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[Jaya]

Il n'est pas précisé que son tour du monde soit avec ou sans escales, du coup elle pourra fouler la terre ferme de temps à autre pendant le voyage, et pouvoir faire faire des check-up du bateau par des adultes, ça devrait limiter les problèmes

[philguerin]

ouais en fait je ne pense pas qu'une gâmine de 14 ans soit plus en sécurité dans un port au fin fond du monde qu'en pleine mer... d'autant qu'elle doit avoir un minimum de fric en espèce sur elle...?? non globalement çà ressemble à un suicide.

[Norton]

YB: le bel exploit


Image © Keystone
Bienvenu devance la sortie de Volkan et marque le but qui qualifie Young Boys
Grâce à un but de Bienvenu, le club bernois est parvenu à assurer sa qualification dans le stade de Fenerbahçe. Succès mérité
le 04 août 2010, 23h01
Le Matin



Les Young Boys ont bien choisi leur moment pour remporter leur premier match de la saison. Victorieux 1-0 à Istanbul contre Fenerbahçe, les Bernois ont acquis le droit de participer aux play-off, dernier échelon avant la phase de groupes de la Ligue des champions. Ce succès, matérialisé par une réussite du Camerounais Henri Bienvenu à la 40e, récompense justement la formation suisse, qui a développé un jeu bien plus cohérent que son adversaire. Les Turcs ont cruellement déçu leurs partisans et leur élimination, contre un adversaire au budget dix fois inférieur, va provoquer des remous au sein du club.
Décevants en championnat, les Bernois ont montré un tout autre visage à Istanbul. Exception faite des cinq premières minutes durant lesquelles les Turcs remportaient tous les duels, ils ont rapidement pris le contrôle de la partie, et notamment du milieu de terrain. Au fil des minutes, l'emprise suisse se faisait plus nette et les occasions arrivaient. Entre la 20e et la 30e, Costanzo, Degen et Doubai alertaient le portier Volkan. La supériorité manifestée par YB finissait par se traduire au tableau d'affichage. Lancé côté gauche par Doubai, Bienvenu abusait un défenseur et trompait Volkan malgré un angle fermé (40e).
Fenerbahçe à dix
Malgré deux changements opérés à la pause, le jeu des Turcs restait aussi pauvre en deuxième mi-temps. Et leur tâche se compliquait encore davantage à la 53e quand l'arbitre donnait à Stoch, coupable d'une grossière simulation, un second carton jaune synonmyme d'expulsion. L'international slovaque avait déjà été averti en première période pour un attentat sur Spycher.

Même en supériorité numérique, YB restait à la merci d'une égalisation qui aurait qualifié le club stambouliote. Incapables de marquer un deuxième but, en raison de quelques balles de contre mal négociées, les Bernois sentaient la nervosité monter petit à petit. Heureusement, Wölfli sauvait la baraque dans les arrêts de jeu après un ballon bêtement perdu par Degen devant sa surface.



LA RENCONTRE
Sükrü Saraçoglu. 45 000 spectateurs. Arbitre: M. Nikolaiev (Rus).
But: 40e Bienvenu 0-1.
Fenerbahçe Istanbul: Volkan Demirel; Bekir (46e Gökhan Gönül), Bilica, Ilhan, André Santos; Baroni, Emre; Dia (81e Semih Semtürk), Alex (46e Selcük), Stoch; Gökhan Ünal.
Young Boys: Wölfli; Sutter, Dudar, Affolter, Jemal; Spycher; Degen, Thierry Doubaï (70e Raimondi), Costanzo (62e Hochstrasser), Lulic (78e Christian Schneuwly); Bienvenu.
Notes: Fenerbahçe sans Lugano, Özer, Ugur Boral, Mehmet Topuz (blessés), Kazim (suspendu) et Güiza (pas convoqué). YB sans Lingani (blessé).
Avertissements: 18e Bekir, 23e Jemal, 37e Stoch, 57e Affolter, 72e Hochstrasser, 77e Bilica, 86e Degen, 89e Emre.
Expulsion: 53e Stoch (2e avertissement).

[Norton]

Le coureur Christophe Lemaitre parviendra-t-il à franchir les 9''80 pour parcourir un 100 mètres? L'ex-entraîneur de Pietro Mennea y croit.

Christophe Lemaitre est le premier blanc à être descendu sous les 10 secondes pour un 100 mètres. (photo: Keyston

Carlo Vittori, ex-entraîneur du champion olympique 1980 du 200 m Pietro Mennea, estime que Christophe Lemaitre sera capable de courir le 100 m en 9''78/9''80 en 2011. Le triple champion d'Europe devra pour cela «améliorer sa technique», selon le technicien italien (80 ans).
«Il est encore à l'état brut. Sa technique laisse à désirer. Le rapport entre longueur de la foulée et fréquence n'est pas exceptionnel. C'est un peu comme si dans une voiture vous ne passez que la troisième, a expliqué «Il professore». Il arrive trop écrasé à chaque appui, le genou est plié, alors qu'il devrait être tendu pour allonger sa foulée. Il paraît moins grand que son 1,90 mètre.»
Premier Blanc début juillet à moins de 10 secondes (9''98) sur 100 m, Christophe Lemaitre est devenu à seulement 20 ans le premier athlète à réaliser le triplé 100/200/relais 4x100 m aux Championnats d'Europe. L'ancien protégé de Carlo Vittori, Pietro Mennea, avait été le dernier blanc en mesure de rivaliser avec les sprinters noirs et caribéens. Il a détenu le record du monde du demi-tour de piste (19''72) de 1979 à 1996.

[Norton]

Foot: Laurent Blanc divulgue sa sélection pour le match amical contre la Norvège


Image © AFP
Bernard Lama et Laurent Blanc le 31 juillet 2010 à Paris, lors du Tournoi de Paris de football

Laurent Blanc entre pour de bon jeudi dans ses habits de sélectionneur de l'équipe de France avec la divulgation de sa première liste pour l'amical contre la Norvège, le 11 août à Oslo, marquée par l'absence des 23 du Mondial et sans doute le retour en grâce de Benzema, Nasri et Mexès.

AFP - le 05 août 2010, 07h59


Laurent Blanc entre pour de bon jeudi dans ses habits de sélectionneur de l'équipe de France avec la divulgation de sa première liste pour l'amical contre la Norvège, le 11 août à Oslo, marquée par l'absence des 23 du Mondial et sans doute le retour en grâce de Benzema, Nasri et Mexès.
Un mois et demi après le fiasco des Bleus en Afrique du Sud, le successeur de Raymond Domenech ouvre une nouvelle ère dans des circonstances très particulières. En décidant de se passer volontairement des joueurs ayant disputé la Coupe du monde, Laurent Blanc a en effet souhaité marquer le coup et montrer sa désapprobation avec la grève de l'entraînement, le 20 juin à Knysna.
Mais le nouveau patron des Bleus s'est aussi d'une certaine manière compliqué la tâche alors que l'objectif est d'être prêt dès le 3 septembre contre le Belarus pour le début des éliminatoires de l'Euro-2012. Laurent Blanc a d'ailleurs été très clair: cette sanction n'est que temporaire et il n'est pas question pour lui de se passer de ses meilleurs éléments pour les matches couperets qui se profilent.
"Je ne me fais pas d'illusions, il y en aura peut-être un, deux, trois, six qui auront la chance d'être encore là (contre le Belarus, ndlr)", a-t-il déclaré le 28 juillet à L'Equipe.
En l'absence des mondialistes, le +Président+ devrait donc ratisser large. La liste des préconvoqués fait ainsi une large place aux joueurs de Ligue 1 ou à ceux qui vivotent aux marges de la sélection depuis plusieurs mois. Logiquement, les grands absents du Mondial et notamment les membres de la fameuse "génération 87" (Benzema, Nasri, Ben Arfa, Menez) devraient effectuer leur retour en équipe de France.
En ce qui concerne Benzema (27 capes, 8 buts), Blanc a indiqué que le joueur restait sélectionnable, au même titre que Ribéry, malgré sa mise en examen pour "sollicitation de prostituée mineure" dans l'affaire Zahia. Avec la retraite internationale de Henry et la probable disgrâce d'Anelka, l'attaquant du Real Madrid, dont les rapports avec Raymond Domenech n'ont jamais été au beau fixe, a une carte majeure à jouer pour s'installer durablement en pointe.
Nasri (15 sélections, 2 buts), non retenu pour le Mondial pour ses écarts de conduite durant l'Euro-2008, est dans la même situation et devrait se voir offrir une nouvelle opportunité.
La réhabilitation de Philippe Mexès (13 sélections) est également probable. L'image du défenseur romain reste encore cruellement associée à l'humiliante défaite concédée en Autriche (3-1), en septembre 2008 en éliminatoires du Mondial. Mexès, 28 ans et longtemps présenté comme le futur patron de la défense bleue, ne s'en est jamais vraiment remis. Il jouera gros en Norvège.
Laurent Blanc pourrait aussi rappeler Lassana Diarra, qui avait dû quitter l'équipe de France lors du stage de Tignes en mai après la découverte d'une maladie sanguine héréditaire. Au moment où les Bleus entament leur reconstruction, le milieu du Real Madrid (25 ans, 24 sélections), souvent comparé à Claude Makelele, devrait redevenir un des premiers choix dans un entre-jeu en mal de repères et de leader.
Mais le nouveau sélectionneur va devoir aussi puiser dans le vivier de la Ligue 1 pour remplir sa liste. Lyon (Gomis, Briand, Cissokho), Bordeaux (Ciani, Chalmé, Trémoulinas), Lille (Mavuba, Balmont, Debuchy, Cabaye, Rami), le Paris SG (Sakho, Hoarau, Jallet, Bodmer), Auxerre (Le Tallec), Rennes (Douchez), Monaco (Ruffier) et Nice (Rémy) pourraient être représentés à Oslo.

[Norton]

Anelka: "Raymond Domenech et L'Equipe sont responsables"







Nicolas Anelka a attribué jeudi, dans un entretien à France-Soir, la responsabilité du fiasco des Bleus au Mondial de football à Raymond Domenech et au journal L'Equipe qui avait rapporté ses insultes contre l'entraîneur, lui ayant valu d'être exclu de l'équipe de France.

"Domenech s'est trompé de casting"
"Si le coach voulait prendre un joueur de surface, ce n'est pas moi qu'il fallait choisir. Il s'est trompé sur le casting et je suis le premier à le reconnaître", explique l'attaquant français à France-Soir. "Le coach savait parfaitement où et comment je voulais évoluer. Hélas, ça ne s'est jamais produit", poursuit-il. "Mon plus gros regret est là: ne pas avoir pu évoluer à mon poste" ajoute-t-il "j'étais condamné à jouer contre nature".

Revenant sur l'incident l'ayant opposé à Domenech le 17 juin, il raconte: "Quand le coach, dans les vestiaires contre le Mexique me dit de rester devant, c'est monté direct au cerveau. Je me suis dit qu'il le faisait exprès, qu'il cherchait un mec pour prendre les coups à sa place". "Je marmonne dans mon coin des choses qui resteront dans le secret des vestiaires. Et qui auraient dû y rester. Mais en aucun cas ce ne sont les mots que j'ai pu lire dans L'Equipe", affirme-t-il.

Le titre de L'Equipe est "assassin"
Deux jours plus tard, le quotidien sportif avait barré sa manchette des présumées insultes extrêmement violentes qu'aurait proférées Anelka, provoquant son exclusion immédiate de l'équipe de France. Selon le footballeur, le quotidien sportif porte aussi une responsabilité dans l'élimination prématurée des Bleus.

Le titre de L'Equipe "est non seulement diffamatoire mais également 'assassin'. En faisant ça le journal a détruit les chances de la France et plus accessoirement a cherché à me nuire. Ce titre a créé une guerre entre le coach et les joueurs, puis entre les joueurs et la Fédération. Cet acte est scandaleux", déclare Nicolas Anelka à France-Soir. "Le pire c'est que tout est faux", répète-t-il, refusant à nouveau de s'excuser "pour des mots qui ne sont pas sortis de (sa) bouche".

"Quand ça se passe mal, on redevient de immigrés noirs"
Il qualifie également de "pure fiction", les problèmes avec le milieu offensif Yohann Gourcuff dont avait fait état la presse durant le Mondial et rend hommage à Patrick Evra, "un capitaine exemplaire" qui a "défendu ses soldats". Evra avait été très critiqué en raison de sa responsabilité présumée dans la grève de l'entraînement décidée par les joueurs le 20 juin pour protester contre le renvoi d'Anelka.

Réagissant aux "propos racistes" d'une "minorité de Français" sur les joueurs de l'équipe de France, Anelka estime enfin: "Quand ça se passe mal, on redevient des immigrés noirs (même quand on ne l'est pas!) ou arabe, racaille, caïd banlieusard et musulman".

[danlos]

Envoyé par Norton

Anelka: "Raymond Domenech et L'Equipe sont responsables"


Réagissant aux "propos racistes" d'une "minorité de Français" sur les joueurs de l'équipe de France, Anelka estime enfin: "Quand ça se passe mal, on redevient des immigrés noirs (même quand on ne l'est pas!) ou arabe, racaille, caïd banlieusard et musulman".

il est vraiment ridicule. Et comme toujours, les français sont racistes, on n'aime pas les noirs et les arabes... Et dans l'autre sens il existe le racisme M Anelka?
Ah non c'est vrai il ne faut rien dire sinon la LICRA, SOS Racisme te saute dessus.

[philguerin]

ce type a toujours fait parler de lui dans la presse et a toujours posé des problèmes.. déjà du temps où il était au PSG il foutait la merde. Il est incapable de respecter un ordre ou même une simple consigne... c'est effectivement un délinquant qui s'en est sortit grace à ses pieds mais surement pas grace à sa tête...! c'est effectivement navrant..

maintenant il joue les persécutés... qu'il reste donc en Angleterre puisqu'il s'y sent si bien...à moi il ne me manque pas...

[Norton]

WRC Ford - citroën

Le rallye et l'éternel duel


Image © Keystone/DR
Mirko Hirvonen et la Ford Focus RS WRC (à g.): le duel face à Citroën et à Sébastien Loeb perdure. Un bien ou un mal?

Deux constructeurs seulement se sont partagé les 70 dernières manches, dont 40 pour le seul Sébastien Loeb. Inquiétant ou pas?
Michel Busset - le 05 août 2010, 22h01
Le Matin



Peut-être fait-on dire aux chiffres ce que l'on en veut, mais il en est qui sont malgré tout parlants: depuis le Rallye du Japon 2005 et la victoire de Markus Grönhölm sur une Peugeot, le grand cirque du championnat du monde a donné très exactement 70 représentations et aucune d'entre elles n'a échappé à une Citroën ou à une Ford. Le tout récent succès de Jari-Matti Latvala sur ses terres finlandaises n'a donc que confirmé un état de fait.
Tout aussi révélateur, seuls quatre pilotes se sont partagé les 40 dernières victoires (25 pour Sébastien Loeb, 10 pour Mikko Hirvonen, 4 pour Latvala et 1 pour Sébastien Ogier). Le WRC - World Rally Championship - ne tournerait-il pas un petit peu en rond, au risque de lasser? Ou la monotonie installée depuis bientôt six ans doit-elle être mise sur le seul compte de l'émergence d'un champion hors norme, en l'occurrence Loeb, d'ores et déjà promis à un septième titre mondial?
Des hauts et des bas
Du haut de ses trois décennies de reportages exclusivement consacrés à cette discipline, le journaliste belge Michel Lizin relativise: «Le rallye n'a jamais été qu'une montagne russe, avec ses hauts et ses bas. Mais la situation était sensiblement plus inquiétante au coeur des années 1980.»
En attendant Mini
Il est vrai que l'arrivée annoncée d'une nouvelle marque, Mini, dès l'année prochaine, d'abord à mi-temps puis de manière permanente, laisse espérer un peu de variation dans les menus. Encore qu'en sport automobile, comme le faisait remarquer un patron d'écurie dans le paddock de Jyväskylä, lors du dernier Rallye de Finlande, tout finit toujours en duel. La saison 2008 en avait fait l'éclatante démonstration; la présence de Subaru et de Suzuki n'avait pas empêché les deux ogres, Citroën et Ford, de faire main basse sur la totalité des enjeux. La F1, souvent, et les 24 Heures du Mans, toujours ou presque, n'y ont pas échappé.
Pour ou contre?
S'agit-il donc de tirer la sonnette d'alarme, ou de croire en des jours meilleurs pour une discipline qui draine un peu partout des foules immenses, mais qui peine à se frayer un chemin, médiatiquement parlant, et qui reste tapie dans l'ombre de la F1?



Les 3 raisons d'y croire
1 L'arrivée, dès 2010, d'un nouveau constructeur (Mini, marque satellite de BMW). Qui pourrait être suivie, dit-on, d'un engagement de Volkswagen. Rumeur toujours, Toyota s'interroge quant à un éventuel retour.
2 L'entrée en scène, en 2010, d'une nouvelle réglementation (voitures à 4 roues motrices proches des actuelles Super 2000, moteurs 1600 cm3 turbocompressés) qui devrait participer peu ou prou à la réduction des coûts tout en remettant en quelque sorte les compteurs à zéro.
3 La présence, au sommet de la pyramide, de quatre pilotes de très haut niveau, Sébastien Loeb bien sûr, Mikko Hirvonen, Jari-Matti Latvala et Sébastien Ogier, vainqueur cette année au Portugal, devant Loeb, qu'il devança encore en Finlande, sur le terrain le plus redoutable, pour ne pas dire terrifiant, du circuit.

Les 4 raisons d'en douter
1 L'absence d'une vraie visibilité sur les écrans des chaînes de télévision généralistes, qui croient trop souvent avoir fait le tour de la question automobile une fois terminée la retransmission d'un GP de F1.
2 La puissance de feu de Citroën Sport par rapport à des constructeurs qui confient leur engagement à des structures extérieures, comme c'est le cas de Ford avec Malcolm Wilson et de Mini avec Prodrive.
3 Des formats de course qui ont souvent rompu avec les traditions, piétinant au passage la légende, ce dont les organisateurs du Rallye Monte-Carlo ont fini par ne plus vouloir.
4 La question de l'ordre de passages dans les rallyes sur terre, qui débouchent sur des situations incompréhensibles, lorsque des pilotes freinent ostensiblement en fin d'étape pour glisser de la première à la troisième place, afin de ne pas avoir à ouvrir la route le lendemain.








Les 4 raisons d'en douter
1 L'absence d'une vraie visibilité sur les écrans des chaînes de télévision généralistes, qui croient trop souvent avoir fait le tour de la question automobile une fois terminée la retransmission d'un GP de F1.
2 La puissance de feu de Citroën Sport par rapport à des constructeurs qui confient leur engagement à des structures extérieures, comme c'est le cas de Ford avec Malcolm Wilson et de Mini avec Prodrive.
3 Des formats de course qui ont souvent rompu avec les traditions, piétinant au passage la légende, ce dont les organisateurs du Rallye Monte-Carlo ont fini par ne plus vouloir.
4 La question de l'ordre de passages dans les rallyes sur terre, qui débouchent sur des situations incompréhensibles, lorsque des pilotes freinent ostensiblement en fin d'étape pour glisser de la première à la troisième place, afin de ne pas avoir à ouvrir la route le lendemain.

Les 3 raisons d'y croire
1 L'arrivée, dès 2010, d'un nouveau constructeur (Mini, marque satellite de BMW). Qui pourrait être suivie, dit-on, d'un engagement de Volkswagen. Rumeur toujours, Toyota s'interroge quant à un éventuel retour.
2 L'entrée en scène, en 2010, d'une nouvelle réglementation (voitures à 4 roues motrices proches des actuelles Super 2000, moteurs 1600 cm3 turbocompressés) qui devrait participer peu ou prou à la réduction des coûts tout en remettant en quelque sorte les compteurs à zéro.
3 La présence, au sommet de la pyramide, de quatre pilotes de très haut niveau, Sébastien Loeb bien sûr, Mikko Hirvonen, Jari-Matti Latvala et Sébastien Ogier, vainqueur cette année au Portugal, devant Loeb, qu'il devança encore en Finlande, sur le terrain le plus redoutable, pour ne pas dire terrifiant, du circuit.





Les 4 raisons d'en douter
1 L'absence d'une vraie visibilité sur les écrans des chaînes de télévision généralistes, qui croient trop souvent avoir fait le tour de la question automobile une fois terminée la retransmission d'un GP de F1.
2 La puissance de feu de Citroën Sport par rapport à des constructeurs qui confient leur engagement à des structures extérieures, comme c'est le cas de Ford avec Malcolm Wilson et de Mini avec Prodrive.
3 Des formats de course qui ont souvent rompu avec les traditions, piétinant au passage la légende, ce dont les organisateurs du Rallye Monte-Carlo ont fini par ne plus vouloir.
4 La question de l'ordre de passages dans les rallyes sur terre, qui débouchent sur des situations incompréhensibles, lorsque des pilotes freinent ostensiblement en fin d'étape pour glisser de la première à la troisième place, afin de ne pas avoir à ouvrir la route le lendemain.



Les 3 raisons d'y croire
1 L'arrivée, dès 2010, d'un nouveau constructeur (Mini, marque satellite de BMW). Qui pourrait être suivie, dit-on, d'un engagement de Volkswagen. Rumeur toujours, Toyota s'interroge quant à un éventuel retour.
2 L'entrée en scène, en 2010, d'une nouvelle réglementation (voitures à 4 roues motrices proches des actuelles Super 2000, moteurs 1600 cm3 turbocompressés) qui devrait participer peu ou prou à la réduction des coûts tout en remettant en quelque sorte les compteurs à zéro.
3 La présence, au sommet de la pyramide, de quatre pilotes de très haut niveau, Sébastien Loeb bien sûr, Mikko Hirvonen, Jari-Matti Latvala et Sébastien Ogier, vainqueur cette année au Portugal, devant Loeb, qu'il devança encore en Finlande, sur le terrain le plus redoutable, pour ne pas dire terrifiant, du circuit.





Les 4 raisons d'en douter
1 L'absence d'une vraie visibilité sur les écrans des chaînes de télévision généralistes, qui croient trop souvent avoir fait le tour de la question automobile une fois terminée la retransmission d'un GP de F1.
2 La puissance de feu de Citroën Sport par rapport à des constructeurs qui confient leur engagement à des structures extérieures, comme c'est le cas de Ford avec Malcolm Wilson et de Mini avec Prodrive.
3 Des formats de course qui ont souvent rompu avec les traditions, piétinant au passage la légende, ce dont les organisateurs du Rallye Monte-Carlo ont fini par ne plus vouloir.
4 La question de l'ordre de passages dans les rallyes sur terre, qui débouchent sur des situations incompréhensibles, lorsque des pilotes freinent ostensiblement en fin d'étape pour glisser de la première à la troisième place, afin de ne pas avoir à ouvrir la route le lendemain.

[Norton]

équipe de france

Avec Benzema et Nasri


Image © Keystone
Laurent Blanc a retenu 13 joueurs qui ne comptent aucune sélection

Laurent Blanc a dévoilé sa nouvelle sélection «sanction» composée uniquement de joueurs n'ayant pas participé au Mondial 2010. Karim Benzema et Samir Nasri sont de retour
le 05 août 2010, 21h48
Le Matin



Le buteur du Real Madrid Karim Benzema, le milieu d'Arsenal Samir Nasri et le défenseur de la Roma Philippe Mexès font leur grand retour dans la liste des 22 Bleus retenus pour le match amical de la France en Norvège mercredi, dévoilée hier par le sélectionneur Laurent Blanc.
Comme prévu, cette liste ne comporte aucun des 23 joueurs qualifiés pour le Mondial 2010 en Afrique du Sud, ceux-là ayant été sanctionnés pour avoir refusé de s'entraîner lors de la Coupe du monde afin de protester contre l'exclusion de l'attaquant Nicolas Anelka accusé d'avoir insulté le sélectionneur d'alors, Raymond Domenech. Outre les retours de ces trois-là, 13 joueurs ne comptant aucune sélection, dont sept (Debuchy, Sakho, Trémoulinas, Cabaye, Matuidi, Nzogbia, Menez) qui n'ont jamais été appelés, figurent dans cette liste.
Cadres provisoires
Peu appréciés du précédent sélectionneur, Benzema (27 sel.), par ailleurs mis récemment en examen pour «sollicitation de prostituée mineure» dans l'affaire Zahia, Nasri (15 sel.) et Mexès (13 sel.) seront donc, avec l'autre Madrilène, Lassana Diarra (27 sel.), qui avait dû renoncer au Mondial au dernier moment en raison d'un pépin physique, les cadres provisoires de cette équipe de France expérimentale.


La sélection française
Gardiens: Nicolas Douchez (Rennes), Stéphane Ruffier (Monaco).
Défenseurs: Aly Cissokho (Lyon), Mathieu Debuchy (Lille), Rod Fanni (Rennes), Philippe Mexès (Rome/It), Adil Rami (Lille), Mamadou Sakho (Paris SG), Benoît Trémoulinas (Bordeaux).
Milieux: Yohan Cabaye (Lille), Lassana Diarra (Real Madrid/Esp), Blaise Matuidi (Saint-Etienne), Yann Mvila (Rennes), Samir Nasri (Arsenal/Ang), Charles Nzogbia (Wigan/ENG), Moussa Sissoko (Toulouse).
Attaquants: Hatem Ben Arfa (Marseille), Karim Benzema (Real Madrid/Esp), Jimmy Briand (Lyon), Guillaume Hoarau (Paris SG), Jérémy Menez (Rome/It), Loïc Rémy (Nice).






Anelka charge Domenech et «L'équipe»
Nicolas Anelka a attribué hier, dans un entretien à France-Soir, la responsabilité du fiasco de la France à la Coupe du monde 2010 à Raymond Domenech et au journal L'Equipe. Le quotidien avait rapporté des prétendues insultes du joueur contre l'entraîneur, ce qui avait précipité l'exclusion de l'attaquant de Chelsea.
«Si le coach voulait prendre un joueur de surface, ce n'est pas moi qu'il fallait choisir. Il s'est trompé sur le casting, explique Anelka.
Le coach savait parfaitement où et comment je voulais évoluer. Hélas, ça ne s'est jamais produit. J'étais condamné à jouer contre nature.» Revenant sur l'incident l'ayant opposé à Domenech le 17 juin, il raconte: «Quand le coach, dans les vestiaires contre le Mexique, me dit de rester devant, c'est monté direct au cerveau. Je me suis dit qu'il cherchait un mec pour prendre les coups à sa place.» «Je marmonne dans mon coin des choses qui resteront dans le secret des vestiaires. Mais en aucun cas ce ne sont les mots que j'ai pu lire dans L'Equipe », affirme-t-il. Deux jours plus tard, le quotidien sportif avait barré sa une des présumées insultes qu'aurait proférées Anelka. Selon le footballeur, le quotidien sportif porte d'ailleurs aussi une responsabilité dans l'élimination prématurée des Bleus. Le titre de L'Equipe «est non seulement diffamant mais également assassin». Le joueur de Chelsea a du reste assigné le quotidien en justice pour diffamation, reconnaisssait le journal hier, précisant qu'il «maintient sa version et réserve ses explications au tribunal».