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Accident de Mansell aux 24 Heures du Mans


Le Britannique Nigel Mansell (Ginetta-Zytek) est sorti de la piste et a heurté un rail en tout début de course, 20 minutes environ après le départ des 24 Heures du Mans, samedi, ce qui a provoqué la première sortie de la voiture de sécurité.

L'ex-champion du monde de F1 (1992), âgé de 56 ans, a été extrait conscient, mais sans blessure apparente, avec l'aide des secouristes, du cockpit de son prototype, puis il a été porté dans une ambulance. Mansell a tapé le rail pendant son 5e tour, entre les postes 89 et 95 du circuit, dans la portion très rapide baptisée Indianapolis.

Cet accident a provoqué la première sortie de la voiture de sécurité, suivie par un camion de pompiers et une dépanneuse qui a ensuite évacué le proto N.5 de Mansell. Le pilote anglais avait pris le départ lui-même, sur la neuvième ligne, au volant du proto anglais qu'il partage cette semaine avec ses fils Greg et Leo.

[Norton]

Les Etats-Unis contraignent l'Angleterre au nul


Les Etats-Unis ont contraint l'Angleterre au match nul samedi soir à Rustenburg, dans le premier match du groupe C. Les Anglais, pourtant rapidement mis sur orbite par Gerrard, n'ont pas réussi à reprendre l'avantage après l'égalisation américaine.

Gerrard a ouvert le score pour l'Angleterre dès la 4e minute.

Rooney a été au four et au moulin durant 90 minutes.

Milner a été averti puis... sorti du jeu par Capello.

L'erreur de Greene coûte au final la victoire aux Anglais.

Le match a été marqué par de nombreux tackles (trop) appuyés.

Altidore aurait pu donner la victoire aux Américains sans Greene et son poteau.

Rooney et Heskey sont déçus: l'Angleterre a raté son entrée dans le Mondial.

Onyewu et les Etats-Unis peuvent être fiers. Première surprise du Mondial.


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Les Etats-Unis d'Amérique ont créé la première surprise du Mondial. Les Américains, pourtant nettement moins forts sur papier, ont accroché les Anglais (1-1) à Rustenburg dans le premier match du groupe C.

Gerrard: 1-0
Tout avait pourtant idéalement débuté pour l'Angleterre avec le but de Steven Gerrard, le plus rapide du Mondial 2010, après 4 minutes de jeu. Le joueur de Liverpool trompe Howard de l'extérieur du pied droit après une bonne déviation d'Heskey (1-0).

Lennon rate le break
La première mi-temps ne sera pas d'un niveau inoubliable. Lennon aurait pu faire 2-0 très rapidement pour l'Angleterre à la 19e. Le joueur de Tottenham choisit la mauvaise option et centre. La défense américaine se dégage.

Bourde de Green
Les Etats-Unis réagissent par Altidore (18e) et Donovan (37e), mais cela manque de précision. Il faut une bourde monumentale de Robert Green, le gardien anglais, pour permettre aux Américains d'égaliser (1-1). Le frappe de Donovan - a priori facile - lui glisse entre les gants. Le portier de West Ham peut s'en mordre les doigts (1-1).

Réaction anglaise
Les Anglais réagissent immédiatement au but égalisateur. Johnson tente une frappe du gauche à l'entrée du grand rectangle, Howard se couche bien (41e). En deuxième mi-temps, les Anglais poursuivent leur domination. Lennon (48e) et Rooney (50e) sèment le danger dans la défense américaine mais les "States" tiennent bon.

Howard arrête tout
A la 52e, Heskey a la balle du 2-1 au bout des pieds. L'attaquant anglais se présente face à Howard, mais son tir puissant est dirigé sur le gardien américain, qui stoppe bien. Les Etats-Unis évitent le 2-1.

Onyewu, le patron
La dernière demi-heure américaine sera pour ainsi dire héroïque. Onyewu s'érige plus que jamais en patron de la défense US, prise d'assaut par les Anglais. Ni Johnson (62e), ni Rooney (74e) ou Wright-Phillips (75e) - pourtant idéalement servi par Rooney - ne pourront la faire vaciller.

Altidore proche du K.-O.
De l'autre côté, Altidore aurait pu donner la victoire aux Etats-Unis, si sa frappe n'avait été déviée sur le poteau par un Green en quête de rachat (64e). Dimanche, l'Algérie et la Slovénie joueront le deuxième match du groupe C. Anglais et Américains ont leur prochain match vendredi face respectivement à l'Algérie (20h30) et la Slovénie (16h).

Christophe Durant











12/06/10 22h22

[Norton]

Dauphiné: Contador gagne à l'Alpe d'Huez







L'Espagnol Alberto Contador (Astana) a remporté la 6e étape du Critérium du Dauphiné, samedi, à l'Alpe-d'Huez, devant le Slovène Janez Brajkovic (RadioShack) qui a conservé le maillot de leader à la veille de l'arrivée. Contador, qui a attaqué en vain à plusieurs reprises dans l'ascension finale, a précédé sur la ligne Brajkovic pour s'imposer pour la première fois de sa carrière à l'Alpe-d'Huez.

Le Polonais Sylwester Szmyd a pris la troisième place, à une quinzaine de secondes, devant le Français Jérôme Coppel. Notre compatriote Jurgen Van den Broeck a terminé à la 5e place, à 38 secondes de Contador. Dans la montée finale (13,8 km à 7,9 %), l'équipe Astana a durci l'allure pour mettre Contador sur orbite. Le double vainqueur du Tour de France est passé à l'offensive dans les huit derniers kilomètres en multipliant les démarrages.

Mais, visiblement moins tranchant que dans la Grande Boucle, il a échoué à décrocher son ancien coéquipier d'autant que le vent fort a désavantagé les attaquants. L'Espagnol Oscar Pujol, dernier rescapé d'une échappée lancée dès le Grand Cucheron, le premier des trois cols du jour, a été repris à 10 kilomètres de l'arrivée. Dimanche, la 7e étape (148 km) se conclut sur le circuit de Sallanches, avec la côte de Domancy à franchir cinq fois.

[Norton]

Federer et Hewitt joueront la finale à Halle





L'Australien Lleyton Hewitt et le Suisse Roger Federer se sont qualifiés pour la finale du tournoi de tennis de Halle, épreuve ATP sur gazon dotée de 750.000 euros, samedi en Allemagne. Hewitt (ATP 32) a écarté de sa route l'Allemand Benjamin Becker (ATP 52) en demi-finale 6-7 (4/7), 7-6 (7/3) et 6-2, tandis que Federer (ATP 2/N.1) a dominé un autre Allemand, Philipp Petzschner (ATP 41), par 7-6 (7/3) et 6-4. (belga/mb)






12/06/10 19h07

[Norton]

Fabian Cancellara gagne sur le fil le prologue du Tour de Suisse

Cyclisme | Le Bernois a remporté la première étape, un contre-la-montre de 7,6 km dans les rues de Lugano. Pour une seconde de mieux que le Tchèque Roman Kreuziger.


© KEYSTONE | Fabian Cancellara



SI | 12.06.2010 | 22:00


Fabian Cancellara n'a pas manqué son rendez-vous avec le Tour de Suisse. Le Bernois a remporté la première étape, un contre-la-montre de 7,6 km disputé dans les rues de Lugano. Mais la victoire du champion du monde de la spécialité a tenu à une seconde. Le temps qui lui a permis de devancer le Tchèque Roman Kreuziger. L'Allemand Tony Martin a pris la troisième place à 3''.
Cancellara a fêté son cinquième succès de la saison. Il partira en direction de la Suisse romande dimanche avec le maillot jaune sur le dos. Il tentera de le conserver lors de l'arrivée à Sierre. Le passage du col du Simplon situé à plus de 80 km de l'arrivée devrait lui permettre d'envisager un deuxième jour en jaune. Au Tessin, tout ne fut pas facile pour le Bernois. A mi-parcours au sommet de la côte de San Giorgio, il était largement en retard sur les autres favoris. Il comptait ainsi 5'' de retard sur Kreuziger et 9'' de retard sur Martin, qui allait perdre beaucoup dans la deuxième partie.
"Pour un rouleur comme moi, la bosse était vraiment longue et cela explique mon retard au temps intermédiaire, relevait Cancellara. De toute façon qu'on gagne avec 10'', 3'' ou 1'' d'avance, c'est la victoire qui compte."
Attendu comme le veut son statut, Lance Armstrong a réussi une entrée discrète. L'Américain (44e) a concédé 29'' à Cancellara. Sur une route mouillée sur ses derniers hectomètres, il n'a pris aucun risque.
Ce dimanche, la deuxième étape mènera les coureurs d'Ascona à Sierre (167,5 km) avec le franchissement du col du Simplon et la côte de Valençon à 13 km de l'arrivée.

Belle étape ce dimanche, le Simplonça grimpe

[danlos]

Envoyé par Norton

Accident de Mansell aux 24 Heures du Mans


Le Britannique Nigel Mansell (Ginetta-Zytek) est sorti de la piste et a heurté un rail en tout début de course, 20 minutes environ après le départ des 24 Heures du Mans, samedi, ce qui a provoqué la première sortie de la voiture de sécurité.

se préparer pendant un an pour abandonner et se prendre une grosse sortie de piste après 20 minutes
Il doit être bien dégouter car faire les 24H avec ses deux fils ça doit être génial. L'histoire était trop belle

[Norton]

Envoyé par danlos

se préparer pendant un an pour abandonner et se prendre une grosse sortie de piste après 20 minutes
Il doit être bien dégouter car faire les 24H avec ses deux fils ça doit être génial. L'histoire était trop belle

Belle histoire qui fini mal, dommage.........Il est en vie c'est le principal

[Norton]

Petit historique tragique du Mans

24 HEURES DU MANS

Le Mans, où tout aurait pu s'arrêter


Image © Keystone
Le drame du 11 juin 1955 a eu raison des courses automobiles en Suisse, mais les pilotes helvétiques ont gardé la passion des 24 heures du Mans, et ils sont plus nombreux que jamais à s'être élancé, hier, au départ de l'édition 2010

Il y a 55 ans, le plus grave accident de l'histoire de la course endeuillait les 24 Heures
Jean-Claude Schertenleib - le 12 juin 2010, 23h10
Le Matin Dimanche



Comment le chef-lieu d'un département français agricole, où l'herbe est verte et les vaches grasses, a-t-il pu se faire un nom mondialement connu? Le Mans, Sarthe, aujourd'hui 145 000 habitants. Sa cathédrale Saint-Julien, chef-d'oeuvre gigantesque de l'art gothique romain. Une spécialité gustative, les rillettes, à l'image des gens d'ici, généreux, naturels, simples, parce que la vie, ma foi, n'a pas toujours été facile et ne l'est pas plus aujourd'hui. Tout cela ne suffit pas, pourtant, à internationaliser un nom. A déclencher, quand on l'évoque, soit des éclairs de passion, soit des regards de dégoût. A éveiller, dès le plus jeune âge, des rêves, puis des interrogations: «Papa, si on allait une fois au Mans; tu sais, je rêve de devenir pilote de course!» Parce que Le Mans, c'est la course. C'est là où elle est peut-être née (grâce à Amédée Bollée, père et fils, à la fin du XIXe siècle), c'est là où elle aurait pu mourir.
1955, le drame
11 juin 1955. On s'attend à une lutte au sommet entre trois constructeurs pour cette édition des 24 Heures du Mans. Mercedes effectue son retour dans la Sarthe avec trois 300 SLR, dérivées étroitement de ses formules 1 qui se couvrent alors de gloire. Face aux flèches d'argent, les trois Jaguar D à l'aérodynamique améliorée et à la puissance augmentée. Et trois Ferrari 121 LM officielles, moteur 6 cylindres. L'argent face au vert et au rouge. Ce sera bientôt le rouge du sang. Dès le départ, la bataille est somptueuse entre la Mercedes de Juan Manuel Fangio - Stirling Moss, deux monstres sacrés du sport automobile, la Jaguar de Mike Hawthorn - Ivor Bueb et la Ferrari d'Eugenio Castelloti - Gianni Marzotto qui, après un premier baroud d'honneur, se laisse peu à peu distancer.
Soudain, à 18 h 28, c'est le drame: Hawthorn, en pleine bagarre avec Fangio, qu'il devance alors de quelques secondes, veut doubler l'Austin Healey pilotée par le Britannique Lance Macklin à l'entrée de la ligne droite des stands, avant de stopper pour ravitailler; la manoeuvre est hardie et, en se rabattant, la Jaguar coupe la route à Macklin, qui effectue un écart soudain pour l'éviter. Juste derrière, hélas, se trouvent les deux Mercedes de Pierre Levegh, classé sixième, et de Fangio, qui lutte avec la Jaguar pour le commandement. Le Français - de son vrai nom, Pierre-Eugène-Alfred Bouillin - lève le bras en signe d'impuissance, un geste qui sauve la vie de Juan Manuel Fangio, qui parvient miraculeusement à éviter l'accident; pour Levegh, c'est déjà fini: il est trop près de l'Austin Healey pour tenter quoi que ce soit, sa Mercedes décolle, rebondit sur les fascines, explose, et ses débris épars tracent un sillon mortel parmi les spectateurs. Plus de 80 tués, des centaines de blessés, la course continue. Parce que son interruption aurait provoqué un tel chaos routier, que les secours qui, déjà, se dirigent vers le circuit et en repartent, auraient été irrémédiablement bloqués. Quelques heures plus tard, en signe de deuil, Mercedes se retire de la course. Le sport automobile ne sera plus jamais comme avant.
Les conséquences sont multiples. Juridiquement, il faut chercher des responsables. Les pilotes? Hawthorn a-t-il commis une faute grave? Levegh ne pouvait-il vraiment rien faire? Le Français est mort, déchiqueté dans sa Mercedes qui a explosé comme une bombe. Corollaire, on s'intéresse de plus en plus à cette flèche d'argent qui n'est plus qu'amas de ferraille. Quelqu'un a vu un éclair très blanc, anormalement lumineux, juste au moment de l'explosion: et si c'était la preuve que les Allemands utilisaient un carburant spécial, fruit des recherches commencées quinze ans plus tôt sur un autre terrain, encore plus meurtrier, celui de la guerre? Personne ne prouvera jamais rien.
Dans toute l'Europe, c'est le choc. Interdisons!, lancent immédiatement des bien-pensants. Qui sont écoutés avec plus ou moins d'attention; moins dans les pays où l'industrie automobile est un très important vecteur économique, un gigantesque créateur d'emplois. Plus, beaucoup plus, là où il n'en est rien. Comme en Suisse.
En Suisse, c'est désormais une loi
L'interdiction des courses, décidée sous le choc émotionnel, va devenir loi. Définitive jusqu'à ce jour: plus de courses en circuits à caractère public! La Suisse n'aura plus de Grands Prix, si ce n'est sur terre étrangère. Elle n'aura pas plus un circuit permanent, si ce n'est l'exception de Lignières (NE), à l'histoire elle aussi agitée. Mais la Suisse aura encore des pilotes, dont le plus aimé de tous construira une partie de sa légende sur ce circuit du Mans où il a tant de fois mené, mais jamais gagné: Joseph Siffert.
12 juin 2010, hier. Le Genevois Harold Primat fête son 35e anniversaire. Il s'est élancé de la huitième place de la grille de départ, sanglé dans sa Lola Aston Martin de près de 680 CV, contrat déjà rempli puisque l'Aston est la première voiture à essence des qualifications. A ses côtés, Marcel Fässler, 34 ans, marié, quatre enfants, pilote officiel d'une des trois Audi R15 Plus Diesel; donc outsider de premier ordre pour la victoire finale. Il y a aussi Neel Jani, Ralph Meichtry, Gabriel Gardel et les cinq mousquetaires du team Matech Competition: le Genevois Romain Grosjean et le Neuchâtelois Jonathan Hirschi sur la Ford GT No 60, les trois amazones qui ont tant fait parler d'elles cette semaine dans la Sarthe, Natacha Gachnang, Cyndie Allemann et Rahel Frey, au volant de la Ford GT No 61. Les Suisses sont là, au Mans, pour continuer d'écrire la légende, preuves vivantes que rien ne s'est arrêté, le 11 juin 1955.
Le sport automobile suisse a tout simplement changé, obligeant les pilotes courageux à s'expatrier pour faire leur nid. En se frottant à une concurrence plus importante sur le plan quantitatif, donc qualitatif, ils ont progressé. Et les résultats, aujourd'hui, sont concrets: grâce à Sébastien Buemi, à Simona De Silvestro et aux Suisses du Mans, 2010 est d'ores et déjà un millésime historique: pour la première fois depuis la création de ces épreuves mythiques, notre pays a été représenté dans les trois plus importantes d'entre elles: le GP de Monaco de F1, les 500 Miles d'Indianapolis et les 24 Heures du Mans. Là où tout aurait pu s'arrêter, le 11 juin 1955.

[Norton]

Le 13/06/2010 à 08:03 | Mis à jour le 13/06/2010 à 08:13
5 COMMENTAIRES
Auto - 24h du Mans

Peugeot casse, Audi passe !

Audi a profité des déboires de Peugeot pour prendre la tête de la course. (EQ)


La nuit a une fois encore apporté son lot de surprises. Alors que l'écurie Peugeot a déploré très tôt samedi l'abandon de Sébastien Bourdais sur la 908 numéro 3, la soirée et la nuit ont été difficiles pour le constructeur français. Marc Géné, au volant de la numéro 1, est resté un gros quart d'heure au stand pour changer un alternateur peu avant minuit. Et tandis que les deux autres voitures, celle de Montagny et celle de l'écurie Oreca caracolaient au coeur de la nuit, ce fut au tour de la 908 Oreca de repasser au stand pour un problème de transmission. Bilan : cinq tours de retard au moment du retour en piste. Et pendant ce temps là, les Audi R 15 que l'on voyait tout de même à la peine en termes de performance, ont continué leur chemin avec une parfaite régularité, talonnant les leaders.

Mais le coup de théâtre est survenu ce dimanche matin à 7h00 lorsque Franck Montagny, tranquillement installé en tête du classement, aperçoit des flammes dans son rétro droit. Sa 908 vient de rendre l'âme. Le pilote français était contraint de mettre pied à terre. Abandon ! La fiabilité a donc fui l'écurie Peugeot que l'on imaginait intouchable. Seulement voilà, ce matin, le constat est terrible : à 8h00 Peugeot n'est plus en mesure de remporter les 24 heures. Les Audi R 15 numéro 9 et 8 ont donc pris le commandement de la course, avec un tour d'avance sur la Peugeot de Géné, Wurz et Davidson, tandis que la 908 Oreca, 5e, tente de hausser le rythme. A moins de sept heures du drapeau à damier, Audi semble donc en passe de renouer avec le succès...

Dans la catégorie LMP2, le proto HPD du Strakka Racing continue de mener la catégorie devant la Highcroft de David Brabham. Du côté des GT, la bataille, comme toujours, est fantastique. Pour l'heure, c'est la Porsche de l'équipe Larbre Compétition qui est leader tandis que la catégorie GT 2 est dominée par la Corvette d'Emmanuel Collard.

[pechos1]

Hewitt qui bat Federer en final du Queen's.
C'est pas bon pour le Moral, de Federer juste avant Wimbledon !