Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Envoyé par Dyst

Qu'est ce que c'est beau
Merci Norton !
(je sais pas comment tu fais pour dormir dans ces cas la )

Bravo à Marseille.......

Samedi finale coupe suisse Bâle -Lausanne (ma ville) J'ai de fortes craintes pour LausanneA suivre..........

[Cinquante]

Ah bon, y'avait du foot hier ?
Pourquoi personne n'en a parlé ?
C'est vrai que c'est banal que Marseille gagne.

[Norton]

Deschamps, Niang, la défense: les clés du titre de Marseille

05.05.2010, 22h59
Le triomphe de Marseille en Ligue 1, qui s'est surtout construit lors de la deuxième partie de la saison, est d'abord celui de Didier Deschamps, qui a façonné l'équipe à son image, en comptant notamment sur le dévouement du capitaine Mamadou Niang et un secteur défensif en béton armé.
. Coup de maître pour Deschamps
Pour sa première saison à la tête de la formation olympienne, l'ancien capitaine de l'équipe de France et de l'OM a réussi là où tant d'entraîneurs se sont cassés les dents en 18 ans.
Arrivé sur la Canebière pour remplacer Eric Gerets, Deschamps n'aura pas mis beaucoup de temps pour faire oublier le charismatique technicien belge. Il a d'abord imprimé sa marque en opérant un recrutement de choix, marquant nettement sa préférence pour des joueurs à poigne et à fort caractère (Diawara, Mbia, Heinze). Mais si Deschamps n'a jamais été à proprement parler un romantique, il n'a pas hésité à débourser 18 millions d'euros pour ajouter une touche technique à son équipe avec le meneur argentin Lucho (FC Porto), dont l'apport aura été déterminant, surtout en fin de saison. Mais "la patte Deschamps", c'est aussi un turn-over judicieux, le repositionnement de Mbia dans l'axe de la défense, la promotion de Cissé dans l'entre-jeu ou la réhabilitation de Valbuena, devenu ces dernières semaines l'un des maillons forts du secteur offensif. Résultat: une Coupe de la Ligue et surtout ce titre de champion que tout Marseille attendait depuis 1992.
. Tout est parti de derrière
Au coeur de l'hiver, le recul de Stéphane Mbia, milieu de terrain de formation, au poste de défenseur axial pouvait apparaître comme un remodelage de circonstance. Mais au fil des semaines, l'évidence a sauté aux yeux tant son association avec Diawara a sécurisé une arrière-garde bien chancelante. Le Camerounais, dont le recrutement pour 12 millions d'euros avait suscité des interrogations, est ainsi vite devenu l'un des joueurs clés du sacre marseillais. Avec Cissé en éclaireur et Kaboré (qui a pris la suite de Cheyrou en fin de saison) en chien fou du milieu, il ne pouvait rien arriver à l'OM.
. Niang, la locomotive
Le Sénégalais était déjà l'un des relais d'Eric Gerets, il a confirmé avec Deschamps que l'OM pouvait difficilement se passer de ses services. Meilleur buteur du club en L1 (16 buts) malgré un placement à géométrie variable (à gauche ou dans l'axe), le capitaine olympien n'a jamais triché sur son attachement au maillot blanc et sur son investissement personnel, se voyant enfin récompensé au bout de sa 5e saison marseillaise.
. Une fin de saison en fanfare
Le succès olympien s'est surtout construit lors de la deuxième partie de la saison, notamment lors d'un stage hivernal en Espagne qui a par exemple permis de relancer Ben Arfa et Valbuena, sur lesquels Deschamps ne comptait plus. Depuis le 30 janvier et un déplacement à Montpellier (défaite 2-0), l'OM n'a plus perdu en championnat, enchaînant 15 rencontres sans revers (12 victoires, 3 nuls). Paradoxalement, l'élimination lors de la phase de poules de la Ligue des champions a servi les Marseillais alors que leurs deux principaux concurrents pour le titre, Lyon et Bordeaux laissaient des forces dans les rudes batailles européennes. Mais l'autre déclic s'est peut-être produit le 27 mars en finale de la Coupe de la Ligue. La victoire contre Bordeaux (3-1) au Stade de France, le premier trophée du club depuis la C1 en 1993, a embrasé la ville et décuplé encore un peu plus la motivation des joueurs marseillais. Deschamps, qui avait qualifié ce succès de "booster formidable", ne croyait pas si bien dire.

[Norton]

automobilisme

Le vrai départ!


Image © Keystone


Toutes les écuries alignent des voitures modifiées pour ce grand prix dans la péninsule Ibérique. Après quatre épreuves chaotiques, les choses sérieuses commencent.
Luc Domenjoz - le 06 mai 2010,
Le Matin


GP d’Espagne
Barcelone
Il est difficile de tirer des conclusions des quatre premiers grands prix de la saison. En performances pures, les deux Red Bull y ont semblé de loin les plus rapides, mais des problèmes de fiabilité les ont empêchées de concrétiser. Au championnat, Sebastian Vettel ne pointe ainsi qu’en cinquième place, à 15 points du leader, Jenson Button.
Course soporifique

Difficile aussi d’évaluer le niveau des Ferrari, elles aussi en délicatesse avec la fiabilité de leur moteur – à tel point que la Fédération internationale de l’automobile (la FIA) a autorisé la Scuderia à modifier son moteur pour remplacer une série de pièces défectueuses.
Et difficile, enfin, de savoir ce que valent vraiment les McLaren, même si Jenson Button caracole en tête du championnat grâce à des stratégies chanceuses.
Mais alors que le déroulement des quatre premiers grands prix a parfois été chaotique, tout devrait rentrer dans l’ordre ce week-end à Barcelone. Sur le circuit de Catalunya, les courses s’avèrent souvent soporifiques – le vainqueur des neuf dernières éditions est d’ailleurs simplement parti de la pole position.
Importantes qualifs
La séance qualificative, demain, revêtira ainsi une importance toute particulière puisqu’elle donnera le ton du restant de la saison. Car, après trois semaines de pause, toutes les équipes alignent ici des monoplaces modifiées dans l’espoir de gagner en performances.
Il est donc difficile de prédire la hiérarchie qui se dégagera demain après-midi.
Mercedes a travaillé
C’est chez Mercedes que ces changements sont les plus visibles, avec un nouveau capot moteur aux prises d’air reculées. Le châssis de la W01 a aussi été allongé pour obtenir une meilleure répartition des masses, tandis qu’un système «F-Duct», façon McLaren, devrait permettre d’augmenter la vitesse de pointe. «L’écurie a fourni un travail incroyable», confirme Nico Rosberg, deuxième au classement du championnat et qui rêve déjà de titre mondial.
Il reste quinze grands prix à disputer. Désormais, les courses vont se succéder à un rythme soutenu. Ceux qui auront le plus progressé, ce week-end, disposeront ainsi d’un gros avantage pour les semaines à venir.

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Gonflé à bloc, Dominique Wavre repart pour deux tours

VOILE | Un nouveau sponsor (Mirabaud), un bateau rénové et amélioré, le navigateur genevois a retrouvé le sourire.


© Pierre Abensur | Dominique Wavre est soulagé.Avec son nouveau sponsor, il peut travailler sereinement pendant trois ans.


GRÉGOIRE SURDEZ | 07.05.2010 |


Les épopées océaniques commencent toujours dans des salons feutrés. Poignées de main, petits-fours, verres de vins, ce n’est pas vraiment le régime ordinaire du marin solitaire. Il doit pourtant en passer par là pour pouvoir aller ensuite chatouiller les icebergs à la barre de son 60 pieds Open de la classe Imoca.
Quand il franchira la ligne d’arrivée du Vendée Globe 2012, Dominique Wavre se souviendra que tout a commencé au Théâtre des Salons, coquette salle de spectacle nichée à deux pas de la place Neuve.
C’est dans ce cadre forcément cossu que le marin a fait paraître, hier, l’avis de naissance d’un nouveau projet dont le budget n’a pas été – et ne sera pas – dévoilé. En ce jour heureux, on se focalise sur l’amitié, l’aventure humaine. Dominique Wavre a les yeux qui brillent. «Je suis particulièrement heureux et fier de débuter ce partenariat avec Mirabaud, lance-t-il d’emblée. Après une année 2009 assez difficile, nous pouvons aller de l’avant. Je suis très ému d’être de retour dans la course.»
Grâce au soutien de l’établissement bancaire genevois, planifié sur trois ans, Dominique Wavre repart pour deux tours du monde et une transat. «Avec ma compagne, Michèle Paret, nous participerons à la Barcelona World Race (ndlr: départ le 31 décembre 2010) ainsi qu’à la Transat Jacques Vabre 2011.»

Un quatrième Vendée
Point d’orgue, «Dom», comme le surnomment ses proches, s’offrira une quatrième participation au Vendée Globe, en 2012. «Ce sera l’aboutissement de notre projet commun.» Il aurait presque pu dire d’une carrière, d’une vie. Mais non.
A 54 ans, le Genevois a encore l’appétit d’un jeune loup de mer. Malgré sept tours du monde et plus de 360 000 milles nautiques au compteur, il en veut encore. «Notre motivation est sans faille. Que ce soit clair, nos objectifs sont ambitieux et nous partirons à chaque fois pour viser la victoire. Quand on navigue ensemble (ndlr: avec Michèle Paret), on est presque imbattable. Grâce à ce nouveau soutien, nous aurons aussi les moyens de nous présenter au départ de chaque course dans les meilleures conditions.»
Oubliés donc la galère du dernier Vendée, cette quille qui avait lâché et cet angoissant convoyage sur un fil jusqu’aux îles Kerguelen.
Le bateau est en train de subir d’importantes modifications à La Rochelle. Un traitement plus proche de la chirurgie lourde que du simple lifting. «On a observé les autres bateaux, les dernières évolutions de la classe, explique-t-il. On a mandaté un architecte pour faire évoluer le bateau (ndlr: ex- «Temenos II»). Il devra être plus léger, plus solide, plus rapide.»
L’équipe de La Rochelle – une dizaine de personnes – est à pied d’œuvre. L’opération sera-t-elle couronnée de succès? Un premier élément de réponse sera donné au début de juillet, période prévue pour la mise à l’eau du Mirabaud. Ce sera alors le vrai début de l’aventure pour Michèle Paret et Dominique Wavre. Au menu, eau dessalinisée et nourriture lyophilisée.

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Rallye de Nouvelle-Zélande : bagarre en tête... sans Loeb ni Hirvonen


Automobile vendredi 07 mai 2010

Petter Solberg, dans sa Citroën C4 privée, a terminé en tête de la 1re journée du rallye de Nouvelle-Zélande, après neuf épreuves spéciales lui ayant permis de creuser de jolis écarts sur Mikko Hirvonen (Ford Focus), 5e, et surtout Sébastien Loeb (Citroën C4), 7e. « Je ne pouvais pas faire tellement plus aujourd'hui », a dit le Norvégien, champion du monde 2003, qui passait le deuxième sur la route, deux minutes après Loeb. « Je suis ici pour conduire vite, c'est ce que j'ai fait, et il faudra attaquer encore plus samedi. On perdra du temps en balayant, mais peut-être pas trop, et ça ne m'inquiète pas plus que ça ».
Après la super-spéciale d'Auckland Domain (ES9), Solberg avait une seconde et demie d'avance sur Jari-Matti Latvala (Ford Focus) et cinq sur Sébastien Ogier (Citroën C4), tandis que Loeb, retardé par sa position de premier sur la piste... et une grosse touchette dans l'ES4, ne pointait qu'à la 7e place, à 1 minute et 20 secondes du leader norvégien.
Le feu a été ouvert par Solberg, temps scratch dans l'ES1 (Waipu Gorge, 11 km), puis par Sébastien Ogier, le plus rapide dans l'ES2 (Brooks, 13 km). A ce moment-là, les écarts étaient encore minimes et Loeb, comme Hirvonen, restaient tout près, à une poignée de secondes des hommes de tête.
Même dans l'ES3 (Bull, 32 km), où Dani Sordo (Citroën C4) est passé à l'offensive et a pris brièvement la tête du rallye, en profitant de sa position avantageuse sur la route (en sixième position), Loeb a bien limité les dégâts, comme il avait prévu de le faire pendant toute la journée.

Puis dans l'ES4 (Cassidy, 22 km), peu après le cinquième kilomètre, la C4 numéro 1, sortie trop large d'un virage, a tapé contre le parapet d'un pont en acier, enfonçant la portière côté Loeb. Bilan: 80 secondes envolées, le temps de refermer la portière avec une sangle, pour ne pas la perdre en route, et deux places de perdues au classement, de la 6e à la 8e. «C'est pas brillant», a admis Loeb en fin de journée. « On était rapides, mais un peu trop dans ce virage-là. J'avais dit qu'on risquait d'avoir une minute de retard à cause du balayage, on ne les a pas perdus à la régulière alors on a trouvé une autre solution. La suite s'annonce assez difficile, car les écarts sont très faibles, donc remonter une minute 20, c'est pas gagné».
Après une heure d'assistance à Whangarei, Loeb est reparti avec une portière réparée. Deux fois vainqueur en Nouvelle-Zélande, il n'a signé qu'un seul temps scratch dans l'ES7, deuxième passage dans Bull, la plus longue spéciale du jour, et n'a regagné qu'une seule place au classement, de la 8e à la 7e. Avec à la clé une position sur la route qui devrait, sauf s'il pleut, lui permettre de faire une belle remontée samedi.
Devant, un peloton de furieux a continué à s'en donner à coeur joie, à commencer par Solberg et Ogier, le champion du monde Junior 2008, auteur de deux autres temps scratch (ES5, ES6) l'après-midi, puis ex-aequo avec Loeb dans la dernière du jour, la super-spéciale d'Auckland Domain (ES9).
Du côté de chez Ford, Latvala, excellent 2e, mènera la charge contre les C4 samedi... tout en balayant pour son coéquipier Hirvonen, en position d'attente quasi-idéale. Un résultat très provisoire car il reste encore 240 km de spéciales jusqu'à l'arrivée dimanche du plus beau rallye du calendrier.

Le classement après la 1re journée :

1. Petter Solberg-Phil Mills (NOR-GBR/Citröen C4) 1 h 35:51.3
2. Jari-Matti Latvala-Mikka Anttila (FIN/Ford Focus) à 1.4
3. Sébastien Ogier-Julien Ingrassia (FRA/Citroën C4) 3.9
4. Dani Sordo-Marc Marti (ESP/Citröen C4) 8.7
5. Mikko Hirvonen-Jarmo Lehtinen (FIN/Ford Focus) 20.2
6. Matthew Wilson-Scott Martin (GBR/Ford Focus) 1:09.7
7. Sébastien Loeb-Daniel Elena (FRA-MON/Citröen C4) 1:19.8
8. Henning Solberg-Ilka Minor (NOR-AUT/Ford Focus) 1:45.3

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tournoi d'estoril

Federer bat Clément et attend Montanes en demi-finale


Image © Keystone
Federer avait réussi le break d'entrée dans ce match.

Roger Federer a franchi sans éclat particulier (7-6 6-2) l'obstacle représenté par Arnaud Clément en quarts de finale du tournoi ATP 250 d'Estoril (Por). Sa demi-finale face àl'Espagnol Albert Montanes, tenant du titre, sera son premier vrai test de la semaine.
le 07 mai 2010, 17h57
LeMatin.ch & les agences

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Tour d’Italie

Tschopp: «Il n’y a pas de Giro facile»


Image © Keystone
Johann Tschopp a une carte à jouer en Italie.

Avant le départ du Giro à... Amsterdam, Johann Tschopp (29 ans) évoque une dernière semaine de course un peu folle. "Je vais prendre les étapes les unes après les autres", tempère le Valaisan.
Laurent Guyot - le 07 mai 2010, 14h23
LeMatin.ch


«Il n’y a pas de Giro facile.» Johann Tschopp le répète à l’envi au bout du fil. «Ce sera mon quatrième après deux courus sous les couleurs de Phonak (2005, 2006) et celui de l’an dernier. Et à mon avis, les parcours se sont toujours révélés plus difficiles que ceux du Tour de France. Celui de cette année ne fait pas exception.» A 29 ans (il est né le 1er juillet 1982), le professionnel de Bbox Bouygues Telecom parle en connaisseur. L’étude de ce tracé long de 3418 km indique la présence de 38 GP de la montagne avec pas moins de quatre arrivées au sommet. «Je ne me fixe pas d’objectif. Je vais prendre les étapes les unes après les autres. Et j’espère me retrouver au rendez-vous dans cette dernière semaine de folie avec les Dolomites au menu tous les jours ou presque.»

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«Le Defender ne participera pas aux régates des challengers»

34 e AMERICA’S CUP | Patron de BMW-Oracle, Russell Coutts se démarque des pratiques du passé. Il annonce une série de mesures qui doivent rendre l’événement spectaculaire et équitable pour tous.


© AP | Si Russell Coutts n’a donné aucune précision concernant le lieu pouvant accueillir la 34e Coupe de l’America, il a signalé que toutes les villes qui se sont portées candidates savent que San Francisco a présenté de très bons arguments.

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Federer : «Je me vois bien poursuivre après les JO 2012 »

INTERVIEW | Interview de Roger Federer qui revient sur sa carrière, ses échéances et son avenir. Lisez l'intégralité de l'entretien dans la Tribune de samedi sur deux pages entières.


© Joao Lagos Sport/Americo Colelho | Roger Federer


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• Wawrinka sauve deux balles de match et remporte un véritable thriller

Olivier Breisacher / entretien exclusif à Estoril | 08.05.2010 | 00:04


- Vous avez entamé la deuxième mi-temps de votre carrière. Selon plusieurs anciens champions, à un moment donné, ils ont senti quand la retraite était proche…
Si je regarde l’histoire, deux variantes ont existé pour mes prédécesseurs. Certains sont partis au sommet, sur un moment très fort. D’autres sont progressivement arrivés à cette conclusion, lorsque leurs douleurs dans les bras, le dos, les genoux augmentaient au fil des voyages. Pour ma part, je n’ai encore rien ressenti de tel, je n’ai pas encore à y penser.
- L’échéance minimale, c’était les Jeux olympiques de Londres. Mais l’été 2012, c’est déjà demain…
J’avais déclaré jusqu’en 2012 «au moins», la nuance compte! J’ai surtout lancé cela pour avoir la paix et ne pas devoir répondre tous les jours à cette question. Les gens souhaitaient une déclaration précise, ils l’ont eue. On me demandait tout le temps si je songeais à raccrocher après avoir amassé autant de succès. Cela m’interpellait: quoi, vous voulez que j’arrête alors que je joue mon meilleur tennis et que je ressens le plus de plaisir? Non, ce n’était pas envisageable.
Et maintenant?
Je prépare déjà mes plans pour l’année 2011, tout va très vite. Si mon corps répond présent, je me vois poursuivre bien après les JO 2012.