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Sylvain Chavanel élu coureur super-combatif du Tour


Le Français Sylvain Chavanel (Quick Step) a été désigné samedi coureur le plus combatif sur l'ensemble du Tour de France 2010 par le jury chargé de décerner le trophée. Sylvain Chavanel avait déjà été élu pour ce trophée en 2008, avant que l'Italien Franco Pellizzotti lui succède l'an passé.

Le Poitevin a gagné deux étapes, à Spa (Belgique), dès le troisième jour de course, et aux Rousses (Jura), sur un parcours de moyenne montagne. Après chacun de ses deux succès, il a revêtu pour 24 heures le maillot jaune.

Dans l'histoire du Tour, la combativité a commencé à être récompensée en 1952. Le premier "Super-combatif" a été désigné en 1956 (André Darrigade).

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Sebastian Vettel en pole position


L'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) partira dimanche en pole position du Grand Prix d'Allemagne de Formule 1, 11e épreuve de la saison, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications, samedi après-midi sur le circuit de Hockenheim.

Vettel s'est imposé pour à peine 2/1000 de seconde devant l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari), avec qui il partagera la première ligne de la grille de départ. Le deux pilotes se sont rendus coup pour coup durant toute la durée des qualifications.

Le Brésilien Felipe Massa, sur l'autre Ferrari, a signé le troisième temps et s'élancera donc de la deuxième ligne en compagnie de l'Australien Mark Webber, 4e sur la seconde Red Bull.

Les résultats des qualifications samedi montrent combien les bolides de la Scuderia se sont améliorés depuis quelques GP, jusqu'à précéder les deux McLaren des Britanniques Jenson Button (5e) et Lewis Hamilton (6e), qui se partagent la troisième ligne.

Le Polonais Robert Kubica (Renault) a terminé 7e et le Brésilien Rubens Barrichello (Williams) 8e.

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TOUR DE FRANCE

Contador, miraculé d'exception


Image © Keystone
Alberto contador
Sans avoir gagné une étape lors de la 98e édition de la Grande Boucle, le gamin de Pinto s'est adjugé son troisième sacre en l'espace de quatre ans. A 27 ans, l'Espagnol a démontré une maturité qui lui permet de rêver au record de sept victoires détenu par un certain Lance Armstrong
Laurent Guyot - le 24 juillet 2010, 22h50
Le Matin Dimanche



Les Champs-Elysées lui tendent les bras. Encore une fois. Pour la troisième et, probablement, pas la dernière. A lui, ce petit gars, à l'allure tout juste pas chétive, qui va endosser ce maillot tant convoité. Ce jaune qu'il n'aurait pas imaginé, ne serait-ce qu'une seule seconde, porter après son accident connu le 11 mai 2004. Quand, suite à une chute dans la descente d'un col sur le Tour des Asturies, Alberto Contador perd connaissance. Il est transporté à l'Hôpital d'Oviedo, où les médecins découvrent une malformation congénitale doublée d'un oedème prêt à provoquer une rupture d'anévrisme. Opéré d'urgence et placé dans le coma durant trois semaines, celui qui est déjà un grand espoir du cyclisme espagnol s'en sortira, contrairement à son petit frère. Raul, atteint d'une paralysie cérébrale de naissance, et qu'il chérit par-dessus tout. Pas question pour autant pour le Castillan de tirer un parallèle entre Lance Armstrong, cet autre miraculé, et lui sur leurs capacités à se surpasser. «Détrompez-vous, il ne faut pas avoir vu la mort en face pour gagner le Tour. Mais, sur mon lit d'hôpital, je n'imaginais pas me présenter devant les médias du monde entier avec le maillot jaune juste avant d'arriver à Paris.»
Force de caractère peu commune
Au sud de Madrid, sur l'ancienne nationale 4 qui envoie encore les hordes de touristes vers l'Andalousie, Pinto n'est qu'une de ces nombreuses cités-dortoirs de la capitale. Pas moins de 43 000 âmes qui goûtent et savourent les exploits à répétition de leur meilleur ambassadeur. De ce gosse, issu d'une famille très modeste, qui a réussi, grâce à une force de caractère peu commune, de sortir d'une enfance difficile avant de dominer le gratin du cyclisme mondial. Que ce soit sur les routes du Giro et de la Vuelta (2008) ou sur celles de la Grande Boucle, où il devrait s'imposer demain à Paris pour la 3e fois après ses sacres obtenus en 2007 et en 2009. Celui qui avait dépensé 2500 pesetas (environ 20 francs) à l'époque pour peindre en bleu ciel et remettre en état l'ex-vélo de son frère aîné Fran afin de faire ses premières armes est décidément un homme d'exception.
Passionné de canaris
Un garnement qui s'était mis au cyclisme pour trouver la porte de sortie d'un quotidien pas toujours rose. Très adroit de ses mains, travaillant le bois ou créant des jouets, Alberto a voulu trouver une autre passion que celle vouée à son élevage de canaris dans l'appartement familial. Et c'est tout naturellement qu'il a suivi son frère aîné Fran, devenu son agent, au sein du club cyclotourisme Real Velo Club Portillo. Avant de grimper tous les échelons sous les ordres d'un certain Manolo Saiz, incriminé au premier chef dans l'opération Puerto avec le Dr Fuentes. Privé des Tours de France 2006 et 2008, Alberto Contador, tout comme Lance Armstrong, montré du doigt pour ses performances «inhumaines», n'a jamais subi de contrôles positifs. Mais s'est parfois trouvé «au mauvais endroit au mauvais moment», comme le dit ce catholique pratiquant. N'a-t-il pas côtoyé Beloki, Jaksche, Vicioso, Heras, Vinokourov, Kashechkin ou Basso, tous pris dans la nasse du dopage.
Un gentil carnassier
En plein milieu du vignoble bordelais, hier soir, Alberto Contador a voulu répéter sa maxime face aux médias: «Vouloir, c'est pouvoir.» Et donner son explication sur la raison principale de sa victoire finale. «Je suis très fier de remporter encore une fois le Tour de France. Mon atout est d'être le meilleur rouleur de tous les grimpeurs.» Doux et posé, celui que l'on peut qualifier de gentil carnassier ne cache pas son émotion en rendant un bel hommage à son dauphin. «Andy a été héroïque. Alors, oui, j'ai dû puiser au fond de mon corps les forces pour lui résister. Et ça me rend heureux d'y être parvenu. J'en ressens une grande joie doublée d'une émotion que je n'avais jamais ressentie lors de mes deux premiers succès.»

[Norton]

TOUR DE FRANCE

Cancellara 1er grand cru classé


Image © Keystone
Au milieu des vignes bordelaises, Fabian Cancellara a écrasé la concurrence
Grâce à son calme et à sa puissance phénoménale, le Bernois s'est adjugé une 7e victoire sur le Tour
Laurent Guyot - le 24 juillet 2010, 22h46
Le Matin Dimanche



L'heure de vérité, il connaît bien, Fabian Cancellara. Que ce soit dans les prologues ou les chronos, le champion olympique de la spécialité ne fait jamais dans la dentelle. Bien avant l'explication finale entre les deux prétendants à la victoire à Paris, le Bernois s'est appliqué à ne pas faire mentir sa réputation. Au terme des 52 km, bouclé à plus de 51 km/h de moyenne, le citoyen d'Ittigen a laissé son premier dauphin Tony Martin à 17 secondes. Alberto Contador, futur vainqueur du Tour 2010, est pointé à 5'42". Des écarts qui ont parlé d'eux-mêmes et enterré une bonne fois pour toutes les accusations d'utilisation d'un vélo électrique. A l'heure de l'analyse, le protégé de Bjarne Riis s'est réjoui de ce succès incontesté. «Je suis fier de ce que j'ai réussi. J'ai vraiment fait le chrono à bloc. Malgré 15 jours de course, je me suis senti à l'aise. J'avais de bonnes sensations au milieu de ce merveilleux vignoble. D'ailleurs, je me suis autorisé, hier soir, déjà un bon verre. Mais ce soir, pour fêter cette victoire et la fin du Tour, nous ouvrirons quelque chose de meilleur encore: un 1er grand cru classé. Nous le méritons, non?»
Parti sur le coup de 11h20, Cancellara a profité d'un avantage non négligeable quand même. Le vent s'est renforcé en fin de journée tout le long du parcours quasi rectiligne. «Ce matin, à mon réveil, j'ai vraiment pesté de devoir me lever aussi vite. Normalement c'est pour les contrôles et non pas pour se mettre en condition, même si je ne me suis échauffé que 15 minutes après avoir reconnu seulement 10 km du parcours. Je n'ai pas senti beaucoup de vent. Mais j'étais concentré. Dans ma bulle, j'ai su rester calme. Et je me suis appliqué à tourner les jambes. Il ne faut pas chercher plus loin la recette de mon succès.»
Andy Schleck héroïque
Cinq heures plus tard, le mano a mano annoncé entre Contador et Schleck s'est révélé bien plus passionnant que prévu. Parti à bloc, comme conseillé par son ami et coéquipier Fabian Cancellara, le Luxembourgeois (25 ans) a trouvé les moyens de faire vaciller l'Espagnol. L'écart virtuel au classement général est même tombé à une seconde à 30 km du but. Las, le vent et la fatigue ont pesé sur les jambes du meilleur jeune du Tour. Qui regrettera longtemps son prologue raté, son absence d'audace en direction d'Avoriaz et son malheureux saut de chaîne à l'occasion de son attaque dans le port de Balès. Pas besoin de chercher plus loin les 39 secondes qui séparent les deux hommes après les 3539 km déjà parcourus.



CLASSEMENTS
Tour de France
19e étape, contre-la-montre Bordeaux - Pauillac, 52 km: 1. Cancellara (S/Saxo Bank) 1 h 00'56'' (51,2 km/h). 2. Martin (All) à 17''. 3. Grabsch (All) à 1'48''. 4. Konovalovas (Lit) à 2'34''. 5. Zabriskie (EU) à 3'00''. 6. Moerenhout (PB) à 3'03''. 7. Kiryienka (Bié) à 3'10''. 8. Tjallingi (PB) à 3'21''. 9. Wiggins (GB) à 3'33''. 10. Thomas (GB) à 3'38''. 11. Menchov (Rus) à 3'51''. 12. Roy (Fr) à 4'00''. 13. O'Grady (Aus) à 4'06''. 14. Monfort (Fr) à 4'14''. 15. Brutt (Rus) à 4'15''. 16. Sörensen (Dan) m.t. 17. Millar (GB) à 4'20''. 18. Roelandts (Be) à 4'33''. 19. Muravyev (Kaz) à 4'38''. 20. Morabito (S) à 4'39''.
Puis: 33. Vinokourov (Kaz) à 5'32''. 35. Contador (Esp) à 5'43''. 40. S. Sanchez (Esp) à 5'51''. 44. A. Schleck (Lux) à 6'14''. 48. Sastre (Esp) à 6'30''. 60. Petacchi (It) à 6'54''. 66. Elmiger (S) à 7'04''. 67. Armstrong (EU) à 7'05''. 82. Kreuziger (Tch) à 7'25''. 86. Cavendish (GB) à 7'34''. 87. Klöden (All) à 7'35''. 89. Ballan (It) à 7'47''. 109. Gesink (PB) à 8'33''. 117. Rast (S) à 8'45''. 145. Basso (It) à 9'51''. 162. Cunego (It) à 10'40''. 166. Evans (Aus) à 10'57''. 170 classés.
Classement général: 1. Contador (Esp/Astana) 89 h 16'27''. 2. A. Schleck à 39''. 3. Menchov à 2'01''. 4. S. Sanchez à 3'40''. 5. Van den Broeck (Be) à 6'54''. 6. Gesink à 9'31''. 7. Hesjedal (Can) à 10'15''. 8. Rodriguez (Esp) à 11'37''. 9. Kreuziger à 11'54''. 10. Horner (EU) à 12'02''. 11. L. Sanchez (Esp) à 14'21''. 12. Plaza (Esp) à 14'29''. 13. Leipheimer (EU) à 14'40''. 14. Klöden à 16'36''. 15. Roche (Eir) à 16'59''. 16. Vinokourov à 17'46''. 17. Lövkvist (Su) à 20'46''. 18. De Weert (Be) à 21'54''. 19. Gadret (Fr) à 24'04''. 20. Sastre à 26'37''.
Puis: 23. Armstrong à 39'20''. 26. Evans à 50'27''. 29. Cunego à 56'53''. 32. Basso à 59'33''. 51. Morabito à 1 h 39'11''. 75. Elmiger à 2 h 15'33''. 87. Ballan à 2 h 42'38''. 114. Rast à 3 h 14'11''. 121. Cancellara à 3 h 19'43''. 150. Petacchi à 3 h 44'38''. 154. Cavendish à 3 h 51'23''.
Aux points 1. Petacchi 213 pts. 2. Hushovd (No) 203. 3. Cavendish 197.
Grimpeur 1. Charteau (Fr) 143. 2. Moreau (Fr) 128. 3. A. Schleck 116.
Jeunes 1. A. Schleck 89 h 17'06''. 2. Gesink à 8'52''. 3. Kreuziger à 11'15''.
Equipes 1. RadioShack 267 h 55'00''. 2. Caisse d'Epargne à 9'15''. 3. Rabobank à 27'49''.





CLASSEMENTS
Tour de France
19e étape, contre-la-montre Bordeaux - Pauillac, 52 km: 1. Cancellara (S/Saxo Bank) 1 h 00'56'' (51,2 km/h). 2. Martin (All) à 17''. 3. Grabsch (All) à 1'48''. 4. Konovalovas (Lit) à 2'34''. 5. Zabriskie (EU) à 3'00''. 6. Moerenhout (PB) à 3'03''. 7. Kiryienka (Bié) à 3'10''. 8. Tjallingi (PB) à 3'21''. 9. Wiggins (GB) à 3'33''. 10. Thomas (GB) à 3'38''. 11. Menchov (Rus) à 3'51''. 12. Roy (Fr) à 4'00''. 13. O'Grady (Aus) à 4'06''. 14. Monfort (Fr) à 4'14''. 15. Brutt (Rus) à 4'15''. 16. Sörensen (Dan) m.t. 17. Millar (GB) à 4'20''. 18. Roelandts (Be) à 4'33''. 19. Muravyev (Kaz) à 4'38''. 20. Morabito (S) à 4'39''.
Puis: 33. Vinokourov (Kaz) à 5'32''. 35. Contador (Esp) à 5'43''. 40. S. Sanchez (Esp) à 5'51''. 44. A. Schleck (Lux) à 6'14''. 48. Sastre (Esp) à 6'30''. 60. Petacchi (It) à 6'54''. 66. Elmiger (S) à 7'04''. 67. Armstrong (EU) à 7'05''. 82. Kreuziger (Tch) à 7'25''. 86. Cavendish (GB) à 7'34''. 87. Klöden (All) à 7'35''. 89. Ballan (It) à 7'47''. 109. Gesink (PB) à 8'33''. 117. Rast (S) à 8'45''. 145. Basso (It) à 9'51''. 162. Cunego (It) à 10'40''. 166. Evans (Aus) à 10'57''. 170 classés.
Classement général: 1. Contador (Esp/Astana) 89 h 16'27''. 2. A. Schleck à 39''. 3. Menchov à 2'01''. 4. S. Sanchez à 3'40''. 5. Van den Broeck (Be) à 6'54''. 6. Gesink à 9'31''. 7. Hesjedal (Can) à 10'15''. 8. Rodriguez (Esp) à 11'37''. 9. Kreuziger à 11'54''. 10. Horner (EU) à 12'02''. 11. L. Sanchez (Esp) à 14'21''. 12. Plaza (Esp) à 14'29''. 13. Leipheimer (EU) à 14'40''. 14. Klöden à 16'36''. 15. Roche (Eir) à 16'59''. 16. Vinokourov à 17'46''. 17. Lövkvist (Su) à 20'46''. 18. De Weert (Be) à 21'54''. 19. Gadret (Fr) à 24'04''. 20. Sastre à 26'37''.
Puis: 23. Armstrong à 39'20''. 26. Evans à 50'27''. 29. Cunego à 56'53''. 32. Basso à 59'33''. 51. Morabito à 1 h 39'11''. 75. Elmiger à 2 h 15'33''. 87. Ballan à 2 h 42'38''. 114. Rast à 3 h 14'11''. 121. Cancellara à 3 h 19'43''. 150. Petacchi à 3 h 44'38''. 154. Cavendish à 3 h 51'23''.
Aux points 1. Petacchi 213 pts. 2. Hushovd (No) 203. 3. Cavendish 197.
Grimpeur 1. Charteau (Fr) 143. 2. Moreau (Fr) 128. 3. A. Schleck 116.
Jeunes 1. A. Schleck 89 h 17'06''. 2. Gesink à 8'52''. 3. Kreuziger à 11'15''.
Equipes 1. RadioShack 267 h 55'00''. 2. Caisse d'Epargne à 9'15''. 3. Rabobank à 27'49''.

[webamanu]

Les sponsors des Bleus réclament plus d'un million d'euros de réparation

Après le fiasco des bleus au Mondial 2010, et alors que le sélectionneur Laurent Blanc vient de décider de suspendre les 23 Bleus du Mondial, les sponsors de l'équipe de France réclament un peu plus d'un million d'euros de réparation à la Fédération française de football (FFF) au titre du préjudice sur leur image.

«Les sponsors ont dit: on subit un préjudice, on veut être réparés», a déclaré vendredi le trésorier de la FFF, Bernard Désumer.

Ces réparations sont demandées par les gros partenaires: Suez, Carrefour et Crédit agricole. Le secrétaire général de la FFF, Henri Monteil, a aussi ajouté Adidas à la liste. Il a indiqué que l'équipementier avait «encore 180 000 maillots de l'équipe de France sur les bras»

Selon le trésorier de la FFF, ces sommes sont « discutées à l'amiable». Selon lui, elles ne risquent pas d'avoir un impact négatif sur les comptes de la Fédération. «Les primes aux joueurs ne sont pas versées de toute façon», a répondu Bernard Désumer, à l'issue du Conseil fédéral. Les sponsors, ne veulent pas renégocier les contrats, qui sont signés pour quatre ans, on n'y touche pas» a-t-il ajouté.

leparisien.fr

[Norton]

Envoyé par webamanu

Les sponsors des Bleus réclament plus d'un million d'euros de réparation

Après le fiasco des bleus au Mondial 2010, et alors que le sélectionneur Laurent Blanc vient de décider de suspendre les 23 Bleus du Mondial, les sponsors de l'équipe de France réclament un peu plus d'un million d'euros de réparation à la Fédération française de football (FFF) au titre du préjudice sur leur image.

«Les sponsors ont dit: on subit un préjudice, on veut être réparés», a déclaré vendredi le trésorier de la FFF, Bernard Désumer.

Ces réparations sont demandées par les gros partenaires: Suez, Carrefour et Crédit agricole. Le secrétaire général de la FFF, Henri Monteil, a aussi ajouté Adidas à la liste. Il a indiqué que l'équipementier avait «encore 180 000 maillots de l'équipe de France sur les bras»

Selon le trésorier de la FFF, ces sommes sont « discutées à l'amiable». Selon lui, elles ne risquent pas d'avoir un impact négatif sur les comptes de la Fédération. «Les primes aux joueurs ne sont pas versées de toute façon», a répondu Bernard Désumer, à l'issue du Conseil fédéral. Les sponsors, ne veulent pas renégocier les contrats, qui sont signés pour quatre ans, on n'y touche pas» a-t-il ajouté.

leparisien.fr

Adidas réclame 10 millions aux Bleus


Adidas, l'équipementier allemand de l'équipe de France, réclame 10 millions d'indemnités à la Fédération française pour le spectacle lamentable offert par les Bleus en Afrique du Sud. Habillant 12 équipes sur 32 au Mondial, la marque germanique est pourtant en bénéfice net de 126 millions au deuxième trimestre (par rapport à 9 millions en 2009). A partir de 2011, c'est Nike qui équipera les joueurs français.

Quel est l'article qui dit juste...........A suivre

[pechos1]

Envoyé par Norton

Adidas réclame 10 millions aux Bleus


Adidas, l'équipementier allemand de l'équipe de France, réclame 10 millions d'indemnités à la Fédération française pour le spectacle lamentable offert par les Bleus en Afrique du Sud. Habillant 12 équipes sur 32 au Mondial, la marque germanique est pourtant en bénéfice net de 126 millions au deuxième trimestre (par rapport à 9 millions en 2009). A partir de 2011, c'est Nike qui équipera les joueurs français.

Quel est l'article qui dit juste...........A suivre

Et dire que Nike va payé 30 millions d'€ par an . La firme américaine doit commencer à regretter

[danlos]

Envoyé par Norton

Quel est l'article qui dit juste...........A suivre

Adidas est l'équipementier, les sponsors ce sont Carrefour, GDF Suez, Toyota, Crédit Agricole...
Donc au final c'est vers les 15 millions d'€, même si Adidas peut toujours rêver pour obtenir 10M€

Envoyé par pechos1

Et dire que Nike va payé 30 millions d'€ par an . La firme américaine doit commencer à regretter

Nan c'est plus de 40M€, c'est encore pire.

[webamanu]

Envoyé par pechos1

Et dire que Nike va payé 30 millions d'€ par an . La firme américaine doit commencer à regretter

Nan, pas forcemment. L'équipe de France est... était une grande équipe, je pense qu'elle peux le redevenir. Etre plus bas que lors de cette coupe du monde, c'est pas possible !

[pechos1]

Envoyé par webamanu

Nan, pas forcemment. L'équipe de France est... était une grande équipe, je pense qu'elle peux le redevenir. Etre plus bas que lors de cette coupe du monde, c'est pas possible !

Oui c'est clair t'as raison, niveau résultat ça peut pas être pire. Mais c'est surtout par rapport à l'image que ça va être dur. Enfin avec Laurent Blanc beaucoup de choses devraient changer