Toutes New sportives autres que la moto

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Alberto Contador absent au criterium d'Oviedo


Alberto Contador ne disputera pas le criterium d'Oviedo, qui aura lieu le 30 octobre.

Vendredi, les organisateurs de l'épreuve avaient annoncé la venue de l'Espagnol, pourtant sous le coup d'une suspension provisoire à la suite de son contrôle "anormal" au clenbuterol sur le Tour de France 2010. Ce qui a ensuite été démenti par l'entourage du triple vainqueur de la Grande Boucle.

"Alberto Contador ne participera pas à notre épreuve, le coureur souhaitant maintenir une inactivité rigoureuse et respectueuse dans l'attente de la décision de l'UCI sur son cas", ont déclaré samedi les organisateurs du criterium d'Oviedo.

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Rallye de Catalogne: Loeb devant Ogier et Latvala


Sébastien Loeb (Citroën C4) était en tête du rallye de Catalogne, avant-dernière manche du championnat 2010, vendredi soir après les six épreuves spéciales de la 1re journée, courues près de Salou.

Le Français, déjà assuré de son 7e titre mondial en fin de saison, devançait son compatriote Sébastien Ogier (Citroën C4), 2e, de 3 secondes et 8/10, et le Finlandais Jari-Matti Latvala (Ford Focus), 3e, de 19 secondes et 9/10.(belga/chds)

Classement provisoire:
1. Sébastien Loeb-Daniel Elena (Fra-MON/Citroën C4) 1h25:26.8
2. Sébastien Ogier-Julien Ingrassia (Fra/Citroën C4) à 3.8
3. Jari-Matti Latvala-Miikka Anttila (Fin/Ford Focus) 19.9
4. Petter Solberg-Chris Patterson (Nor-G-B/Citroën C4) 22.4
5. Mikko Hirvonen-Jarmo Lehtinen (Fin/Ford Focus) 42.4
6. Dani Sordo-Diego Vallejo (Esp/Citroën C4) 54.7
7. Matthew Wilson-Scott Martin (G-B/Ford Focus) 2:46.9
8. Federico Villagra-José Diaz (Arg/Ford Focus) 3:21.2
9. Ken Block-Alex Gelsomino (USA/Ford Focus) 3:42.8

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PLANETSOLAR

Le catamaran solaire attaque l’Atlantique


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Parti de Monaco il y a 26 jours, « Tûranor » Planetsolar, le premier bateau propulsé à l’énergie solaire, a quitté le port de Las Palmas vendredi à midi. Destination Cancún (Mexique) à la force du soleil et des courants.
Jean-Guy Python - le 23 octobre 2010, 16h41
LeMatin.ch


Adieu le Cap Vert, le catamaran solaire imaginé par Raphael Domjan va traverser l’Atlantique d’un seul trait. Parti vendredi à midi des Canaries, le Neuchâtelois compte rallier Cancún dans le délai d’un mois. Mais pour quelle raison l’éco-aventurier décide-t-il de cette navigation sans escales ?
« Les conditions météo actuelles sont nettement plus favorables au nord de l’archipel du Cap Vert. En raison du changement climatique, l’alizé s’est formé et se maintient aux alentours de 24 -25° de latitude nord. Ce sont vraiment les conditions météorologiques qui nous permettent de prendre cette route au nord qui est aussi plus proche de l’orthodromie (route directe).
En résumé, du vent favorable associé à un excellent ensoleillement, c’est vraiment tout bon. On devrait pouvoir emmagasiner nos 600 KW/h, accélérer et augmenter la moyenne de navigation journalière. » Raphael Domjan explique aussi le changement de cap par la nécessité de ne pas rallonger inutilement la route.
On sait que le Neuchâtelois a dû abandonner le navire lors de la première étape en raison de problèmes dentaires. Maintenant qu’il a retrouvé sa place à bord, n’a-t-il pas été un peu frustré d’être privé d’une partie de cette circumnavigation?
« C’est clair qu’il y a une certaine déception. Mais bon, c’est le bateau qui fait le tour du monde et nous sommes à son service. Quitter l’aventure dans cette première étape pour me soigner, c’était le meilleur moyen de protéger le projet et de continuer ce tour du monde dans les meilleures conditions possibles », explique encore le navigateur solaire.
Certes, mais au moment d’entamer la Grande Traversée, comment se porte sa dent de sagesse ? « C’est nickel ! Maintenant, ma molaire est neuve, je suis en pleine forme et les batteries du bateau sont pleines. Et puis de partir de Las Palmas génère une belle émotion. Nous partons pour la traversée de l’Atlantique. C’est l’endroit d’où sont partis Alain Bombard et tant d’autres, c’est un moment assez incroyable ! »

il est super beau....

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SKI ALPIN

Lara Gut: «C’est très bon pour ma confiance»


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Lara Gut: «Je ne suis pas fatiguée, mais Sölden, c’est un peu particulier.»

Même si 4’’50 la séparent de la championne olympique Viktoria Rebensburg impériale sur le second tracé, la Tessinoise peut voir l’avenir en rose
Laurent Guyot - le 23 octobre 2010, 23h15
Le Matin Dimanche


Sa luxation de la hanche droite n’est plus qu’un mauvais souvenir. Déjà enfoui sous des piles de bons moments passés avec sa famille, ses amis et ses fans. Depuis mars 2009, Lara Gut avait déserté la scène de la Coupe du monde. La faute à une très vilaine chute survenue le 29 septembre de la même année lors d’un entraînement sur les hauteurs de Saas Fee. Adieu géants, slaloms, descentes, super-G, super-combiné et surtout JO de Vancouver.
Le samedi 23 octobre 2010 restera donc une journée spéciale pour la Tessinoise. Celle d’un retour réussi à la compétition après 389?jours ou 55 semaines d’efforts, de sacrifices et bien des frustrations. Même si sa 25e?place reste anecdotique pour celle qui avait bluffé tout son monde, le 25 octobre 2008, en terminant pour sa première participation 5e de ce même slalom géant avec le dossard 37.
Son sourire retrouvé, la skieuse de Comano insiste sur l’importance d’un classement. «Il me manque bien sûr le rythme de la compétition. Mais je suis très contente d’être arrivée au fond de mes deux parcours. C’est très bon pour ma confiance, pour mon moral, même si j’ai pu apprécier la masse de travail à effectuer afin d’entrevoir une nouvelle fois l’ombre d’un podium.»
Lara Gut parle de sa course avec lucidité. «Je ne suis pas fatiguée. Mais Sölden, c’est quand même un peu particulier. Je n’ai pas très bien skié. Je m’en suis rendu compte lors de mes manches. Ma façon de skier convient mieux à des tracés plus glacés. Sur de la neige agressive comme celle connue aujourd’hui, je perds toujours un peu. Pour corriger ce détail, il me faut enchaîner les compétitions. Selon moi, c’est la meilleure solution qui existe pour retrouver le niveau atteint à la fin de la saison 2008-2009.»
Plaidoyer de Russi
Observateur attentif avant de passer, ce matin, au rôle de consultant de la TV alémanique pour le géant masculin, Bernhard Russi plaide en faveur de Lara Gut. «Pour moi, Lara n’est pas aussi loin des meilleures que son classement le laisse penser. Elle a été surprise par les conditions de la piste. Dans cette pente, on se fait bien secouer. Alors après une blessure et une absence d’une année, votre conscience invite à la prudence. A ne pas tout casser alors que vous revenez aux affaires.»
Le champion olympique de descente à Sapporo en 1972 insiste: «Ce n’est plus une petite fille effrontée. Elle est devenue femme. Plus réfléchie et plus mûre. Et elle a compris l’avertissement entendu au passage de la cassure. Comme cela n’allait pas si bien, elle a refusé de tout risquer. Elle sait que l’écart la séparant de Rebensburg finira par se gommer. Mais pour y parvenir il n’y a que le travail, encore et toujours du travail.»

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SKI ALPIN

Daniel Albrecht, le miraculé qui rêve à nouveau de podium


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Daniel Albrecht ne veut pas précipiter les choses, il pense retrouver son meilleur niveau la saison prochaine

Forfait pour le slalom géant de Sölden, Daniel Albrecht ne veut pas brûler les étapes malgré les progrès sensibles effectués sur ses skis. Il imagine pouvoir rivaliser avec les meilleurs dans une année
Laurent Guyot - le 23 octobre 2010, 23h12
Le Matin Dimanche



Un large sourire éclaire le visage de Daniel Albrecht. Un de ceux qui fait plaisir à voir à quelques heures de l’ouverture de la saison de Coupe du monde. Un qui ne trompe pas sur la motivation et l’envie du champion du monde 2007 de super-combiné.«Je suis un homme heureux. Ca ne se voit pas?», lance-t-il à la dérobade, le ton presque taquin.
C’est sûr, le skieur de Fiesch manque à l’appel, ce matin, dans le portillon de départ du slalom géant, sur ce glacier de Rettenbach où il s’était imposé le 26 octobre 2008 devant Didier Cuche.
Trois mois plus tard, le 22 janvier, l’ex-numéro 1 de Swiss-Ski gisait tel un pantin désarticulé au bas de la Streif après un dernier saut manqué au cours de l’ultime descente d’entraînement. Dix-neuf jours de coma et des contusions aux poumons n’ont pas entamé sa confiance et sa volonté de revenir sur les devants de la scène. «Je crois très fort en moi, raconte-t-il en se projetant dans l’avenir. J’ai progressé de manière très sensible ces six derniers mois.»
Une première descente pour oublier
En février 2009, Daniel Albrecht était considéré comme perdu pour le sport d’élite. A son réveil, le Valaisan avait perdu le goût et l’odorat. Ne parlait pas. Ne reconnaissait plus ses parents. Croyait voir un personnage de Playmobil tourbillonner dans l’air en regardant sa chute. Grâce à sa patience et aux longues heures de rééducation, le miraculé de Kitzbühel a repris des activités normales. Est même remonté sur les skis le 4 juin de la même année sur le glacier du Kaunertal. Où le protégé de Sepp Brunner a pris conscience du chemin à effectuer pour espérer un retour sur les devants de la scène. «Cela m’a fait mal de devoir reconnaître que même ma farouche volonté ne suffirait pas à revenir à un niveau honnête après un jour d’entraînement.» Il se remémore cette expérience douloureuse: «Après quelques secondes sur la piste, je me suis senti dépassé par les événements. J’ai eu l’impression d’être pris de vertige, un peu comme si je roulais trop vite en voiture. Je me demandais quelle idée m’avait passé par la tête pour tenter ce retour.» Les semaines défilent, les séances deviennent supportables. «Heureusement, je me suis vite repris. J’ai retrouvé mon courage. Ce qui m’a amené tout récemment (en septembre dernier) sur le glacier du Petit-Cervin à Zermatt dans un entraînement de descente. Je suis heureux d’avoir franchi ce pas. J’ai réussi à me faire violence. Je ne vous raconte pas les sensations ressenties lors du premier saut. C’était vraiment très particulier jusqu’au moment où j’ai réalisé que j’avais atterri 50 mètres plus loin.»
Pas question d’être un figurant
Le géant de Sölden rayé de son programme, Daniel Albrecht n’est pas encore convaincu de pouvoir revenir jouer la gagne cette saison. «J’ai reçu comme un avertissement avec ma distorsion du genou gauche subie le 8 octobre, à Saas Fee, lors d’un entraînement. Je ne suis pas encore remonté sur les skis. J’ai bien réfléchi durant cette pause forcée.» La conclusion de sa réflexion: «J’ai décidé de ne rien précipiter. Je n’ai que 27 ans et encore pas mal de temps devant moi. Je vais continuer l’entraînement. Participer au stage prévu à Nakiska (Canada) avant les épreuves nord-américaines mais je n’en suis pas encore arrivé à me dire: tu vas pousser un portillon de Coupe du Monde. Je ne veux en aucun cas faire de la figuration. Si je reviens à ce niveau, je souhaite marquer les esprits: jouer la gagne ou au moins le podium. Je n’ai aucune envie d’inspirer de la pitié, de la compassion. Ce n’est pas le genre de la maison.»
Peu à son avantage lors des deux manches de géant disputées comme ouvreur lors des finales de la Coupe du monde à Garmisch en mars dernier, Daniel Albrecht admet quand même progresser. «Je n’en suis plus à balbutier ma technique de base. J’ai vraiment effectué des progrès. Ce qui ne veut pas dire que j’accéderai à un podium cette saison. Je vais me donner le temps pour réussir. C’est si vrai que je pense arriver à mon meilleur niveau pour la saison 2011-2012. Je vous donne donc rendez-vous à Sölden en octobre prochain.»

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COURSE À PIED

Du plaisir sur la pente, les mollets en feu


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Mille mètres de dénivelé en ligne droite sur les hauts de Fully, avec une pente moyenne dépassant les 60%
Par son incroyable déclivité et son ambiance unique, le Kilomètre Vertical de Fully est devenu un must
Gaëlle Cajeux - le 23 octobre 2010, 21h54
Le Matin Dimanche



Les visages sont blanchis par le sel de l’effort. Les jambes parfois chancelantes, toujours brûlantes. Ces coureurs partis de la Belle Usine de Fully (500 m d’altitude) approchent enfin des Garettes (1500 m), doux lieu de la délivrance. Et à quelques centaines de pas de l’arrivée, le son des cloches et des applaudissements se révèle essentiel pour ces courageux qui ont avalé les 1000 m de dénivelé en ligne droite, suivant un rail désaffecté à travers vignobles et forêts. Affrontant une pente de 61% de moyenne!
«Le cadre et l’accueil sont superbes, mais c’est dur. Les mollets brûlent tout le long», souffle Kenan, un habitué des marathons venu d’Alsace. Christophe, lui, a fini «presqu’en titubant». «Je me suis mis dans le rouge et dans les 200 derniers mètres, j’étais «de travers». Aujourd’hui ça a été vraiment difficile», avoue-t-il. «C’est une course brève, mais très intensive. Si tu es dans un jour sans, ça peut être vraiment rude de se «taper» les 1000 m, atteste Catherine. Mais le décor est magnifique avec ces couleurs d’automne et la fraîcheur nous «booste». Le public aussi nous porte.» Léonie et Claire poursuivent: «C’est sympa, on dit bonjour aux gens en montant. On a surtout un énorme plaisir d’arriver en haut. De se dire qu’on l’a fait.»
Avec sa distance de 1920 mètres, le KM Vertical Valaisan est l’épreuve la plus courte et la plus rapide du genre. Et les Suisses ne sont pas les seuls à s’y mesurer. Italiens et Français accourent chaque année plus nombreux à Fully. «En faisant d’autres KM Verticaux, nous avons appris que celui-ci était le must, soulignent trois Savoyards. Alors nous sommes venus et nous ne sommes pas déçus. C’est un beau défi. Le tracé est bien raide, l’effort violent. On souffre du début à la fin.» La championne de ski-alpinisme, Emilie Gex-Fabry, résume: «Sur ce type de course, il ne faut pas réfléchir. Juste se concentrer sur chaque pas sans penser au nombre de mètres qu’il reste encore à parcourir. Finalement, il y a ce plaisir énorme d’avoir été au bout de soi.»

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Giro 2011: un tracé pour les grimpeurs





Le Giro-2011 (7-29 mai), dont le tracé a été dévoilé samedi à Turin, fête les 150 ans de l'Unité italienne en traversant certains lieux de mémoire, sans oublier les redoutables étapes de montagne comme les ascensions de l'Etna ou les chemins de terre du col delle Finestre.

Le Tour d'Italie 2011 partira de Turin (première capitale de l'Italie unifiée) avec un chrono par équipes le 7 mai pour se conclure le 29 mai par un contre-la-montre individuel autour de la Piazza Duomo à Milan. Sur les traces de Garibaldi. Le 94e édition du Giro passe par la Sicile, comme le fit le chef de guerre de l'Unité, par Quarto (départ de la 4e étape), un quartier de Gênes d'où partit l'expédition des Mille, menée par Garibaldi, qui allait commencer par prendre le Royaume des Deux-Siciles.

L'organisation a aussi choisi un crochet par Teano (aujourd'hui Vairano Patenora, lors de la 7e étape), où Garibaldi a rencontré le futur roi Victor-Emmanuel II, et Castelfidardo (arrivée de la 11e étape), où ses Chemises Rouges remportèrent une victoire cruciale sur les troupes du Pape. Voilà pour l'histoire. Angelo Zomegnan, le patron du Giro, féru de spectacle, n'a pas oublié le sport et réservé aux coureurs quelques ascensions difficiles. Avant la haute montagne, la première difficulté les attend à la 5e étape (11 mai), de Piombino à Orvieto, avec les "strade bianche" (routes blanches), ces routes de Toscane non goudronnées.

L'Etna, deux fois
"L'expérience de 2010 nous a donné envie de chercher une autre portion de strade bianche, ce sera le grand moment de la journée", a commenté Zomegnan. Les chercheurs de maillot Rose devront ensuite affronter deux fois l'Etna, par deux versants (9e étape), avant ce qui pourrait être une des clefs de ce Giro: la fin de deuxième semaine avec les Alpes Carniques, avec l'ascension du célèbre Zoncolan par son côté le plus dur, l'Autriche (13e et 14e étapes) avec le Grossglöckner, le Passo di Giau (2236 m) et la Marmolada (Passo di Fedaia), puis le chrono individuel le mardi entre Belluno et Nevegal (16e étape), après un jour de repos.

Enfin, la veille de l'arrivée, il faudra encore escalader le col delle Finestre et ses chemins de terre battue (20e étape), avant le contre-la-montre final (comme les trois dernières éditions) autour du Duomo de Milan. La ville lombarde retrouve l'arrivée après deux années à Rome (pour le centenaire du Giro) et Vérone, et rêve d'un final comme en 2009, où Denis Menchov avait 20 secondes d'avance sur Danilo Di Luca au départ de l'épreuve chronométrée (et 41 sec à l'arrivée). (afp)

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Le Real Madrid pulvérise Santander et reste leader





Le Real Madrid, qui a pulvérisé à domicile le Racing Santander samedi (6-1) avec un quadruplé de Cristiano Ronaldo, n'a pas laissé longtemps la première place du Championnat d'Espagne à Barcelone, vainqueur plus tôt à Saragosse (2-0) en ouverture de la 8e journée.

Avec six buts (Higuain, Özil et quatre de Cristiano Ronaldo), le Real a fait une nouvelle démonstration au stade Santiago-Bernabeu, quatre jours après la revanche prise contre l'AC Milan en Ligue des champions (2-0) et deux semaines après la balade face au Deportivo La Corogne (6-1).

Avec 20 points, l'équipe de José Mourinho, toujours invaincue cette saison, est assurée de conserver la première place de la Liga quel que soit le résultat de Valence samedi en soirée contre Majorque.

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Mourinho & Ronaldo quelle paire

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Un nageur décède lors de la Coupe du monde en eau libre


Le nageur américain Fran Crippen, 26 ans, est décédé samedi lors de la dernière épreuve de Coupe du Monde en eau libre qui se disputait à Fujairah aux Émirats Arabes Unis. Crippen, médaillé de bronze l'an passé aux Mondiaux du 10 km et 3e encore cette année sur 5km, s'est senti mal pendant la course et s'est noyé.

A l'arrivée, les organisateurs avaient remarqué qu'il n'avait pas franchi la ligne d'arrivée. Les recherches ont permis aux plongeurs de le retrouver inconscient. Emmené à l'hôpital, il n'a pu être réanimé.

Les conditions de courses étaient difficiles en raison des températures très élevées. Après la course, de nombreux nageurs ont dû être soignés à cause de problèmes liées à la chaleur.

Dans un communiqué, la Fédération internationale de natation, la FINA, a présenté ses condoléances à la famille de la victime. Une enquête est en cours pour déterminer les causes du décès