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Red Bulls: Thierry Henry transféré pour... 1 dollar!


Image © Keystone
Thierry Henry n'a pas pesé lourd sur le marché des transferts cet été.

Thierry Henry aurait été transféré cet été du FC Barcelone aux New York Red Bulls pour la somme symbolique de 1 dollar, selon la presse espagnole. Un manque à gagner de 10 millions de francs pour le club catalan, qui ne comptait plus sur l'attaquant français.
le 10 septembre 2010
Le Matin


Combien pèse Thierry Henry sur le marché des transferts ? Réponse : 1 dollar ! C’est le montant dérisoire que les New York Red Bulls auraient versé au FC Barcelone pour le transfert de l’attaquant tricolore en juillet dernier, selon le quotidien sportif espagnol Mundo Deportivo.
Motif de cette somme symbolique ? Le club catalan, qui ne comptait plus sur son attaquant français malgré un contrat valable jusqu’en été 2011, aurait cherché à s’en débarrasser par tous les moyens pour alléger sa masse salariale. Le club new-yorkais, qui avait manifesté son vif intérêt pour s’attacher les services du meilleur buteur de l’équipe de France, aurait ainsi accepté de racheter la dernière année de contrat du joueur à condition de ne pas payer de frais de transferts.
Manque à gagner sur le marché des transferts pour le FC Barcelone, selon un audit interne : environ 8 millions d’euros (10,4 millions de francs). Soit l’équivalent du salaire que le joueur français aurait perçu au cours de sa dernière année de contrat en Catalogne.

Elle est grosse celle là......Ou alors Barcelone à vraiment des blèmes....

[chrisgaz]

Envoyé par Norton

Elle est grosse celle là......Ou alors Barcelone à vraiment des blèmes....

En fait, c est la plus part des clubs qui ont des problemes, tu ne peux pas sortir autant de millions... l argent des transfert, c est comme la bourse, c est illusoir... et bientot, ils vont se gauffrer... je crois que le club le plus endetté, c est Manchester United... a un moment donné, foot ou pas foot, les banques, sponsors et autres vont tournés les talons.... ca leur pend au nez... vivement qu ils se cassent la gueule avec autant de pognon.... perso, ca me fout les boules quand je vois les sommes engagées..

[danlos]

Envoyé par chrisgaz

je crois que le club le plus endetté, c est Manchester United... a un moment donné, foot ou pas foot, les banques, sponsors et autres vont tournés les talons....

Pas sur du tout. Manchester était sponsorisé par AIG, qui a fait faillite avec la crise des subprimes et maintenant ils sont sponsorisés par AON, une autre société d'assurance...
En plus de plus en plus de clubs sont sponsorisés par des firmes du Moyen Orient (Fly Emirates...)
Le foot draine tellement d'argent qu'il y aura toujours quelqu'un pour payer des sommes énormes.

[Norton]

Nouvelle finale de l'US Open pour Kim Clijsters








Tenante du titre et lauréate déjà en 2005, Kim Clijsters s'est qualifiée pour la finale de l'US Open de tennis, 4e et dernière épreuve du Grand Chelem, vendredi à New York grâce à sa victoire en demi-finale sur l'Américaine Venus Williams (N.3), 4e mondiale, 4-6, 7-6 (7/2) et 6-4 en 2 heures 23 minutes de jeu.

Kim Clijsters retrouvera en finale la Russe Vera Zvonareva (N.7), 8e mondiale, tombeuse de la finaliste de l'an dernier, la jeune Danoise Caroline Wozniacki (N.1), 2e mondiale, 6-4 et 6-3. Kim Clijsters et Venus Williams, double lauréate toutes les deux déjà à l'US Open, se sont livrées une grosse bataille.

Avec hargne
L'Américaine empochait la première manche en 35 minutes dans un set où l'Américaine convertissait la seule balle de break à disposition pour les deux joueuses: 6-4. C'est assez dire si le match était serré. Le 2e set voyait Kim Clijsters convertir aussi sa première balle de break pour mener 3 à 0 face à Venus Williams.

L'Américaine revenait pourtant à 3-2, mais sans confirmer cette fois le service pris à son adversaire. La Limbourgeoise reprenait ainsi ses distances (5-2). C'était sans compter sur la hargne de Venus Williams qui finissait par recoller à 5 partout. L'issue de ce 2e set devait se jouer au jeu décisif - pour la première fois entre les deux joueuses qui se sont rencontrées à 13 reprises déjà.

Jusqu'au bout
En s'y imposant aisément 7 points à 2 (avec 3 doubles fautes et un smash raté de Venus Williams), Kim Clijsters égalisait à une manche partout après 1 heure et 37 mn de jeu. Kim Clijsters réussissait le premier break (2-1) dans une 3e manche tout aussi âprement disputée et sur un court balayé par des rafales de vent.

La Limbourgeoise confirmait (3-1), mais Venus Williams rétablissait l'égalité à 4 partout. Qu'à cela ne tienne, la Belge reprenait le service de son adversaire pour ne plus lâcher la main et conclure sur son service (6-4). Kim Clijsters aligne ainsi une 20e victoire d'affilée à l'US Open.

"Je ne pensais jamais pouvoir revenir aussi à un tel niveau", avouait Kim Clijsters à chaud après sa rencontre. "Je suis très contente de me retrouver dans cette situation. J'ai essayé de concrétiser les occasions que j'ai eu sur le court. J'ai essayé de bien rentrer dans le terrain pour mettre de la pression sur Venus. C'était difficile, mais c'était un chouette match. Par moments, nous avons vraiment très bien joué. Ce sont pour des moments pareils que je suis très heureuse d'être revenue à la compétition."

Serena à l'abri
Victorieuse en 2005, ayant fait l'impasse en 2006, 2007 et 2008, elle revenait à New York l'an dernier pour l'emporter et jouera la finale de l'édition 2010 samedi. Kim Clijsters mène 5 victoires à 2 face à Vera Zvonareva, finaliste pour la seconde fois après sa finale à Wimbledon en juin dernier, mais la Russe a remporté les deux derniers duels entre les deux joueuses sur le circuit WTA, tous les deux en 2010 dont en quarts de finale à Wimbledon préciséement.

Zvonareva offre aussi à Serena Williams de conserver sa place de numéro 1 mondiale briguée par Caroline Wozniacki en cas de victoire à New York. La finale du simple dames aura lieu dans la nuit de samedi à dimanche à 1h00 du matin, heure belge. Il s'agira de la 7e finale de Grand Chelem pour Kim Clijsters et la 4e à l'US Open, un tournoi qu'elle a déjà remporté en 2005 et 2009. Ce sont d'ailleurs, ses deux seuls succès dans les tournois du Grand Chelem.

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Sentjens reconnaît s'être dopé et met un terme à sa carrière


Après avoir nié avoir eu recours au dopage lors de l'annonce de son contrôle positif à l'EPO mercredi, Roy Sentjens a reconnu vendredi sur son site internet s'être dopé et annonce mettre un terme immédiat à sa carrière. Le coureur de Milram, 29 ans, a disputé mercredi dernier sa dernière course lors de la 11e étape du Tour d'Espagne.

"Je n'ai pas demandé l'analyse de l'échantillon B, car je sais ce que cela contient", explique-t-il. "Je sais que j'ai blessé beaucoup de monde, et je veux m'excuser auprès de ce qui croyait en moi. J'ai commis des erreurs et j'en supporte les conséquences. J'ai commis la plus grosse erreur de ma carrière", raconte-t-il en détails.

Trop de pression
"Je me suis laissé submerger par la pression et les attentes que moi-même et d'autres ont placées en moi. Je voulais un contrat, j'ai une nouvelle maison, un fils, une voiture et je voulais démarrer une nouvelle vie. C'est là que j'ai fauté. En un éclair, j'ai pris la voiture, jusqu'à Barcelone. Je l'ai parquée dans le centre. J'étais prêt à faire plusieurs pharmacies où j'aurais pu trouver de l'EPO. Dès la deuxième, j'avais ce qu'il me fallait. Je suis rentré à la maison, je ne vous dis pas tout ce qui me passait par la tête. Le 16 août, j'ai eu ce contrôle. Je savais déjà que c'était foutu, mais je ne pouvais en parler à personne."

Milram a annoncé la fin de ses activités à la fin de la saison par manque de candidat repreneur après la fin du partenariat annoncé de Milram Nordmilch.

Résultat d'analyse anormal
D'origine néerlandaise né à Neerpelt et naturalisé belge en 2005, Roy Sentjens a été provisoirement suspendu mercredi suite à la réception d'un rapport en provenance du Laboratoire - accrédité par l'AMA - de Cologne indiquant un résultat d'analyse anormal (présence d'EPO recombinante) dans un échantillon d'urine prélevé lors d'un contrôle hors compétition le 16 août.

La suspension est provisoire jusqu'à ce que la Royale Ligue Vélocipédique Belge (RLVB) détermine si celui-ci a effectivement commis une infraction au Règlement Antidopage de l'UCI. En 9 années professionnelles au sein des formations Rabobank (2002-2006), Predictor-Lotto (2007), Silence-Lotto (2008), puis Milram, Roy Sentjens a décroché 4 victoires. Sa principale victoire est la semi-classique Kuurne-Bruxelles-Kuurne en 2003.

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Doublé en deux jours pour Cavendish


Mark Cavendish a pris goût à la victoire en Espagne: impressionnant vendredi à Burgos (nord), le sprinteur britannique a signé sa deuxième victoire consécutive sur la Vuelta lors de la 13e étape.

Après cette nouvelle arrivée au sprint, il n'y a pas eu de changement au classement général, l'Espagnol Igor Anton (Euskaltel) conservant le maillot rouge de leader, avec 45 secondes d'avance sur l'Italien Vincenzo Nibali et 1 min 04 sec sur l'Espagnol Xavier Tondo.

Malmené au sprint dans les premières étapes de cette 65e Vuelta, Cavendish s'est réveillé jeudi, s'adjugeant avec autorité la 12e étape. Vendredi il a remis ça, de nouveau bien lancé par un équipier. Impressionnant de facilité dans la dernière ligne droite, il a devancé le Norvégien Thor Hushovd et l'Italien Daniele Bennati.

Le Britannique s'est même permis de faire un petit saut de cabri avec son vélo au moment de franchir la ligne d'arrivée. "Tous les coureurs de l'équipe sont des passionnés, ils veulent gagner, ce n'est pas juste une question d'argent, c'est important pour eux", a souligné "Cav" à l'arrivée. "Ils veulent travailler ensemble pour franchir la ligne en tête. J'ai une place incroyable dans cette équipe et je suis très fier d'en faire partie".

"Protéger le maillot"
Après cette longue étape (196 km) entre Rincon de Soto et Burgos (nord), Anton, superbe vainqueur de la 11e étape en Andorre, reste en tête. "Tous les jours sont importants et il faut protéger le maillot", a relevé le coureur d'Euskaltel. "Par rapport aux trois étapes de montagne qui arrivent, il faudra voir au jour le jour, en espérant perdre des adversaires" en route, a-t-il souligné.

Après plus de la moitié du parcours, la Vuelta entre dans le dur. Trois étapes exigeantes vont se succéder: arrivées sur un col de première catégorie samedi (14e étape), hors catégorie dimanche (15e) et de première catégorie lundi (16e).

"Demain (samedi) commence la vraie Vuelta, il pourrait y avoir des écarts beaucoup plus importants", a avancé Xavier Tondo, en embuscade derrière Anton. Le leader cherchera dans la montagne à creuser l'écart en prévision du contre-la-montre individuel de mercredi (46 km à Peñafiel). "Si j'en suis capable j'essaierai de les distancer un peu plus mais ce ne sera pas simple", a assuré le maillot rouge.

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Deuxième finale de Grand Chelem pour Zvonareva


La Russe Vera Zvonareva, 8e joueuse mondiale, a surpris la Danoise Caroline Wozniacki, tête de série N.1, vendredi en demi-finale de l'US Open et s'est qualifiée pour sa deuxième finale de Grand Chelem consécutive après celle de Wimbledon perdue face à Serena Williams.

Zvonareva, qui s'est imposée 6-4, 6-3, doit rencontrer samedi en finale l'Américaine Venus Williams (N.3) ou la Belge Kim Clijsters (N.2). Wozniacki ne rééditera pas sa performance de l'an passé à New York, quand elle avait atteint sa première finale de Grand Chelem (défaite contre Clijsters). Serena Williams est du coup assurée de rester N.1 mondiale.

Patience
Zvonareva, qui a fêté ses 26 ans mardi, a très bien servi et a pris la Danoise à son propre jeu, couvrant parfaitement le terrain pour forcer l'adversaire à l'erreur (31 fautes directes de Wozniacki). Elle s'est aussi montrée résolument offensive, montant 13 fois au filet avec succès.

"C'était encore un peu dur avec le vent mais j'ai su être patiente et agressive, a déclaré la gagnante. Je suis satisfaite de ce que j'ai fait." "Ma première finale de Grand Chelem à Wimbledon était une grande expérience mais c'est déjà le passé, a-t-elle ajouté. Je suis dans le présent et pour l'instant, je savoure ma belle victoire. Je penserai à ma finale plus tard."

Erreurs inhabituelles
La Russe atteint la finale du dernier tournoi du Grand Chelem de la saison sans avoir perdu un set. Elle a pris le service adverse à 1-1 pour s'en aller remporter la première manche. La Danoise concédait son premier set du tournoi, elle qui n'avait concédé que 17 jeux en cinq matches, le plus faible total depuis les 14 jeux lâchés par Serena Williams pour arriver en demi-finale en 2002.

Wozniacki se montrait fébrile, commettant des erreurs inhabituelles dans les moments importants. Le vent était pourtant moins fort que les jours précédents. La Russe servait un jeu plein d'autorité pour s'adjuger le set et, dans la deuxième manche, prenait de nouveau le service de la Danoise à 1-1.

Soucis de raquette
Zvonareva, connue pour ses sautes d'humeur et de concentration, ratait toutefois une volée de coup droit très facile sur une balle de 3-1. Et Wozniacki faisait le break dans la foulée ! Mais ce n'était pas le jour de la Danoise, qui ne capitalisait pas sur ce débreak en perdant son service sur une faute directe de coup droit. A 4-2, Zvonareva cassait une corde pour la quatrième fois du match.

Après un moment de flottement, où elle a joué avec une vieille raquette que son coach avait avec lui, la Russe a dû se faire apporter des nouvelles raquettes sur le court. "Cela ne m'était jamais arrivée", a-t-elle assuré.

A la reprise après ce petit intermède, Wozniacki commettait sa 28e faute directe du match, elle qui n'en avait fait que 56 en cinq matches jusque-là, mais gardait son service. Zvonareva continuait à bien servir et enregistrait son 5e ace pour mener 5-3. Sur le jeu suivant, la Danoise concédait le match sur sa mise en jeu.

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Button le plus rapide aux premiers essais à Monza





Le Britannique Jenson Button (McLaren) a réalisé le meilleur temps de la 1re séance d'essais libres du Grand Prix d'Italie, 14e épreuve du Championnat du monde de Formule 1, vendredi matin, sur le circuit de Monza.

Avec un chrono de 1 min 23 sec 693/1000, le champion en titre a devancé de 97/1000 l'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) et son coéquipier chez McLaren, l'actuel leader du Championnat, son compatriote Lewis Hamilton.

Le Polonais Robert Kubica (Renault) a signé le 4e chrono de la matinée. Il précède son principal concurrent au Championnat, l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes, 5e), l'Australien Mark Webber (Red Bull, 6e) et l'Italien Vitantonio Liuzzi (Force India), 7e.

Les Ferrari, très ambitieuses à Monza, où elles se doivent de réaliser un bon résultat pour maintenir leurs chances de titres, se sont classées 8e et 9e, l'Espagnol Fernando Alonso devançant le Brésilien Felipe Massa. L'Allemand Michael Schumacher, sur la seconde Mercedes, est 10e.

Sans connaître les quantités d'essence précises embarquées ni les réglages testés par les écuries, qui peuvent faire varier grandement les temps au tour, il est impossible de dire si ce classement reflète exactement la valeur des concurrents et s'il sera maintenu samedi en qualifications. (belga/chds)

1e séance d'essais libres:
Jenson Button (G-B/McLaren-Mercedes) 1:23.693
(moyenne: 249,182 km/h)
Sebastian Vettel (All/Red Bull-Renault) 1:23.790
Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes) 1:23.967
Robert Kubica (Pol/Renault) 1:24.120
Nico Rosberg (All/Mercedes) 1:24.129
Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault) 1:24.446
Vitantonio Liuzzi (Ita/Force India-Mercedes) 1:24.512
Fernando Alonso (Esp/Ferrari) 1:24.543
Felipe Massa (Bré/Ferrari) 1:24.648
Michael Schumacher (All/Mercedes) 1:24.756
Nico Hülkenberg (All/Williams-Cosworth) 1:24.841
Paul di Resta (Eco/Force India-Mercedes) 1:24.923
Vitaly Petrov (Rus/Renault) 1:25.292
Sébastien Buemi (Sui/Toro Rosso-Ferrari) 1:25.318
Pedro de la Rosa (Esp/Sauber-Ferrari) 1:25.320
Kamui Kobayashi (Jap/Sauber-Ferrari) 1:25.334
Jaime Alguersuari (Esp/Toro Rosso-Ferrari) 1:25.897
Timo Glock (All/Virgin-Cosworth) 1:26.772
Jarno Trulli (Ita/Lotus-Cosworth) 1:26.898
Lucas Di Grassi (Bré/Virgin-Cosworth) 1:26.956
Heikki Kovalainen (Fin/Lotus-Cosworth) 1:27.374
Bruno Senna (Bré/Hispania-Cosworth) 1:28.256
Rubens Barrichello (Bré/Williams-Cosworth) 1:28.516
Sakon Yamamoto (Jap/Hispania-Cosworth) 1:29.870

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Hamilton le plus rapide aux derniers essais libres à Monza






Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren) a réalisé le meilleur temps de la 3-ème et dernière séance d'essais libres du Grand Prix d'Italie, 14-ème épreuve du Championnat du monde de Formule 1, samedi matin, sur le circuit de Monza.

Avec un chrono de 1 min 22 sec 498/1000, le champion 2008 et leader du classement devance Sebastian Vettel (Red Bull) et les deux Ferrari de l'Espagnol Fernando Alonso et du Brésilien Felipe Massa, trois pilotes pour lesquels le week-end italien s'annonce crucial dans l'optique du Championnat.

Le champion en titre Britannique Jenson Button (McLaren) est 5-ème. Il précède l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes, 6-ème) et l'actuel dauphin d'Hamilton, l'Australien Mark Webber, sur la seconde Red Bull (7-ème).

L'Allemand Nico Hülkenberg (Williams) a signé le 8-ème temps, le Polonais Robert Kubica (Renault) le 9-ème, et l'Allemand Adrian Sutil (Force India) le 10-ème.

La troisième session d'entraînement du samedi matin est traditionnellement bien plus révélatrice en terme de performance que les deux premières du vendredi, les écuries jouant davantage le jeu des chronos.

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Rafaël Nadal en finale de l'US Open


Rafael Nadal, N.1 mondial, s'est qualifié pour la première finale de l'US Open de sa carrière en battant facilement samedi en demi-finale le Russe Mikhail Youzhny (N.12) 6-2, 6-3, 6-4.

L'Espagnol affrontera dimanche en finale le Suisse Roger Federer (N.2) ou le Serbe Novak Djokovic (N.3).

"C'est un rêve pour moi, a-t-il réagi. Cela va être la première fois que je vais jouer la finale ici, sur le plus grand court central du monde. C'est le résultat de beaucoup de travail. Je remercie le public de New York, vous me faites me sentir comme à la maison !"

"Je sais que c'est un jour spécial aujourd'hui et je tiens à assurer les familles des victimes du 11 Septembre de tout mon soutien", a-t-il ajouté.
A 24 ans, Nadal compte huit titres du Grand Chelem mais n'a encore jamais joué le dernier match à Flushing Meadows, où il avait éliminé en demi-finales ces deux dernières années.

Il s'agira de sa troisième finale de Grand Chelem d'affilée après ses victoires à Roland-Garros et Wimbledon.

L'Espagnol devient le sixième joueur dans l'ère Open (depuis 1969) à atteindre la finale des quatre tournois du Grand Chelem (après Ivan Lendl, Stefan Edberg, Jim Courier, Andre Agassi et Federer) et le deuxième plus jeune à accomplir cet exploit (après Courier, qui avait 22 ans).

Nadal, avec un excellent deuxième service (70% de points gagnés), un grand réalisme sur ses balles de break (5 sur 8) et beaucoup de confiance en coup droit (11 gagnants), n'a quasiment jamais été en danger face à Youzhny.

"Je ne sais pas ce qui a fait la différence, a indiqué l'Espagnol. J'ai su être agressif et mon service m'a bien aidé, il marche vraiment bien depuis le début du tournoi. Mikhail était peut-être un peu plus fatigué que moi."

Le Russe a juste fendillé l'armure de Nadal dans le dernier set alors que l'Espagnol servait pour mener 5-3. Après deux heures de jeu, il se procurait sa deuxième balle de break du match et, d'un smash rageur, faisait la différence. Ce n'était que la deuxième fois du tournoi que Nadal perdait son service.

Mais Youzhny était incapable de capitaliser. Au contraire, il s'employait pour sauver une première balle de break. Après plusieurs balles de jeu, une vilaine volée de revers lui coûtait une deuxième balle de break. Nadal saisissait l'occasion pour servir pour le match et conclure en 2 h 13 min.

L'Espagnol, qui n'a pas encore gagné un titre sur dur cette saison, deviendrait le quatrième joueur de l'ère Open à réaliser le Grand Chelem (mais d'affilée) sur toute une carrière s'il gagnait l'US Open (après Rod Laver, Andre Agassi et Federer).