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Football

Capello fait ce qu’il peut


La sélection anglaise affronte le Monténégro ce soir à Wembley, privée de quelques joueurs blessés.
le 11 octobre 2010, 23h38
LeMatin.ch & les agences


Eliminatoires euro 2012
Londres
L’Angleterre est accablée par les blessures à quelques heures de son troisième match des qualifications pour l’Euro 2012 contre le Monténégro, ce soir à Wembley. Le dernier joueur à avoir jeté l’éponge est Darren Bent, attaquant de Sunderland, touché aux adducteurs à l’entraînement.
Rooney de retour
Fabio Capello était déjà privé de l’avant-centre Jermain Defoe, mais également de plusieurs milieux offensifs comme Theo Walcott et Aaron Lennon, parti du rassemblement à cause d’une douleur au dos. Wayne Rooney, lui, est en principe remis d’une blessure à une cheville. Peter Crouch pourrait jouer à ses côtés.
Deux des défenseurs centraux appelés par Capello ont déclaré forfait pendant le stage de préparation, Phil Jagielka, touché à une cuisse, et John Terry, au dos. Rio Ferdinand est donc assuré de faire son retour comme titulaire, pour la première fois depuis sa blessure à un genou au mois de juin.
L’Angleterre a gagné ses deux premiers matches contre la Bulgarie (4-0) et en Suisse (3-1).

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football

Messieurs, voilà le but à atteindre

Dans le choc des perdants, la Suisse est condamnée à l’emporter pour espérer encore y croire. Mais pour cela, il faudra retrouver la bonne adresse des buts.
Nicolas Jacquier - le 11 octobre 2010, 23h28
Le Matin


Eliminatoires euro 2012
Bâle
Au Monténégro, avant même sa défaite, la Suisse se retrouvait déjà placée au pied du mur. Quatre jours plus tard, reléguée désormais dernière de son groupe avant le choc des losers qui l’opposera ce soir à Bâle au Pays de Galles «B», la voici plus que jamais dos au mur. Et, surtout, face au but… Ce but que les attaquants d’Ottmar Hitzfeld n’ont pas encore trouvé en 2010. Pire, il faut remonter au 9 septembre 2009, à Riga, contre la Lettonie (2-2), pour trouver trace du dernier but marqué par un attaquant. Ce soir-là, Frei et Derdiyok avaient composé une paire gagnante pour trouver l’adresse des filets. C’était il y a 398 jours, autant dire une éternité.
7 matches sans but
Au moment même où Hitzfeld joue sa tête en même temps que sa crédibilité à la tête de l’équipe nationale, ses joueurs savent-ils encore marquer des buts? On peut en douter si l’on s’en réfère aux récentes statistiques. Lors de ses 12 derniers matches, soit depuis le 14 octobre 2009, la Suisse n’a inscrit que 5 petits buts (soit une désolante moyenne de 0,41 but par rencontre). Preuve de ce manque d’efficacité chronique, ses joueurs ont été incapables de marquer le moindre but contre Israël, la Norvège, le Costa Rica, le Chili, le Honduras, l’Australie et le Monténégro. Cela fait beaucoup trop d’occasions manquées depuis douze mois. En 2006, la Suisse de Köbi Kuhn carburait encore à la moyenne de 1,6 but par match (avec 21 buts en 13 rencontres).
A Podgorica, les visiteurs se sont pourtant offert plusieurs chances sans réussir à en transformer une seule. «Le vrai problème, résume Peter Gilliéron, président de l’ASF, c’est que l’on a zéro point aujourd’hui. On se crée certes des occasions. Mais une chance, ce n’est pas encore un but.» Confrontés à une formation galloise diminuée par l’absence de 12 (!) joueurs, Frei, capitaine étrangement muet depuis 649 minutes, Derdiyok, Barnetta et les autres sont donc invités à provoquer la réussite qui les fuit jusque-là. Ce soir, le but n’aura pas changé de taille: il mesure toujours 7,32 m de largeur (entre les poteaux) et 2,44 m de hauteur, soit une surface de 17,86 m 2 à atteindre. Comme on l’enseigne déjà chez les juniors F, l’objectif du jour consistera encore une fois à essayer de placer le ballon hors de portée du portier adverse.
La promesse de Frei
Au Parc Saint-Jacques, les Suisses retrouveront sur leur chemin, ou plutôt en cage, le gardien Robert Wayne Hennessey (23 ans, 1,96 m), un «loup» de Wolferhampton. Toucheront-ils cette fois au but? Très attendu, Alex Frei, dont le compteur reste bloqué à 40 buts (en désormais 80 sélections), désespère presque d’ajouter une nouvelle unité. «On doit tous être plus efficaces en étant encore plus méchants à la conclusion», convenait-il hier matin avant de mettre le cap sur Bâle. Est-ce le même attaquant selon qu’il porte le maillot du FC Bâle ou celui de l’équipe de Suisse? Son rendement diffère. «Devant moi, le but est pourtant toujours le même, lâche l’intéressé. Peut-être les automatismes sont-ils mieux rodés en club. Dans les deux cas, il est difficile d’être attaquant quand vous tombez en face sur un bon gardien.» Frei en est pourtant convaincu: «Un but rapidement tombé pourrait nous libérer. Si l’on marque ce soir dans les 25 premières minutes, vous verrez l’équipe de Suisse que vous êtes habitués à voir», promet son No 9.
Pour mémoire, la dernière victoire fleuve de la Suisse remonte au 10 octobre 2009 au Luxembourg (0-3, grâce à un doublé de Senderos et un but de Huggel). Par les temps qui courent, on ne se montrera pas aussi gourmand. Indice plutôt rassurant: la Suisse a toujours inscrit au moins 2 buts lors de ses 5 confrontations contre les représentants de Cardiff – la dernière fois par Rey et Bühlmann en octobre 1999 à Wrexham. Messieurs les joueurs, ne vous trompez pas de cible. Celle que vous devez atteindre mesure 7,32 m sur 2,44 m. Elle est devant vous.

[Norton]

FOOTBALL

Grosse offre d’un homme d’affaires de Singapour pour le rachat de Liverpool


Image © AFP
Peter Lim a formulé une offre concrète au club anglais.

Peter Lim, un milliardaire de Singapour, a annoncé mardi qu’il avait présenté une offre de 360 millions de livres (540 millions de francs) pour le rachat de Liverpool, très endetté et actuelle propriété des Américains Tom Hicks et George Gillett.
le 12 octobre 2010,
LeMatin.ch & les agences


"L’offre valorise le club à 320 millions de livres et 40 millions de livres seront consacrés au recrutement", a précisé un porte-parole de l’hommme d’affaires singapourien.
Peter Lim avait déjà formulé une première offre d’environ 300 millions de livres rejetée par le conseil d’administration de Liverpool.
Les dirigeants de Liverpool avaient annoncé mercredi dernier qu’ils avaient accepté une offre de rachat de 300 millions de livres du consortium américain New England Sports Ventures (NESV), qui possède déjà l’équipe de base-ball des Boston Red Sox.
Tom Hicks et George Gillett ont tenté de contrer cette décision en limogeant deux membres du conseil d’administration, le directeur exécutif Christian Purslow et le directeur commercial Ian Ayre, afin d’y récupérer la majorité et de mettre en échec la vente.
"J’ai l’intention de reconstruire le club et de lui permettre de retrouver rapidement sa place au sommet du football anglais et européen", a souligné Peter Lim.
L’offre de Peter Lim, dont la fortune est estimée à 1,6 milliard de dollars US (1,15 milliard d’euros), permettrait d’apurer la dette de Liverpool, estimée à 300 millions d’euros.
La Haute Cour de Londres devait trancher ce mardi le différend sur la vente du club entre les dirigeants des Reds et ses actuels propriétaires.

[Margotte]

et la France a ENCORE gagné hier soir à 2 - 0

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Envoyé par Margotte

et la France a ENCORE gagné hier soir à 2 - 0

Pfffffffffffff, belle victoirecontre le Luxembourg

Laisse moi rire Blondette......

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Un 4x4 entre la Belgique et l'Autriche


L'énorme déception pouvait aisément se lire sur les visage des Diables.
Incroyable mais vrai !!! L'Autriche, réduite à dix suite à l'exclusion de Scharner à vingt minutes de la fin, est parvenue à arracher le point du partage dans les arrêts de jeu (4-4, mi-temps: 1-2). Une soirée complètement folle où les Diables et leurs hôtes du jour n'ont cessé de jouer au jeu du chat et de la souris. Des buts oui, du spectacle oui, du suspense oui, des défenses non !

Vossen et Ogunjimi: le tandem gagnant pour les Diables.



Schiemer a joué un mauvais rôle aux Diables en plantant deux buts sur autant de phases arrêtées.

Fellaini se sera battu comme un vrai Diable.

Georges Leekens peut "faire la gueule".

Tout ça sous les yeux d'Elio Di Rupo.


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La tuile Van Buyten
Si la rencontre n'avait pas (encore) commencé, une bonne et une mauvaise nouvelle attendaient les Diables. Côté pile: la défaite de la Turquie au Kazakhstan (1-0). Côté face: la blessure au dos de Van Buyten à l'échauffement. Du coup, c'est Lombaerts qui accompagna Kompany (capitaine) dans l'axe de la défense. Dans les tribunes: Proto, De Bruyne et El Ghanassy.

La bonne surprise Legear
Exit Van Damme, Deschacht et Lukaku par rapport au succès engrangé au Kazakhstan, in Legear, Vertonghen (back gauche) et Ogunjimi. Avec une mention spéciale pour l'ailier de poche du RSCA qui aura dynamité le côté droit des Diables. En forme, le joueur formé au Standard doit être un titulaire indiscutable aussi bien chez les Diables qu'à Anderlecht. Il l'a prouvé ce soir.

Vossen a marqué des points
L'autre homme en forme du moment, c'est évidemment Vossen. Ce n'est qu'une demi-surprise si le meilleur buteur de notre championnat flairait le bon coup sur un service d'Ogunjimi. Un but 100% étiquetté RC Genk ! Le premier centre dans l'espace et Vossen se jette pour devancer son adversaire du jour (1-0).

Une défense en papier mâché
Seule (grosse) ombre au tableau: la défense ! Gagner une rencontre aussi capitale pour la qualification à l'Euro 2012 avec de tels manquements, surtout les phases arrêtées, est tout simplement impossible. Schiemer, à deux reprises (sur le 1-1 et le 2-3), aura surpris la défense en zone choisie par les Diables et Georges Leeekens sur les phases arrêtées. Etait-ce la bonne solution ?

Un scénario dingue
Dans ce scénario complètement dingue, difficile de suivre le déroulement des opérations. En résumé entre ces deux erreurs de concentration: Arnautovic planta son pion habituel (3 buts en 2 matchs) juste avant la pause (1-2, 30e) alors que Fellaini égalisa à la suite d'une mauvaise sortie de Macho (2-2, 47e). Sans vous parler de la bonne demi-douzaine d'occasions loupées par les Diables. Dans l'ordre: Legear (25e), triple occasion (33e), Legear (39e), Vossen (59e)... Et on vous éparne la suite !

Exclusion de Scharner
Tout ça pour vous dire que les Diables se devaient de remonter un but à moins d'une demi-heure de la fin. Comme la défaite était interdite, Georges Leekens attendait l'exclusion de Scharner pour faire monter deux éléments offensifs supplémentaires: Lukaku et Hazard. Pari réussi ! Dans un stade du Roi Baudouin en pleine ébullition, Ogujnimi (86e, bon travail au préalable de Witsel et de Legear) et Lombaerts (89e, tête rageuse) redonnèrent aux Diables ses lettres de noblesse.

Cruelle désillusion
Que s'est-il passé? Les hommes de Georges Leekens ont sans aucun doute été submergés par l'euphorie. Dans les arrêts de jeu, Harnik plongea dans le dos de Boyata pour se présenter devant Bailly. Son tir passa entre les jambes du gardien du Borussia Mönchengladbach.

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Victoire surprise de l'Azerbaïdjan face à la Turquie


L'Azerbaidjan a créé la surprise en s'imposant 1-0 face à la Turquie dans le cadre de la 4e journée des qualifications pour l'Euro 2012 de football, mardi à Bakou (groupe A).

Rashad F. Sadygov a inscrit l'unique but du match à la 39e minute, offrant à l'Azerbaidjan ses trois premiers points dans cette campagne qualificative.

Le compteur de la Turquie reste bloqué à six points. Les Turcs, qui avaient battus la Belgique le mois dernier, peuvent être rejoints au classement par les Diables Rouges, à condition que ces derniers battent l'Autriche mardi soir (20h45) au stade Roi Baudouin.

La Belgique compte actuellement trois points. L'Autriche totalise six points. L'Allemagne, leader du groupe A avec neuf points, affronte le Kazakhstan mardi soir (19h00).

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Victoire en terre écossaise pour la Roja







L'Espagne a remporté son troisième succès en autant de matches de qualifications à l'Euro-2012 en battant l'Ecosse 3 à 2, mardi à Glasgow, où David Villa est devenu le meilleur buteur de l'histoire de la "Roja", à égalité avec Raul.

L'attaquant du FC Barcelone a ouvert le score juste avant la mi-temps (44) sur un penalty, inscrivant son 44e but pour l'Espagne en 69 sélections (contre 102 pour Raul). Whitaker avait repoussé du bras un tir de Sergio Ramos.

Villa a pu ainsi constater qu'il n'était frappé d'aucune "malédiction" du record, après avoir tiré quatre fois sur le poteau depuis son 43e but, contre le Liechtenstein (4-0) le 3 septembre.

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Italie-Serbie arrêté à cause des lancers de fumigènes







Le match Italie-Serbie comptant pour les qualifications de l'Euro 2012 de football a été arrêté après six minutes de jeu mardi au stade Marassi de Gênes (Ita) après des lancers de fumigènes de supporters serbes sur la pelouse et le public. L'un d'entre eux a notamment atterri près du gardien italien Emiliano Viviano.

Des policiers casqués s'étaient massés au pied de la tribune où étaient installés les supporters serbes sur deux étages, et d'où sont partis des fumigènes, dont certains lancés dans les pieds du public italien situé dans la tribune latérale, vite éteints par les stadiers.

Le coup d'envoi avait été retardé dans un premier temps d'une demi-heure, en raison d'un fumigène parti de la tribune des supporters serbes sur le public italien.

Les deux équipes quittaient ensuite le terrain pour y revenir quelques minutes plus tard. Le match commençait enfin mais était arrêté par l'arbitre, en raison des lancers de fumigènes.

Les supporters de la Serbie, provenant des groupes de suiveurs des deux grands clubs du pays, l'Etoile Rouge de Belgrade et le Partizan Belgrade, sont redoutés pour leur comportement. (belga/chds)

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éliminatoires euro 2012 Bâle

La patte de Streller


Image © Keystone


L'attaquant s'est enfin illustré, marquant le but le plus important du match
Julien Boegli - le 12 octobre 2010, 23h43
Le Matin


1201 minutes de disette. C'est le temps, l'éternité plutôt, qu'il fallut patienter pour voir un attaquant suisse trouver le chemin des filets. Entre le but d'Eren Derdiyok tombé à la 80e minute du match qualificatif pour la Coupe du monde en Lettonie le 9 septembre 2009 et la réussite de la 21e minute de Marco Streller hier soir, il s'est écoulé 20 heures durant lesquelles les supposées meilleures armes offensives du football helvétiques se sont égarées, ont affiché un mutisme total. Si l'extérieur du pied du longiligne bâlois, une reprise manquée en fait, n'a pas réellement rassuré sur les valeurs du jeu de pointe d'Ottmar Hitzfeld, il a permis à l'équipe nationale de ne pas définitivement couler sa campagne ukrainienne et polonaise.
Frei toujours à côté de la plaque
L'entrée en matière des joueurs suisses fut pourtant convaincante. Un football résolument tourné vers l'avant. Le temps de prendre l'avantage par deux fois. C'était avant que l'ennui s'insinue à nouveau dans leur jouerie une heure durant. Valentin Stocker, l'un des trois Rhénans présents au départ, s'est incontestablement montré le plus incisif, sans compter ses interventions décisives dans l'arrière-garde. Streller, à défaut d'avoir été transcendant, a au moins eu le mérite de marquer ce qui fut sans doute le goal le plus important de la soirée. Et peut-être même des mois à venir. Quant à son compère Alex Frei, le doute qui l'ébranle actuellement paraît abyssal, de plus en plus insurmontable. Dans le but d'éviter les rabâchages et autre banalités, on n'évitera de s'étaler sur la prestation, plus que discrète, du capitaine. Son incidence quasi nulle sur le terrain et sa déficience sur les balles arrêtées sont affolantes. Que de coups francs mal négociés! Sa sortie à la 79e sous les sifflets semblait d'ailleurs inévitable. Tranquillo Barnetta a eu beau implorer le public de ne pas conspuer son numéro 9, ce dernier apparaît clairement comme un poids dans le dispositif de Hitzfeld.
Reste que l'équipe suisse a marqué hier soir, c'est refait un moral. Et c'est déjà pas mal.