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[danlos]

Alonso n'y est pour rien c'est surtout la stratégie ridicule de Ferrari comme depuis le départ de Todt en 2007.
Ils ont 10minutes pour faire un chrono, ils attendent la dernière minute pour envoyer Alonso alors qu'à Spa tout le monde sait qu'il peut se mettre à pleuvoir n'importe quand et pas de chance pour le Fernand, la pluie arrive à 1 minute de la fin... Surtout que dans la première partie des qualifs, la pluie est arrivé d'un coup et que plusieurs gros pilotes s'en sont sorti limite.
Pour Schumacher il part 21ème après ses 10places de pénalité parès sa manoeuvre dangereuse sur Barrichello lors du précédent GP.
Mais s'il pleut demain, ce sera une course de dingue avec Schumi et Alonso.

[Norton]

COURSE à PIED CHAMONIX

Les organisateurs ont dû improviser


Image © Yvain Genevay


L'Ultra Trail du Mont-Blanc a été annulé en raison de la mauvaise météo. Une course de repli a été organisée entre Courmayeur et Chamonix
Gaëlle Cajeux - le 28 août 2010, 23h06
Le Matin Dimanche


Lancée vendredi à 18h30 sur la place du Triangle de l'amitié à Chamonix, la 8e édition de l'Ultra Trail du Mont-Blanc a tourné court. Les organisateurs ayant décidé de neutraliser l'épreuve reine des ultra-marathons de montagne à la hauteur des Contamines, après seulement 31 km de course. «A cause d'une météo très difficile au col de la Seigne (pluie, froid et brouillard), des chutes de neiges prévues à 2500m et un débalisage sauvage rendent les conditions trop précaires, a expliqué dans la nuit la directrice de course Catherine Poletti. Nous préférons arrêter et ramener les 2300 participants à Chamonix en bonne santé.»
Stoppés net dans leur élan, beaucoup ont fondu en larmes. Difficile pour ces sportifs d'accepter une décision qui anéantit leur rêve de relever ce défi insensé: faire le tour du Mont-Blanc sur un tracé de 166km et 9500m de dénivelé positif. Alors, «dans une volonté ferme de proposer coûte que coûte une course à ces trailers désoeuvrés», les organisateurs ont annoncé une épreuve de repli, 98km entre Courmayeur (It) et Chamonix, avec départ à 10 h 15 hier matin. Informés par SMS à 5 h, nombre de coureurs n'ont pas vu l'information à temps. Ou, par barrière de la langue - 57 nationalités étaient représentées - ne l'ont pas comprise. Ils n'étaient donc que 1300 au départ.
Une partie de l'élite a décidé de ne pas s'aligner. Dont le recordman et favori de l'UTMB, Kilian Jornet Burgada. «Avec son plateau jamais vu, l'UTMB 2010 promettait beaucoup. Bien sûr, la météo s'annonçait dure: de la pluie, du froid en altitude. Et alors? C'est ça la montagne!» s'insurge l'Espagnol sur son blog. En déplorant que l'organisation n'ait pas prévu de «vrai plan B», le jeune Catalan ajoute: «La montagne, ce n'est pas que du soleil, des champs verts, des fleurs et des vaches. C'est aussi les rochers, les orages, la neige. Malheureusement, même si les compétitions sont qualifiées de «courses de montagne», on s'éloigne de plus en plus de cet esprit.»
Jez Bragg, lui, a hésité à prendre le deuxième départ. «Je me suis réveillé à 7 h et j'avais des SMS d'amis qui me disaient: «Alors, la course reprend tout à l'heure à Courmayeur!». Mais moi je me suis dit, non, je ne vais pas la faire, avoue le Britannique. J'ai pris mon petit-déjeuner, je suis resté relax à l'hôtel. Mais finalement, j'ai sauté dans la voiture, j'ai passé le tunnel du Mont-Blanc à 9h et à 10h, j'étais sur la ligne de départ.» Il a franchi celle d'arrivée en vainqueur, après 10h31 de course.
Jez Bragg (à gauche) a franchi la ligne d'arrivée en vainqueur après plus de 10 h de course. Durant le parcours, les 1300 concurrents ont dû affronter des conditions difficiles (brouillard, chemins glissants), notamment dans la descente du val Ferret.

[Norton]

automobilisme

Le retour patient de Schumacher


Image © Keystone
Le retour de Michael Schumacher en F1 est décevant, mais le pilote allemand veut se tourner vers le futur, et espère briller en 2011 au volant d'une voiture qui conviendra à son style

Neuvième du championnat 2010, à 56 points de son coéquipier, le septuple champion du monde n'est plus que l'ombre de sa réputation. Et pourtant il n'a jamais semblé si confiant mais il s'est résolument tourné vers la saison 2011
Luc Domenjoz - le 28 août 2010, 22h27
Le Matin Dimanche



Vu des gradins d'un circuit, le retour de Michael Schumacher pourrait facilement être qualifié de raté. Après avoir accumulé sept titres mondiaux, soufflé 91 victoires, raflé 68 pole positions et empilé 154 podiums, l'Allemand a pris sa retraite, fin 2006, avant de décider de reprendre le volant cette saison, trois ans de vacances plus tard.
A l'enthousiasme suscité par son retour succède aujourd'hui une déception certaine, puisque le résident de Gland (VD) n'a pu réussir mieux que deux quatrièmes places au volant de sa Mercedes 2010.
Depuis ses débuts en Formule 1, qui remontent à 1991, il n'avait encore jamais connu d'aussi piètre saison. Et c'est surtout la première fois qu'il est devancé sur quasiment tous les tableaux par son coéquipier, en l'occurrence Nico Rosberg. Le jeune Allemand a marqué 56 points de plus que son illustre aîné, s'est qualifié dix fois sur treize devant lui et est monté deux fois sur le podium alors que l'on n'y a pas encore aperçu Michael Schumacher.
Bien peu s'attendaient à dresser un bilan aussi mitigé du retour de Schumi à l'heure où les deux tiers de la saison 2010 sont atteints. Et beaucoup en profitent pour régler leurs comptes avec celui qui les a parfois, voire souvent, agacés à l'époque de ses succès: «Il a besoin de temps», argumente Martin Brundle, commentateur de la télévision britannique. «Je savais que son talent serait un peu émoussé, mais je le voyais tout de même plus rapide. Au Canada, il a mené la pire course de sa carrière!» Un jugement un peu sec qu'il faut nuancer par le fait que Martin Brundle, lorsqu'il était coéquipier de Michael Schumacher, en 1992, a régulièrement été battu par l'Allemand qui n'était alors pourtant qu'un débutant.
«Michael a commis une énorme erreur, renchérit Eddie Jordan. Vous croyez que ça l'amuse d'être battu tous les dimanches par des gars qui ont 20 ans de moins que lui? Ce qu'il essaie de faire va à l'encontre des lois de la médecine...» Sévère, l'Irlandais n'a visiblement pas pardonné la fuite de Michael Schumacher chez Benetton juste après avoir disputé son premier Grand Prix ici même, à Spa-Francorchamps, au volant d'une Jordan.
«J'aurais préféré qu'il ne revienne pas, tonne Jackie Stewart. Pourquoi a-t-il fait une chose pareille? Il avait tout gagné, et désormais il ne peut que tout perdre.» Méchant, le triple champion du monde, en réalité, se montre cassant envers tout le monde, avec un systématisme qui laisse penser que l'Ecossais s'aigrit avec l'âge...
La voiture ne lui convient pas
L'intéressé, heureusement pour lui, n'a cure de ce feu roulant de critiques. Il savait que son retour serait rendu difficile par l'interdiction des essais privés, qui l'empêche de retrouver ses marques sur une F1 qui a beaucoup changé depuis 2006.
L'Allemand pilote aussi une Mercedes qui n'est pas de son goût, la faute à Jenson Button, son pilote en 2009, qui avait demandé une machine intrinsèquement sous-vireuse (c'est-à-dire qui glisse de l'avant). Entre-temps, le Britannique est parti chez McLaren et Michael Schumacher se retrouve au volant d'une voiture qu'il n'aime pas. «Evidemment, je n'avais pas imaginé que ce serait aussi difficile», admet aujourd'hui l'Allemand. «Mais je sais exactement ce qui ne va pas. Pour l'instant, la voiture que nous avons ne me convient pas, et par conséquent je ne suis pas au niveau de Nico (Rosberg, son coéquipier, ndlr). Chaque pilote a son style et doit y adapter sa voiture pour se sentir bien. J'y étais parvenu chez Ferrari, mais ça ne se fait pas d'un jour à l'autre. On y travaille, nous y arriverons. Et ce jour-là, je serai aussi rapide que Nico.»
Hier, c'était déjà le cas: Michael Schumacher s'est qualifié 11 millièmes de seconde devant son coéquipier. Mais cet après-midi, il ne partira que de la 21e place sur la grille de départ, en raison d'une pénalité infligée après le Grand Prix de Hongrie, où il a été accusé de manoeuvre dangereuse envers Rubens Barrichello.
Ce sera sa pire position de départ au cours de cette pire saison d'une carrière de 262 Grands Prix. L'écurie Mercedes ayant d'ores et déjà annoncé qu'elle ne travaille plus sur sa voiture actuelle pour se concentrer sur le modèle 2011, il ne faut guère attendre de progrès d'ici à la fin du championnat. Michael Schumacher le sait et en a pris son parti. «Je suis très confiant. Nous avons parfaitement compris les problèmes qui nous handicapent cette année, et nous savons comment les résoudre. Par conséquent, je sais que je peux atteindre mon but: remporter une nouvelle fois le titre mondial. Cela va prendre du temps, mais j'y arriverai.»
A l'évidence, le septuple champion du monde a gardé la foi. Quant à sa motivation, elle semble plus gonflée que jamais. Il lui en faut, en effet, pour faire face au défi de ce difficile retour. Car comme il l'avoue, il aurait pu rester tranquillement chez lui, à 41?ans, et savourer le repos du guerrier plutôt que de mettre sa réputation en jeu. Ne serait-ce que pour ce courage, les censeurs devraient faire preuve d'indulgence avant de critiquer un retour qu'il est trop tôt pour qualifier de raté.

[Norton]

Gourcuff rate son entrée avec Lyon, Toulouse maintient le cap






Pour sa première apparition sous ses nouvelles couleurs, Yoann Gourcuff s'est incliné avec Lyon à Lorient 2-0, samedi lors de la 4e journée de Ligue 1, alors que Toulouse, qui a enchaîné une 4e victoire à Nancy (2-0), a conservé sa place de leader. Les Lyonnais, auteurs d'un début de saison maussade, attendaient beaucoup de leur recrue star. Mais l'ancien meneur de jeu bordelais n'a pas empêché l'OL, désormais 12e, de concéder sa deuxième défaite en deux matches. Il s'agit de la pire entame de championnat du club depuis 2000-2001.

Entré en jeu plus rapidement que prévu en raison de la blessure de Delgado (30e), Gourcuff n'a pas réussi à inverser une tendance qui s'était dessinée dès la 9e minute avec le but de Gameiro sur penalty après une main de Toulalan. Si l'attaquant lorientais a ainsi dignement fêté sa première convocation en équipe de France pour les matches contre le Belarus (3 septembre) et la Bosnie (7 septembre), la galère se poursuit pour Toulalan, déjà sous le coup d'un match de suspension pour son implication dans la grève de l'entraînement durant le Mondial.

Reconverti défenseur, l'international français a été jugé "pas incontournable" à son nouveau poste par Laurent Blanc qui ne l'a pas retenu en bleu. Sa faute et le deuxième but inscrit par le Lorientais Kitambala vont donc immanquablement encore alimenter le débat sur son repositionnement et son avenir en sélection. L'entraîneur Claude Puel, à l'origine de ce choix tactique et toujours sans trophée avec Lyon, est également sous pression.

Loin des malheurs lyonnais, l'invincible Toulouse reste en première position après le succès arraché à Nancy. Braaten, intenable depuis le début de saison (3 buts), n'a pas marqué, les deux héros du jour étant Capoue et Tabanou. Maigre consolation: Nancy a enfin terminé un match à onze après les trois cartons rouges récoltés lors des trois premières journées. Rennes, qui a infligé sa quatrième défaite d'affilée à Arles-Avignon (1-0), bon dernier, est en embuscade (2e à quatre points) tout comme Montpellier (3e à quatre points du Téfécé), toujours compétitif malgré les départs de l'intersaison.

Les Héraultais se sont imposés à Valenciennes (1-0) grâce au premier but en L1 d'Olivier Giroud, l'ancien canonnier de L2. Saint-Etienne est en revanche méconnaissable. 17e en 2009-10, les Verts s'incrustent dans le Top 5 après leur succès contre Lens (3-1) sur un triplé de Payet, le nouveau meilleur buteur du championnat (4 buts).

[Norton]

Mondial de basket: la France se paie l'Espagne









Arrivée en Turquie dans ses petits souliers, la France a réussi un énorme exploit en battant (72-66) l'Espagne, championne du monde en titre, en ouverture du Mondial de basket samedi à Izmir. Ils sont vraiment impayables ces Bleus ! Après avoir accumulé les déceptions alors qu'ils ambitionnaient, souvent légitimement, une médaille ou un titre ces dernières années, ils ont réussi leur plus beau match depuis cinq ans l'été où on les en pensait le moins capables, puisque privés d'une bonne demi-douzaine de leurs joueurs majeurs, dont Tony Parker.

Alors qu'on leur promettait l'enfer face à la meilleure équipe au monde de ces quatre dernières années, une punition d'au moins vingt points comme l'an dernier en quarts de finale du Championnat d'Europe, ils ont réussi à déjouer tous les pronostics en s'appuyant sur une défense héroïque qui a complètement anesthésié le pouvoir offensif des Espagnols. "J'avais dit qu'on n'avait pas de marge de manoeuvre si on n'était pas rigoureux. On l'a été ce soir. Défensivement on a été énormes", a constaté Ali Traoré.

Rapidement menés de douze points, les Bleus ont ainsi réussi à revenir à hauteur de leur adversaire juste avant la pause, s'accrocher dans leur sillage pendant un quart d'heure pour finalement leur passer devant dans les cinq dernières minutes. Comme un symbole, ce sont trois joueurs du si décrié Championnat de France, Andrew Albicy, Alain Koffi et Mickaël Gelabale qui ont été les acteurs décisifs de la victoire française, la première sur l'Espagne depuis cinq ans.

"On a fait un grand match, on est venu pour ça, et on l'a fait. Collectivement, on a joué ensemble, tout le monde était présent, on a fait ça ensemble ! C'est un exploit", a calmement expliqué Mickaël Gelabale, de retour en sélection après quatre ans d'absence et d'entrée décisif avec 16 points, meilleur marqueur français, 6 rebonds et des actions de pure classe.

Cette victoire est d'autant plus étonnante que Nando De Colo, le meneur titulaire en l'absence de Parker, n'a joué que huit minutes après être apparu en détresse en début de match. Andrew Albicy, jeune meneur du Paris-Levallois, étonnant de culot, l'a suppléé, avec 13 points, alors que Gelabale a fini meilleur marqueur français du match (16 points) et que Boris Diaw et Nicolas Batum ont été précieux tout le long d'un match qui va rester dans les mémoires. Car c'est au final une équipe de sans-grade qui a abattu l'armada espagnole, complètement paniquée en fin de match malgré tout leur métier face à l'inexpérience de la jeune équipe française.

Abordé avec les pires craintes, le Mondial ne pouvait donc pas mieux commencer pour les Français qui doivent désormais confirmer dès dimanche face au Liban dans un match où ils partiront cette fois nettement favoris. Leur exploit face à l'Espagne suffit à mettre en garde une équipe traditionnellement branchée sur courant alternatif et capable du meilleur comme du pire. Samedi, c'était beau. (afp/chds)







28/08/10 23h16

[Norton]

Federer: "Une finale contre Nadal serait super"






Roger Federer, N.2 mondial, se réjouit d'avance d'une possible finale à l'US Open contre Rafael Nadal (N.1), ce qui serait une première à New York. "Ce serait super de rencontrer Rafa en finale, nous avons joué l'un contre l'autre dans toutes les autres finales de Grand Chelem mais pas ici", a déclaré le Suisse samedi à New York, où le tournoi débute lundi. "J'espère qu'on va pouvoir le faire cette année, même si je pense qu'il y aura d'autres occasions, a-t-il ajouté. J'adorerais le retrouver, cela ne peut arriver qu'en finale. Mais avant, on a du pain sur la planche."

Federer, 29 ans, reste sur six finales consécutives à Flushing Meadows, la dernière perdue l'an passé face à l'Argentin Juan Martin Del Potro. Auparavant, il avait engrangé cinq titres d'affilée dans son jardin new yorkais. Nadal, 24 ans, connaît lui beaucoup moins de succès sur les courts en dur de New York. Il n'y a jamais gagné, même s'il reste sur deux demi-finales consécutives, et c'est le seul titre du Grand Chelem qui lui manque.

"Trois (sic) demi-finales d'affilée, c'est à mon sens un succès et si tu es capable d'aller en demi-finale, tu es capable d'aller en finale, fait toutefois remarquer Federer. Rafa est simplement tombé sur des joueurs très forts, meilleurs que lui ces jours-là. Andy Murray (en 2008) et Del Potro (en 2009) avaient joué un tennis fantastique contre lui." "Sur dur, c'est plus incertain, spécialement pour lui (par rapport à la terre battue, ndlr), car on a plus d'adversaires et en battre sept de suite, c'est difficile", explique le Bâlois, qui apprécie sa rivalité avec l'Espagnol.

"Cela fait cinq ans que ça dure et c'est une saine rivalité, assure Federer. On s'entend très bien, on discute pas mal dans les vestiaires, on passe un peu de temps ensemble parfois, on parle tactique. C'est vraiment bien d'avoir quelqu'un d'aussi respectueux que Rafa comme rival. Je l'ai aidé à devenir un meilleur joueur et lui aussi m'a aidé à devenir meilleur." "Les gens semble aimer ça, c'est une des plus grandes rivalités tous sports confondus et je suis content qu'elle se passe sur des bases saines. Cela serait un peu pénible si ce n'était pas le cas." Federer entamera le tournoi face à l'Argentin Brian Dabul alors que Rafael Nadal débutera contre le Russe Teymuraz Gabashvili. (afp/chds)

[Norton]

Championnat du monde de courses d'escargots à Cointe


Des records du monde risquent de tomber, dimanche 29 août, à la place du Batty (Cointe). Les Petits Gris et les Bourgognes font figure de favoris mais rien n'empêchera les Demoiselles ou les Blonds des Flandres d'assumer pleinement leurs statuts d'outsiders lors de cette 5-ème édition du championnat du monde de courses d'escargots.

Les concurrents sont prêts à s'affronter dans une lutte intense. Des équipes en provenance du Guatemala, d'Allemagne et même du Kenya ont fait le déplacement pour participer à ce rendez-vous particulier. Le niveau du plateau s'annonce très relevé et pour Luc De Bruyne, propriétaire d'une écurie et organisateur du championnat, cela ne fait aucun doute: "le record du monde sera amélioré."

Les participants sont prêts à en baver tandis que leurs entraîneurs seront à la recherche d'une combinaison subtile de chou, de salade et de trèfle pour motiver leurs protégés. Cependant, pas question de recourir à des substances interdites, la compétition est officielle et des contrôles anti-dopages sont prévus. Marc Duez, pilote automobile belge, veillera au bon déroulement de la course. (belga)

Sur que Bernie Ecclestone est dans le coup....

J'ai mis la nouvelle dans les insolites en fait le sport c'est le sport....

Bonne journée le fofo.........

[philguerin]

J'espère qu'ils vont leur mettre des n° assez gros pour qu'on puisse les suivre facilement car à la vitesse où ils passent c'est pas facile de les reconnaître...

Etonnant ce qu'on fait les basketeurs français... le syndrome des footballeurs peut-être???

[Norton]

FORMULE 1

Lewis Hamilton remporte le GP de Belgique


Image © Keystone


Lewis Hamilton (McLaren) a remporté de main de maître le Grand Prix de Belgique de Formule 1. Sous une pluie intermittente, le Britannique a devancé Mark Webber (Aus/Red Bull) et s’est emparé de la tête du Championnat du monde.
le 29 août 2010,
LeMatin.ch & les agences



Ces deux pilotes ont fait les bonnes affaires du week-end. Hamilton domine désormais l’Australien de trois unités au classement général, tandis que les trois autres hommes à la lutte pour le titre se sout loupés. Chez les constructeurs, Red Bull devance McLaren... d’un point.
Fernando Alonso (Esp/Ferrari), Jenson Button (GB/McLaren) et Sebastian Vettel (All/Red Bull) sont donc les grands perdants de l’épreuve disputée sur le circuit de Spa-Francorchamps. Le premier a quasiment fait tout faux et a dû abandonner à sept tours du but, tandis que Vettel a accroché Button et contraint le Britannique à l’abandon. Pour cette faute, l’Allemand, finalement quinzième, a été pénalisé d’un passage par les stands.
Touché par un adversaire au premier virage, Sébastien Buemi (S/ Toro Rosso) a lui aussi payé un lourd tribut à la folie du départ. Le Vaudois a dû passer à deux reprises par les box lors des trois premières rondes. Il en est ressorti en antépénultième position, avant de devoir cravacher tout au long du GP pour terminer à une modeste treizième place.
Après des qualifications calamiteuses (Kobayashi 17e et de la Rosa 22e), les Sauber se sont bien reprises en course. Le Japonais s’est fait l’auteur d’une remontée dont il a le secret et a décroché le huitième rang. Le vétéran Espagnol a pour sa part longtemps lutté pour les points avant de venir mourir à la douzième place.

[Norton]

Vuelta: Hutarovich bat Cavendish au sprint


Le Biélorusse Yauheni Hutarovich (Française des Jeux) a surpris tout le monde dimanche sur la Vuelta, remportant au sprint à Marbella (sud) la 2e étape, qui semblait promise à Mark Cavendish.

Cavendish (HTC-Columbia), battu (2e) par le coureur de Minsk, conserve néanmoins le maillot rouge de leader après cette étape de 173,7 km, entre Alcala de Guadaira et Marbella. Hutarovich, 26 ans et professionnel depuis 2007, a également "maté" au sprint l'Américain Tyler Farrar, 3e, et l'Italien Alessandro Petacchi, 4e.

Objectif atteint
"Ca peut sembler être une surprise mais ce n'est pas le cas, c'est ma cinquième victoire de la saison", a assuré le coureur de la Française des Jeux. "Je venais avec l'intention de gagner une étape, l'objectif est donc atteint". "Quand j'ai vu que j'avais gagné, je n'y croyais pas", a-t-il toutefois confié. "Mais j'ai vu que Cavendish, le leader, avait quelques difficultés et j'ai su que c'était ma chance".

"Il ne me manque rien pour être au niveau des grands sprinteurs, juste un nom et le respect de tous les coureurs. Mais je crois que je suis en train de le gagner petit à petit", a lancé Hutarovich, le moral gonflé par sa victoire.

"Jamais entendu son nom"
"Le vainqueur m'a surpris, je ne le connais pas, je n'avais même jamais entendu son nom", a reconnu l'Espagnol Oscar Freire, triple champion du monde et à une époque irrésistible au sprint. "Mais il faudra le surveiller, car il vient de battre l'un des meilleurs sprinteurs actuellement, Cavendish".

Toujours dans une chaleur étouffante, la 2e étape de cette 65e Vuelta a été longtemps animée par une échappée de quatre coureurs. Javier Ramirez Abeja, Johnnie Walker, Mickaël Buffaz et Mickaël Delage sont partis après seulement six kilomètres de course et ont eu jusqu'à 6 minutes 50 d'avance sur le peloton.

Victime d'une chute avec une fracture de la clavicule, le Français Buffaz a été contraint à l'abandon au kilomètre 73. Ses trois compagnons d'échappée ont ensuite été rejoints par Marcos Garcia Fernandez puis par le peloton, emmené par HTC-Columbia et Lampre, à seulement 12 kilomètres de l'arrivée. La Vuelta continue lundi avec une étape assez courte (157,3 km) entre Marbella et Malaga (sud).