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[Pasky]

Envoyé par xleu

...je suis choqué...

Je me demande surtout si tu es sérieux ...
Je ne vois pas personnellment ce qu'il y a de choquant à reconnaitre une supériorité aux sprinters noir (pas "de couleur" Xleu).

[Norton]

Tour de France

Chavanel détrône Cancellara


Image © Keystone


Pas au mieux dans l’étape jurassienne , le Bernois a laissé son maillot jaune à Sylvain Chavanel gagnant de sa seconde étape
Laurent Guyot - le 10 juillet 2010, 17h36
LeMatin.ch


Six jours en jaune et puis s’en va! Fabian Cancellara n’a pas trouvé les forces nécessaires pour conserver la précieuse tunique dans les montagnes russes jurassiennes. Le vainqueur du prologue de Rotterdam s’est très vite rendu compte de son impossibilité à accompagner les meilleurs jusqu’aux Rousses. Rentré au courage à deux reprises après 100 km puis 135 avant de craquer définitivement dans la longue côte de Lamoura, le pro d’Ittigen a cédé le maillot jaune à Sylvain Chavanel, vainqueur de sa 2e étape après un joli numéro effectué dans l’ultime bosse. A la veille d’attaquer Les Alpes et une première arrivée au sommet à Avoriaz, les favoris ont préféré garder des forces.

Sous une chaleur accablante, la journée avait débuté comme toutes les précédentes par une échappée. Perez Moreno, Pineau, Dumoulin, Knees et Hondo s’étaient échappé. L’avance des 5 fugitifs avait culminé à 8’ 37” après 55 km. Mais le peloton, une fois de plus, ne s’en est pas laissé compter. Même si Pineau à la chasse aux points pour le maillot de meilleur grimpeur a entretenu le suspense jusqu’à 13 km de l’arrivée.

Bravo, superbe victoire, il mérite...............

[nofoot]

Envoyé par danlos

le portugais aurait t'il mal digeré que l'espagne a eliminé le portugal en coupe du monde allez savoir

[Norton]

Petite finale

L'Allemagne sur le podium


Image © Keystone


Les Allemands terminent le Mondial à la troisième place. Klose, blessé, ne bat pas le record de meilleur buteur en Coupe du monde
le 10 juillet 2010, 22h33
Le Matin Dimanche



L'Allemagne a terminé sa Coupe du monde sur une note positive, en remportant le match pour la troisième place grâce à un succès 3-2 contre l'Uruguay à Port Elizabeth au terme d'une partie vivante et spectaculaire. C'est la quatrième fois de son histoire que la Mannschaft obtient cet accessit, après 1934, 1970 et 2006.
Les buts allemands ont été marqués par Müller (18e), Jansen (58e) et Khedira (82e), alors que Cavani (28e) et Forlan (51e) ont répliqué pour l'Uruguay. Les Sud-Américains, bien que battus, ont encore une fois livré une belle partie.
Klose ne battra pas de record
La «petite finale» a apporté son lot de buts et d'actions percutantes, au grand plaisir des fans de foot qui n'ont pas vraiment été comblés depuis un mois. Sans la pression et la tension qui brident trop souvent les acteurs, la rencontre pour la troisième place du podium a offert du jeu, tout simplement. Et pour une fois, les consignes défensives ne constituaient pas la première préoccupation.
Touché au dos, Miroslav Klose n'était pas en mesure d'être aligné. Dommage pour l'attaquant du Bayern Munich, qui ambitionnait de rejoindre voire de dépasser Ronaldo au classement des meilleurs buteurs de l'histoire des phases finales de la Coupe du monde. A 32 ans, Klose disposait sans doute hier de sa dernière occasion d'écrire l'histoire.
Le gardien Hansjörg Butt recevait pour sa part un joli cadeau. Titularisé à la place de Neuer, le vétéran effectuait un come-back auquel il ne devait plus croire: il n'avait plus porté le maillot national depuis le 1er juin 2003...
Sous la pluie de Port Elizabeth, les Allemands prenaient le meilleur départ. La Mannschaft trouvait l'ouverture à la 18e, sur une puissante frappe de Schweinsteiger repoussée par Muslera dans les pieds de l'inévitable Thomas Müller. Ce dernier signait son cinquième but du tournoi.
Après une alerte à la 25e (tête de Forlan contrée), les Sud-Américains égalisaient sur un superbe contre, Suarez lançant Cavani dans la profondeur (28e). Juste avant la mi-temps, Suarez croisait trop son essai alors qu'il était en bonne position.
Les Uruguayens poursuivaient sur leur lancée. Butt devait sortir le grand jeu devant Cavani puis Suarez (48e), mais il ne pouvait rien faire à la 51e sur une reprise acrobatique de Forlan, servi par Arevalo.
Mais une bourde du gardien Muslera relançait la Mannschaft. Le portier de la Lazio sortait dans le vide sur un centre de Boateng, ce qui permettait à Jansen d'égaliser (56e).
Les Allemands finissaient plus fort, dominant physiquement l'Uruguay. C'est donc logiquement que Khedira, de la tête, donnait la victoire à l'équipe de Joachim Löw (82e).

URUGUAY - ALLEMAGNE 2-3 (1-1)
Nelson Mandela Bay, Port Elizabeth. 36 254 spectateurs. Arbitre: Archundia (Mex)
Buts: 18e Müller 0-1. 28e Cavani 1-1. 51e Forlan 2- 1. 56e Jansen 2-2. 82e Khedira 2-3.
Uruguay: Muslera; Fucile, Lugano, Godin, Caceres; Maximiliano Pereira, Perez (77e Gargano), Arevalo, Cavani (88e Abreu); Suarez, Forlan.
Allemagne: Butt; Boateng, Friedrich, Mertesacker, Aogo; Khedira, Schweinsteiger; Müller, Özil (91e Tasci), Jansen (81e Kroos); Cacau (73e Kiessling)
Notes: l'Uruguay sans Lodeiro (blessé). L'Allemagne sans Klose (blessé), Lahm et Podolski (malades). 10e, tête de Friedrich sur la transversale. 93e, coup franc de Forlan sur la transversale.
Avertissements: 5e Aogo, 7e Cacau, 61e Perez, 92e Friedrich.

[Norton]

Fabian Cancellara: «Je n'avais plus d'essence»


Image © Keystone
Eprouvante journée pour le maillot jaune suisse hier: «Je ne me suis jamais senti à l'aise. La chaleur m'a indisposé, comme beaucoup d'autres coureurs»

Fatigué par les efforts consentis durant 6 étapes, le Bernois a laissé son maillot jaune à Sylvain Chavanel, brillant vainqueur de sa 2e étape
Laurent Guyot - le 10 juillet 2010, 23h01
Le Matin Dimanche



«Je vais prendre les étapes les unes après les autres. Et on verra bien jusqu'où je vais tenir.» Fabian Cancellara tenait ce discours à Rotterdam au soir de sa victoire dans le prologue. Sept jours plus tard avec le faux-pas de Spa comme intermède (chute collective dans une descente et grève des coureurs pour la 2e place), le Bernois a rendu le maillot jaune à... Sylvain Chavanel qui, ironie du sort, s'était imposé dans la station thermale des Ardennes.
Le Français s'est fait l'auteur d'un grand numéro dans l'ascension de la côte de Lamoura. «Vraiment, je ne regrette pas d'avoir souffert autant ce printemps. J'avais des jambes de feu dans le final. Maintenant je vais savourer ce second maillot jaune car demain est un autre jour. Avec une arrivée au sommet, il appartiendra aux Contador, Schleck et Evans de s'exprimer.» Sous une chaleur quasi tropicale, les favoris ont temporisé avant d'attaquer les Alpes. Même si les Astana d'Alberto Contador se sont montrés très entreprenants dans les derniers kilomètres menant à la station des Rousses.
Arrivé 14' 12" après le coureur de la Quickstep, le champion olympique et triple champion du monde du contre-la-montre a fini très éprouvé. Après un total de jours en jaune porté à 21, record pour un coureur suisse, le Bernois est prêt à travailler pour Andy Schleck. «Un second Tour commence pour moi. J'ai réussi la première partie. Maintenant je vais tout mettre en oeuvre pour voir Andy monter sur la plus haute marche du podium à Paris dans deux semaines. Aujourd'hui, je ne me suis jamais senti à l'aise. La chaleur m'a indisposé comme beaucoup d'autres coureurs. Je ne me suis pas arrosé assez dès le départ. Je n'avais plus d'essence. C'est comme si elle s'était évaporée. Je n'ai pas fait exprès de perdre ce maillot jaune.»
Tout le peloton dans la difficulté
Venu le réconforter au moment de monter dans le bus de la Saxo Bank, Andy Schleck a confirmé les difficultés rencontrées par la majorité du peloton. «La chaleur commence déjà à indisposer beaucoup de coureurs. A laquelle il faut ajouter, bien sûr, la difficulté sous-estimée de cette étape. Nous n'avions pas pris la peine de venir la reconnaître. Mais force est de constater qu'elle était autrement plus exigeante qu'à sa simple lecture sur le guide de route.»


Classements
97e Tour de France. 7e étape, Tournus - Station des Rousses (165,5 km): 1. Chavanel (Fr/Quick Step) 4 h 22'52. 2. Valls (Esp) à 57''. 3. Garate (Esp) à 1'27. 4. Voeckler (Fr) à 1'40. 5. Perget (Fr). 6. Moreno (Esp), tous même temps. 7. Fédrigo (Fr) à 1'47. 8. Hesjedal (Can). 9. Plaza (Esp). 10. Capecchi (It). 11. Roche (Irl). 12. Gerdemann (All). 13. Contador (Esp). 14. Cadel Evans (Aus). 15. Cyril Gautier (Fr). 16. Armstrong (EU). 17. Monier (Fr). 18. Van den Broeck (Be). 19. Sanchez (Esp). 20. A.Schleck (Lux). 21. Kreuziger (Tch). 22. Leipheimer (EU). 23. Sörensen (Dan). 24. Vinokourov (Kaz). 25. Rolland (Fr). 26. De Weert (Be). 27. Basso (It). 28. Siutsou (Bié). 29. Menchov (Rus). 30. Sanchez (Esp). Puis: 32. Wiggins (GB). 35. Brajkovic (Sln). 37. 37. Gesink (PB). 38. Sastre (Esp). 39. Morabito (S), tous même temps. 50. Klöden (All) à 4'00. 58. Thomas (GB) à 5'18. 65. Popovych (Ukr) à 10'02. 84. Cancellara (S) à 14'12. 100. Rast (S) à 18'57. 106. Elmiger (S) à 19'14. 115. Martin (All), même temps. 161. Cavendish (GB) à 22'17. 186 classés. N'as pas pris le départ: Oroz (Esp). Hors délais: Vandenbergh (Be).
Classement général: 1. Chavanel 33 h 01'23. 2. Evans à 1'25. 3. Hesjedal à 1'32. 4. A.Schleck à 1'55. 5. Vinokourov à 2'17. 6. Contador à 2'26. 7. Van den Broeck à 2'28. 8. Roche, même temps. 9. Van Summeren (Be) à 2'33. 10. Menchow à 2'35. 11. Wiggins, même temps. 12. Kreuziger à 3'10. 13. Luis Leon Sanchez à 3'11. 14. Armstrong à 3'16. 15. Lövkvist (Su) à 3'20. 16. Valls à 3'39. 17. Leipheimer, même temps. 18. Garate à 3'44. 19. Brajkovic à 3'46. 20. Rogers (Aus), même temps. 21. Samel Sanchez à 3'50. 22. Le Mevel (Fr) à 3'58. 23. Gesink à 4'02. 24. Horner (USA) à 4'03. 25. Moreno à 4'04. 26. Sastre à 4'05. 27. Basso à 4'06. 28. Rodriguez (Esp) à 4'19. 29. Gautier à 4'20. 30. Voeckler à 4'35. Puis: 35. Klöden à 6'00. 58. Cancellara à 13'11. 74. Morabito à 20'15. 83. Ballan à 21'38. 84. Elmiger à 21'39. 128. Cavendish à 30'24
Points: 1. Hushovd 118 pts 2. Petacchi 114 3. McEwen 105.
Montagne: 1. Pineau 44 pts 2. Chavanel 36 3. Perget 28.
Equipes: 1. Astana 99 h 12'43. 2. Rabobank à 0'56. 3. Caisse d'Epargne à 1'24.
Jeunes: 1. A. Schleck 33 h 03'18. 2. Kreuziger à 1'15. 3. Valls à 1'44.

[Norton]

L'Allemagne dormira à la belle étoile


Tout comme en 2006, l'Allemagne enlève la médaille de bronze.
Paul le poulpe avait une nouvelle fois raison (7 matchs de la Mannschaft et 7 pronostics corrects). Dans la "petite finale" (dite également de consolation), l'Allemagne est venue à bout de l'Uruguay au terme d'un match spectaculaire (3-2, mi-temps: 1-1). Les Teutons, tout comme en 2006, terminent à la troisième place. Le Mondial est tout de même réussi pour la Celeste.

Avec 5 buts, Forlan rejoint Müller, Sneijder et Villa en tête des meilleurs buteurs du Mondial.

Schweinsteiger est coupable sur le but marqué par Cavani. Il a perdu le ballon à un endroit stratégique sur la pelouse.

Premier but dans ce Mondial pour Cavani.

Le but de Khedira (le numéro 6 dans les bras de Mertesacker) aura permis aux Teutons d'accrocher la troisième place dans ce Mondial.

Müller (5 buts): la grande révélation de ce Mondial.

Les jours de Paul le poulpe étaient pourtant en danger.




L'Uruguay avec les meilleurs
Si l'Uruguay pouvait se permettre le luxe d'aligner sa meilleure équipe du moment (avec les retours de Lugano et Suarez), ce n'était pas du tout le cas de la Mannschaft. A cause de la fatigue, petits bobos et autres choix personnels de Joachim Löw, Aogo et Cacau débutaient la rencontre au détriment de Lahm et Klose. Même Neuer, le portier numéro 1 des Teutons, laissait sa place à Butt.

L'inévitable Müller
Quelle saison pour Müller ! En division 3 avec la réserve du Bayern Munich au mois de juin 2009, l'ailier allemand aura crevé l'écran au cours de ce Mondial (à l'image de sa saison avec le club bavarois d'ailleurs). Celui qui aura cruellement manqué à l'Allemagne contre l'Espagne en demi-finale aura été une nouvelle fois décisif contre la Celeste. Muslera ne pouvait capter un envoi à la fois surpuissant et flottant de Schweinsteiger. En bon renard des surfaces, Müller était le plus prompt dans les 16 mètres pour pousser le ballon au fond des filets. (16e 0-1).

Premier but du Mondial pour Cavani
L'Uruguay, réputée pour son organisation défensive et sa force de caractère, n'aura pas nié sa philosophie de jeu. Perez arrachait le ballon dans les pieds de Schweinsteiger avant que Suarez n'isole parfaitement Cavani en supériorité numérique. Tranquillement et avec beaucoup de lucidité, l'attaquant de Palerme trompait Butt (28e, 1-1).

La Celeste, du paradis à l'enfer
Très tôt en seconde période (51e), l'Uruguay se détachait au marquoir. Arevalo Rios débordait sur son flanc droit avant de trouver Forlan. D'une superbe reprise de volée du pied droit, le buteur de l'Atletico Madrid inscrivait son cinquième but du Mondial. Mais les Teutons n'ont pas joué cette "petite finale" avec la fleur au fusil. Primo, les hommes de Joachim Löw recollaient au score via Jansen (centre de Boateng) et secundo grâce à Khedira qui profitait d'un cafouillage pour placer sa tête. Il ne restait plus que huit minutes à jouer. Malgré un dernier coup franc de Forlan sur la latte, l'affaire était dans le sac pour la Mannschaft.

Ils auront réussi leur coupe du Monde
Aussi bien l'Allemagne (qui a offert l'un des plus beaux jeux du Mondial) que l'Uruguay auront réussi leur Mondial. Les deux formations auraient évidemment préféré soulever le trophée ce dimanche 11 juillet mais ils auront laissé une bonne image à leurs supporters. Prochain rendez-vous: ce sera au Brésil dans 4 ans.

Christophe Da Silva











10/07/10 22h21

Paupaul a vu juste..................

[Norton]

Sebastian Vettel part en pole position sur Red Bull






L'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) partira dimanche en pole position du Grand Prix de Grande-Bretagne de Formule 1, 10e épreuve de la saison, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications, samedi après-midi sur le circuit de Silverstone.

C'est la 5e pole de la saison pour Vettel, grâce à un dernier tour bouclé en 1:29.615. Comme à Valence pour le Grand Prix d'Europe, le jeune Allemand aura à ses côtés sur la première ligne son coéquipier australien Mark Webber, qu'il a distancé de 143/1000e de seconde.

La deuxième ligne sera constituée de l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari), 3e chrono, et du Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes), 4e, alors que l'autre McLaren de Jenson Button, éliminée en Q2, partira d'une décevante 14e place sur la grille de départ.

La troisième ligne sera composée de la meilleure Mercedes, celle de l'Allemand Nico Rosberg, et de la Renault du Polonais Robert Kubica, qualifié in extremis pour la dernière partie des qualifications, avec le 10e temps de la Q2.

Deux Brésiliens monopoliseront la quatrième ligne, Felipe Massa (Ferrari) et Rubens Barrichello (Williams), devant Pedro de la Rosa (Sauber) et Michael Schumacher (Mercedes).

Le Britannique Jenson Button (McLaren-Mercedes), champion du monde en titre, n'a réalise que le 14e temps de la deuxième partie des qualifications. Il s'élancera de la 7e ligne

[Norton]

Victoire de Sébastien Loeb au Rallye de Bulgarie


Le Français Sébastien Loeb a remporté dimanche le rallye de Bulgarie, 7e manche du Championnat du monde (WRC), devant son coéquipier, l'Espagnol Dani Sordo et le Norvégien Petter Solberg, tous trois sur Citroën C4.

Le Français Sébastien Ogier, resté juste au pied du podium, permet néanmoins à Citroën de réaliser le premier quadruplé de son histoire et le premier d'un constructeur depuis le lancement du championnat WRC en 1997.

Les quatre dernières spéciales disputées dimanche, ont été le théâtre d'une lutte pour la deuxième place entre Solberg, sur une voiture privée et Sordo, au volant de la C4 officielle.

En dépit de ses deux victoires (ES11 et ES13), le Norvégien n'a pas réussi à combler le retard de 4,7 secondes qu'il avait sur l'Espagnol samedi soir. A l'issue de cette spéciale parcourue deux fois, il n'a réussi à lui reprendre que deux secondes. Sordo a remporté l'ES12 (avec 2,7 sec d'avance sur Solberg) et Ogier l'ES14.

Loeb, qui a terminé ces spéciales parmi les cinq premiers, obtient son 58e succès en WRC. Dani Sordo le suit à 29,5 secondes et Petter Solberg à 36.3 secondes.

[Norton]

ESPAÑA, CAMPEON DEL MUNDO


Casillas et la Roja exultent. L'Espagne est championne du monde!

C'est un vainqueur historique! Deux ans après avoir soulevé le trophée à l'EURO 2008, l'Espagne est sacrée championne du monde pour la première fois de son histoire (1-0). C'est Iniesta qui a délivré l'Espagne à 3 minutes de la fin de la deuxième mi-temps de la prolongation d'une reprise piquée sur un assist 5 étoiles de Fabregas. Les deux équipes ont eu les possibilités de faire la différence, mais ont péché à la concrétisation. Robben a eu l'ouverture du score au bout du pied, mais s'est heurté à un Casillas au sommet de son art. En supériorité numérique suite à l'exclusion de Heitinga, la Roja a émergé en toute fin de partie alors qu'on s'acheminait vers les tirs aux buts. La liesse peut commencer sur les Ramblas!

Iniesta peut avoir sa statue en Espagne. En manque de rythme en début de tournoi, le génialissime médian du Barça est monté en puissance dans la compétition!

Van Bommel a eu une attitude déplorable tout au long du match. Il aurait d'ailleurs dû être exclu pour cette agression sur Iniesta.

Les Pays-Bas ont été auteurs de quelques vilains gestes, dont cette faute brutale de De Jong sur Xabi Alonso.

Heitinga a été renvoyé au vestiaire pour un deuxième carton jaune.

Le tournant du match. Casillas remporte son face-à-face avec Robben!


L'histoire répétera-t-elle pour les Pays-Bas, déjà défait en '74 et '78 contre l'Allemagne et l'Argentine en finale de la Coupe du monde? Sneijder et Robben peuvent réussir là où Cruijff et Renzenbrinck ont échoué autrefois et venger les éternelles frustrations de leurs aînés? L'Espagne abordait cette apothéose du Mondial avec l'étiquette de favori, thèse confirmée par Paul le Poulpe, le "mollusque oracle" qui a même prédit la victoire ibérique contre les Pays-Bas.

Pedro titulaire
Le plus grand événement footballistique de la planète attire évidemment les foules. De Jacob Zuma à Robert Mugabe en passant par Rafael Nadal ou Placido Domingo, tout le monde voulait assister de ses propres yeux à l'épilogue de la compétition à Johannesbourg. Au niveau des effectifs, Bert Van Marwijk alignait une équipe sans surprise, Del Bosque reconduisait le onze de base titulaire contre l'Allemagne, c'est-à-dire avec Pedro et donc sans Fernando Torres.

Villa remuant
D'emblée les hommes de Del Bosque prennent la mainmise sur la rencontre. Villa, très rumuant, multiplie les appels de balle dans le dos de la défense batave. De Jong et Van Bommel se chargent d'effectuer un marquage rigoureux sur Xavi, régulateur de l'entrejeu ibérique. Sergio Ramos, déroutant sur le flanc droit, élimine Kuyt et centre-tire, Heitinga évacue le danger.

Agression de Van Bommel
Dans la foulée, Villa reprend dans le filet latéral le corner de Xavi. Les Pays-Bas dans tout ça? Un tir cadré de Kuyt capté sans problème par Casillas, mais surtout une pugnacité à la limite de l'acceptable: une agression de Van Bommel sur Iniesta sanctionné "que et un coup de karaté de De Jong sur Xabi Alonso. Howard Webb, déjà très critiqué par la presse espagnole, restait étonnement indulgent...

Robben loupe le 1-0
En deuxième mi-temps, la tension monte d'un cran. La nervosité est palpable. A l'heure de jeu, Robben hérite de la plus grosse occasion du match. Isolé splendidement par Sneijder, l'ailier du Bayern loupe son face-à-face avec Casillas, qui réalise un arrêt de classe mondiale en détournant du pied. Le tournant du match! Alors que Villa et Sergio Ramos manquent tour à tour l'ouverture du score, Puyol déséquilibre Robben qui file seul au but, mais Webb laisse poursuivre l'action sans broncher, malgré les protestations virulentes de l'ex-Madrilène.

Iniesta fait la différence
Comme en 2006 lors de France-Italie (et pour la 6e fois de l'histoire), le match allait se jouer aux prolongations. Fabregas a le 1-0 au bout du pied mais manque de lucidité devant Stekelenburg. Malgré les entrées au jeu de Elia et Van Der Vaart, les Pays-Bas subissaient les débats. En supériorité numérique après l'expulsion de Heitinga (qui avait empêché Iniesta d'aller droit au but), la Roja fait le forcing pour éviter la séance de tirs aux buts. Ce diable d'Iniesta hérite d'un superbe ballon de Fabregas (qui avait remplacé Alonso) et ne loupe pas la cible. Le stratège du Barça crucifie le portier néerlandais d'une reprise puissante et provoque une explosion de joie de toute l'équipe (1-0).

Paul le Poulpe avait raison
Après l'accident de parcours contre la Suisse (0-1), l'Espagne a maîtrisé son sujet de main maître et a prouvé qu'elle était la meilleure nation de football au monde actuellement. Les Pays-Bas échouent pour la 3e fois de leur histoire en finale d'un Mondial. A noter: le sans-faute de Paul le Poulpe, qui avait encore vu juste!

Michaël Bouche
















Rien à redire....C'est les meilleursBRAVOOOOOOOOOO

[Norton]

Mark Webber remporte le GP de Grande-Bretagne



L'Australien Mark Webber (Red Bull) a remporté le Grand Prix de Grande-Bretagne de Formule 1, 10e manche de la saison, dimanche à Silverstone, devant la McLaren-Mercedes du Britannique Lewis Hamilton et la Mercedes de l'Allemand Nico Rosberg.

Parti sur la 2e place de la grille de départ, Webber a pris un meilleur départ que son coéquipier Sebastian Vettel, pourtant placé en pole position, mais qui après deux gros écarts de trajectoire a fini le 1er tour en 24e et dernière position.

"Pas mal pour un deuxième pilote, non ?", a répondu Webber, dès la ligne d'arrivée franchie, à son team-manager, Christian Horner, qui le félicitait sur la radio de bord. Samedi, Horner avait donné à Vettel l'aileron avant de Webber, provoquant la colère de l'Australien.

Webber a fait toute la course en tête et n'a jamais été inquiété par Hamilton, qui conforte ainsi son avance au classement du championnat du monde. C'est la 3e victoire de Webber cette saison, après l'Espagne et Monaco.

Rosberg a préservé jusqu'au bout sa place sur le podium, convoitée par le champion du monde Jenson Button, 4e, qui était parti de la 14e place sur la grille, après une séance de qualifications complètement ratée.

Au terme d'une remontée invraisemblable, Vettel s'est consolé avec la 7e place, derrière Rubens Barrichello (Williams), 5e, et Kamui Kobayashi (Sauber), mais devant trois autres pilotes allemands, Adrian Sutil, Michael Schumacher et Nico Hülkenberg