Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Envoyé par philguerin

pas mal ce match... victoire logique je pense... mais j'y connais pas grand chose en foot!!! le match m'a bien plu c'est déjà çà..!
Merci Norton!

Oui superbe match avec 5 buts dont le plus beau de ce Mundial..............Ne manque pas Allemagne - Espagne ce soir.......... Bon match Phil

[Margotte]

très beau match et quels tirs ?!

[Norton]

Champagne pour Petacchi !


7S7 mise à jour Au sprint final lors de l'arrivée à Reims, Alessandro Petacchi a surclassé tous ses concurrents. C'est déjà la seconde victoire dans ce Tour (son 6e succès dans la "Grande Boucle) pour le coureur italien de la Lampre. Il était déjà arrivé premier à Bruxelles. Mark Cavendish commence à douter...



L'Italien Alessandro Petacchi (Lampre) a enlevé au sprint la quatrième étape du Tour de France cycliste, disputée mercredi sur 153,5 km entre Cambrai et Reims, où le Suisse Fabian Cancellara (Saxo Bank) a conservé le maillot jaune de leader. Petacchi a signé son 2e succès partiel, après celui de la 1ère étape à Bruxelles, et son 6e dans l'histoire du Tour de France.

De Greef se montre
Une échappée, lancée par le Français Dimitri Champion dès le départ, rejoint peu après par notre compatriote Francis De Greef, le Français Nicolas Vogondy, et les Espagnols Inaki Isasi et Iban Mayoz, a animé la quasi-totalité de cette étape de plaine, la plus courte de l'édition 2010. Les 5 échappés, qui ont compté une avance maximale de 4:10, n'ont été repris qu'à 3 km de l'arrivée, sous l'impulsion des équipes de sprinters.

Petacchi devance Dean et Hagen
Petacchi qui a lancé le sprint de loin, a devancé à la régulière l'Australien Julian Dean (Garmin-Transitions) et le Norvégien Edvald
Boasson Hagen (Sky). Jeudi, la 5e étape conduira les coureurs d'Epernay à Montargis, au terme de 187,5 km de course.(belga/mb)






07/07/10 17h35

[Norton]

"Mon cul est colossal"


Pas facile d'être la soeur rondelette de Venus Williams. Serena l'avoue aujourd'hui, la jalousie a longtemps été de mise envers sa soeur.



"J'avais 23 ans quand j'ai vraiment réalisé que je n'étais pas Venus. Elle est complètement différente", dit la championne de tennis. "J'ai de grosses courbes, de gros seins et un cul colossal. Elle est grande et ressemble à un top model".

Jalouse, Serena confie qu'elle a toujours voulu ressembler à sa soeur beaucoup plus mince. "J'ai souvent essayé de me glisser dans ses vêtements". Affirmant que les régimes n'ont jamais fonctionné sur elle, Serena s'est mise au Yoga pour ne plus grossir, selon elle.

Et aujourd'hui, la jeune femme va beaucoup mieux. Elle se dit enfin réconciliée avec son corps. La jeune femme est optimiste et affirme avoir un atout de son côté: son beau sourire

[Norton]

Van Marwijk: "L'Allemagne ce serait génial"







Bert Van Marwijk, sélectionneur des Pays-Bas, a indiqué mardi que rencontrer l'Allemagne dimanche en finale du Mondial, "ce serait génial", par rapport à celle de la Coupe du monde 1974 perdue contre la Mannschaft. Les Pays-Bas se sont qualifiés 3 à 2 en battant l'Uruguay mardi au Cap et affronteront le vainqueur de Allemagne-Espagne, mercredi à Durban.

Que ressentez-vous?
"Je suis très heureux, très fier, qu'un si petit pays, pas un petit pays de foot, mais un petit pays, arrive en finale. Nous avons commencé à travailler il y a deux ans. Ca été un processus long. Si vous croyez fort dans quelque chose... C'est quelque chose que nous avons ressenti, c'est difficile à expliquer. Mais je l'ai lu dans les déclarations des joueurs. Je leur ai dit de ne pas lâcher cette bonne atmosphère si près de la finale. Contre le Brésil, c'était déjà un peu comme ça. Nous avons pris des initiatives. A 2-1, nous avons pris vraiment confiance. Nous n'avons pas pu marquer 4-1, 5-1, mais nous avons survécu. Nous sommes libérés. C'est grandiose. Mais nous ne sommes pas encore arrivés. Il reste un match."

Quelle est la formule du succès?
"Je ne regarde pas le passé ni mes prédécesseurs. Je l'ai dit, il faut y croire. Et nous, nous jouons simplement, et de belle façon, au football. Mais quand nous gagnons, d'habitude, nous les Pays-Bas, nous prenons trop confiance et nous rentrons à la maison. Là, je leur ai dit, aux joueurs, que j'aimais le foot offensif, mais qu'il faut savoir garder le ballon, faire les efforts défensifs. Le Barça joue le foot que j'aime. Et leurs joueurs, au Barça, les Messi, Iniesta, ils sont les premiers à faire les efforts défensifs."

Qu'avez-vous dit à la mi-temps?
"Nous sommes très disciplinés, mais il faut savoir se libérer. En seconde période, ça a été mieux. Le positionnement était meilleur et avec toutes nos individualités, nous avons fait la différence."

Si vous jouez l'Allemagne en finale, ce sera la revanche de 1974...
"Je ne pense pas en terme de revanche. En 1974, les Pays-Bas avaient bien joué mais perdu. Nous aurions dû le gagner ce match. C'était une génération unique avec Cruyff. C'est génial que nous arrivions encore en finale tant d'années après."

Alors Espagne ou Allemagne en finale?
"C'est difficile à dire. L'Espagne joue le meilleur foot de tous les pays, mais l'Allemagne est la meilleure dans ce tournoi. Mais je ne dirai pas que je prèfère l'une ou l'autre. L'Espagne se serait bien car nous jouons un peu comme elle. Mais l'Allemagne ce serait génial après la finale de 1974, c'est vrai."

Vous vous êtes fait peur en fin de match...
"Oui c'est le cas. Nous menions 3-1, nous aurions dû marquer plus. Ils jouaient tout ou rien. Il fallait croiser les doigts à ce moment, à 3-2 ensuite..."

Sur le premier but uruguayen, votre gardien est-il fautif?
"Le Jabulani fait de drôles mouvements. Stekelenburg avait des problèmes à la hanche. Mais pour moi c'est le meilleur gardien."

[Norton]

Podolski: "La finale de 2008 nous fait encore mal"





L'attaquant allemand de Cologne Lukas Podolski a déclaré mardi que la finale de l'Euro 2008 perdue contre l'Espagne lui faisait "encore mal" et qu'il s'agirait mercredi contre ces mêmes Espagnols, en demi-finale du Mondial 2010, d'une "revanche".

"J'espère que ce sera un beau match, ce sera aussi une revanche de la finale de 2008, mais on veut aller à cette finale (de Coupe du monde) et on va tout faire pour", a dit le joueur. "La défaite de 2008, on y pense encore et elle nous fait toujours mal." "Demain on a la possibilité d'aller en finale encore une fois et d'aller chercher le titre, mais ce sera très serré", a-t-il ajouté.

Interrogé sur un éventuel excès de confiance des Allemands, qui ont écrasé successivement l'Angleterre (4-1) et l'Argentine (4-0) en 1/8e et en quart de finale, Podolski a répondu: "Quand on est en confiance, c'est toujours positif, on est encore plus forts, et on a montré après l'Angleterre qu'on avait bien digéré cette victoire pour battre l'Argentine

[pechos1]

on est en final !!!

[Norton]

La Mannschaft voit... rouge!


Image © Keystone
La délivrance espagnole est venue de Carles Puyol

Les joueurs de Joachim Löw, minimalistes, ont été logiquement sortis du tournoi par les Espagnols. Qui voient de plus en plus leur rêve se transformer en réalité. Un but de Puyol a suffi
Renaud Tschoumy - le 07 juillet 2010,
Le Matin



La Suisse sera-t-elle la seule équipe à avoir battu le champion du monde 2010? C'est... possible. En battant l'Allemagne 1-0 hier, en alignant son troisième succès consécutif sur la plus petite des marges, la Roja, qui disputait la première demi-finale mondiale de son histoire, s'est octroyé un bonus grandeur nature en se qualifiant pour la finale.
Au vrai, l'Espagne n'a rien, mais absolument rien volé. Depuis trois jours, Joachim Löw martelait qu'on ne pouvait pas défendre contre une équipe comme l'Espagne. Que si l'Allemagne voulait avoir une chance, elle se devait d'empoigner les choses par le bon bout. Résultat? Une Allemagne timorée. Un Klose abandonné seul en pointe. Une Mannschaft frileuse, peureuse, comme on ne la connaissait pas. Et tout simplement décevante. Du coup, elle a vu rouge et doit quitter le tournoi.
Allemands remis en place
L'Espagne en finale? Ce n'est que justice. Car les Espagnols ont su déverrouiller le cadenas allemand. En première mi-temps, ils ont multiplié les passes latérales. Parce qu'ils se cherchaient, qu'ils cherchaient l'ouverture aussi. Ils auraient pu s'énerver. Mais ils ne l'ont pas fait. Patiemment, ils ont continué à tisser leur toile, dans laquelle les Allemands se sont empêtrés.
Qu'ont-ils eu comme occasions, les Allemands? Un tir de Trochowski arrêté par Casillas (32e) et une reprise de Kroos boxée par le même Casillas (69e). Klose? Il a été envoyé au charbon quelques fois, et c'est tout. Les cousins germains, qui baignaient dans le bonheur - ils venaient de marquer quatre buts lors de chacun de leurs deux derniers matches - ont été justement remis à leur place! Ils ont choisi de ne pas jouer, leurs adversaires espagnols leur ont indiqué la porte de sortie.
Délivrance sur corner
On connaissait la qualité du milieu de terrain des Espagnols, l'excellence de son jeu, la précision de ses passes, on a appris hier qu'ils savaient être patients aussi. Car si la première mi-temps a pu laisser penser qu'ils tombaient dans le piège tendu par les Allemands, la deuxième a prouvé l'inverse. Continuant leur incessant travail de sape, ils ont insisté. Encore, et encore. Jusqu'à la délivrance. Jusqu'à ce corner parfaitement dosé par Xavi et converti d'un coup de tête aussi puissant que précis par Puyol.
Un but 100% barcelonais, un but qui permet à l'Espagne de se hisser, pour la première fois de son histoire, en finale d'un Mondial. Depuis trois matches, elle assure à coups de 1-0 qui tiennent jusqu'au coup de sifflet final. On est prêts à prendre le pari que cela pourrait être le cas dimanche à Soccer City. Vous aussi?

Victoire amplement méritée de l'Espagne, Puyol? FANTASTIQUEBravo..........


La rencontre
Moses Mabhida Stadium, Durban. 60 960 spectateurs. Arbitre: M. Kassai (Hon).
But: 73e Puyol 0-1. Le stade ronronne au son des vuvuzelas quand Xavi tire le quatrième corner espagnol. Venu de derrière, le défenseur barcelonais saute plus haut que tout le monde. Son coup de tête puissant scotche Neuer.
Allemagne: Neuer; Lahm, Friedrich, Mertesacker, Boateng (52e Jansen); Khedira (81e Gomez), Schweinsteiger; Trochowski (62e Kroos), Oezil, Podolski; Klose. Entraîneur: Löw.
Espagne: Casillas; Sergio Ramos, Pique, Puyol, Capdevila; Busquets, Xabi Alonso (93e Marchena); Iniesta, Xavi, Pedro (86e David Silva); Villa (81e Torres). Entraîneur: Del Bosque.
Notes: L'Allemagne joue sans Müller (suspendu). L'Espagne au complet.
Avertissement: Aucun!
Coups de coin: 6-6 (4-3).

[Norton]

Puyol, matador de la Mannschaft


A l'image de Carles Puyol, la Roja avait la rage de vaincre. Le défenseur du Barça a été monstrueux ce soir!
Comme en finale de l'Euro 2008, l'Espagne n'a laissé aucune chance à l'Allemagne, pourtant époustouflante depuis ce Mondial (1-0). Supérieurs techniquement et dominateurs dans les duels, les hommes de Del Bosque ont livré le match parfait et se profilent comme le grand favori à la victoire finale. Les Ibériques se hissent pour la première fois de leur histoire en finale d'une Coupe du monde. C'est l'indéboulonnable Carles Puyol qui a donné la victoire à la Roja d'une tête rageuse sur un corner de Xavi, encore phénoménal ce soir à la distribution. Cette Espagne-là sera semble inarrêtable.

Une énergumène munie d'une vuvuzela a fait irruption sur l'aire de jeu après quelques minutes. Il a vite été maîtrisé par la sécurité.

Après avoir loupé la cible de la tête en première mi-temps, Puyol n'a pas raté sa deuxième occasion.

Schweinsteiger, auteur d'un excellent Mondial, n'a pas eu voix au chapitre. Il a été mangé par l'entrejeu espagnol.

Pedro, le remplaçant de Torres, a apporté du mouvement et de la vivacité en zone offensive.

Del Bosque avait sous-entendu qu'il pourrait ne pas titulariser Fernando Torres, qui a reconnu ne pas être pleine possession de ses moyens physiques. L'entraîneur de la Roja a joint le geste à la parole en laissant "El Nino" sur le banc au profit du jeune Pedro, révélation du Barça cette saison. Privé de Muller, suspendu, Joachim Löw alignait Trochowski, le médian d'Hambourg.

Bis repetita ou revanche?
Un parfum de revanche planait sur cette finale avant la lettre, réédition de la finale de l'Euro 2008 austro-suisse, au cours de laquelle l'Espagne avait largement dominé l'équipe germanique, malgré le score étriqué (1-0). Véritable habituée des grand rendez-vous en Coupe du monde (douzième participation à une demi-finale), l'Allemagne rêvait de décrocher le "Graal".

"Schweini" muselé
D'emblée la Roja effectuait un pressing très haut sur Schweinsteiger, le chef d'orchestre de la Mannschaft. Mis sous l'éteignoir par l'entrejeu espagnol, le meneur du Bayern ne pouvait alimenter la ligne d'attaque allemande. C'est Villa qui héritait de la plus belle occasion de la première mi-temps. Heureusement pour les siens, Neuer était vigilant. En fin de première mi-temps, Ozil était légèrement accroché dans le rectangle par Sergio Ramos, sans réaction de l'arbitre. On assistait à une véritable partie d'échecs contrôlée en grande partie par l'Espagne grâce à ses joyaux Iniesta et Xavi.

Puyol délivre la Roja
Cette domination s'accentuait en seconde période. Xabi Alonso à deux reprises, puis Iniesta semaient la panique dans la défense allemande. D'une précision insolente dans leur jeu de passes, les Espagnols asphyxiaient les protégés de Joachim Löw. Après une grosse alerte (occasion de Kroos!), la Roja trouvait la faille sur phase arrêtée. Xavi, énormissime, déposait le cuir sur le crâne de Puyol, qui d'une tête rageuse, fusillait le pauvre Neuer.

Que Viva Espana!
Löw jouait son va-tout en intoduisant Gomez (après avoir lancé Kroos) et s'exposait donc aux contre-attaques meurtrières de l'Espagne. Malgré les espaces offerts, Pedro oubliait de tuer le match. Heureusement pour la Roja, ça ne portait pas à conséquence. Pour la première fois de son histoire, l'Espagne disputera la finale d'une Coupe du monde. Une récompense complètement méritée pour cette sélection qui balaie tout sur son passage depuis maintenant 3 ans (49 victoires en 54 matchs, 3 partages, 2 défaites). A l'image de Nadal et Contador, le sport espagnol vit ses plus belles heures.

Michaël Bouche

















07/07/10 22h19

[Norton]

Löw: "L'Espagne, la meilleure équipe du monde"





Le sélectionneur allemand Joachim Löw a présenté l'Espagne comme "la meilleure équipe du monde" après la défaite de son équipe (1-0) en demi-finale du Mondial-2010, mercredi à Durban. "Nous n'avions pas notre audace habituelle", a regretté Löw qui n'a pas souhaité évoquer son avenir personnel alors que son contrat expire après le tournoi.

Q: Que vous inspire cette défaite contre l'Espagne ?
R: "Nous sommes bien sûr déçus, mais félicitations à cette équipe d'Espagne, car ils ont très bien joué aujourd'hui. C'est la meilleure équipe depuis deux-trois ans, la plus constante. Ils sont dominé le match et on n'est jamais arrivé à imposer notre jeu comme dans les deux derniers matches. On a perdu beaucoup de ballons en première période, nous n'avions pas notre audace habituelle, je ne sais pas pourquoi, mais c'est difficile de jouer face à cette équipe qui fait très bien et très vite circuler le ballon"

Q: Pour la deuxième fois après la finale de l'Euro 2008 (1-0), vous perdez un match important contre l'Espagne ?
R: "En 2008, ils avaient gagné l'Euro de façon extraordinaire. Ils jouent depuis deux-trois ans dans la même configuration ou presque alors que nous sommes ensemble depuis sept semaines. Ils ont d'incroyables automatismes. Je suis sûr qu'ils peuvent gagner cette finale. Ce sont des joueurs du Barça et du Real, ils maîtrisent leur jeu. Xavi et Iniesta sont deux joueurs de grande classe. On ne s'est pas créé beaucoup d'occasions, les Espagnols n'en ont pas eu beaucoup non plus, mais ils étaient meilleurs que nous".

Q: Sera-t-il difficile de motiver vos joueurs pour le match pour la 3e place samedi contre l'Uruguay ?
R: "Les joueurs sont très déçus, nous avions beaucoup d'ambitions pour ce match, mais cela n'a pas marché aujourd'hui. Mais je félicite mes joueurs, car ils ont tout donné. Il faudra essayer dès demain de leur remonter le moral, car il y a encore un match à disputer. On va aborder ce match avec envie, j'en suis sûr. Il faut évacuer la déception, personne ne doit baisser la tête mais au contraire regarder vers l'avant. Nous ne sommes pas démoralisés, on va regarder de l'avant, cette équipe a disputé un bon tournoi et va encore devenir meilleure".

Q: La suspension de Thomas Müller vous a-t-elle coûté cher ?
R: "Ce genre d'événements arrive tout le temps et à toutes les équipes dans un tournoi. Thomas était imprévisible pour nos adversaires, il marquait des buts, il trouvait les espaces. C'est sûr qu'il nous aurait fait du bien".

Q: Votre contrat arrive à échéance après le Mondial-2010: allez-vous prolonger ?
R: "Cette équipe va rester dans cette configuration longtemps, ces joueurs ont beaucoup de potentiel, peu importe qui sera l'entraîneur. Le développement de cette équipe n'est pas terminé".
Bel hommage.............