martin Broughton avait été nommé président pour superviser la vente du club de Premier League.
le 16 avril 2010,
LeMatin.ch & les agences


Selon un communiqué publié par le club vendredi, M. Broughton, actuellement président de la compagnie aérienne British Airways, a été appelé pour superviser ce que le FC Liverpool qualifie de "processus de vente formel" lancé par MM. Hicks et Gillett.
Le club précise qu'il a engagé la banque Barclays Capital pour le conseiller sur le processus de vente "à la suite de l'intérêt manifesté" par plusieurs repreneurs potentiels.
Liverpool est en proie à des difficultés financières et est endetté à hauteur de près de 300 millions d'euros.

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Les roues de la Toro Rosso se détachent à 300km/h (vidéo)






Sébastien Buemi, le pilote F1 suisse de Toro Rosso, est sorti indemne mais non sans frayeur d'un étrange accident vendredi lors des premiers essais libres du Grand-Prix de Chine. Les deux roues de sa monoplace se sont soudainement détachées lorsque Buemi a ralenti à l'approche d'un virage. La cause de l'éclatement de la suspension n'est pas encore connue. Découvrez les images ici.

Jusqu'à 300 km/h
La vitesse de la Toro Rosso de Buemi avoisinait les 300 km/h au moment de l'incident. La Toro Rosso du Suisse a finalement pu se poser sans gravité dans le gravier. Buemi n'a pas été blessé. La session a été arrêté dix minutes. (Ch.D.)







16/04/10 15h09

Grave, merci Pasky pour la vidéo...........

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automobilisme

Du jamais-vu dans l'histoire de la F1

Image © DR

De l’intérieur, le Suisse vit l’horreur
Terrible accident de Sébastien Buemi aux essais libres: en pleine ligne droite, ses deux roues avant se détachent en même temps! Sa Toro Rosso part tout droit dans l'échappatoire
Luc Domenjoz - le 16 avril 22h27
Le Matin


Il est 11h12, hier matin, quand Sébastien Buemi prend enfin la piste au cours de cette première séance d'essais libres. Après un tour d'installation au ralenti, sa Toro Rosso STR5 était restée immobilisée à son stand pendant plus d'une heure en raison d'une fuite hydraulique dans le circuit de freins.
Enfin reparti, le Vaudois entame son premier tour rapide vers 11h16. Au bout de la ligne droite du circuit, la plus longue de la saison, il atteint 311 km/h au moment de freiner pour négocier l'épingle à droite qui suit.
Au moment précis où il appuie sur la pédale de freins, ses deux roues avant se détachent et s'envolent dans la nature. Accroché à un volant qu'il tourne par réflexe désespéré, Sébastien Buemi n'est plus que le passager impuissant d'un bolide fou qui file tout droit dans l'échappatoire, tape le rail de sécurité et finit par s'immobiliser dans le gravier.
Totalement indemne
L'Aiglon parvient tout de suite à s'extraire de la carcasse de sa machine. Nouveau miracle de la robustesse des F1 actuelles, il est totalement indemne.
Revenu à son stand, il rend tout de même visite à l'hôpital du circuit pour un contrôle de routine. Une fois la voiture revenue à son stand, l'écurie constate que ce sont les deux porte-moyeux qui se sont cassés net. Il s'agit de nouvelles pièces que l'équipe alignait ici pour la première fois.
Les essais privés étant désormais bannis en F1, ces pièces n'avaient pas pu être testées auparavant. Le moins que l'on puisse dire, c'est que leur test a échoué. L'après-midi, l'équipe a donc remonté les anciens porte-moyeux, ceux qui avaient été utilisés au cours des trois premiers grands prix de la saison.
Pour les mécaniciens de l'écurie Toro Rosso, dès la voiture revenue au stand, la course contre la montre a commencé pour tenter de reconstruire la monoplace du Suisse. Il ne leur manquera finalement que quelques minutes pour y parvenir avant la fin de la deuxième séance d'essais libres, à 15h30.
Du coup, le Vaudois n'a pas bouclé un seul tour rapide au cours de la journée, et n'a donc pas pu régler sa monoplace pour la course de dimanche. Ça, c'est la vraie mauvaise nouvelle de la journée.


Buemi: «J'ai pensé que ça allait taper fort!»
Quel terrible accident vu de l'extérieur! Comment avez-vous vécu ce qui s'est passé?
Quand j'ai vu les images de l'accident, je me suis dit que, de l'extérieur, c'est vraiment impressionnant. Mais, de mon cockpit, ça ne l'était pas tant que ça. Quand ça arrive, sur le moment, l'impression est un peu bizarre. Quand tout va bien, on ne réalise pas la vitesse à laquelle on roule. Mais, dès que les roues se sont envolées, je me suis rendu compte que le bout de la ligne droite arrivait terriblement vite, et j'ai pensé que ça allait taper fort. Surtout que, sans les roues avant, ça freinait beaucoup moins bien. Heureusement, l'échappatoire était très longue et le gravier m'a bien ralenti!
On n'avait jamais vu ça en F1. Qu'est-ce qui s'est passé?
On avait déjà eu vu une roue s'envoler, mais deux roues en même temps, c'était la première fois. Les deux roues se sont cassées quasi simultanément. On avait une caméra haute définition sur le capot moteur, et à ce moment elle filmait en «slow motion», c'est-à-dire au grand ralenti. J'ai visionné ces images avec mes ingénieurs. On voit parfaitement qu'au moment où je touche les freins, c'est comme si le moyeu droit explose, il y a de la fumée qui s'échappe. Juste après, la roue part en biais, toute la charge passe sur le moyeu gauche, qui explose à son tour quelques centièmes de seconde plus tard. C'est quasi simultané!
C'est la deuxième fois en quatre grands prix que vous perdez votre vendredi (ndlr: sa voiture avait été immobilisée sur problème hydraulique à Bahreïn). Pourrez-vous rattraper le temps perdu?
Non, malheureusement, on ne pourra pas rattraper cette journée perdue, seulement limiter les dégâts. Samedi, il faut utiliser d'emblée les meilleurs réglages possibles, puis faire une bonne séance de qualifs, quitte à prendre un peu plus de risques. Mais, là, on a vraiment perdu beaucoup de kilomètres de tests, c'est dommage. Par contre, le problème ne se reproduira plus: l'écurie sait exactement ce qui s'est passé, le mauvais jeu de pièces a été changé, il n'y a pas de problème. L. D

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HIPPISME

Kevin Staut: «On s'inspire l'un de l'autre»


Image © Christian Bonzon
Pénélope Leprevost: 29 ans. Son domicile est à Fumichon, en Normandie. Au niveau mondial, elle est classée 15e. Kevin Staut: Il est âgé de 29 ans et vit à Bruxelles, en Belgique. Il est 5e mondial et a remporté le Championnat d'Europe de saut en 2009

Couple star de l'équitation française, Pénélope Leprevost et Kevin Staut pointent respectivement au 15e et au 5e rang mondial. Ils visent tous deux le titre suprême à Genève
Gaëlle Cajeux - le 16 avril 2010, 23h12
Le Matin



Pénélope Leprevost, Kevin Staut, comment vivez-vous le fait d'être en couple et de concourir l'un contre l'autre, au plus haut niveau.
Kevin: Qu'on soit en couple ou non, sincèrement ça ne change rien...
Pénélope: (Elle rit.) Tu m'as quand même laissé gagner à Marseille (victoire du Grand Prix en 2009, avec «Myss Valette»).
Kevin: Par contre, je pense que ça donne un petit truc en plus lors des épreuves par équipes. D'ailleurs on a demandé de créer un nouveau système de Coupe des Nations, qu'à deux...
(Ils éclatent de rire.)
Pénélope: Là, il n'y a aucune chance.
Kevin: On a encore quelques problèmes avec la FEI... Non, sérieusement, le seul point négatif de la compétition pour notre couple, c'est que je suis de très mauvaise humeur quand ça ne marche pas. Alors que Pénélope, elle, reste toujours pareille.
Vous êtes toujours de bonne humeur?
Pénélope: Non! Il veut peut-être dire toujours de mauvaise humeur, je ne sais pas... (Regards complices.) Mais c'est vrai que je n'ai pas d'excès de joie quand je gagne, ni de tristesse si je perds. J'essaie de prendre sur moi.
A deux, l'avantage doit être qu'il y en a toujours un pour conseiller l'autre?
Kevin: Bien sûr, on s'inspire l'un de l'autre. Mais on ne se coache pas.
Pénélope: Je pense que l'aspect conseil ressort plus dans un couple où l'un monte et l'autre pas, mais que celui-ci connaît bien les chevaux et est toujours présent. Il devient comme un coach. Or nous, nous ne travaillons pas ensemble. Je suis basée en France et Kevin est en Belgique.
Kevin: On est en train d'en discuter, parce que, parfois, c'est pénible d'être éloignés comme ça...
Les retrouvailles sont pour les week-ends, lors des compétitions.
Kevin: Oui, pour l'instant. Mais on sait que, dans la carrière d'un cavalier, il y a des phases où on a des chevaux pour évoluer à haut niveau. Et les années suivantes on doit en former et on ne peut pas tout le temps être sur les grands concours. Il faudra gérer cela. Mais, effectivement, pour l'instant on a de la chance. Depuis une année et demie on se retrouve tous les week-ends sur les mêmes épreuves.
Qu'appréciez-vous dans l'équitation de l'autre?
Pénélope: Il a une équitation classique, j'aime ça. Son point fort est son mental, sa détermination. Son acharnement au travail. Sinon, je lui envie le fait d'avoir bénéficié de l'expérience de grands cavaliers pour se former. Moi, j'ai toujours travaillé toute seule. J'ai fait ma propre expérience, je me suis trompée, donc ça a pris du temps.
Kevin: Pénélope est vraiment dans une lignée d'équitation très épurée. Sur la piste c'est très propre, et j'aime beaucoup ça. Comme j'aime l'envers du décor. Elle construit ses chevaux, elle sait les faire durer, et je pense que c'est ce qui va lui permettre de durer elle aussi dans la compétition.

[Norton]

FORMULE 1

"Je ne suis qu'un blanc-bec par rapport à Schumacher!"


Image © Keyston
Sebastian Vettel (Red Bull), malgré son excellente année 2009 et son détonnant début de saison, a estimé samedi à Shanghai après sa troisième pole position de 2010, qu’il n’était "qu’un blanc-bec" par rapport à Michael Schumacher.
le 17 avril 2010, LeMatin.ch & les agences



Q: Vous êtes encore en pole... Vous ne pouvez qu’être content ?
R: "Je suis extrêmement heureux. Ce n’était pas une qualification simple, même si au final, les écarts sont très clairs. Ce matin, je n’étais pas content de ma voiture. Je me battais dans plusieurs virages. Nous avons eu pas mal de changements à l’heure du déjeuner, ce qui assez inhabituel. Les gars n’ont même pas eu le temps de boire quelque chose. La voiture était prête à la dernière minute. Nous n’avons commis aucune erreur. Ensuite, la session de qualification n’était pas 100% propre. Mais quand cela a compté, j’étais là."
Q: Fernando Alonso a déclaré qu’il y avait 95% de chances qu’il pleuve dimanche. Comment voyez-vous cela, vous qui avez gagné sous la pluie ici en 2009 ?
R: "Nous pensons que le pourcentage est de 96,7% (il sourit). La pluie est très probable demain. C’est ce que le bulletin météo dit. Mais une prévision reste une prévision. Nous devons attendre. Si nous pouvons reproduire le résultat de 2009... Ce sera difficile. L’expérience que nous avons eue l’an passé nous aide sûrement un peu. Mais elle ne garantit pas que nous serons encore aussi forts. Après, s’il pleut dès le début, nous sommes ceux qui verront le mieux, au moins au départ. Mais une course mouillée apporte beaucoup de risques. Nous verrons. Nous nous attendons à une course dure. Je veux marquer des points. En partant en pole, je ne veux pas terminer à une plus mauvaise place."
Q: Vous êtes considéré comme l’un des hommes forts de la saison, voir comme une superstar dans votre pays. Qu’en pensez-vous ? Et comment vous situez-vous par rapport à Michael Schumacher ?
R: "Je ne me considère pas comme une superstar. Ce serait plutôt les politiciens célèbres et les popstars. Moi, je me vois comme un pilote de course, quelque chose dont je rêve depuis que je suis tout petit. C’est super de venir (en Chine) en faisant partie de la F1 et c’est encore plus sympa d’être là (à la conférence de presse organisée pour l’auteur de la pole). J’aime vraiment ce que je fais. Je suis fier d’être à côté de gars tels que Marc (Webber), Fernando (Alonso) ou d’autres. Mais il serait assez ridicule de me comparer maintenant, à ce niveau de ma carrière, à quelqu’un comme Michael. C’est une légende. Il est l’un des meilleurs que le sport ait vu. Je n’en suis qu’au début. Par rapport à Michael, je ne suis qu’un blanc-bec."

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Coupe du monde d'hippisme: disqualification du cheval de tête

GENEVE | Le cheval de l’Américain McLain Ward a été disqualifié pour une "hypersensibilité".


ATS | 17.04.2010 |


La jument Sapphire, en tête du classement provisoire de la finale de la Coupe du monde de saut d’obstacles, vendredi soir à Genève sous la selle de l’Américain McLain Ward, a été disqualifiée pour une "hypersensibilité", a indiqué samedi la Fédération équestre internationale (FEI).
Cette hypersensibilité peut être causée par la présence d’un produit interdit ou une douleur latente.
Le test à la caméra thermique, effectué vendredi à 19h30, a révélé une hypersensibilité de l’antérieur gauche, a précisé la FEI dans un communiqué.
Le couple Ward/Sapphire avait terminé 2e de la chasse jeudi et encore 2e de l’épreuve de barème A avec barrage vendredi.

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La Suisse championne du monde de la chasse aux vignettes Panini

COLLECTIONNITE | 250 millions de vignettes devraient trouver preneur dans le pays, près de 40 figurines par habitant. Nulle part ailleurs la firme italienne n’écoule autant d’effigies. Hier, lors du premier jour de vente, les kiosques ont été assaillis.


© Vanessa Cardoso | Camille Léderrey, de Bussigny, est une des premières collectionneuses de Suisse à avoir acquis son album et des figurines, hier, juste après minuit, au kiosque Relay à la gare de Lausanne, en compagnie de sa mère, Véronique.





CLAUDE BÉDA | 17.04.2010 | 00:00


Quatre fois plus fort que l’Allemagne! C’est clair, c’est net et, en matière de foot, ça fait plutôt plaisir à entendre. Depuis hier, sortie officielle des vignettes Panini, les Suisses défendent leur titre de champions du monde des collectionneurs de stickers. Mais, pour les autres nations, le combat est d’ores et déjà trop inégal. La firme italienne s’attend à écouler 2 millions d’albums et 250 millions de vignettes dans le pays. Ce qui représente huit pochettes par habitant, soit quatre fois plus qu’outre-Rhin. Même les Italiens, qui jouent pourtant sur leur terrain, sont encore plus loin derrière. La multinationale de Modène n’est cependant pas rancunière. Elle a même réalisé une édition spéciale pour la Suisse, son chouchou et, surtout, son meilleur client. Une faveur accordée à aucun autre pays. Pour remplir son album «Special Swiss Edition», le collectionneur de Lausanne ou de Zurich doit rassembler 657 images, soit 20 de plus que dans les autres pays. Il lui en coûtera 135 francs au minimum, pour autant qu’il n’achète pas de vignettes à double. Mieux vaut donc compter 150 francs. Information subsidiaire, il y a, sur le marché, autant de figurines de Lionel Messi ou de Cristiano Ronaldo que d’obscurs remplaçants.
Début de fièvre
Le coup d’envoi de la vente a été donné hier à 0 h 01. Les magasins Relay (Naville) des gares de Lausanne et de Genève sont restés exceptionnellement ouverts pour l’occasion, de minuit à 1 heure du matin (voir ci-contre) Avec un succès plutôt mesuré. A Lausanne, seuls trois amateurs ont saisi l’occasion qui leur était offerte. Mais c’est bien connu, les Vaudois sont lents au démarrage. Néanmoins, durant la journée, ils ont pris les kiosques d’assaut, comme prévu: «Dans nos magasins, on ne parle que de vignettes Panini», confirme Steve Ruscio, responsable Région chez Naville. Du simple pékin aux personnalités, de l’ado au retraité, la fièvre a touché toutes les franges de la population. D’ailleurs, Panini avance que près de 40% de ses clients ont plus de 25 ans.
L’histoire d’amour des Suisses et des figurines Panini ne date pas d’hier: «La Suisse a été notre premier pays d’exportation, rappelle Ezio Bassi, responsable du marché suisse. Depuis, les Suisses ont toujours été nos meilleurs acheteurs.» Mais pourquoi les Suisses sont-ils si friands de ces vignettes? Ils sont peut-être des collectionneurs dans l’âme. Panini a une autre explication: «La taille du pays. Les distances sont courtes et il est facile de communiquer, donc d’échanger des images.»

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Violent crash et jambe cassée pour Natacha Gachnang

Automobilisme | Natacha Gachnang a été victime d'une violente sortie de piste lors des qualifications de la première manche du championnat du monde FIA GT1, à Abu Dhabi. Jambe cassée et saison compromise.


© Photo Matech Competition | La Ford GT de Natacha Gachnang.





SI/Fridolin Wichser | 16.04.2010 | 21:39Dernière mise à jour: 16.04.2010 | 23:02


Journée noire pour les cousins aiglons! Sébastien Buemi aux essais du Grand-Prix de Chine et Natacha Gachnang aux qualifications de la première manche du championnat du monde FIA GT1, à Abu Dhabi, ont tous deux vu leur bolide leur échapper à la fin de la ligne droite.
Si le pilote de Formule 1 s'en tire indemne, pestant seulement contre une "journée de perdue", la première pilote de4 la Ford GT No6 se retrouve à l'hôpital, apparemment avec une jambe cassée. Et une saison, qui s'annonçait royale, compromise.
Sur le superbe circuit émirati de Yas Marina, l'accident s'est produit à trois minutes de la fin de la première ronde des qualifications. Sans raison apparente, la Ford GT de Gachnang a tiré tout droit au bout de la longue ligne droite du circuit d'Abu Dhabi, terminant sa course dans le mur de protection.
Natacha est restée consciente et a été évacuée à l'hôpital, apparemment avec une jambe cassée. Un caméraman a aussi été blessé dans l'impact avec le nez cassé. Les barrières de sécurité étant endommagées, les deux dernières sessions de qualifications ont été annulées.
Pour la jeune pilote de Saint-Gingolph, c'est la tuile majeure. Depuis l'annonce de son engagement au volant de la Ford GT de Matech Competition, en juin prochain, son programme 2010 s'était fortement étoffé. C'est tout le championnat du monde de GT1 qu'elle devait disputer pour Matech, sans tout à fait abandonner la monoplace, avec un programme parallèle en Auto GP (l'ex-Eurosérie de Formule 3000).

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Rafael Nadal qualifié pour les demi-finales à Monte-Carlo

TENNIS | Rafael Nadal a passé avec succès son premier test de la saison sur terre battue en battant son compatriote espagnol Juan Carlos Ferrero 6-4, 6-2.


© KEYSTONE | Sur la terre battue de Monte-Carlo, Rafael Nadal a retrouvé la grande forme.


AFP | 16.04.2010 | 15:35


Rafael Nadal a passé avec succès son premier test de la saison sur terre battue en battant son compatriote espagnol Juan Carlos Ferrero 6-4, 6-2 pour atteindre les demi-finales du Masters 1000 de Monte Carlo vendredi.
Si le quintuple tenant du titre a été un peu moins impressionnant que lors de ses deux premières sorties, c'est d'abord à cause de l'identité de son adversaire, vainqueur de 17 de ses 18 matches sur terre battue cette saison.
Ancien vainqueur de Roland-Garros, Ferrero est, avec Roger Federer et Robin Soderling, l'un des trois joueurs à avoir battu le N.3 mondial sur cette surface, il y a deux ans à Rome, même si Nadal souffrait à l'époque d'ampoules au pied.
Vendredi, Nadal a également dû composer avec des conditions climatiques compliquées, un peu de pluie et beaucoup de vent, qui ont provoqué l'interruption de la partie pendant plus d'une demi-heure et qui lui ont fait commettre un nombre inhabituel de fautes directes (17).
Mené 3-2 au premier set avant l'arrivée de la pluie, le Majorquin n'a cependant perdu que trois jeux après la reprise pour remporter son 157e succès en 163 matches depuis 2005 sur terre battue face à un Ferrero trop timide pour espérer mieux.
Après Ferrero, 16e mondial, Nadal rencontrera samedi en demi-finale un autre Espagnol, David Ferrer, 17e à l'ATP, contre lequel il mène 9-3 dans leurs confrontations directes.