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Camille Lacourt, le play-boy qui affole les chronos

NATATION | Après le 100 m dos, le Narbonnais de 25 ans s’est adjugé le 50 m dos, remportant ainsi une deuxième médaille d’or aux Européens de Budapest.


© AFP/JOE KLAMAR | Tout semble sourire à Camille Lacourt, qui a remporté hier le 50 m dos des Européens. A 25 ans, le nageur de Narbonne s’est fixé d’autres objectifs, plus élevés encore. A commencer par les prochains Mondiaux de Shangai.



Pierre-Alain Schlosser | 13.08.2010 | 00:01


Il est beau comme un dieu et il va vite, très vite, Camille Lacourt. A 25 ans, le nageur de Narbonne a le chic pour faire craquer aussi bien les jeunes femmes que les chronos.
Le dernier exemple en date est savoureux. Depuis qu’il a remporté l’or sur 100 m dos, mardi dernier, Lacourt est l’objet de toutes les attentions. L’ancien nageur Luca Sacchi, commentateur pour la Rai à Budapest, a même été victime d’une avalanche de SMS provenant d’admiratrices qui voulaient en savoir plus sur ce Français aux yeux bleus.
Mais Lacourt nage au-dessus de tout cela. Le jeune homme sait ce qu’il doit faire pour gagner. A commencer par se préserver de cette frénésie qui l’entoure. Alors le soir, il ne sort pas. Il reste à l’hôtel et se concentre sur sa natation, loin des vagues médiatiques. Une sagesse qu’il a acquise l’an dernier à Rome, lors des derniers championnats du monde. Cinquième du 50 m dos, le beau gosse de la natation a compris que sans remise en question il n’y aurait pas d’ambitions. «Ça m’a permis de voir que je pouvais faire partie de l’élite, a-t-il déclaré à nos confrères de L’Equipe. A partir de là, j’ai travaillé différemment, avec plus de confiance. Plus l’objectif devient grand, plus le choix de vie est différent. J’ai changé un peu cette folie que j’avais. J’étais trop fêtard.»
Encore de la marge
Une tactique qui fonctionne plutôt bien à croire ses récents exploits. Hier encore, cet apollon de 2 m pour 84 kg a survolé le 50 m dos (24’’07 contre 24’’70 pour son premier dauphin, le Britannique Liam Tancock). Un succès à l’image de sa victoire éclatante de mardi, où il avait réalisé le 2e meilleur chrono de tous les temps sur 100 m dos, à 17 centièmes du record du monde du Californien Aaron Peirsol (51’’94), qui datait des Mondiaux de Rome. A la différence près que Peirsol était alors équipé d’une de ces fameuses combinaisons en polyuréthane, aujourd’hui proscrites en raison de leur trop grande flottaison.
Félicité par «Sarko», l’ancien protégé du caricatural Philippe Lucas n’est pas rassasié. Il veut poursuivre sa conquête européenne en relais. Avant de se retrouver dos à dos avec Peirsol aux Mondiaux de Shanghai, l’an prochain, puis aux Jeux de Londres.
Des duels qui promettent, surtout que Romain Barnier, son entraîneur à Marseille, estime que le play-boy de Narbonne a encore de la marge. Notamment au moment de la poussée, où ce grand gabarit peine encore à déployer toute sa puissance. Son grand corps pas encore totalement maîtrisé lui a valu plus jeune le surnom de «girafon», tant il avait l’aspect d’un bébé girafe qui se relevait.
Qu’à cela ne tienne, le double champion d’Europe est profilé pour briller sur le dos. Selon les spécialistes, sa morphologie (grand corps très mince) est idéale pour fendre l’eau et nager vite. Aaron Peirsol est averti.

[philguerin]

Oui ils font fort les gâmins français en natation... en plus celui là il a tout pour plaire... belle gueule et bien foutu... ce qui est assez courant dans ce sport... ils sont plus affûté qu'en SUMO .... sport que je serais plus à même de pratiquer vu ma morphologie...

[danlos]

Telefonica nouveau sponsor
La Caisse d'Epargne va être remplacé par le sponsor Telefonica.(EQ)

Le sponsor Telefonica va remplacer la Caisse d'Epargne, qui parraine actuellement l'équipe cycliste à très forte dominante espagnole de David Arroyo et Alejandro Valverde. La formation évoluera sous le nom de Movistar à partir du 1er janvier 2011. «Fruit de l'accord avec Telefonica, l'une des premières compagnies de télécommunications du monde avec plus de 280 millions de clients dans 26 pays, le Team Movistar étrennera sa nouvelle image dans les principales courses cyclistes du calendrier national et international à partir du 1er janvier 2011», a déclaré Eusebio Unzue, qui dirige l'équipe. Une conférence de presse devrait d'ailleurs avoir lieu dans les prochains jours afin de détailler l'avenir de l'équipe Movistar.

Actuellement la Caisse d'Epargne évolue avec plusieurs leaders, les Espagnols, Luis Leon Sanchez, récemment vainqueur de la Clasica San Sebastian, Arroyo, deuxième du dernier Giro et Valverde, actuellement suspendu pour son implication dans l'affaire de dopage Puerto. Elle a elle même remplacé les équipes Reynolds et Banesto, connues notamment à travers les Espagnols Pedro Delgado et Miguel Indurain. (Avec AFP)




Telefonica qui s'engage en Cyclisme, peut être que cela veut dire qu'ils ne reviendront pas en Moto tout de suite, car ce sera un sacré investissement, surtout que la Caisse d'Epargne est une grosse équipe.

[philguerin]

Les français ont encore frappé fort au championnat d'Europe de natation... deux titres de plus en 800m nage libre et Alain BERNARD sur le 100m nage libre... çà cartonne pas mal ... çà devrait être mieux que l'athlétisme à Barcelone...impressionnant!

[Norton]

La marche de la mort a commencé

La 41ème édition de la Dodentocht (marche de la mort) a démarré vendredi soir à Bornem, en province d'Anvers. Quelque 10.624 marcheurs courageux ont pris le départ de cette marche de 100 kilomètres qui doit se clôturer samedi soir.
La 41e édition de la marche a débuté à 21h et on estime à 10.624 le nombre de participants à s'être lancé dans cette "promenade" qui passera notamment par Wintam, Breendonk, Steenhuffel, Merchtem, Lippelo, Puurs et Sint-Amands pour revenir à Bornem.

L'an dernier, 10.793 marcheurs y avaient participé. Les chiffres définitifs pour cette 41e édition sont attendus samedi matin.

Les premiers marcheurs sont attendus à l'arrivée dès 07h samedi matin, arrivée qui restera ouverte jusqu'à 21 heures. On dénombre vingt-cinq nationalités différentes parmi les marcheurs.

Merci pas pour moi.........

[Norton]

Deuxième succès pour Ribeiro au Tour du Portugal


Le Portugais Sergio Ribeiro (Barbot-Siper) a remporté vendredi à l'occasion d'un sprint massif la 8e étape du Tour du Portugal (cat 2.1), courue sur 169,9km entre Oliveira do Hospital et Oliveira do Bairro. Son compatriote Cândido Barbosa (Palmeiras Resort-Prio) avait franchi la ligne d'arrivée le premier, mais a été disqualifié pour sprint irrégulier.

Ribeiro s'est imposé devant le Néerlandais Boy Van Poppel (Rabobank Continental) et l'Espagnol Juan José Lobato (Andalucia). Pour le Portugais, il s'agit déjà de la 2e victoire d'étape. Ribeiro s'était montré le plus rapide lors de la 2e étape.

L'Espagnol David Blanco (Palmeiras Resort-Prio-Tavira) conserve son maillot jaune de leader.

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Masters 1000 de Toronto

Federer se venge de Berdych


Image © Keystone


Détrôné en juin dernier à Wimbledon par Tomas Berdych (No 7), le Bâlois s'est vengé au Masters 1000 de Toronto en arrachant une victoire 6-3 5-7 7-6 (7/5) face au Tchèque. Prochain défi: Novak Djokovic (No 2) en demi-finale.
si - le 14 août 2010, 10h37
LeMatin.ch & les agences


Egalement évincé par Berdych ce printemps à Miami, Federer n'est passé qu'à un cheveu d'une troisième désillusion consécutive. Après un premier set quasiment immaculé (14/14 après son 1er service, 10/10 au filet), le no 3 mondial perdait la deuxième manche sur un relâchement coupable à 5-6 son sur engagement.
Breaké rapidement dans le set décisif, le Bâlois se retrouvait à deux points de la défaite à 3-5 sur le service de Berdych. Mais, porté par le public canadien, le double vainqueur de Toronto (2004 et 2006) trouvait les ressources pour recoller au score et arracher le tie-break. Après une ultime frayeur (le score passa de 4-0 à 5-5), Federer remportait la partie sur une dernière faute en coup droit de Berdych, après exactement 2h20 de jeu.
Outre sa revanche de Wimbledon, Federer a pu regoûter aux joies de battre un des meilleurs joueurs du monde. Depuis janvier et son sacre à l'Open d'Australie, l'homme aux 16 titres du Grand Chelem n'avait, en effet, plus dominé le moindre joueur du top 10.
En demi-finale, Federer retrouvera dans la nuit de samedi à dimanche Novak Djokovic, vainqueur facile en quart de finale du Français Jérémy Chardy (6-2 6-3). Le Bâlois mène 9-5 dans ses duels face au Serbe, mais reste sur une défaite en finale de "ses" Swiss Indoors en novembre dernier. L'autre demi-finale proposera aussi une affiche de rêve avec le match Rafael Nadal (no 1) - Andy Murray (no 4).

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Automobilisme

La Suisse, pilier européen


Image © Keystone
Le Championnat d'Europe de la montagne (CEM) a rendez-vous ce week-end pour la 39e?fois entre Saint-Ursanne et Les Rangiers
Jean-Pierre Molliet - le 13 août 2010, 23h05
Le Matin


COURSE DE CÔTE - SAINT-URSANNE
Qui le sait? La Suisse est un pilier du Championnat d'Europe de la montagne (CEM). Notre pays, cofondateur de la manifestation en 1957, avait à l'époque installé à la présidence de l'Alliance des organisateurs le Dr Heinrich Binder. Un siège qui a toujours été occupé par nos compatriotes, successivement Freddy Wegener et Paul Gutjahr, qui en est actuellement le boss. La mainmise de la Suisse sur cette compétition continentale est totale, puisque le secrétariat est depuis des décennies assuré par Daniel Fausel, qui a la mission de l'organisation générale de ces joutes européennes.
Le CEM a droit de cité dans notre pays, étant l'unique épreuve internationale du sport automobile bénéficiant d'une autorisation des autorités. Depuis sa création, en effet, le CEM fait régulièrement halte en Helvétie. Jusque dans les années 1970, une manche a été mise sur pied à Lenzerheide (1×), à Klosters-Davos (2×), à Sierre-Montana/Crans (3×) et à Ollon-Villars (8×). La course Saint-Ursanne-Les Rangiers est aujourd'hui la doyenne des compétitions du CEM. Aujourd'hui et demain, le Jura accueille pour la 39e fois d'affilée le gotha des pilotes d'Europe.
Côté palmarès, notre pays a dans le passé eu ses héros. Six coureurs suisses ont conquis la couronne suprême. Willy Peter Daetwyler (Maserati 2000) en 1957, Heini Walter (Porsche RS) en 1960 et 1961, Peter Schetti (Ferrari 2S6) en 1969, Xavier Perrot (Marche 722) en 1972, Jean-Claude Béring (Porsche Carrera GT3) en 1975 et 1976. Fidèle parmi les fidèles de l'épreuve, très souvent sur le podium, le commerçant veveysan Claude Jeanneret a été le dernier Suisse à soulever le Graal. C'était en 1987.
12 épreuves dans 11 états
Coup d'oeil dans le rétroviseur en compagnie de Daniel Guenat, de Porrentruy, qui a longtemps oeuvré comme commissaire: «Au début, les pilotes d'usine et les coureurs de F1 participaient aux courses de côte. L'engagement officiel des constructeurs a disparu vers les années 70. De cinq manches, la compétition s'est au fil du temps étoffée pour s'étendre, comme cette année par exemple, à 12 épreuves dans 11 Etats, du Portugal à la Slovaquie. Chaque pays membre de la FIA a droit à l'organisation d'une épreuve annuellement. Les demandes de la Belgique, du Luxembourg et des Pays-Bas ne peuvent être prises en compte, faute d'une piste suffisamment pentue de 5 à 10 km.»

Titre honorifique
Ce n’est pas l’appât du gain qui motive les concurrents du CEM. La couronne: une récompense honorifique. «Mes deux titres de champion d’Europe m’ont rapporté chacun 5000 francs suisses. Un montant qui ne me permettait pas de boucler mon budget de la saison car chaque concurrent doit payer son inscription», se souvient le Chaux-de-Fonnier Jean-Claude Béring. Alors, quelle motivation? «Contrairement aux circuits, tu n’as pas le droit à l’erreur en côte. Tu découvres la piste et il convient immédiatement de trouver tes repères. Tu as deux ou trois passages pour mémoriser tous les pièges. Tu te bats contre le chronomètre et non contre un adversaire. Tu es maître de ton destin. Ce qui m’enchantait en disputant les manches du championnat d’Europe à l‘étranger: la longueur des parcours, plus de 10 km.»

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Marseille dernier et en plein doute







Marseille, humilié à Valenciennes (3-2) malgré un retour désespéré, ne peut plus se cacher derrière la thèse de l'accident initial contre Caen et voit se profiler un début de saison sous haute tension, samedi après la 2e journée de L1. La défaite face à Caen au Vélodrome (2-1), mais surtout la gestion des transferts de Niang et Ben Arfa semblent donc bien avoir laissé des traces et fragilisé le champion de France, 20e après deux matches avec zéro point. Comme prévu, l'international français n'était pas à Valenciennes après ses gestes d'humeur de la semaine et comme prévu aussi, le Sénégalais, en partance pour Fenerbahçe, a sans doute fait ses adieux à la L1 après 57 minutes de jeu bien ternes.

La bonne affaire pour Rennes
Alors que l'OM avait pourtant contrôlé la première période, le meilleur buteur de la saison passée a manqué deux belles occasions d'ouvrir le score qui ternissent un peu la fin de son passage exemplaire en France. Cela n'aurait probablement pas eu autant d'importance si Valenciennes, finalement en tête avec Rennes et Nice, n'en avait profité à la reprise en marquant trois fois en un quart d'heure.

Malheureusement pour un Deschamps nerveux, Danic et Pujol par deux fois sont passés par là, sanctionnant cruellement les approximations d'Azpilicueta, N'Diaye et Heinze. Les réductions du score de Taiwo sur penalty et d'Ayew dans la confusion ne doivent pas masquer l'ampleur de la tâche qui attend "Dédé". Auxerre, l'autre Européen du soir, s'en est un peu mieux sorti à Brest (1-1).

Nul pour Auxerre
Après 19 ans d'absence en L1, le public de Francis le Blé a cru à un retour en fanfare lorsque Roux a marqué tôt, mais, Pedretti, l'impeccable capitaine bourguignon a frustré les Bretons en fin de match. Avant d'affronter mardi le Zenit Saint-Petersbourg en tour préliminaire de la Ligue des champions, l'AJA a encore toutefois un travail important à fournir à l'aube d'une saison probablement plus compliquée que la précédente, qui avait été magnifique.

La bonne affaire revient à Rennes, net vainqueur à Nancy (3-0), après avoir été tenu en échec en ouverture. Bangoura en est désormais à deux buts, tandis que Montano et Brahimi ont ouvert leur compteur. Le premier sous ses nouvelles couleurs, le second en L1. Bien aidé par l'exclusion rapide du Nancéien Ndiaye (13), les Rennais, qui découvraient la pelouse synthétique, ramènent ainsi trois précieux points de Lorraine. Victorieux à Lens lors de la 1re journée, l'ASNL devait s'attendre à autre chose...

Un match reporté
Le dernier club breton, Lorient, s'incline en revanche à domicile face à Nice (1-2). Les Merlus, également sur une pelouse artificielle, n'ont tenu leur avantage qu'une minute avant que Gace et l'attaquant international Rémy ne renversent le score. Pour son retour, Gameiro, qui lorgne aussi sur une place en Bleu, ne s'est pas montré aussi en jambes que l'Aiglon. Du côté de Monaco, on aurait probablement apprécié de pouvoir compter sur un terrain similaire. Mais il n'en est encore rien et la rencontre face à Montpellier a finalement dû être reportée en raison des intempéries.

Dans un calendrier déjà chargé et compliqué à établir, la commission des compétitions de la LFP ne tardera pas à voir surgir un premier obstacle... Saint-Etienne avait buté au Parc sur la première barre de son marathon mais sa spectaculaire victoire contre Sochaux (3-2), notamment grâce à un doublé de Perrin, lui permet de se reprendre. (afp/chds)







14/08/10 20h59

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Pas de finale pour Nadal à Toronto


L'Ecossais Andy Murray s'est qualifié pour la finale du tournoi de Toronto en battant nettement l'Espagnol Rafael Nadal, N.1 mondial, sur le score de 6-3, 6-4. Il affrontera en finale le vainqueur du match Federer-Djokovic. (afp/chds)