Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Un champion du monde de voltige se tue avec sa famille

Le champion du monde 2009 de voltige aérienne, Renaud Ecalle, s'est tué dimanche dans le sud de la France dans un accident d'avion à bord duquel se trouvait également sa femme et leurs deux enfants, a-t-on appris lundi auprès des autorités locales.

L'avion de tourisme que pilotait le champion, un Jodel DR-1050, a été retrouvé lundi au nord-ouest de la ville de Lodève après avoir disparu dimanche à 19H30, quand la tour de contrôle de Montpellier a perdu son contact.

Les secours n'ont pu que constater le décès des quatre occupants, a expliqué le sous-préfet de Lodève, Christian Ricardo. Renaud Ecalle revenait d'un meeting aérien à Jonzac, où il avait réalisé une démonstration de voltige, et retournait sur sa base militaire à Salon-de-Provence où il est capitaine de l'armée de l'Air.

Les causes de l'accident n'étaient pas encore connues lundi mais le département de l'Hérault, où l'avion s'est écrasé, était dimanche en alerte météo en raison des fortes précipitations et des rafales de vent attendues.

Pilote de l'équipe de voltige de l'armée de l'Air, ancien pilote de chasse sur mirage F1, Renaud Ecalle a été sacré champion du monde de voltige en 2009 et champion d'Europe 2010.

[Norton]

Tour de Suisse 2011: Crans-Montana comme unique arrivée romande

CYCLISME | Il ne faudra pas être allergique à la montagne pour disputer le Tour de Suisse 2011. Les organisateurs ont dévoilé le parcours complet pour l'année prochaine. Il ne comporte par moins de quatre arrivées en côte en neuf jours.


© KEYSTONE-a | En 2009, Crans-Montana avait déjà accueilli une arrivée du Tour de Suisse.



SI | 04.10.2010 |


Il ne faudra pas être allergique à la montagne pour disputer le Tour de Suisse 2011. Les organisateurs ont dévoilé le parcours complet pour l'année prochaine. Il ne comporte par moins de quatre arrivées en côte en neuf jours. Crans-Montana constituera l'unique halte romande de la boucle nationale.
Le classement général sera rapidement dessiné puisqu'au lendemain de la première étape à Lugano (contre-la-montre) suivra une première étape de montagne à Crans-Montana (via le Nufenen) suivie elle-même par une deuxième étape en côte à Grindelwald avec sans doute le Grimsel et la Grande Scheidegg.
Les non-grimpeurs pourront respirer les deux jours suivants à Huttwil et à Tobel-Tägerschen, charmant bourg thurgovien. Mais le répit sera de courte durée avec le jeudi 16 juin la terrible ascension de Malbun au Liechtenstein. Pour en terminer avec les massifs alpins, le peloton rejoindra la station tyrolienne de Serfaus qui avait vu la victoire de Michael Albasini devant Fabian Cancellara qui avait assuré ce jour-là une bonne partie de sa victoire finale en 2009.
Le Tour de Suisse 2011 connaîtra son épilogue à Schaffhouse avec l'arrivée d'une étape en ligne puis le contre-la-montre final le dimanche 19 juin.
Tour de Suisse 2011. Le plan des étapes. 11 juin, 1re étape: Lugano - Lugano (contre-la-montre ou étape en ligne). 12 juin, 2e étape: Airolo - Crans-Montana. 13 juin, 3e étape: Brigue-Glis - Grindelwald. 14 juin, 4e étape: Grindelwald - Huttwil.15 juin, 5e étape: Huttwil - Tobel-Tägerschen/TG. 16 juin, 6e étape: Tobel-Tägerschen - Malbun/Lie. 17 juin, 7e étape: Vaduz/Lie - Serfaus/Aut. 18 juin, 8e étape: Tübach - Schaffhouse. 19 juin, 9e étape: contre-la-montre Schaffhouse - Schaffhouse.

[Norton]

Football, EdF, Interview, L. Blanc

• 
• 
• 
• 
• 

«Le milieu, notre force»

Laurent Blanc veut que les Français se décomplexent au Stade de France face à la Roumaine (Panoramic) Face à la Roumanie samedi, Laurent Blanc a laissé sous-entendre qu’il pourrait de nouveau s’appuyer sur le milieu aligné face à la Bosnie. Mais dans son premier point presse à Clairefontaine, le sélectionneur a surtout insisté sur l’amélioration de la préparation mentale avant de retrouver le Stade de France.
par Rédaction Sport24.com, le 04-10-2010

Laurent Blanc, tout d’abord, avez-vous des nouvelles d’Abou Diaby, touché à la cheville droite contre Chelsea, dimanche ?
Laurent Blanc : Son état est plutôt rassurant. D’après les premières constatations, rien d'inquiétant. Même s'il a toujours mal à la cheville.
Avez-vous eu des nouvelles d’Hatem Ben Arfa ?
Laurent Blanc : J'ai vu sa blessure. Elle est grave et il va lui falloir de la patience. C’est dommage car il venait d’arriver dans un nouveau club, avec une période d’adaptation. On va lui transmettre nos messages d'encouragement et de prompt rétablissement.
Vous souhaitez recruter un préparateur mental pour les Bleus, pourquoi ?
Laurent Blanc : Oui, je voulais déjà le faire à Bordeaux. Je le cherche depuis longtemps car c’est quelqu’un qui peut apporter quelque chose. Mais il faut que ce soit la bonne personne avec le bon mode d’emploi. C'est plus facile d’avoir ce rôle en club. Il faut aider les joueurs à mieux maîtriser les matches, notamment lorsqu’il y a de l’enjeu. On a beaucoup de candidatures…
Est-ce pour décomplexer les joueurs d’évoluer au Stade de France que vous souhaitez multiplier les entraînements là-bas ?
Laurent Blanc : S'entraîner la veille au Stade de France fait effectivement partie de cette idée. S'il était plus près de Clairefontaine, on le ferait plus souvent. C’est important pour les joueurs de découvrir et mieux connaître ce stade là afin de mieux maîtriser leur environnement. On ira aussi le dimanche aussi pour le décrassage. Il faut que cette enceinte devienne LE stade de l'équipe de France.
N’est-ce tout simplement pas par une victoire que les joueurs s’approprieront ce lieu ?
Laurent Blanc : Une victoire aiderait à mieux connaitre le stade, oui. Mais on ne doit pas aller là-bas sans le connaître. J’espère que les joueurs vont prendre l'habitude de jouer dans ce stade et que cela ne soit pas un problème pour eux d’y évoluer. Cela doit devenir un plaisir. On ne va pas se cacher derrière ce facteur, mais il est possible que face à la Biélorussie, l'environnement ait joué. Des stades chargés d'Histoire peuvent vous faire perdre une partie de vos moyens.
Dans quel état d’esprit pensez-vous que la Roumanie va évoluer ?
Laurent Blanc : Les Roumains, je ne peux pas dire. Mais, nous, nous jouerons pour gagner. Et ce sera notre cas samedi. Sans doute le leur aussi.
Oui, mais ce match, c’est un peu leur dernière chance en vue d’une qualification…
Laurent Blanc : La dernière chance pour la Roumanie ? Je ne crois pas. Ni pour la Roumanie, ni pour l'équipe de France. Le gagnant aura un avantage certain mais il restera encore pas mal de matches après.
Samir Nasri et Yoann Gourcuff seront-ils alignés dans le onze de départ ?
Laurent Blanc : Vous vous focalisez beaucoup sur ces deux joueurs. Je ne suis pas comme vous. L'idée est d'être le mieux préparé possible et mon souci est de bien les faire récupérer. Je veux avant tout aligner la meilleure équipe possible. S’ils méritent de jouer, ils joueront. Les deux ou un, ou zéro.
Etes-vous inquiet des récentes performances de Yoann Gourcuff ?
Laurent Blanc : Yoann n'a pas changé. Il reste toujours aussi beau pour les dames (rires) ! Il a vécu un transfert un peu tardif. Laissons-lui du temps pour qu'il s'acclimate à son nouveau club. Il ne peut pas avoir perdu ses qualités en deux ou trois mois.
Allez-vous tenter de vous appuyer sur le même milieu de terrain que celui qui a donné satisfaction en Bosnie ?
Laurent Blanc : Je vais voir pour le milieu de terrain… Je dois prendre beaucoup d’informations sur la forme physique de chacun des joueurs. Tout cela en tenant compte de la manière de jouer face à la Roumanie. Mais c’est vrai que le milieu a été la grande force de l'équipe de France en Bosnie.
Savez-vous à qui allez-vous confier le brassard de capitaine ?
Laurent Blanc : Je ne sais pas. Il est possible que ce soit quelqu'un qui l'ait déjà porté. Ou un autre... Nous disposons d’un peu de temps pour y réfléchir. Je veux voir le comportement du joueur vis-à-vis de son groupe avant de me décider.
Certains joueurs comme Lassana Diarra et Karim Benzema sont arrivés avec du retard au rassemblement. Comment avez-vous réagi ?
Laurent Blanc : Qui est arrivé en retard ? Les joueurs du Real. Ça fait deux joueurs en tout. Karim n'a pas joué hier. Il aurait donc dû être à l'heure ce matin... On va s'en occuper. La dernière fois, on avait décidé de reculer le rendez-vous. Mais même à 12h30, certains sont toujours en retard. On va faire en sorte de régler le problème en interne. Mais vous serez au courant car vous savez tout. Ça m'agace mais c’est comme ça..

[Norton]

Sébastien Loeb, itinéraire d’un surdoué

Maxime Mianat 05/10/10 à 07h43

Retour sur le destin du septuple champion du monde, de sa femme, Séverine, aux ronds-points alsaciens.
Sebastien Loeb © SIPA L’avoir vu, ce week-end, remporter son septième titre de rang de champion du monde chez lui, à Haguenau, en Alsace, est tout sauf anecdotique. Sébastien Loeb, malgré ses victoires aux quatre coins du monde depuis 2004, n’a jamais oublié ses racines. Le succès n’a pas changé l’Alsacien, qui est resté un homme simple et ouvert, comme le décrivent à longueur d’entretiens ses amis et sa famille.
Sa femme, Séverine, fille d’un concessionnaire automobile, est l’un de ses soutiens les plus fidèles. « Dès qu’il monte sur quelque chose qui a un moteur, il va plus vite que tout le monde », raconte-t-elle dans l’autobiographie de son époux, Ma ligne de conduite, sortie en septembre. Loeb sait ce qu’il lui doit : « Pour un rustre de mon espèce, j’ai trouvé en elle un complément salvateur. Elle m’a toujours encouragé, soutenu, épaulé dans tout ce que j’ai entrepris. »
Elle fut la première à sauter dans ses bras, dimanche, quelques secondes après l’avoir arrosé de champagne. Nous étions alors à deux kilomètres de l’hôtel de ville d’Haguenau et Sébastien Loeb commençait tout juste son pèlerinage. « C’était vraiment un moment magique, expliqua-t-il après coup. Tous les habitants des villages traversés étaient au bord des routes, des gamins en poussette aux anciens. Cet hommage du public m’a énormément touché, comme le fait d’avoir pu faire autant d’heureux. » Au total, plus de 50.000 spectateurs se sont déplacés pour assister aux deux spéciales de la journée. Une vraie ruée vers Loeb.
« Un goût immodéré pour la vitesse et l’aventure »

Le pilote a parcouru beaucoup de chemin depuis sa naissance, le 26 février 1974. Elève moyen, il brille en mathématiques et en physique mais s’ennuie en histoire. Influencé par son père, ancien gymnaste, il s’initie à la gymnastique, où son goût pour la compétition fait déjà des ravages : quatre titres régionaux et une dixième place aux Championnats de France benjamins. Mais sa décision de ne pas partir en sport-études changera sa vie : se rendant alors compte qu’il ne peut plus rivaliser avec les meilleurs, il plaque tout du jour au lendemain !
C’est à moto qu’il passera le reste de son adolescence. Sa passion. « Dès le plus jeune âge, je cultive un goût immodéré pour la vitesse et l’aventure. Il faut dire que je n’ai jamais été réfréné dans mes ardeurs. Papa (décédé en 2005, NDLR) les a même d’une certaine manière encouragées, au grand désarroi de maman. » Il chasse les ronds-points pour y optimiser sa technique de pilotage, accélérant lors des virages, fuyant la police lorsqu’elle s’approche de trop près. Loeb, après deux ans passés à multiplier les petits boulots en Allemagne, décroche un BEP électrotechnique en alternance. Devenu électricien à la Socalec, une entreprise locale, il continue pour autant le pilotage. En 1995, un homme, Dominique Heintz, ancien participant du Paris-Dakar et alors capitaine dans l’armée de terre, le remarque. Deux ans plus tard, Heintz hypothèque sa maison pour financer l’achat de sa voiture. Lors de son premier rallye, à ans, disputé chez lui, dans le Florival (Haut-Rhin), Loeb se distinguera par sa technique et sa rapidité volant en main. Le début de l’aventure.
Avec ses sept titres d’affilée, il a rejoint le clan des plus grands sportifs français. Son salaire annuel, estimé à 8,5 millions d’euros, contrats publicitaires inclus, pourrait l’inciter à arrêter dès aujourd’hui le rallye, mais ses 60 victoires en course ne l’ont pas rassasié (lire encadré). Il attendra donc un peu avant de profiter de la retraite, en Suisse, dans le canton de Vaud, où il réside… là même où en 1974, selon l’encyclopédie en ligne Wikipédia, on adopta le principe du carrefour giratoire.

[Norton]

Coupe du monde

La Coupe des Nations est déjà annulée


Image © DR
Sölden manque de neige en ce début de saison.

Prévue pour ouvrir la saison 2010-2011 à Sölden le 22 octobre, la compétition par équipes ne se disputera pas en raison d’un enneigement insuffisant
Laurent Guyot - le 05 octobre 2010, 13h57
LeMatin.ch


La Fédération Internationale de Ski est maudite. Créée de toutes pièces par les dirigeants de l’association faîtière pour réunir femmes et hommes sur un même tracé, la Coupe des nations n’a jamais fait l’unanimité. Raison pour laquelle, les responsables s’étaient décidés à ouvrir la saison 2010-2011 avec cette épreuve mixte courue entre des portes de géant et de slalom.
Las, le manque de neige a bouleversé le programme imaginé à Sölden du vendredi 22 au dimanche 24 octobre. La Coupe des nations est d’ores et déjà annulée. Les organisateurs de la station du Tyrol autrichien préfèrent mettre tout en œuvre pour assurer le bon déroulement des slaloms géants féminin et masculin. Une décision quant au maintien des deux épreuves tombera la semaine prochaine après l’inspection du site par un délégué technique de la FIS.

[Norton]

BOBSLEIGH

Cédric Grand prend sa retraite

Le médaillé de bronze des JO de Turin arrête la compétition et s’oriente vers le coaching privé.
Gaëlle Cajeux / Genève - le 05 octobre 2010, 14h17
LeMatin.ch


Après 16 ans au sein de l’équipe de Suisse de bobsleigh, Cédric Grand (34 ans), médaillé de bronze des Jeux olympiques de Turin, double champion du monde et quintuple vainqueur de la Coupe du monde, a décidé de mettre un terme à sa carrière de sportif d’élite. Le «Valaisan de Genève», qui sera papa d’ici quelques jours, s’oriente désormais vers le coaching privé. Il prend la responsabilité du nouveau centre fitness du Grand Hôtel Kempinski.

Vlà tout pour aujourd'hui, salut les sportif et si vous avez des nouvelles.....A vous de jouer......

[Norton]

Hippisme

Trembler jusqu’au bout


Image © Keystone
Le beau sursaut de Schurtenberger avec «Cantus» n’a pas été suffisant hier

Les Suisses n’étaient pas sûrs de participer à la finale par équipes de saut d’obstacles. Malgré Schurtenberger et Etter
Alban Poudret - le 05 octobre 2010, 22h52
Le Matin



Malgré le coût et les complications d’un long voyage en avion pour les chevaux, 42 nations (!) sont en lice ici en saut d’obstacles, la plus médiatique des huit disciplines. Et 27 d’entre-elles alignent une équipe complète, mais on s’attendait tout de même à ce que la Suisse se qualifie pour la finale par équipe, réservée au top 10. N’est-elle pas championne d’Europe en titre?
Il faudra pourtant trembler jusqu’au bout, miser sur un sans-faute de Pius Schwizer, qui passait à nouveau à la fin (vers minuit pour vous). Compter aussi sur des fautes de ses adversaires, pour espérer en être. Tout devait se jouer à une barre près. Quel niveau, et pas seulement devant! L’universalisation est en marche et beaucoup de nations ont progressé.
Nos quatre Suisses espéraient tous se racheter hier, mais le vague à l’âme revint hélas vite, après le tour de «Trésor», qui fit trois barres, deux dans le triple et une dans le double de verticaux de la dernière ligne, sans que Steve Guerdat ait à se reprocher quoi que ce soit. L’étalon parut plat et crispé. «Il ne sautait pas bien, c’est tout, il n’y a pas de raison ou d’excuse particulière, c’est les chevaux!» dira le Jurassien.
Les bernois se rachètent
Trajectoire inverse pour Daniel Etter, qui se racheta de sa déconfiture de la veille en signant un magnifique tour, malgré une faute et un peu de temps. «J’ai attaqué fort la rivière, pour éviter l’erreur de la veille, et je suis arrivé trop près du gros large qui suivait, mais «Peu-à-Peu» a bien sauté», dira Daniel Etter, plus souriant. McLain Ward fit la même erreur: pardonnable, donc! Le Seelandais a monté de façon plus décidée, calme et posée à la fois, notamment dans la dernière ligne, où il a su placer une foulée de plus.» J’étais malade lundi, j’avais 39 degrés et ça n’a pas aidé, mais le médecin m’a remis sur pied!» Un petit clin d’œil au Dr Edmond Pradervand, de Payerne, médecin de la Fédération, venu – à ses frais, pour ce qui est de l’avion – soigner la délégation ici.
Le matin, on avait croisé Niklaus Schurtenberger miné, car «Cantus» ne semblait pas droit et le Bernois craignait un petit abcès à un pied. «On a déferré le cheval et fait des radios, je ne suis pas sûr de monter.» L’après-midi, le Bernois était en piste et son bon gris, demi-frère du légendaire «Calvaro V» avala ces 16 efforts avec facilité, hormis une touchette sur le 12b. Dommage! Sera-ce suffisant pour être dans le top 10 des nations avant la finale de la nuit prochaine? Pas sûr.

[Norton]

jeux du Commonwealth

Suresh Kalmadi: il salue la présence de Lady Diana aux jeux


Image © Keystone
«Oui, la princesse Diana était là», a déclaré Suresh Kalmadi, patron des Jeux du Commonwealth. Confondant la princesse disparue et Camilla, épouse du prince Charles

Le patron de la manifestation commet un énorme lapsus
le 05 octobre 2010, 22h49
LeMatin.ch & les agences



Le patron des Jeux du Commonwealth, Suresh Kalmadi, a commis une grosse erreur lors de la cérémonie d’ouverture à New Delhi. Il a remercié «la princesse Diana» au lieu du prince Charles et de sa femme, Camilla, pour leur présence à la cérémonie.
«Oui, la princesse Diana était là», a-t-il dit avant de se reprendre: «le prince Charles et la duchesse de Cornouailles. Ils sont repartis et ont apprécié tous les efforts faits ici», a déclaré Suresh Kalmadi, lors d’une conférence de presse pour faire le point sur les Jeux. La princesse Diana est décédée des suites d’un accident de voiture à Paris en 1997.
Les XIXe Jeux du Commonwealth se sont ouvert dimanche soir à New Delhi en présence notamment du prince Charles et de la présidente de l’Inde, Pratibha Patil, après une préparation chaotique achevée à la dernière minute qui a soulevé un tollé de critiques..

[Norton]

Trop de résidus plastiques dans les urines de Contador


L'étau se resserre sur le "Pistolero".
Selon le New York Times, qui cite une source anonyme, une quantité de résidus chimiques huit fois supérieure à la limite autorisée pendant le Tour a été retrouvée dans les urines d'Albert Contador. Ce test a été effectué le 20 juillet, soit un jour avant celui qui avait révélé la présence de clenbutérol dans le sang du coureur madrilène. L'étau se resserre sur le "Pistolero"...




Alberto Contador n'a pas été une fois mais deux fois contrôlé positif lors du dernier Tour. C'est ce qu'écrit The New York Times. Un échantillon d'urine datant du 20 juillet montre la présence de plastifiants, un contaminant que l'on retrouve habituellement dans les poches en plastique utilisées pour les transfusions sanguines. Ce n'est que le lendemain que le test a démontré la présence de clenbutérol. D'où sa suspension provisoire par l'UCI.

En accord avec L'Equipe et ARD
Cette théorie colle parfaitement avec les accusations colportées par L'Equipe et ARD. De concert, le quotidien français et la chaîne publique allemande avançaient qu'Alberto Contador avait subi une transfusion sanguine pendant le Tour. Le New York Times, pour sa part, cite une source anonyme qui "connaît bien les résultats des analyses."

Un appareil pas homologué
La présence de résidus plastiques dans les urines d'Alberto Contador a été détectée par un appareil qui n'est pas encore homologuée. "Si quelqu'un présente un niveau très élevé de plastifiants dans son urine, il est très difficile d'expliquer sa présence hormis le fait de s'être dopé", assure Francesco Botré, chef du laboratoire de Rome.

[Norton]

Charleroi bat Berlin et conserve ses chances


Spirou Charleroi s'est imposé 81-77 (mi-temps: 35-37) face aux Allemands de l'ALBA Berlin en match aller du 3e et dernier tour qualificatif de l'Euroligue de basket (m), mardi au Spiroudôme, préservant encore toutes ses chances en vue du retour dimanche en Allemagne.




Les Carolos de Giovanni Bozzi ont connu une entame de match difficile (20-24 à la 10e) avant de redresser progressivement la barre et si la marque était toujours à l'avantage des Berlinois à la pause (34-37), Charleroi repassait devant à la demi-heure (59-56) pour réussir à creuser un petit écart au coup de sifflet final: 81-77 avec notamment Mallet auteur de 26 points, aidés par Hill (11), Gomis (14) et Broyles (11). Deux paniers de plein jeu ont fait la différence entre deux formations aux statistiques pratiquement similaires: 4 paniers à 3pts, 19 lancers chacun, 25 paniers pour Charleroi (25 rbds) et 23 pour Berlin (29 rbds).

Le match retour à l'ALBA Berlin est donc programmé dimanche à 17 heures. En cas de victoire, Spirou Charleroi sera qualifié pour la phase de poule de l'Euroligue (avec l'Olympiakos de Pirée (Grè), le Real Madrid (Esp), Unicaja Malaga (Esp), Virtus Rome (Ita) et Bamberg (All)). En cas de défaite, les champions de Belgique seront reversés en Eurocoupe dont le tirage au sort, lundi 11 octobre, concernera 32 équipes réparties en 8 groupes de 4.