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Mondial: quarts de finale Brésil/Pays-Bas et Uruguay/Ghana


Image © AFP
Kaka, Robinho, Daniel Alves et Luis Fabiano le 1er juillet 2010 à l'entrainement à Port Elizabeth
Douze ans après une demi-finale épique du Mondial-98 en France, le Brésil et les Pays-Bas s'affrontent en quart de finale de la Coupe du monde vendredi à Port-Elizabeth (14h00 GMT), alors que l'Uruguay et le Ghana se rencontrent à Johannesburg (18h30 GMT).

AFP - le 02 juillet 2010, 07h19


Néerlandais et Brésiliens, qui ont clamé leur ambition de décrocher le titre au début du mondial, présentent de nombreux points communs: portés sur le jeu, ils ne négligent pas pour autant la défense, base de tous les succès.
Victorieux en 1998 (1-1, 4 t.a.b à 2), les Brésiliens restent sur un succès probant face au Chili (3-0) en huitième de finale.
Les Néerlandais restent eux sur quatre succès consécutives, et notamment face à la Slovaquie (2-1) en 8e de finale lundi. Ce jour-là, les Oranje avaient enregistré le grand retour de leur attaquant Arjen Robben, très convaincant malgré plus de trois semaines passés loin des terrains en raison d'une blessure.
Mais depuis, les "Oranje" ont été ébranlés par "l'affaire van Persie", qui, selon une télévision néerlandaise, aurait glissé "ce n'est pas moi qu'il faut remplacer mais Wesley Sneijder", alors que le sélectionneur Van Marwijk lui demandait de quitter le terrain lors du huitième de finale face à la Slovaquie (2-1).
L'autre quart de finale s'annonce également indécis entre l'Uruguay, dont la dernière participation aux demi-finales remonte à 1970, et le Ghana, qui en cas de succès deviendrait la première équipe africaine présente dans le dernier carré d'un Mondial.
Pour le premier Mondial organisé en Afrique, les Ghanéens portent tous les espoirs du continent. Sera-ce suffisant pour battre la Celeste, qui s'appuie sur une organisation solide et de brillantes individualités devant (Suarez, Forlan)?

ça va bouger...................

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Laurent Blanc officiellement nommé sélectionneur des Bleus


Laurent Blanc a été officiellement nommé vendredi lors du conseil de la Fédération française de football (FFF) sélectionneur de l'équipe de France en remplacement de Raymond Domenech, a annoncé le président démissionnaire de la FFF Jean-Pierre Escalettes.

"C'est la bonne nouvelle de la matinée, la Fédération française de football et l'équipe de France continuent, avec Laurent Blanc, qui aura un projet sportif extrêmement pugnace avec comme volonté "la gagne" pour remettre l'équipe de France sur les rails au point de vue sportif et moral", a déclaré M. Escalettes.

"Il faudra tenir compte des erreurs du passé et faire en sorte que les dysfonctionnements n'existent plus", a ajouté le dirigeant démissionnaire.

Laurent Blanc sera notamment assisté de son adjoint à Bordeaux - club qu'il a quitté à la fin de la saison - Jean-Louis Gasset, a précisé M. Escalettes.

Et bien il a du boulot en perspective...........Lui souhaite que du bon..............

[Norton]

Le Brésil freine à l'Oranje


A l'origine du premier et décisif sur le second but, Sneijder a été le grand bonhomme de cette rencontre.
Un vrai match de coupe du Monde ! Ce Pays-Bas-Brésil, malgré un arbitrage limite, a tenu toutes ses promesses. Des buts, un retournement de situation incroyable, une exclusion et au final une qualification surprise des Oranje (2-1, mi-temps 0-1). On ne pouvait pas demander mieux !

Stekelenburg a sorti le grand jeu sur une frappe de Kaka (30e).

Robinho, l'artiste auriverde, a été sans pardon face à Stekelenburg.

Ooijer (ici en duel avec Luis Fabiano) a été l'invité-surprise chez les Oranje en raison de la blessure de Mathijsen à l'échauffement.

Pour l'ensemble de son oeuvre, Felipe Melo a été exclu.


Mathijsen, la tuile
Si la défense néerlandaise n'est pas le point fort des Oranje (et c'est un doux euphémisme), elle prit un coup sur la tête avant que le match ne débute. Blessé lors de l'échauffement, Mathijsen déclarait forfait en dernière minute. C'est Ooijer qui prennait sa place dans l'axe de la défense aux côtés de Heitinga. Du côté brésilien, on notait la blessure d'Elano et la suspension de Ramires.

Le réalisme brésilien
Loin d'être toujours spectaculaire, le Brésil de Dunga brille par d'autres qualités: la rigueur défensive et le réalisme offensif. En deux temps trois mouvements, après un premier but annulé, Robinho montrait toutes les limites de cette défense néerlandaise. Etrangement esseulé grâce à un caviar de Felipe Melo, l'artiste auriverde ne pardonnait pas face à Stekelenburg (10e, 0-1).

Des Oranje pressés
Pressés et étouffés dans l'entrejeu (Van Bommel, De Jong et Sneijder archi-dominés), les Oranje subissaient la supériorité physique et technique de la Seleçao. Du coup, c'est l'arrière-garde hollandaise qui payait les pots cassés. Et il fallut un véritable miracle de Stekelenburg pour que Kaka ne double les chiffres pour le Brésil (30e).

La "boulette" de Julio Cesar
Rarement mis à l'épreuve au cours de ces 45 premières minutes (et même dans ce Mondial), Julio Cesar allait commettre une énorme bourde. Sur un centre anodin de Sneijder, le gardien de l'Inter Milan loupait sa sortie (gêné par Felipe Melo). Par manque d'autorité et de communication de sa part, le cuir terminait sa course au fond des filets. Un coup du sort qui permettait aux hommes de Bart van Marwijk de sortir la tête de l'eau.

Les Pays-Bas libérés
Le match relancé, les Pays-Bas se sentaient poussés des ailes. Et ce n'est pas un hasard si les Oranje concrétisaient dans un moment fort (même si le tir de Kaka passait proche de la lucarne). Un corner tiré par Robben fut prolongé de la tête par Kuyt. Et c'est Sneijder, à la bonne place, qui trompait Julio Cesar d'une tête bien ajustée (67e, 2-1).

Exclusion logique de Felipe Melo
Conspué toute la saison avec la Juventus, Felipe Melo est loin d'être un poète dans l'entrejeu. Pour résumer son oeuvre, il distribue des "parpaings" à répétition et faire le sale boulot ne le dérange pas. Seulement voilà, Felipe Melo a pété un câble. Après avoir commis une faute sur Robben, l'ancien médian de la Fiorentina a eu l'excellente idée de s'essuyer les crampons sur la cuisse de l'ailier néerlandais. Une rouge aussi justifiée qu'inutile.

Sans Heitinga et Van der Wiel
Les Pays-Bas, grâce à leur courage et leur talent, atteignent ainsi le dernier carré. Ils seront opposés soit au Ghana, soit à l'Uruguay. Et pour l'occasion, les Bataves seront privés de Van der Wiel et Heitinga. Quant au Brésil, il échoue aux portes des demi-finales pour la seconde fois d'affilée. Des larmes vont couler sur la plage idyllique de Copacabana.

Christophe Da Silva









02/07/10 17h50

BRAVO......................... ...

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Le Tchèque Tomas Berdych premier finaliste à Wimbledon





Le Tchèque Tomas Berdych, 13e joueur mondial et tête de série N.12, s'est qualifié pour la finale du simple messieurs des Internationaux de Grande-Bretagne de tennis sur le gazon de Wimbledon. Il a battu vendredi en demi-finale le Serbe Novak Djokovic, tête de série N.3, en trois sets: 6-3, 7-6 (11/9), 6-3. La rencontre a duré 2h17.

Berdych avait éliminé le tenant du titre le Suisse Roger Federer (ATP2/N.1) en quarts de finale.

L'autre demi-finale oppose cette après-midi le Britannique Andy Myrray (ATP 4/N.4) à l'Espagnol Rafaël Nadal (ATP 1/N.2). (belga)





02/07/10 16h44

[Norton]

Coupe du monde

Thuram veut exclure Evra des Bleus


Image © Keystone


L’ancien international Lilian Thuram a demandé vendredi devant le Conseil fédéral de la Fédération française (FFF) que le capitaine des Bleus au Mondial Patrice Evra ne soit plus jamais convoqué en équipe de France, en raison de sa responsabilité dans la grève des joueurs le 20 juin.
le 02 juillet 2010, 15h22
LeMatin.ch & les agences



"J’ai demandé que les joueurs soient durement sanctionnés et que Patrice Evra ne revienne plus jamais en équipe de France", a déclaré Thuram, membre du Conseil fédéral, à l’issue de la réunion de vendredi, consacrée au fiasco de l’équipe de France en Afrique du Sud.
"Quand vous êtes capitaine de l’équipe de France, il y a une responsabilité, un respect du maillot et des gens à avoir", a ajouté le champion du monde 1998.

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"El Loco" Abreu qualifie l'Uruguay grâce à une "Panenka"


On comprend mieux le surnom d'Abreu désormais !
C'est le scénario catastrophe pour le Ghana. Après une rencontre serrée (1-1 après 90 minutes), les Africains ont hérité d'un penalty à la dernière minute des prolongations (sacrifice et exclusion de Suarez). Gyan manquera l'aubaine et l'Uruguay s'est qualifiera pour la demi-finale (contre les Pays-Bas) après un dernier penalty tiré à la "Panenka" par Abreu. Un dénouement fou, fou, fou !!!

Première titularisation, premier but pour Muntari (au centre).

L'Uruguay a connu un gros coup dur en 1e période: Lugano (le capitaine) a cédé sa place à Scotti.

Le geste acrobatique de Kevin Prince Boateng méritait un but.

3e but dans ce mondial pour le "sauveur de la patrie" Forlan.

A la 120e minute, Suarez, en repoussant de la main une tentative d'Adiyiah a sauvé la Celeste.

En loupant un penalty à la 120e minute, Gyan était inconsolable à la fin du match.


Dominer n'est pas gagner
Privé de Jonathan et Ayew, le Ghana éprouvait les pires difficultés à entrer dans le vif du sujet. Au fur et à mesure, l'Uruguay s'installait dans le camp adverse et se créait logiquement les premières occasions de la rencontre. Suarez (10e et 25e) et un corner de Forlan malencontreusement dévié par Mensah aurait pu jouer de sales tours aux Africains.

Lugano remplacé
Acculés devant leur rectangle jusqu'à la demi-heure de jeu, les Ghanéens sortaient la tête de l'eau à deux reprises en une minute. Soit autant d'opportunités franches d'ouvrir la marque via Vorsah (tête dangereuse à la 30e) et Gyan (tir dangereux à la 31e). Pas de bol pour l'Uruguay: son capitaine et leader, Diego Lugano, sortait sur blessure (occasionnée au genou lors d'un corner offensif).

Muntari, la frappe flottante
A quelques secondes de la pause, Muntari faisait parler sa "patte" gauche. De plus de 30 mètres, sa frappe lointaine et flottante surprenait Muslera (47e, 0-1). Et dire que le médian de l'Inter Milan n'aurait probablement pas débuté la rencontre sans la suspension d'Ayew ! Une surprise africaine, seulement le deuxième but encaissé dans ce Mondial par l'Uruguay.

Forlan, l'exemple à suivre
A l'instar de sa somptueuse saison avec l'Atletico Madrid, Forlan aura montré l'exemple à suivre à la Celeste. La trajectoire de son magistral coup franc trompait la vigilance de Kingston (53e, 1-1). Tout était à refaire...

Suarez malchanceux
Plus prudent, le Ghana jouait la carte de la prudence dans cette dernière demi-heure de jeu. Tout le contraire de la Celeste qui n'aura jamais cessé d'évoluer avec trois attaquants. Et c'est en toute logique que Suarez, sur un super centre de Forlan, aurait dû mettre les siens sur la voie royale. L'attaquant de l'Ajax héritait encore de deux occasions (70 et 77e). Mais il lui manquait à la fois de la chance, de l'adresse et de la lucidité pour battre Kingson.

Des prolongations infructueuses
Si les deux périodes de prolongation (2x15 minutes) n'apportaient strictement rien aux deux formations (juste Scotti qui a failli pousser le ballon dans son propre but et une tête de Boateng), la dernière minute allait être complètement folle. Suarez, sur sa propre ligne, repoussait de la main une tentative d'Adiyiah. Penalty, exclusion logique du buteur de l'Ajax et penalty pour Gyan. Si tout le monde voyait déjà en lui le héros de la nation ghanéenne, Gyan plaçait une vraie minute sur la latte au grand désespoir du peuple africain ! Un soulagement pour la Celeste, un coup dur pour le Ghana.

Abreu, ce fou !
C'est bien connu: la séance de penaltys est toujours une loterie, un coup du destin. Muslera (un vrai héros) repoussait les essais de Mensah et Adiyiah. "El Loco" Abreu avait réservé une surprise de taille pour mériter son surnom afin de qualifier la Celeste au bout de la nuit: un penalty tiré à la "Panenka". Du grand art...


Christophe Da Silva




















02/07/10 23h13

[Norton]

Nadal-Berdych, finale insolite à Wimbledon







7S7 mise à jour L'Espagnol Rafael Nadal s'est qualifié pour la finale des Internationaux de Grande-Bretagne de tennis, vendredi en fin de journée. Le numéro 1 mondial, tête de série N.2, a éliminé en demi-finale le Britannique Andy Murray, 4e joueur mondial et 4e tête de série, en trois sets: 6-4, 7-6 (8/6), 6-4. Le match a duré 2h22. Nadal sera opposé dimanche en finale à partir de 15h00 au Tchèque Tomas Berdych (ATP 13/N.12) qui a éliminé de son côté le Serbe Novak Djokovic (ATP 3/N.3) 6-3, 7-6 (11/9), 6-3.

Une première pour Berdych
Le Majorquin disputera à 24 ans, sa 10e finale en Grand Chelem (7 succès en 9 finales) et sa 4e finale à Wimbledon et rejoint ainsi Federer, Bjorn Borg, Boris Becker, John McEnroe et Pete Sampras. Il y compte un succès en 2008 et deux défaites en 2006 et 2007. Il n'avait pas joué l'an dernier. Berdych, 24 ans, jouera sa 1e finale en Grand Chelem.

Battu lors de leurs deux précédentes rencontres en Grand Chelem, Nadal a pris contre Murray une revanche éclatante, qui plus est sur les terres du Britannique qui a une nouvelle fois déçu en demi-finale.

Grosse déception chez Murray
C'est une immense déception pour l'Ecossais qui échoue encore à devenir le premier Britannique à remporter un tournoi du Grand Chelem depuis Fred Perry en 1936. L'interminable attente continue. Il n'empêche que l'Ecossais s'est montré beaucoup trop attentiste dans les moments importants, une tare rédhibitoire sur gazon où les grands matches se jouent souvent sur quelques points.

Or Murray les a tous ratés, comme cette balle de set sur son service au tie-break du deuxième set à 6/7, défendue par Nadal au filet, ou la première balle de match, toujours sur son service, offerte à Nadal par un coup droit dévissé.

Nadal: "Un bon match"
Nadal, lui, s'est montré beaucoup plus opportuniste. Avec une seule balle de break, il a gagné les deux premiers sets. Dans la troisième manche, il a effacé un passage à vide en remportant les quatre derniers jeux du match, après avoir été mené 2-4, en refusant de s'en remettre à son seul jeu de défense, pourtant exceptionnel, pour prendre les bons risques aux bons moments.

"J'ai fait un très bon match, il le faut pour battre Andy, a réagi Nadal. Gagner tous ces tournois sur terre battue m'a donné de la confiance et du calme au moment de jouer les points importants." (belga/chds)









02/07/10 19h37

[philguerin]

Dommage pour le GHANA...çà aurait été sympa une finale avec une pays africain... !

Salut Norton... et merci..!

[Norton]

Envoyé par philguerin

Dommage pour le GHANA...çà aurait été sympa une finale avec une pays africain... !

Salut Norton... et merci..!

Hello Phil, dommage en effet, triste ce pénalty manqué........

Aujourd'hui:

Allemagne - Argentine

Paraguay - Espagne

Bonne journée

[Norton]

Escalettes ne veut plus d'Anelka chez les Bleus


Image ©
Le président démissionnaire de la FFF Jean-Pierre Escalettes lors d'une conférence de presse le 2 juillet 2010.

Jean-Pierre Escalettes a déclaré lors de son audition à huis clos à l'Assemblée nationale, mercredi, qu'il ne voulait plus que Nicolas Anelka joue en équipe de France, selon le compte rendu publié samedi sur le site internet de l'Assemblée.
le 03 juillet 2010, 12h33
LeMatin.ch & les agences


Jean-Pierre Escalettes a déclaré lors de son audition à huis clos à l'Assemblée nationale, mercredi, qu'il ne voulait plus que Nicolas Anelka joue en équipe de France, selon le compte rendu publié samedi sur le site internet de l'Assemblée.
"Ni moi-même, ni mon successeur, ni le futur sélectionneur n'oublieront ce qui s'est passé et tout le monde veillera à ce qu'il (Anelka, ndlr) ne puisse plus jouer en équipe de France", a déclaré le président démissionnaire de la FFF, selon le compte rendu (disponible sur le site assemblée-nationale.fr).
Jean-Pierre Escalettes a également expliqué qu'il n'avait pas été mis au courant des insultes adressées par l'attaquant des Bleus au sélectionneur Raymond Domenech, également présent à cette audition, ne l'apprenant que lorsqu'elles avaient été publiées.
"Pour ma part, je ne l'ai su que (...) lorsque cela a transpiré dans +l'Equipe+. Dès que je l'ai su, et après avoir effectué un minimum de vérifications (...), j'ai immédiatement sanctionné l'auteur de cette insulte", a déclaré Escalettes, précisant même qu'un joueur lui avait "dit que les propos tenus étaient pires que ceux rapportés".
De son côté, Raymond Domenech a dû expliquer pourquoi il avait refusé de serrer la main de Carlos Alberto Parreira, le sélectionneur sud-africain, à la fin du match France-Afrique du Sud (1-2).
"J'aurais sans doute dû être hypocrite, comme tous ceux qui s'insultent tout en continuant à s'asseoir à la même table pour dîner, a dit Domenech. Ma réaction n'est peut-être pas glorieuse mais j'ai défendu des valeurs, les miennes et celle de l'équipe de France. On n'a pas le droit d'insulter l'équipe de France."
Le Brésilien avait notamment déclaré que la France ne devait pas être "là" et que la main de Thierry Henry était "une honte pour le football" après la qualification des Bleus face à l'Eire (1-1 a.p.) grâce à un but de William Gallas précédé d'une main flagrante d'Henry le 18 novembre dernier au Stade de France.
Enfin, Raymond Domenech a également évoqué son salaire. "Je n'accepte pas d'être traîné dans la boue du fait de mes revenus. Mon salaire (qui serait d'environ 50.000 euros mensuels, hors primes, ndlr) correspond au SMIC des sélectionneurs dans le monde. Personne n'a le droit de m'agresser sur ce point", a-t-il conclu.
Dès mercredi, certaines déclarations avait été rapportées en direct sur Twitter par le député UMP de Haute-Savoie Lionel Tardy, présent à l'audition, avant qu'il ne soit rappelé à l'ordre par sa collègue UMP Michèle Tabarot, présidente de la commission des Affaires culturelles.
"Domenech: la Une de l'Equipe a tout déclenché...", "Escalettes: je répondrai avec franchise, dur pour moi, bus de la honte, enfants gâtés et pourris, gouvernance...", avait écrit Tardy sur son compte Twitter, ajoutant "Je suis le traître qui twitte...et je l'assume".