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Mark Renshaw: "Je suis déçu et surpris"




"Je suis très déçu et aussi surpris par cette décision. Je n'aurais jamais imaginé que je serais exclu d'une course et en particulier du Tour de France", a réagi officiellement Mark Renshaw, jeudi soir dans un communiqué. "J'ai la fierté d'être un sprinter très correct et je n'ai jamais eu dans ma carrière une amende ou même un avertissement."

"Julian Dean est venu sur moi avec ses coudes. J'ai dû user de ma tête pour garder mon équilibre ou il y aurait eu une chute. Si j'avais utilisé mes coudes quand Julian a placé son coude au dessus du mien, nous aurions aussi chuté. Mon but était de garder ma ligne."

"Je n'avais pas encore vraiment entamé le sprint. Nous étions à 375 m de l'arrivée. Après cela, Cavendish a dû débuter le sprint tôt et j'étais prêt aussi à finir le sprint si j'avais encore eu des jambes. Cela aurait été bien de prendre encore un peu de points. J'ai seulement vu de l'espace sur ma gauche. Je n'avais pas idée que Tyler Farrar était là. En aucun cas, je ne mettrait un autre coureur en danger", conclut Renshaw.

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Jacques Villeneuve de retour en Formule 1?


L'ancien champion du monde de Formule 1 canadien Jacques Villeneuve est candidat, avec un projet d'écurie, à la dernière licence d'écurie de F1 disponible pour la saison prochaine, affirme jeudi le site du magazine allemand Auto Motor und Sport.
"Villeneuve Racing" est l'un des trois derniers candidats en lice pour obtenir la 13e licence disponible et participer à la saison 2011, laissée vacante par la faillite de l'écurie américaine USF1, alors qu'il y avait plus de 10 candidats au départ.

Après avoir quitté l'écurie BMW-Sauber en 2006, Villeneuve avait tenté, sans succès, un passage sur le circuit américain Nascar, et travaille depuis à un retour sur les circuits de F1.

Outre Villeneuve Racing, dont les soutiens financiers et le constructeur automobile ne sont pas connus, le groupe américain Cypher et un troisième projet, non-identifié par le magazine, sont en course. La décision devrait être prise par la FIA fin juillet

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Tour de France: la beauté de la Lozère pour l'étape de ce vendredi


Image © AFP
Carte de la 12e étape du Tour de France 2010. Vendredi 16 juillet

Le Tour traverse les paysages sublimes d'Ardèche et de Lozère, vendredi, dans la 12e étape longue de 210,5 kilomètres entre Bourg-de-Péage et Mende.

AFP - le 16 juillet 2010, 08h13


Cinq difficultés sont répertoriées sur les routes casse-pattes du Massif Central, qui ne cessent de monter et descendre. Deux d'entre elles sont classées en deuxième catégorie, le Suc de Montivernoux (Km 96) et la montée d'arrivée vers le Causse de Mende.
Avant de sortir d'Ardèche, la course passe par le Gerbier de Jonc (Km 104,5), au pied du Mont éponyme qui abrite les sources de la Loire. Elle entre ensuite en Lozère par Langogne (Km 158,5), l'une des étapes de l'écrivain Robert-Louis Stevenson et de Modestine dans son "Voyage avec un âne dans les Cévennes".
L'étape se conclut par l'ascension de la côte de la Croix-Neuve (3,1 km à 10,1 %), également appelée montée Laurent Jalabert pour honorer l'actuel sélectionneur de l'équipe de France qui avait gagné en ce lieu le 14 juillet 1995.
Le sommet, où Alberto Contador s'est imposé en mars dernier dans une étape de Paris-Nice, est situé à 2 kilomètres de la ligne installée sur l'aérodrome.
Mende (13.000 habitants), préfecture du département le moins peuplé de France, a accueilli le Tour à deux reprises, la dernière fois en 2005 (victoire de Serrano).
Départ de Bourg-de-Péage à 11h45 (lancé à 12h00), arrivée à Mende vers 17h08 (prévision à 41 km/h de moyenne).

[Cinquante]

Envoyé par Norton

Mark Renshaw: "Je suis déçu et surpris"




"Je suis très déçu et aussi surpris par cette décision. Je n'aurais jamais imaginé que je serais exclu d'une course et en particulier du Tour de France", a réagi officiellement Mark Renshaw, jeudi soir dans un communiqué. "J'ai la fierté d'être un sprinter très correct et je n'ai jamais eu dans ma carrière une amende ou même un avertissement."

"Julian Dean est venu sur moi avec ses coudes. J'ai dû user de ma tête pour garder mon équilibre ou il y aurait eu une chute. Si j'avais utilisé mes coudes quand Julian a placé son coude au dessus du mien, nous aurions aussi chuté. Mon but était de garder ma ligne."

"Je n'avais pas encore vraiment entamé le sprint. Nous étions à 375 m de l'arrivée. Après cela, Cavendish a dû débuter le sprint tôt et j'étais prêt aussi à finir le sprint si j'avais encore eu des jambes. Cela aurait été bien de prendre encore un peu de points. J'ai seulement vu de l'espace sur ma gauche. Je n'avais pas idée que Tyler Farrar était là. En aucun cas, je ne mettrait un autre coureur en danger", conclut Renshaw.

Ben mince alors, il ne s'est aperçu de rien... Il devrait regarder la vidéo

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L'avertissement de Contador à Schleck, Rodriguez s'impose







L'Espagnol Joaquin Rodriguez (Katusha) a remporté vendredi la 12è étape du Tour de France, longue de 210,5 km entre Bourg-de-Péage et Mende.

A l'arrivée sur la piste de l'aérodrome de Mende, Rodriguez a battu au sprint Alberto Contador, les deux Espagnols précédant de 4 secondes le Kazakh Alexandre Vinokourov. Jürgen Van den Broeck a terminé 4ème à 10 secondes, juste devant le Luxembourgeois Andy Schleck, qui a conservé son maillot jaune de leader.

Première attaque de Contador
La dure montée finale au-dessus de Mende, courte (3,1 km) mais très pentue (10,1 %), a servi de juge de paix, Contador y portant une attaque décisive en réponse à celle de Rodriguez. Juste avant le sommet, les deux hommes ont repris et lâché Vinokourov, dernier rescapé d'une échappée de 18 coureurs partie au 58e km. Rodriguez s'est ensuite imposé sans difficulté devant Contador, s'imposant pour la première fois dans le Tour que le grimpeur catalan, âgé de 31 ans, n'avait encore jamais disputé.

Au classement général, Schleck ne possède désormais plus que 31 secondes d'avance sur Contador. Van den Broeck est toujours 5e, à 3:31.

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Il montre ses fesses lors de la photo d'équipe





Torsten Mattuschka, milieu de terrain de l'Union Berlin (D2 allemande), n'a rien trouvé de mieux à faire que de montrer ses fesses lors de la traditionnelle photo d'équipe d'avant-saison. Ca a en tout cas eu le bon goût d'amuser Bernd Rauw, un coéquipier belge de Mattuschka, formé au Standard. (Ch.D.)

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athlétisme

Bolt reste le roi du sprint


Image © Keystone
David Oliver (à droite) n’est plus qu’à deux centièmes du record du monde.

Face à Asafa Powell, Usain Bolt n’a pas tremblé et il a dominé le 100 m du meeting de Paris, en 9’’84.
le 16 juillet 2010, 22h35
LeMatin.ch & les agences


Usain Bolt a remporté le 100 m du meeting de la Ligue de diamant à Paris en 9’’84, mais la meilleure performance de la réunion est à mettre à l’actif de l’Américain David Oliver sur 110 m haies. En 12’’89, Oliver, tout en puissance, s’est approché à 2 centièmes du record du monde.
Le premier duel de la saison entre les pur-sang jamaïcains de la ligne droite, Usain Bolt et Asafa Powell, a comme prévu tourné à l’avantage du recordman du monde, invaincu désormais depuis 14 courses sur la distance.
Powell, il y a deux ans à Stockholm, avait été le dernier à battre Bolt, mais il n’a jamais paru cette fois en mesure de rééditer cet exploit. Le triple champion olympique l’a dépassé vers la mi-course pour s’imposer, avec un vent contraire de 0,3 m/s, dans un chrono un peu décevant, à 0’’02 de la meilleure performance mondiale 2010 codétenue par les deux «lascars» en 9’’82, et assez loin des 9’’7 envisagés.
Powell, 2e en 9’’91, signe son 65e chrono sous les 10’’, et Yohan Blake son record personnel en 9’’95, pour un triplé jamaïcain. Le Français Christophe Lemaitre s’est accroché en 10’’09 (5e).
«Asafa a été plus fort que moi dans la phase d’accélération, il faut encore que je travaille», a expliqué Bolt, qui fut blessé trois semaines ce printemps. «Mais je n’ai pas à me plaindre, j’ai fait une bonne course.»
Oliver impressionnant
David Oliver est bien le nouveau patron du 110 m haies. L’Américain au physique d’armoire à glace a foncé en 12’’89, renversant plusieurs obstacles au passage et réalisant un cassé impressionnant sur la ligne. Il n’est plus qu’à 0’’02 du record du monde du Cubain Dayron Robles. D’une régularité impressionnante, il réalise son 4e chrono sous les 13’’ en deux mois et améliore d’un centième son record des Etats-Unis et sa meilleure marque mondiale 2010.
Seuls Robles et le Chinois Liu Xiang (12’’88 à Lausanne en 2006) sont allés plus vite dans l’histoire. Le record du monde semble promis à Oliver. Cet ancien joueur de football américain était aux anges: «Je suis très heureux, c’était une grande course, même si j’étais un peu assis vers la mi-course.»
Des performances mondiales
Quatre autres meilleures performances mondiales (MPM) 2010 ont été réalisées dans un Stade de France qui attend toujours son premier record du monde. La plus nette a été enregistrée sur 1500 m avec les 3’57’’65 d’Anna Alminova. De retour d’une suspension de trois mois pour dopage, la Russe a amélioré d’une seconde et demie l’ancien meilleur chrono, dans une course où la Bahreïnienne de Lausanne Maryam Jamal, à la peine depuis le début de la saison, a sombré à la 13e place (4’06’’09).
Sur 400 m, l’Américain Jeremy Wariner a amélioré de 0’’08 sa MPM établie à Lausanne huit jours plus tôt, en 44’’49.
Le 3000 m steeple a débouché sur une nouvelle démonstration des Kényans. Le champion olympique Brimin Kipruto a mis le turbo dans les 200 derniers m pour gagner en 8’00’’90 (MPM). Il y eut une démonstration kényane sur 5000 m aussi, avec la victoire de la championne du monde Viviane Cheruiyot en 14’27’’41, MPM aussi.
La perche a permis au Français Renaud Lavillenie de rester invaincu en 2010 avec un neuvième succès d’affilée avec 5,91 m, dans un concours où le champion olympique et du monde Steve Hooker (Aus) a raté ses trois premières barres, à 5,40 m. Lavillenie a ensuite tenté en vain 6,07 m.

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Vinokourov s'impose en solitaire


Le Kazakh Alexandre Vinokourov (Astana) a remporté en solitaire la 13e étape du Tour de France, disputée samedi sur 196 km entre Rodez et Revel. Le Luxembourgeois Andy Schleck (Saxo Bank) a conservé le maillot jaune de leader.

Trois coureurs, l'Espagnol Juan Antonio Flecha et les Français Sylvain Chavanel et Pierrick Fédrigo avaient faussé compagnie au peloton après 4 km de course. Le trio a compté jusqu'à plus de 5 minutes d'avance, avant d'être repris à 10 km de l'arrivée, peu avant la côte de Saint-Ferréol (3e cat.), la dernière bosse du jour.

Vinokourov est sorti à 7,5 km de l'arrivée, pour contrer l'Italien Alessandro Ballan, qui avait accéléré au pied de l'ascension. Le Kazakh s'est porté seul à l'avant de la course avec une dizaine de secondes d'avance sur le peloton. Il a résisté au retour du peloton pour signer sa 4e victoire d'étape sur la Grande Boucle et offrir à Astana son premier bouquet sur le Tour 2010.

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TOUR DE FRANCE

Ces impitoyables Pyrénées


Image © DR
Sur cette image, on voit Raphaël Geminiani descendre le Tourmalet, en juillet 1952

Il y a cent ans, Octave Lapize, vainqueur de la Grande Boucle, avait remporté la première étape imaginée sur les pentes des cols de Peyresourde, d'Aspin, du Tourmalet et de L'Aubisque. Voyage dans la légende
Laurent Guyot - le 17 juillet 2010, 21h29
Le Matin Dimanche



«Il y a que vous êtes des criminels. Vous entendez? Dites-le de ma part à Desgranges. On ne demande pas à des hommes de faire un effort pareil. J'en ai assez.» Octave Lapize tient ses propos aux deux journalistes descendus de leur voiture dans L'Aubisque pour connaître les raisons de son arrêt en pleine ascension. Le 21 juillet 1910 restera gravé à tout jamais dans les annales du cyclisme. Henri Desgranges avait tracé une étape de... 326 km pour découvrir les Pyrénées. Entre Luchon et Bayonne avec au menu les cols de Peyresourde, d'Aspin, du Tourmalet et de l'Aubisque, juste pour corser la difficulté proposée à des coureurs qui ne disposaient alors pas de dérailleurs. Un Tourmalet qui, avant d'être gravi deux fois pour le compte du millésime 2010, était le premier sommet de plus de 2000 mètres à être franchi par les forçats de la route.
Un chemin de croix caillouteux
Un chemin de croix caillouteux où le concours de grimaces d'alors n'avait rien à envier à celui attendu dès cet après-midi et pour quatre jours sur les pentes du Port de Pailhères, d'Ax-3 Domaines, du Portet d'Aspet, du Port de Balès, de Peyresourde, de l'Aspin, du Tourmalet, du Soulor de l'Aubisque et de Marie-Blanque.
Le récit, paru dans le journal «L'Auto» du 22 juillet 1910 sous la plume de Charles Ravaud, donne une idée de cet exploit réussi par les quelques dizaines de géants de la route de cette époque. «Lapize grimpait alternativement à pied et à bicyclette. Garrigou escaladait la rampe fantastique bordée de précipices effrayants sans mettre une seule fois pied à terre.»
Cent ans plus tard, les Pyrénées fêteront un jubilé avec la certitude ou presque de sacrer le vainqueur de la 97e édition du Tour de France. Avec quatre étapes à la clé, entrecoupée par la seconde journée de repos, ce sont elles, ces montagnes impitoyables, qui décideront qui d'Alberto Contador ou d'Andy Schleck arrivera en jaune à Paris dans une semaine. Comme souvent depuis que le massif franco-espagnol se trouve programmé en dernière semaine. Avec, cette année, une difficulté supplémentaire, la canicule: elle jouera un grand rôle, selon les observateurs. Deuxième en 2003 derrière le grand Miguel Indurain Tony Rominger l'avoue: «Sans la chaleur, j'aurais probablement gagné une ou deux fois le Tour de France. Cette fois, la canicule pourrait aussi décider de l'issue de l'épreuve. Mais selon moi, les ascensions dans les Alpes sont plus longues et plus exigeantes que les cols des Pyrénées.»
Surprises en vue
Dernier vainqueur helvétique d'une étape dans cette chaîne montagneuse frontalière, Laurent Dufaux prend le contre-pied, tout en plantant le décor: le 17 juillet 2006, le Vaudois battait au sprint Bjarne Riis, futur vainqueur de l'épreuve, dans une grande étape partie d'Argelès et terminée à Pampelune, via les cols de L'Aubisque et de Marie-Blanque. «Le paysage est tout différent, les pourcentages plus exigeants et le taux d'humidité aussi plus élevé. Je ressens des frissons à la vue des images du temps passé. Les Pyrénées ont vraiment fait la réputation du Tour de France. Les coureurs de l'époque, c'était des guerriers qui ne se posaient pas de questions. Il y avait une détermination incroyable dans leurs coups de pédale. Leur surnom de forçats de la route leur collait vraiment à la peau.»
Encore deuxième le 20 juillet 2003 entre Saint-Girons et Loudenvielle derrière Gilberto Simoni et devant Richard Virenque, l'ex-pro se refuse au petit jeu des pronostics. «Les Pyrénées sont impitoyables. La chaleur caniculaire rencontrée depuis le départ de Rotterdam a usé les organismes. Et si elle persiste, la gérer ne sera pas une mince affaire. Nous allons assister à une élimination par l'arrière. Et il y aura des surprises.»

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Roel Paulissen, contrôlé positif, met fin à sa carrière





Roel Paulissen, champion de Belgique de mountainbike en titre, a été testé positif à un produit interdit à deux reprises durant le mois de juin. Le coureur, qui présentait dans ses urines des traces de clomiphène, a immédiatement annoncé vendredi la fin de sa carrière sportive, selon la société de communication qui s'occupe des intérêts de Paulissen. Ces contrôles ont eu lieu le 6 juin à Verviers et le 19 juin, hors compétition.

L'analyse des échantillons B de l'athlète, réalisée ce 15 juillet a confirmé la présence du clomiphène, une hormone interdite souvent utilisée pour combattre l'infertilité.

"Je suis choqué", a déclaré Paulissen. "Je suis le premier à me battre pour un sport cycliste propre et je ne peux comprendre comment ceci est possible. Je vais effectuer des examens pour essayer de savoir comment ce produit a pu être présent dans mon corps. Cela n'empêche que j'en assume l'entière responsabilité et en accepterai les conséquences et éventuelles sanctions.".