Toutes New sportives autres que la moto

[philguerin]

245 bornes en courant... c'est même plus que des malades... c'est de la folie furieuse!!
bon courage à eux en tout cas!!

[Norton]

Beckham exige 6 millions à la prostituée bosniaque


David Beckham n'a pas envie de plaisanter avec la récente affaire qui le lie à une prostituée bosniaque. "Becks" a attaqué Irma Nici en justice. Il exige près de 6 millions d'euros de dédommagement.




La chasse à Irma Nici est ouverte ! David Beckham exige une forte somme pour les "mensonges" propagés par Irma Nici. Cette prostituée bosniaque a reconnu avoir eu des relations tarifées avec "Becks" pour 3.750€ en une seule nuit. Sans oublier le trio avec une autre callgirl (1.760€). Cette histoire avait été rapportée en Une du magazine américain InTouch.

Plus les excuses du magazines
En plus des 6 millions d'euros demandés par David Beckham, ses avocats attendent des excuses en Une du magazine américain en question. Comme vous pouvez le voir ci-joint, une photo du couple Beckham avait été choisie pour illustrer cette drôle d'histoire.

"Elle leur a manqué de respect"
"Cette femme a fait beaucoup de mal à lui et à sa famille. Elle est allée tellement loin que David Beckham n'est pas prêt à laisser tomber l'affaire. Elle leur a manqué de respect", a avoué un proche de David Beckham au Sun. Pour rappel, les Beckham ont trois enfants: Brooklyn (11), Romeo (7) et Cruz (5).

"Elle n'a pas de preuves"
Selon Irma Nici, David Beckham l'aurait rencontrée au Parker Meridien à New York en 2007. D'après l'ami du joueur anglais des Los Angeles Galaxy dans le Sun, "Becks" n'aurait jamais pu être là à ce moment précis et la prostituée n'a aucune preuve pour avancer ses propos. (chds)

Penalty..Me fait marrer ces histoires.........

[Norton]

automobilisme

Briatore patron de Ferrari en 2011?


Image © Keystone


La nouvelle pourrait être officialisée dans les semaines à venir: l’Italien est pressenti pour remplacer Stefano Domenicali.
Luc Domenjoz - le 24 septembre 2010, 22h53
Le Matin



Ce n’est qu’une rumeur, mais elle pourrait se confirmer bientôt: Flavio Briatore serait en négociation pour devenir patron de la Scuderia Ferrari dès la fin de la saison actuelle.
Depuis le départ de Jean Todt, courant 2007, c’est l’Italien Stefano Domenicali qui a pris les rênes de l’écurie italienne. Mais, mis à part le titre remporté cette année-là par Kimi Räikkönen, la Scuderia n’a plus connu les mêmes succès qu’à l’époque du tandem Todt-Schumacher. Plusieurs erreurs de gestion ont notamment entaché ces dernières saisons. Luca di Montezemolo, le président de Ferrari, semble très mal tolérer ces errements et il chercherait désormais à mettre un homme fort à la tête de la Scuderia.
Trois visites à Maranello
C’est Flavio Briatore qui semble avoir les faveurs du président. Ex-patron de l’écurie Renault, l’Italien est passé maître dans l’art de mener des écuries au succès (lire ci-contre). Ces dernières semaines, il a rendu non moins de trois visites à l’usine Ferrari de Maranello. Et, lors du dernier Grand Prix d’Italie, à Monza, il a passé le samedi dans le stand de la Scuderia.
Flavio Briatore, par ailleurs, connaît particulièrement bien Fernando Alonso, le pilote vedette de Ferrari, dont il est le manager depuis près de dix ans et qu’il a mené au titre mondial à deux reprises, en 2005 et 2006.
Preuve supplémentaire de la fin de l’époque Todt, l’écurie ART de Nicolas Todt, le fils de l’ex-patron de la Scuderia, semble sur le point de s’associer avec Lotus – un constructeur concurrent de Ferrari sur le marché des voitures de luxe.
Flavio Briatore pourrait ainsi se voir nommer directeur de la «gestion sportive» de Ferrari à la fin de la saison. Pour le flamboyant Italien, ce serait une belle revanche après son exclusion de la F1 décidée l’an dernier par la Fédération internationale de l’automobile (la FIA), dont le président actuel n’est autre que… Jean Todt. La boucle serait alors bouclée.



Flavio Briatore le flamboyant
C’est en 1988 que Flavio Briatore fait sa première apparition dans un paddock, invité par Luciano Benetton à assister au Grand Prix d’Australie.
L’année suivante, le patron du groupe textile lui demande de redresser la barre de l’écurie qu’il vient de racheter. L’Italien ne tarde pas en faire une société rentable grâce aux sponsors et aux partenaires qu’il déniche.
En 1991, il parvient à engager Michael Schumacher. La spirale du succès est enclenchée. Son écurie remporte le titre mondial en 1994, puis en 1995.
En 1996, l’Italien compte trois écuries dans son portefeuille: Benetton, Ligier – qu’il a rachetée à Guy Ligier et qu’il revendra l’année suivante à Alain Prost – et Minardi, dont il a acquis quelques parts.
Lassé du rythme de la F1, Flavio Briatore quitte pourtant les paddocks fin 1998 avant de revenir en 2000, lorsqu’il accepte de diriger l’équipe que Renault vient de lancer. Grâce à lui, la marque française remporte le titre mondial en 2005, puis en 2006 avec Fernando Alonso.
Exclu de la F1 l’an dernier suite à la tricherie du Grand Prix de Singapour 2008 (où il avait demandé à son pilote Nelsinho Piquet de foncer dans un mur pour favoriser Fernando Alonso), Flavio Briatore a gagné le droit d’y revenir devant les tribunaux civils. Le moment de prendre sa revanche semble arrivé…
L. D.

[Norton]

KITZBÜHEL

Albrecht et la Streif: «Je sais que je reviendrai un jour»


Image © Keystone


Daniel Albrecht est retourné sur la Streif de Kitzbühel pour la première fois depuis son accident du 22 janvier 2009. Il a regardé la piste et déclaré ne pas avoir ressenti de peur.
le 24 septembre 2010, 17h59
LeMatin.ch & les agences


«En regardant la piste, j’étais calme. Je n’ai pas ressenti de peur ou d’autres mauvaises impressions», a commenté le Valaisan, en tournée promotionnelle avec son équipementier.
Le skieur de Fiesch était déjà revenu à Kitzbühel, à l’occasion d’une conférence de presse en janvier dernier. Mais il n’était pas retourné sur la piste. «Même s’il n’y a pas encore de neige, j’ai pu me représenter le tracé et imaginer les portes», a continué Albrecht, qui était notamment accompagné par son coéquipier Carlo Janka.
Plongé dans le coma artificiel pendant trois semaines après son crash sur le saut final de la Streif, Albrecht ne sait toujours pas quand il pourra reprendre la compétition. «Je sais que je reviendrai un jour. Mais je ne sais pas encore quand», a-t-il une nouvelle fois affirmé.

[Norton]

GP de Singapour: Vettel le plus rapide aux seconds essais





L'Allemand Sebastian Vettel (Red Bull) a réalisé le meilleur temps de la 2e séance d'essais libres du Grand Prix de Singapour, 15e épreuve du Championnat du monde de Formule 1, vendredi soir sur le circuit urbain de Marina bay.

Avec un chrono de 1 min 46 sec 660/1000, Vettel, 5e du classement des pilotes, devance de 627/1000 son coéquipier australien Mark Webber, le leader du Championnat, que suivent les trois autres prétendants au titre: les Britanniques de McLaren Jenson Button (3e) et Lewis Hamilton (5e), ainsi que Fernando Alonso (4e).

L'Espagnol, qui semblait en passe d'améliorer le temps de Vettel, a dû s'arrêter aux deux tiers de la séance au milieu d'un tour rapide, vraisemblablement sur incident mécanique, pour rentrer aux stands à pied.

Le Brésilien Rubens Barrichello (Williams) est 6e, devant son compatriote Felipe Massa (Ferrari, 7e), l'Allemand Nico Rosberg (Mercedes, 8e), le Polonais Robert Kubica (Renault, 9e) et l'Allemand Michael Schumacher (Mercedes, 10e), ces cinq pilotes faisant figure de challengers. Le Brésilien Lucas Di Grassi, qui a succédé à Jérôme d'Ambrosio dans le baquet de la 2e Virgin-Cosworth, a réalisé comme lui le 21e temps sur 24.

Sans connaître la quantité d'essence précise embarquée ni les réglages testés par les écuries, qui peuvent faire varier grandement les temps au tour, il est impossible de dire si ce classement reflète la valeur des concurrents et s'il sera maintenu samedi en qualifications

[nofoot]

Envoyé par Norton

Beckham exige 6 millions à la prostituée bosniaque


David Beckham n'a pas envie de plaisanter avec la récente affaire qui le lie à une prostituée bosniaque. "Becks" a attaqué Irma Nici en justice. Il exige près de 6 millions d'euros de dédommagement.




La chasse à Irma Nici est ouverte ! David Beckham exige une forte somme pour les "mensonges" propagés par Irma Nici. Cette prostituée bosniaque a reconnu avoir eu des relations tarifées avec "Becks" pour 3.750€ en une seule nuit. Sans oublier le trio avec une autre callgirl (1.760€). Cette histoire avait été rapportée en Une du magazine américain InTouch.

Plus les excuses du magazines
En plus des 6 millions d'euros demandés par David Beckham, ses avocats attendent des excuses en Une du magazine américain en question. Comme vous pouvez le voir ci-joint, une photo du couple Beckham avait été choisie pour illustrer cette drôle d'histoire.

"Elle leur a manqué de respect"
"Cette femme a fait beaucoup de mal à lui et à sa famille. Elle est allée tellement loin que David Beckham n'est pas prêt à laisser tomber l'affaire. Elle leur a manqué de respect", a avoué un proche de David Beckham au Sun. Pour rappel, les Beckham ont trois enfants: Brooklyn (11), Romeo (7) et Cruz (5).

"Elle n'a pas de preuves"
Selon Irma Nici, David Beckham l'aurait rencontrée au Parker Meridien à New York en 2007. D'après l'ami du joueur anglais des Los Angeles Galaxy dans le Sun, "Becks" n'aurait jamais pu être là à ce moment précis et la prostituée n'a aucune preuve pour avancer ses propos. (chds)

Penalty..Me fait marrer ces histoires.........

tient ca me rapelle une autre affaire avec des footballeurs il joue +avec leur B...ES que le ballon

[medol]

Loeb : "Il faudra passer à autre chose..."

Dans l'entretien qu'il nous a accordé jeudi à Paris, Sébastien Loeb nous a déclaré qu'il envisageait "peut-être" d'arrêter sa carrière fin 2011. Le plus grand pilote français de tous les temps, 36 ans, tout près d'un septième sacre au moment où paraît son autobiographie, a une idée pour l'après-WRC.

Pourquoi avoir décidé de raconter votre vie dans un livre ? Et qu'est-ce que les lecteurs vont y trouver ?

Sébastien Loeb : Je suis parti du principe que si on écrit quelque chose, autant dire la vérité. Je n'ai pas fait un livre pour raconter des conneries. Ce qui y est écrit est VRAI. J'y raconte assez ouvertement ma vie. Je n'ai pas brodé une belle histoire pour dire que c'est une belle histoire. J'ai toujours été honnête et j'ai voulu continuer dans cette lignée.

Quel en est le fil conducteur ?

S.L. : La passion de la vitesse... Et puis, la franchise dans la rédaction. Je n'ai rien caché.

On connait votre réussite personnelle. Elle est doublée de la satisfaction d'avoir dépoussiéré l'image de Citroën, d'en avoir plus précisément forgé une image de marque sportive…

S.L. : Ce n'est pas que moi qui ai fait ça. C'est vrai que j'y ai contribué parce qu'il y a eu un ensemble de choses, et avant tout une super évolution de la gamme. Et parallèlement à ça une implication de la marque en championnat du monde ; avec moi, en tant que pilote français, etc… Ça fait une belle histoire. J'y ai contribué et c'est une réelle fierté.

Le Rallye de France va être une immense fête…

S.L. : J'espère !

C'est une certitude…

S.L. : Pour vous oui, pour moi non (rire) !

Auriez-vous un conseil à donner aux gens qui vont venir vous voir ? Une spéciale à leur recommander, un endroit particulier où se placer ?

S.L. : Honnêtement, je ne connais pas les spéciales. Je n'en ai pas le souvenir. Je sais que l'on va repasser dans des spéciales que j'ai parcourues en 1997, soit au Vignobe alsacien soit au Florival, qui était mon premier rallye. Je sais aussi que l'on va refaire la première spéciale de ma vie, qu'il y aura certaines spéciales de l'Alsace-Vosges, mais je ne les ai pas en tête. J'ai de vagues idées d'où ça passe, mais je ne peux pas donner de conseils.

Vous avez dit récemment : "La fin approche". Vous avez même déclaré dans la presse : "La bonne nouvelle est que je ne reviendrai plus jamais au Japon puisque le rallye n'est pas au calendrier en 2011" . Mais on ne connait pas le calendrier 2012… Est-ce que ça veut bien dire que vous allez prendre votre retraite fin 2011 ?

S.L. : (Petit temps de réflexion) Heu, je ne sais pas… En fait, j'ai toujours marché au feeling. Je me dis que je ne vais pas continuer éternellement, et que si ça m'a échappé comme ça, c'est que je vais faire 2011, et que pour la suite, je pense aujourd'hui que - peut-être - j'arrêterai après. Mais bon, en 2003 j'ai dit à ma mère : "Encore deux ans et c'est terminé !" Je marche au feeling. Si je suis dans le même état d'esprit fin 2011 qu'aujourd'hui, je continuerai. Mais il y a bien un moment où il faudra passer à autre chose.

Vous voyez-vous stopper en douceur, en programmant sur une saison trois ou quatre épreuves qui vous sont chères ?

S.L. : Non.

Le Rallye de France aura lieu en Alsace en 2010, 2011 et 2012… Vous voyez-vous débloquer une DS3 supplémentaire pour une apparition exceptionnelle ?

S.L. : C'est une question que je ne me suis pas posée ! Dans ma façon de voir les choses, quand on arrête, on arrête ! Je suis le premier à dire : "C'est une connerie de revenir après un an de retraite." Un rallye dans l'année, pourquoi pas ? Mais si c'est pour que tout le monde attende qu'on soit affûté à mort, qu'on gagne, ce n'est pas la peine. Si on sort de nulle part pour ne finalement rien faire, je pense que ça, ce n'est pas bien ! Vraiment, quand on arrête il faut savoir faire autre chose.

Justement, la C4 sera-t-elle bonne pour le musée à la fin de l'année ? On se souvent que Peugeot avait recyclé avantageusement une 405 pour courir le Pikes Peak en 1990 avec Vatanen… Ce challenge très spécial, hors norme, avait beaucoup étonné, épaté les amateurs de sport auto en France…

S.L. : Ce sont de bonnes idées ! Mais je n'y ai pas réfléchi… Il peut y avoir des choses à faire… Cependant, je ne suis pas sûr que, pour l'instant, ça corresponde à l'image de la marque. Citroën est bien installé dans le championnat du monde des rallyes, et tout se passe bien. La marque communique là-dessus.

Et les 24 heures du Mans, avec Peugeot ?

S.L. : C'est une possibilité. Aujourd'hui, je n'ai pas préparé ma reconversion. Je pense à des choses différentes : je me suis investi dans PH Sport parce que ça me procure du plaisir de manager sur un rallye, de m'occuper de jeunes pilotes.

Et s'associer avec Daniel Elena pour organiser, comme il le fait déjà, un événement sportif ?

S.L. : Non, vraiment, je ne pense pas. En fait, j'aurai toujours besoin de courir après le rallye. Je pense aujourd'hui plus au circuit, mais pas forcément les 24 heures du Mans. Il y a plein de disciplines intéressantes en auto, et pas nécessairement internationales.

Avez-vous été surpris par la compétitivité de Sébastien Ogier sur la terre et ne préféreriez-vous pas que la concurrence vienne plutôt de l'extérieur ?

S.L. : Une concurrence extérieure serait effectivement plus facile à gérer que mon propre équipier qui vient de battre devant. En fait, c'est une situation à laquelle je n'ai pas été confronté : je me suis toujours plus ou moins retrouvé pilote N.1 à un moment de la saison après l'avoir attaquée à égalité de statut, que ce soit avec Sordo, McRae, Sainz ou Ogier. C'est vrai qu'aujourd'hui, il a l'air d'avoir prouvé un potentiel qui fait effectivement de lui un pilote dangereux…

Beaucoup de rallyes "asphalte" sont programmés début 2011. Comment l'équipe va-t-elle le vivre en interne si Ogier prend un meilleur départ que vous ?

S.L. : Je ne sais pas… Certains disent qu'il ne faut pas faire la saison de trop. Mais il n'y a pas de honte à se faire battre par Ogier, qui a prouvé être capable d'aller plus vite que tout le plateau sur la terre. J'espère que ce sera une belle bagarre !

Valentino Rossi est venu au rallye et il a mesuré à quel point c'était difficile, de même que Kimi Räikkönen. Ces gens-là ont finalement rendu un énorme service au rallye, et à vous aussi, en replaçant le WRC au même niveau d'estime que la F1 ou la MotoGP…

S.L. : C'est vrai. Ces pilotes sont des références, de vraies valeurs, même si pour Rossi c'est un peu différent. Räikkönen arrive de la F1, la discipline reine en automobile, et il a pris un peu… ça prouve que ce n'est pas donné à tout le monde. Räikkönen est indéniablement un très bon pilote vu ce qu'il a fait en F1, mais le rallye demande d'autres compétences. C'est comme si moi, demain, je viens en F1, il y aura forcément des choses difficiles. Autant c'est faisable de rouler dans une F1, autant se battre en peloton, sur une grille de départ, demande une expérience que je n'ai pas.

Vous avez été un temps le s0portif le plus apprécié en France avant d'être détrôné par le rugbyman Sébastien Chabal. Est-ce que sa popularité de vous perturbe ? Il a développé une image dans un registre assez différent du vôtre…

S.L. : Si ça me perturbe ? Pas du tout ! Dire qu'il est plus populaire que moi, je ne sais pas, car ce n'est qu'une enquête. Et puis, un coup c'est moi qui suis devant, un coup c'est lui, ce que je trouve très bien. Surtout, je ne suis pas en compétition pour être le plus populaire. J'aime bien ce qu'il fait. Et puis, je suis un peu obligé de dire ça car il est quand même baraqué, non ? (rire)

[medol]

Alonso de plus en plus fort

Fernando Alonso (Ferrari) a décroché la pole samedi à Singapour, où Sebastian Vettel (Red Bull) a un peu craqué. Le N.1 mondial Mark Webber (Red Bull) n'a pas su hausser son niveau et s'est fait déborder par les McLaren. Felipe Massa (Ferrari) a rencontré un problème en Q1 et partira 24e.

L'enseignement des deux derniers Grands Prix est sans appel : Ferrari gère bien mieux la période décisive du championnat que Red Bull. Après Monza, la Scuderia a décroché samedi dans l'urbanité nocturne de Singapour sa seconde pole position d'affilé, à l'occasion de la 15e manche du Mondial. Laminée le 1er août dernier sur le Hungaroring, un circuit lent réclamant de forts appuis aérodynamiques, la Ferrari F10 a cette fois relevé le défi technique proposé par la Red Bull RB6. De plusieurs façons. Aux améliorations techniques apportées depuis cette claque reçue par Maranello, s'est ajoutée depuis l'interdiction faite à Red Bull d'utiliser son aileron avant et son bec de fond plat flexibles. Et puis, les Rouges ont fait preuve d'un certain sang froid.
Dns le money time, Fernando Alonso a relaté un problème de cartographie moteur, peut-être du genre de celui ayant entraîné l'arrêt prématuré de l'autre rossa de Felipe Massa, en tout début Q1. Bien servi en mécanique, Vettel a aligné des tours imparfaits et Webber s'est montré incapable de trouver la demi-seconde manquante pour faire honneur à son rang de N.1 mondial. Les machines autrichiennes avaient pourtant dominé tous les entraînements sur la Marina Bay.

Vettel et sa qualification "foireuse"

"Ce ne fut pas facile parce que nous n'avions pas beaucoup roulé sur une piste complètement sèche", a fait remarquer Fernando Alonso, stoppé à 20 minutes de la fin des essais libres 2, vendredi, par une défaillance de sa boîte de vitesses. "Durant les précédentes séances, certaines portions du circuit étaient humides. Nous avons donc débuté la qualification en n'étant pas à 100 pour cent confiant dans la voiture et dans certains virages. Mais j'ai pris progressivement confiance en Q1 puis en Q2 pour attaquer à la limite en Q3. Mes deux trains de pneus ont parfaitement fonctionné et mes temps étaient similaires durant les deux tours lancés en Q3", a ajouté le double champion du monde, auteur de la 20e position de pointe de sa carrière.
"Nous avons connu une séance de qualification assez foireuse", a pesté Vettel, recalé pour 0.067 sec. "Pourtant les essais libres s'étaient bien déroulés. Mais samedi après-midi, nous n'avons pas réussi à être dans le rythme. Il y avait un peu de trafic et je n'ai tout simplement pas réussi à performer sur un tour comme j'ai pu le réussir lors des essais libres. En Q3, je n'ai pas bien jugé l'écart avec la voiture devant moi lors de mon premier tour lancé. Après seulement trois ou quatre virages, j'étais déjà dans les échappements de Michael [Schumacher]. Lors de mon deuxième tour lancé, j'ai bien débuté mais dans le secteur 2, j'ai légèrement touché le mur à la sortie d'un virage et j'ai perdu du temps. Ensuite, il était trop tard pour reprendre ce temps dans le secteur 3. Je pense qu'on avait la voiture pour être en pole position. Comme l'a dit Fernando, il a réussi à tirer le maximum de sa voiture, ce que nous (il corrige), ce que je n'ai pas réussir à faire."

Petrov à la faute

Sebastian Vettel ne supporte clairement pas la pression cette année et son équipier Mark Webber visiblement de moins en moins. Néanmoins, son échec a été moins visible car plus technique. L'Australien, repassé leader du championnat du monde à Monza, a réalisé sa plus mauvaise Q3 depuis le 2e Grand Prix de la saison en se classant 5e à 0.587 sec du poleman, derrière les McLaren de Lewis Hamilton et Jenson Button.
Lors de cette séance, Renault a encore eu des difficultés à concrétiser les promesses belges du F-duct : Robert Kubica n'a pu faire mieux que 8e. Aussi, Vitaly Petrov a connu un échec sans doute rédhibitoire. Le Russe, stoppé par un mur en Q2, n'a une nouvelle fois pas rassuré sur sa capacité à tenir le second volant de la R31 en 2011. En revanche, le nouvel environnement de Singapour a profité à Michael Schumacher (Mercedes), dans le top 10 pour la première fois depuis Silverstone. En milieu de tableau, Force India a largement perdu son match contre Toro Rosso, qui a égalé sa meilleure qualif 2010 avec Jaime Alguersuari (11e), et Sauber.

[Norton]

Merci Medol de participer à ce post, c'est quand tu veux.....

[medol]

y'a pas de soucis ! C'est toujours avec grand plaisir !

Fernando Alonso s’impose à Singapour

Fernando Alonso a réalisé une excellente opération dans la course au titre en remportant son quatrième Grand Prix de la saison.
Fernando Alonso (Ferrari) a été solide, ce dimanche, s’adaptant à des circonstances très particulières et en résistant à un Sebastian Vettel (Red Bull) qui ne s’est jamais résigné. Mis sous pression par l’Allemand, le pilote Ferrari a tenu bon durant deux heures de course très éprouvante. La double apparition de la voiture de sécurité n’y aura rien changé, le natif d’Oviedo ayant réussi à garder les commandes et à recreuser l’écart à chaque fois.

En revanche, la voiture de sécurité aura changé la physionomie de la course pour d’autres pilotes. A mi-course, après le ravitaillement des leaders (Alonso, Vettel, Hamilton, Button), Kamui Kobayashi (Sauber) s’est raté dans un virage, s’arrêtant en plein dans l’angle du virage n°18. Quelques secondes plus tard, Bruno Senna (HRT) percutait la Sauber, déclenchant la sortie de la voiture de sécurité.

Juste avant cet accident, les pilotes McLaren avaient mal joué tactiquement. En changeant de pneus, les deux Britanniques se sont retrouvés derrière Mark Webber (Red Bull), ce dernier ayant changé de gommes en tout début de course, lors de la première apparition de la safety car.

Quatrième après l’effacement - pour la deuxième fois - de la voiture de sécurité, Lewis Hamilton a alors tenté de reprendre Mark Webber, pour rattraper l’erreur stratégique de l’arrêt au stand. Profitant d’une erreur de l’Australien, Hamilton a pris l’avantage sur le pilote Red Bull, avant de se faire sortir par Webber, qui n’a pas souhaité laisser un pouce de terrain à son rival, contraint à l’abandon.

La fin de course s’est alors résumée à un duel Alonso-Vettel pour la première place et Webber-Button pour la troisième, avant vingt secondes d’intervalle entre les deux duos. Mais c’est Robert Kubica (Renault) qui s’est révélé être le grand animateur des derniers tours. Arrêté une deuxième fois au stand en raison d’une crevaison suspectée alors qu’il était sixième, il a ensuite repris Jaime Alguersuari (Toro Rosso), Vitaly Petrov (Renault), Felipe Massa (Ferrari), Nico Hülkenberg (Williams) et Adrian Sutil (Force India), profitant de ses pneus frais pour revenir au septième rang.

Malgré un suspense intense dans les derniers tours en raison de l’énorme pression de Sebastian Vettel, Fernando Alonso a remporté sa quatrième victoire de la saison. Il fait la bonne affaire du week-end, alors que Mark Webber assure l’essentiel pour conforter sa première place au général. Quatrième à Singapour, Jenson Button reste dans la course, tout comme Lewis Hamilton mais ce dernier, en abandonnant une deuxième fois consécutive, a grillé son ultime joker.

Pour le moment, le pilote Espagnol respecte parfaitement son plan !

La magnifique Mercedes SLS AMG en piste...

Nick Heidfeld s'est vite eclipsé pour sa première course cette année.

Klien remplaçait au pied levé Yamamoto et a dominé Bruno Senna.

Abandon spectaculaire pour Kovalainen !


ça sent mal là !

Là c'est pas que ça sent mal ; c'est que ça va mal ! (abandon entre Kobayashi et Senna)

Départ