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FOOTBALL

Ligue des champions: pas de finale pour Ribéry


Image © KEYSTONE-a
Suspendu, Ribéry manquera le rendez-vous européen le plus important du Bayern depuis 2001.

L'international français du Bayern Munich Franck Ribéry ne disputera pas la finale de la Ligue des champions le 22 mai à Madrid. Il sera encore suspendu après son exclusion en demi-finale aller. VIDEO.
le 28 avril 2010, 15h51
LeMatin.ch & les agences


La commission de contrôle et de discipline de l'UEFA a infligé au milieu offensif une suspension totale de trois matches, comprenant celle, automatique, pour la demi-finale retour remportée (3-0) par le Bayern à Lyon mardi.
Mercredi dernier, Ribéry avait été exclu à la 37e minute de la demi-finale aller contre Lyon (1-0) pour un tacle dangereux sur l'attaquant argentin de Lyon, Lisandro.
Les dirigeants du Bayern n'ont pas obtenu de l'UEFA la clémence espérée pour un carton rouge "très dur", selon les termes de Karl-Heinz Rummenigge, le président du Bayern.
Ribéry, 27 ans, manquera donc le rendez-vous européen le plus important du Bayern depuis 2001, épilogue de la saison la plus difficile de sa carrière.
Le milieu offensif n'a pas été épargné par les blessures depuis août et s'est retrouvé dans une tourmente sans précédent après avoir été entendu comme témoin en France dans une affaire de proxénétisme.

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Wawrinka bat Tomas Berdych à Rome

TENNIS | Le Vaudois Stanislas Wawrinka a battu aujourd'hui mercredi Tomas Berdych (Tch/10) 2-6 6-3 7-6 (8/6) au Masters 1000 de Rome.


© KEYSTONE | Stanislas Wawrinka à Rome


SI | 28.04.2010 | 18:05


Stanislas Wawrinka (ATP 26) a fait preuve de caractère lors de son 2e tour au Masters 1000 de Rome. Malmené par le Tchèque Tomas Berdych (ATP 14), le Vaudois est néanmoins parvenu à s'imposer 2-6 6- 3 7-6 (8/6) après un combat de plus de trois heures.
Absent en début de rencontre (0-4), Wawrinka se reprenait en deuxième manche pour revenir à hauteur de Berdych. A nouveau en difficulté dans le set décisif (2-4), le joueur de St-Barthélemy trouvait encore les ressources pour se relancer. Dans l'ultime tie- break, le Vaudois gâchait deux balles de match successives (6-4). Disposant d'une troisième opportunité, il profitait d'une dernière faute en revers de son adversaire pour triompher.
Ces divers rebondissements sont la preuve que Wawrinka est en confiance en ce début de saison de terre battue, lui qui s'est imposé à Casablanca et qui a atteint les 8es de finale à Monte Carlo. Contre Berdych, finaliste notamment cette année à Miami, le no 2 helvétique a franchi un cap supplémentaire, dominant pour la première fois en 2010 un joueur mieux classé que lui.
En 8e de finale au Foro Italico, Wawrinka retrouvera un rival encore plus coté en la personne de Robin Söderling (ATP 7). Les deux hommes se sont jusqu'ici affrontés à deux reprises. Le Suédois l'avait emporté à Miami en 2008, mais s'était incliné à l'US Open deux ans plus tôt.
Federer et Allegro continuent
Dans le tableau de double, Roger Federer s'est consolé avec Yves Allegro de sa désillusion en simple (élimination d'entrée contre Ernests Gulbis). Le Bâlois et le Valaisan se sont qualifiés pour les quarts de finale en dominant l'équipe Simon Aspelin/Paul Hanley (Su/ Aus), tête de série no 6. Les deux Suisses se sont imposés 4-6 6-3 10-8.
Au prochain tour, ils affronteront la paire Mahesh Bhupathi/Max Mirnyi (Inde/Bié/4) ou John Isner/Sam Querrey (EU). Pour mémoire, Federer et Allegro n'avaient plus gagné ensemble depuis août 2007 avant leur arrivée à Rome. A leur palmarès, les deux anciens camarades de chambre comptent deux titres, à Halle en 2005 et Vienne en 2003.

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un match de m..... fait rien Milan à passé...........

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football

Barça a tout tenté


Image © Keystone

Face à un Inter Milan ultradéfensif, les Catalans ont tout essayé pour combler leur retard, sans succès. Mourinho et l’Inter en finale.
le 28 avril 2010, LeMatin.ch & les agences


Ligue des champions
Barcelone
Barcelone - Inter Milan
1-0(0-0)
La Ligue des champions va changer de main. L’Inter Milan s’est qualifié pour la finale au détriment du tenant du titre Barcelone, au terme d’une incroyable performance défensive qui lui a permis de ne s’incliner, en infériorité numérique, que 1-0. Vainqueurs 3-1 à l’aller, les Italiens affronteront Bayern Munich le 22 mai à Madrid.
Ceux qui attendaient un grand spectacle ont été déçus. Plus proche d’une rencontre de handball sans but que d’une partie de football, ce match s’est résumé à un solo interminable (75% de possession de balle!) mais laborieux d’un Barcelone cherchant en vain à fissurer la muraille nerazzurra. Hormis le but à la 84e de Piqué, les seules véritables occasions de but nettes côté blaugrana avaient été jusque-là un tir de Messi magnifiquement détourné en corner par Julio Cesar à la 33e et une tête non cadrée de Bojan à la 82e.
La surprise chivu
Fidèle à son habitude, José Mourinho réservait à l’opposition une surprise de dernière minute en titularisant Christian Chivu dans un milieu de terrain renforcé, prétextant une blessure de Pandev pourtant annoncé titulaire vingt minutes encore avant le coup d’envoi. Le plan était clair: verrouiller le côté droit barcelonais d’Alves et Messi, tout en transformant l’axe en une forteresse imprenable.
D’ailleurs, au moment de l’exclusion de Motta pour un coup au visage de Busquets (28e), l’entraîneur portugais de l’Inter demanda à Eto’o de changer de bord et de reprendre le rôle de Chivu, replacé au centre.
Encore plus regroupés qu’auparavant, les Interistes furent admirables de maîtrise tactique, même si leurs nombreuses simagrées pour perdre du temps donnèrent à leur performance d’ensemble des allures moins flamboyantes.
Deux fois lauréat dans la compétition (1964 et 1965), l’Inter n’avait plus atteint la finale depuis sa défaite contre l’Ajax en 1972. Il s’offrait ce cadeau tout en rendant service à son rival l’AC Milan, qui demeure donc la dernière équipe à avoir soulevé deux fois le trophée de suite, en 1989 et en 1990.

Pour l’histoire
Cette qualification de l’Inter a une première conséquence pour les livres d’histoire de la C1. Ernst Happel et Ottmar Hitzfeld ne seront plus, dès le 22 mai, les deux seuls entraîneurs à avoir triomphé avec deux clubs différents. L’Autrichien avait conduit Feyenoord (1970) et Hambourg (1983) au sacre, tandis que le sélectionneur de l’équipe de Suisse a lui goûté aux joies de la victoire à la tête de Borussia Dortmund (1997) et Bayern Munich (2001).
Or une finale Bayern Munich - Inter Milan transformera forcément ce duo en un trio, Louis Van Gaal et José Mourinho ayant déjà été titrés, respectivement avec Ajax Amsterdam (1995) et Porto (2004).
Franck Ribéry privé de finale
La saison 2009-10 est maudite pour Franck Ribéry . Après une longue blessure, après son audition dans une affaire de proxénétisme, le demi français de Bayern Munich sera privé de la finale de la Ligue des champions après avoir écopé de trois matches de suspension pour son expulsion lors de la rencontre aller contre Lyon.
La commission de discipline de l’UEFA lui a infligé une suspension de trois matches après son exclusion de la demi-finale aller contre Lyon (1-0) pour un tacle dangereux sur l’Argentin Lisandro Lopez. Déjà privé mardi de la demi-finale retour en France (3-0) qu’il a suivie à Munich, Ribéry n’a bénéficié d’aucune clémence comme l’espéraient ses dirigeants.
Pour sa première finale européenne depuis 2001 et son peut-être quatrième sacre en C1, le Bayern sera privé d’un des joueurs qui lui a permis de retrouver sa place dans le gotha européen. Le club le plus titré du football allemand a maintenant trois jours pour faire appel, mais Ribéry doit se demander où s’arrêtera sa descente aux enfers débutée en juillet.
Il lui reste maintenant trois matches – deux en championnat et la finale de la Coupe d’Allemagne – pour compléter son palmarès et tenter d’oublier les derniers mois, avant la Coupe du monde en Afrique du Sud, où, avec l’équipe de France, il n’est peut-être pas au bout de son supplice.

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Tour de Romandie

Mark Cavendish sans problème


Image © Keystone


Malgré les deux ascensions de Lorette, les sprinters se sont disputés la victoire à Fribourg
Laurent Guyot - le 29 avril 2010,
LeMatin.ch


Meilleur sprinter du monde, Mark Cavendish a signé une facile victoire sur le boulevard de Pérolles lors de la 2e étape de la boucle romande. Parti aux 200 mètres, Mark Cavendish s’est imposé non sans faire un bras d’honneur incompréhensible au terme de son effort. Danilo Hondo et Robert Hunter ont dû déchanter. Meilleur Suisse, Danilo Wyss s’est hissé à une encourageante 7e place. Incapable de disputer la victoire au Britannique de la formation Columbia, Peter Sagan n’en a pas moins conservé son maillot jaune.
Avant cette explication entre spécialistes de l’emballage final, quatre hommes avaient passé une bonne partie de l’après-midi en tête de la course. Chad Beyer (BMC), Denis Van Winden (Rabobank), Alan Perez (Euskaltel) et Mikhail Ignatiev (Katusha) s’étaient échappés après 10 km. Au bénéfice d’une avance maximale de 4’ 55” après 88 km, le quatuor avait perdu régulièrement du terrain. Seuls Alan Perez et Mikhail Ignatiev étaient parvenus à résister au retour du peloton jusqu’à 30 km de la ligne. Les tentatives de Matthias Brändle (Footon-Servetto), de Steve Morabito (BMC) et autre Christophe Riblon (AG2R-La Mondiale) dans un final à suspense n’ont pas connu un meilleur sort.

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MOUDON - MOUDON

Les spécialistes du contre-la-montre à l’oeuvre


Image © Stéphanie Wauters

Vendredi, l’étape chronométrée du Tour de Romandie se déroulera sur 23,4km dans la région de Moudon. Il pourrait y avoir certains écarts
Bernard Morel - le 29 avril 2010,
LeMatin.ch


L’étape: Moudon - Moudon, 23,4 km. Départ du premier coureur: 13 h 53. Arrivée du dernier coureur: 17 h 30. Premier départ du Grand Prix de Suisse féminin: 12 h 55.
Particularités: Ce parcours de plus de 23 km présente trois secteurs bien distincts. Les sept premiers kilomètres en direction de Thierrens sont en montée. Les neuf suivants sont plats ou presque. Si le vent vient du sud-ouest, et cela risque d’être le cas, il pourrait être très gênant pour les coureurs, en particulier pour les non-spécialistes. Enfin, les sept derniers kilomètres seront en descente, avec un final dans les rues relativement étroites de la vieille ville broyarde. Pour le public, un contre-la-montre donne l’occasion de bien observer les coureurs.
Les meilleurs points de vue.
Les Rubanes (km 6): c’est le haut de la côte. L’endroit idéal pour se rendre compte de l’état de forme des coureurs.
Chapelle: (km 12): dans la traversée du village, en légère descente, les coureurs iront vite.
Villars-Mendraz (km 15): en se plaçant tout près du rond-point au centre du village, on peut avoir un très bon point de vue au moment où les coureurs tourneront à gauche.
Moudon (km 23,4): c’est l’arrivée. A 200 m de la ligne d’arrivée, il y a un virage à angle droit qu’il s’agira de bien négocier.

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Cavendish au sprint et avec "bras d'honneur"

29.04.2010 17:53


Mark Cavendish a gagné, mais son geste n'a pas été à la hauteur de son talent. [Keystone]
Mark Cavendish a enlevé au sprint la 2e étape de Tour de Romandie, à Fribourg. Le Britannique, qui a effectué un geste peu élégant à son passage sur la ligne, a ainsi fêté son 2e succès de la saison. Peter Sagan reste leader.
La logique a, cette fois, été pleinement respectée lors de la deuxième étape du Tour de Romandie à Fribourg. La victoire est revenue au sprint au Britannique Mark Cavendish.

Le coureur de la Columbia s'est imposé de manière magistrale sur le boulevard de Pérolles. A la peine en ce début d'année avec un seul succès avant cette étape de Fribourg, le Britannique a lancé son sprint plus tôt que d'habitude pour s'imposer devant l'Allemand Danilo Hondo et le Sud-Africain Robbie Hunter.

Sur la ligne, Cavendish a adressé un bras d'honneur. Il estime avoir été la cible de critiques injustes ces derniers mois. Son deuxième succès d'étape sur le Tour de Romandie tombe donc à pic pour le vainqueur de Milan - San Remo 2009.

Peter Sagan reste leader

Cinquième du sprint, Peter Sagan conserve son maillot de leader. Le Slovaque n'a pas été inquiété au cours de cette étape marquée par une longue échappée de quatre coureurs, le Russe Mikhaïl Ignatyev, l'Espagnol Alan Perez, le Néerlandais Denis Van Winden et l'Américain Chad Beyer. Parti au 10e kilomètres, le quatuor a pris près de cinq minutes d'avance avant d'être logiquement repris dans un final où l'on a vu le Valaisan Steve Morabito qui avait été à la peine mercredi à Fleurier.

Vendredi, la troisième étape, un contre-la-montre sur 23,4 km à Moudon, devrait bouleverser le classement général.

pas bien beau....................

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tennis

Wawrinka fait fort


Image © Keystone
Stanislas Wawrinka a remporté face à Söderling sa première victoire de l’année contre un joueur du top ten. De quoi prendre confiance avant d’affronter le roi de la terre battue, Rafael Nadal.

Le Vaudois a facilement battu Robin Söderling 6-3 6-2 et gagné le droit de défier Rafael Nadal aujourd’hui en quart de finale.
le 29 avril 2010,
LeMatin.ch & les agences



Deux ans après son accession en finale, Stanislas Wawrinka (ATP 26) excelle à nouveau à Rome. Le Vaudois s’est qualifié pour les quarts de finale des Internationaux d’Italie en s’imposant 6-3 6-2 devant Robin Söderling (ATP 7).
Ce succès expéditif face au finaliste de Roland-Garros survient au lendemain d’un marathon de trois heures contre Tomas Berdych. Après être passé à deux points de la défaite contre le Tchèque, le No 2 suisse a survolé les débats contre le Suédois. Cette première victoire de l’année contre un joueur du top-ten lui permet d’aborder sereinement son quart de finale face à Rafael Nadal (ATP 3) aujourd’hui en fin d’après-midi. Le tenant du titre a gagné un septième match de rang sur terre battue sans lâcher un set en battant 6-3 6-2 le Roumain Victor Hanescu (ATP 39).
4-0 pour Nadal
«Jouer Nadal sur terre battue, c’est… compliqué, avoue Stanislas Wawrinka. Il est toujours aussi fort. Il vient de refaire le plein de confiance en gagnant à Monte-Carlo. Mais il jouait déjà bien en Australie et lors de la tournée américaine. Il est évident que l’on ne part pas dans ce match à 50-50. Mais je n’entrerai pas sur le court battu d’avance. Si je sors un grand match, une chance peut s’offrir». Stanislas Wawrinka et Rafael Nadal ont déjà été opposés à quatre reprises par le passé. A chaque fois, la victoire est revenue au gaucher de Manacor. Mais «Rafa» n’a pas oublié que Wawrinka l’avait réellement inquiété lors de leur dernier affrontement, il y a treize mois à Miami. Nadal s’était imposé 7-6 7-6 après 2 h 43’ de match.
Très solide hier
Mois d’une heure et vingt minutes ont suffi à Wawrinka pour prendre la mesure de Söderling, finaliste dimanche à Barcelone. Le Vaudois a ravi à trois reprises le service du Scandinave. Sur son engagement, il n’a accordé que deux balles de break à son adversaire, toutes deux sauvées au cinquième jeu du premier set. A 3-2, c’est lui qui signait le premier break de la rencontre pour s’ouvrir une voie royale. «Je m’attendais à un match plus serré. Mais je crois que Söderling a lâché au second set. Son parcours à Barcelone l’avait un peu entamé».
Murray à terre
Outre Söderling, un autre joueur du top-ten a mordu la poussière lors de ces huitièmes de finale. Comme on pouvait le prévoir, Andy Murray (ATP 5) s’est incliné 6-3 6-4 devant David Ferrer (ATP 17). Comme Roger Federer, l’Ecossais a bien du mal depuis l’Open d’Australie…

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football

Le Qatar prépare déjà la Coupe du monde 2022


Image © Keystone
Le cheikh Mohammad ben Hamad al-Khalifa a présenté les trois stades en construction: le Al-Gharafa, le Al-Shamal (en bas à g.) et le Al-Wakrah (en bas à dr.).

Le cheikh Mohammad ben Hamad al-Khalifa, président du comité d’organisation, a déjà lancé la construction de trois stades climatisés.
le 29 avril 2010, 22h59
LeMatin.ch & les agences



Le Qatar, qui veut organiser le Mondial 2022 de football, va construire trois stades de plus de 45 000 places, entièrement climatisés pour vaincre la chaleur torride du désert du Golfe.
Dans une déclaration hier en marge de SportAccord, la plus grande convention sportive mondiale qui se tient à Dubaï, cheikh Mohammad ben Hamad al-Khalifa, fils de l’émir, a renouvelé l’ambition de son pays d’être le premier pays arabe à accueillir une Coupe du monde, malgré des températures dépassant les 45 degrés en été.
«Nous allons construire des stades où la température ne dépassera pas les 27 degrés, en utilisant une technologie fonctionnant à l’énergie solaire avec des émissions réduites de CO2», a affirmé cheikh Mohammad, président du Comité d’organisation.
La douzaine de stades prévus pour l’événement, dont ceux à construire ou à élargir, sera toute reliée à un métro en construction dans le petit émirat, a indiqué pour sa part Hassan al-Thawadi, directeur général du Comité d’organisation.
Pour Blatter, c’est possible
Le président de la FIFA, Sepp Blatter avait salué samedi dernier les capacités du Qatar dans l’organisation d’événements sportifs, estimant que l’émirat pourrait être le premier pays arabe à accueillir un Mondial.
Le Qatar doit inaugurer en 2011 ou 2012 un nouvel aéroport capable d’accueillir 50 millions de passagers.
S’il est choisi pour accueillir le Mondial 2022, il promet même de déroger à son application de la loi islamique en instaurant des zones où l’alcool sera autorisé, selon les organisateurs. Le Qatar a organisé les Jeux asiatiques en 2006 et accueillera en 2011 la Coupe d’Asie des nations de football.
Ce petit émirat aux ambitions sans limites a déjà tenté sa chance pour les jeux Olympiques 2016, une candidature finalement remportée par Rio de Janeiro. L’Angleterre, les Etats-Unis, l’Australie, la Belgique et les Pays-Bas (candidature commune), l’Espagne et le Portugal (candidature commune), le Japon et la Russie sont candidats à l’organisation de la Coupe du monde en 2018 ou 2022. Le Qatar et la Corée du Sud postulent seulement pour 2022. La décision sera prise vers la fin 2010.

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Envoyé par Norton

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Le Qatar prépare déjà la Coupe du monde 2022


ésenté les trois stades en construction: le Al-Gharafa, le Al-Shamal (en Pour Blatter, c’est possible

Oui c'est possible selon blatter et s'ils lui donnent 1 millions de dollars en ptite coupure encore plus.