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La Squadra ne prolongera pas son titre, la Slovaquie passe


Coup de tonnerre sur le Mondial! Championne du monde en titre, l'Italie a subi une cruelle défaite contre la Slovaquie (3-1), ce qui prive les hommes de Lippi des huitièmes de finale. Le réveil a sonné trop tard pour la Squadra Azzura, qui n'aura montré un visage conquérant qu'après les entrées au jeu de Pirlo et Quagliarella. Conjuguée au partage blanc du Paraguay et de la Nouvelle Zélande (0-0), la victoire des Slovaques leur permet de rejoindre le stade des huitièmes de finale.




Décriée pour son manque de créativité, la Squadra jouait son avenir dans ce Mondial, dont ils sont les tenants du titre. Le dernier champion du monde en titre à avoir trébuché avant les huitièmes, c'était la France en 2002.

Si les ouailles de Lippi étaient convaincues qu'ils se qualifieront, les observateurs étaient bien plus sceptiques. La Nazionale, vieillissante et encore la recherche de sa meilleure animation tactique, suscitait bien des critiques: aucune victoire en 2010, une campagne de préparation manquée, une ligne d'attaque muette, et une myriade d'incertitudes.

En titularisant Gattuso, Lippi espérait insuffler à son équipe la rage de vaincre qui caractérise le médian récupérateur de l'AC Milan. Incapables de prendre le jeu à leur compte, les Transalpins étaient dominés physiquement par des Slovaques qui affichaient rigueur et détermination. Les hommes de Weiss étaient d'ailleurs justement récompensés à la 25e minute. Kucka interceptait un ballon mal calibré de De Rossi, glissait à Vittek, qui d'un tir croisé, trompait Marchetti, le remplaçant de Buffon, blessé au dos (1-0).

Le double changement Quagliarella-Maggio à la pause apportait beaucoup plus de percussion dans les rangs italiens. Lippi lançait même Pirlo dans la bagarre pour orchestrer le manoeuvre, ce qui modifiait le visage de la Squadra. D'abord Di Natale, puis "Quaglia" surtout loupaient de peu l'égalisation. Sur l'essai du Napolitain, il fallait un sauvetage providentiel de Skrtel de genou pour empêcher la Squadra d'égaliser. Exposés au contre-attaques slovaques, les Italiens encaissent un deuxième but dans la foulée. Ce diable de Vittek, l'attaquant de Ankaragücü (ex-Lillois aussi), sortait à nouveau de sa boîte pour doubler la mise (2-0).

Le but du KO pour la Squadra? Pas vraiment! Di Natale redonnait espoir aux Azzuri à la suite d'une belle infiltration de "Quaglia" (1-2). Alors qu'elle venait de passer à un chouia de l'égalisation (but annulé de Di Natale pour hors-jeu), la Squadra se fit à nouveau surprendre en défense par la vivacité de Kopunek, qui venait d'entrer au jeu. Ce dernier devançait la sortie (hasardeuse?) de Marchetti pour sceller le sort des champions du monde en titre (3-1).

Cette fois-ci, c'en était fini des espoirs transalpins ... quoi que... Quagliarella, auteur d'une excellente entrée au jeu, lobait magistralement le portier slovaque (3-2) à la 93e! Le suspense était à son paroxysme dans la rencontre sans doute la plus spectaculaire de cette Coupe du monde jusqu'ici. Hélas pour l'Italie (et malgré une ultime possibilité pour Pepe), le réveil fut trop tardif. Les larmes de Quagliarella contrastait avec la joie slovaque.

Cette victoire slovaque conjuguée au partage blanc du Paraguay et de la Nouvelle-Zélande permet à la Slovaquie d'atteindre les huitièmes de finale de la compétition. Pour l'Italie, il s'agit d'une énorme désillusion, et il s'avère que les doutes entourant la Squadra n'étaient pas dénués de fondement.

Michaël Bouche







24/06/10 18h05

[Norton]

Après 11h05, Isner remporte le match le plus long de l'histoire


La rencontre entre John Isner et Nicolas Mahut restera à tout jamais gravé dans les annales du sport et du tennis. Au final, après 11h05, c'est l'Américain qui a eu le dernier mot.






L'Américain John Isner a battu le Français Nicolas Mahut en 11h05 mn remportant le 5e set 70-68 dans le plus long match de l'histoire du tennis. La partie s'est jouée en 3 jours. A 59-59 dans le 5e set mercredi après 10h00 de jeu, la partie a été interrompue par la nuit.

70-68
Revenu sur le court jeudi, les deux hommes ont joué encore 1h00 pour voir Isner finalement s'imposer 70-68 dans un dernier set de 8h11mn ! Nicolas Mahut et John Isner en était à 2 sets partout mardi avant une première interruption: 6-4, 3-6, 6-7 (7/9) et 7-6 (7/3). Il ne restait plus à disputer "qu"'un seul set mercredi, mais qui s'est éternisé: 59-59 et 7h05mn!

Record explosé
Le précédent record était de 6h33 mn au 1er tour à Roland Garros entre les Français Fabrice Santoro et Arnaud Clément en 2004. Santoro s'était imposé 6-4, 6-3, 6-7, 3-6 et 16-14, en 2 jours. Le dernier set durant 2h52. Le nombre de jeux dans un match a aussi été battu avec 183 jeux. A Wimbledon, en 1969, l'Américain Pancho Gonzales avait battu Charlie Pasarell en 5h12mn, avec 112 jeux: 22-24, 1-6, 16-14, 6-3 et 11-9 avant l'instauration du tie-break.

Nombre d'aces pulvérisé
John Isner (112) et Nicolas Mahut (103) pulvérisent le nombre d'aces en un match. Le précédent record appartenait au Croate Ivo Karlovic: 78 aces lors de sa rencontre perdue face à Radek Stepanek (Tchéquie) en demi-finale de Coupe Davis: 7-6 (7/5), 6-7 (5/7), 6-7 (6/8), 7-6 (7/2) et 14-16 le 18 novembre 2009.(belga/chds)





24/06/10 17h59

[Norton]

Mondial: le Paraguay qualifié, la Nouvelle-Zélande sort invaincue


Image © AFP
Le milieu de terrain de l'équipe du Paraguay Victor Caceres (D) et Cristian Riveros, le 24 juin 2010 à Polokwane

Le Paraguay s'est qualifié sans briller ni trembler jeudi à Polokwane pour les huitièmes de finale du Mondial-2010 (groupe F) après avoir fait match nul avec la Nouvelle-Zélande (0-0).

AFP - le 24 juin 2010, 19h01


Le point obtenu par les "Guaranis" leur permet de terminer en tête du groupe F devant la Slovaquie, victorieuse dans le même temps des Italiens (3-2).
Les "Kiwis", considérés par beaucoup comme les petits poucets de cette Coupe du monde, quittent eux la compétition invaincus ! Un exploit.
Au pays du rugby-roi, tout le monde se souviendra désormais que des footballeurs ont tenu tête à la Slovaquie (1-1), au Paraguay, mais surtout à la Squadra Azzurra, titrée en 2006 (1-1), et ne sont finalement pas passés très loin d'une qualification historique pour les huitièmes de finale.
"Cette équipe est incroyable, s'est amusé l'entraîneur néo-zélandais Rick Herbert. Les joueurs balancent entre la joie de la performance accomplie et la déception de l'élimination".
Un petit but jeudi aurait suffi aux All Whites, qui jouaient en noir, pour faire partie des 16 rescapés de la phase des poules.
Mais entre le Paraguay, à qui un nul suffisait pour se qualifier, et une Nouvelle-Zélande trop limitée offensivement, le match ne fut qu'ennui...
"On a vraiment mal joué, notamment en première période, a reconnu l'entraîneur paraguayen, Gerardo Martino. On a vraiment rencontré des problèmes en attaque, pour trouver des espaces".
Pas une seule occasion de but en première période, un jeu fermé, des gardiens de but au chômage... Et une première petite émotion à la 63e minute seulement, sur une reprise de Christian Riveros détournée par le gardien Mark Paston.
Quelques offensives paraguayennes sans grande conviction ont certes réveillé les spectateurs du stade Peter Mobaka en fin de rencontre. Mais pas de quoi mettre à l'ouvrage le préposé au tableau d'affichage. "L'important, c'était de se qualifier", a résumé l'attaquant Roque Santa Cruz.

[philguerin]

Dommage pour Mahut... ceci dit son nom restera pour longtemps gravé à Wimbledon... incroyable ce score!!! çà pourrait être un score de basket...70-68!!

[Norton]

Sans-faute pour les Oranje, les Samouraïs bleus en huitièmes


Robin Van Persie, élu homme du match, est sorti de son mutisme.
Déjà assurés des huitièmes de finale, les Pays-Bas ont terminé la phase de poules par une victoire sur le Cameroun (2-1), hors course, dans une rencontre "pour du beurre". Les hommes de Van Marwijk réalisent donc un parcours sans faute et affronteront la Slovaquie en huitièmes de finale. Le Japon (sous l'impulsion d'un exceptionnel Honda) a surclassé le Danemark dans le match décisif pour la deuxième place (3-1) et accompagne les Néerlandais au prochain écueil de la compétition. Les "Samouraïs Bleus" défieront le Paraguay en huitièmes.

Arjen Robben a reçu les félicitations de son capitaine Van Bronckhorst. L'attaquant du Bayern a déjà été décisif.




Vainqueurs de leurs deux premiers matchs (2-0 contre le Danemark et 1-0 contre le Japon), les Pays-Bas pouvaient se contenter d'un partage pour assurer la première place du groupe. Boulahrouz était titularisé au poste d'arrière droit, Robben commençait sur le banc. Critiqué virulemment par Roger Milla, Paul Le Guen, le sélectionneur camerounais, avait à coeur de sauver l'honneur des "Lions Indomptables".

Van Persie sort de son mutisme
Après avoir dominé les débats en première mi-temps, Robin Van Persie débloquait son compteur buts et faisait 1-0 d'un tir croisé entre les jambes de Souleymanou. En deuxième période, les hommes de Le Guen héritaient d'un généreux penalty à la suite d'une faute de main de Rafael Van Der Vaart. L'inévitable Samuel Eto'o convertissait le coup de réparation avec beaucoup de sang-froid (1-1).

Robben se fait directement remarquer
Petit événement à 20 minutes du terme: Arjen Robben, blessé au genou gauche, disputait ses premières minutes de jeu dans ce Mondial. Il ne mit pas très longtemps à imprimer sa griffe sur la rencontre. A la 83, l'ailier du Bayern Münich enroulait magistralement sa frappe du pied gauche. Poteau! Heureusement, Huntelaar trainait dans les parages pour reprendre le ballon victorieusement (2-1).

Le Japon surclasse le Danemark
Décidément, il était écrit que ce ne serait pas le Mondial des Camerounais, qui quittent la compétition sans le moindre point. Les jours de Le Guen semblent comptés à la tête des "Lions Indomptables". Dans l'autre rencontre du groupe E, le Japon a survolé les débats contre le Danemark (3-1). Les "Samouraïs Bleus" obtiennent donc leur ticket pour les huitièmes de finale, où le Paraguay les attend.

Michaël Bouche

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Les matchs du jour:

Corée du Sud - Côte d'Ivoire

Portugual - Brésil

Suisse - Honduras

Espagne - Chili

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Le sélectionneur du Cameroun Paul Le Guen indiqué qu'il n'entraînerait plus les Lions Indomptables

24 juin 2010 23:01

Le sélectionneur du Cameroun Paul Le Guen a indiqué qu'il n'entraînerait plus le Cameroun, qui quitte la Coupe du monde sur trois défaites. "Mon contrat se termine et je vais arrêter", a déclaré le technicien français, arrivé en juillet 2009 à la tête des Lions Indomptables. Paul Le Guen, que diverses sources ont annoncé en partance pour la sélection nationale d'Australie, a indiqué qu'il n'avait pris aucune décision.

[Norton]

Del Bosque: «C’est une finale pour l’Espagne»


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Vicente Del Bosque est confiant, il est sûr que l’Espagne sera à la hauteur.

Del Bosque, l’entraîneur espagnol, rappelle l’importance du match contre le Chili
le 24 juin 2010, 23h37
Le Matin



L’Espagne s’est relancée contre le Honduras après sa surprenante défaite contre la Suisse. Les champions d’Europe en titre doivent cependant absolument battre, aujourd’hui à Pretoria (20 h 30), le Chili, leader du groupe H avec deux succès, pour atteindre les 8es de finale.
La sélection espagnole n’a pas encore vraiment fait honneur à son titre continental de 2008 et à son statut de grande favorite du tournoi depuis son arrivée en Afrique du Sud. Elle n’a maintenant plus le choix: une victoire est impérative face au Chili qui, souvent séduisant, a en plus fait preuve de réalisme en battant le Honduras et la Suisse (1-0 à chaque fois).
Un nul serait insuffisant si la Suisse, qui affronte au même moment le Honduras à Bloemfontein, s’impose. L’Espagne serait à nouveau confrontée avec sa malédiction du Mondial, où son meilleur résultat, une 4e place, remonte à... 1950. «Ce match contre le Chili est une «finale», mais mes joueurs sont habitués à jouer ce genre de match avec beaucoup de pression et d’enjeu», a expliqué Vicente Del Bosque.
Pour cette «finale» avant éventuellement un très alléchant 8e de finale contre le Brésil ou le Portugal, le sélectionneur espagnol pourrait enregistrer le retour d’Andres Iniesta. Le milieu de FC Barcelone a été ménagé contre le Honduras en raison d’une douleur à la cuisse droite.
Le chili veut gagner
Malgré le doublé de David Villa contre le Honduras, Del Bosque n’avait pas caché son mécontentement après la performance de son équipe, regrettant un manque de réalisme qui lui avait coûté si cher contre la Suisse. «Le Chili est une bonne équipe, très agressive qui joue vite vers le but et ne gaspille pas inutilement son énergie», a prévenu le sélectionneur. Bref, un peu l’antithèse de son équipe, très (trop?) joueuse et prenant plaisir à jouer avec les nerfs de ses supporters.
De son côté, le Chili peut se contenter d’un match nul pour sortir de la phase de groupes pour la première fois depuis 1962. Mais son sélectionneur Marcelo Bielsa a laissé entendre que ses joueurs n’allaient pas aborder ce match en calculant: «Il faut qu’on gagne notre billet pour les 8e de finale avec le même enthousiasme qu’on a montré depuis notre arrivée en Afrique du Sud». «On ne va pas changer notre style de jeu et ce qu’on sait bien faire parce qu’un nul serait suffisant», a renchéri son capitaine Claudio Bravo.

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équipe de suisse

La Suisse devra tenir le Cap


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Un goal à défendre et, surtout, des buts à marquer pour Hakan Yakin, Eren Derdiyok, Tranquillo Barnetta, Mario Eggimann, Marco Padalino et Pirmin Schwegler (de g. à dr.). Au premier plan, Ottmar Hitzfeld. Maîtresse de son destin, l’équipe d’Hitzfeld doit l’emporter par deux buts d’écart contre le Honduras pour être sûre de prolonger son séjour
Nicolas Jacquier - le 24 juin 2010, 23h15
Le Matin



Stop ou encore? Retour à la maison ou huitième de finale, au Cap (ou à Johannesburg)? La déception ou la gloire? Au moment d’entamer sa finale du groupe H contre le Honduras, la Suisse a 90 minutes pour trouver la bonne réponse, prendre le bon cap et prolonger son séjour sud-africain. Pour éviter l’erreur de calcul et ne pas avoir à spéculer, les données sont limpides: elle doit s’imposer par deux buts d’écart contre le matricule 38 de la FIFA.
C’est clair, c’est mathématiquement simple mais est-ce possible pour une équipe qui n’a fait que défendre jusqu’à présent? Très certainement à condition de réussir à «switcher» et à se placer sur un mode opératoire offensif. Condamnée à prendre cette fois le jeu à son compte et à aller de l’avant, la Suisse devra répéter ce qu’elle a déjà réussi contre la Grèce et la Moldavie par exemple (succès 2-0).
Une victoire par deux buts d’écart, voilà qui semble à portée d’une équipe qui s’est offerte l’Espagne en ouverture, non? Les esprits superstitieux se souviendront qu’en 2006, la Suisse avait remporté son troisième match contre la Corée du Sud… 2-0. Déjà avec un arbitre argentin! D’autres cas de figure existent bien sûr - mais tous supposent une dangereuse combinaison avec l’autre match, Chili-Espagne.
Ainsi un court succès helvétique (1-0, 2-1) pourrait-il suffire si le rendez-vous de Pretoria se soldait par un résultat nul. Mieux, la Suisse pourrait même se contenter d’un partage des points pour autant que les Chiliens, nos nouveaux alliés, disposent des champions d’Europe. Dans un scénario extrême réclamant beaucoup d’imagination, la Suisse pourrait même s’autoriser une courte défaite (pas plus que 1-0!) et jubiler quand même après un peu vraisemblable carton chilien, qui devrait l’emporter 3-0 pour sauver Hitzfeld et une qualification tirée par les cheveux. Un double match nul serait par contre éliminatoire.
«foi en nos attaquants»
On l’aura compris: maître de son destin, la Suisse a plutôt intérêt à ne compter que sur elle-même. «Je crois en nos attaquants. Tenir notre destin en main doit nous rendre plus forts», estime Hitzfeld, prêt à résoudre, en tant qu’ancien professeur de mathématique, l’équation que lui pose le problème hondurien. En signant un score fleuve, la Suisse aurait même de fortes chances de terminer première de son groupe.
Alex Frei symbolise à lui seul l’attente d’un pays entretenant un rapport complexe avec son énigmatique capitaine de route. Fustigé pour son comportement et son aptitude à dribbler les médias jusqu’à… hier et son apparition sous les spotlights du Free State Stadion, le fantôme de Vanderbijlpark se voit donner l’occasion de «traverser» ce soir la muraille adverse. Seul changement envisagé par le sélectionneur par rapport à son équipe-type: la possible titularisation de Padalino, piaffant d’impatience dans son couloir.
Alors, stop ou encore? La Suisse s’en voudrait de rester sur le carreau 9 jours après avoir réalisé le plus grand exploit du Mondial avec celui des Slovaques. L’avion du retour peut attendre. Les hommes d’Hitzfeld entendent poursuivre leur tour d’Afrique du Sud, découvrir
«Green Point» au Cap ou jouer à «Ellis Park» à Johannesburg. Et aller ensuite plus loin encore que leurs rêves.



Ce que dit le règlement
En cas d’égalité de points entre deux ou plusieurs équipes, elles seront départagées sur la base des critères suivants, dans l’ordre:
a) différence de buts générale; b) meilleure attaque; c) résultats des confrontations directes; d) différence de buts particulière; e) meilleure attaque dans les rencontres directes; f) tirage au sort.
La Suisse est qualifiée si elle…
… bat le Honduras par deux buts d’écart. Elle sera qualifiée quel que soit l’autre résultat.
… bat le Honduras par un but d’écart. Elle sera qualifiée si le Chili bat l’Espagne; s’il y a match nul, ou si l’Espagne s’impose par au moins deux buts d’écart.
… fait match nul contre le Honduras. Elle sera qualifiée si le Chili bat l’Espagne.
… perd contre le Honduras. Elle sera qualifiée si elle ne s’incline que par un but d’écart et si le Chili bat l’Espagne par trois buts d’écart.

Suis tendu..... allez optimiste on va le faire.........

[Cinquante]

Allez les Suisses !
C'est le moment d'attaquer !