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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
15/11/2010, 18h43
Rallye - WRC - GBR
Loeb : «A la limite»
Vainqueur dimanche au pays de Galles, Sébastien Loeb avoue avoir pris de sacrés risques pour conclure en beauté la saison 2010. Il se tourne désormais vers 2011, un nouveau défi avec une nouvelle voiture.
Sébastien Loeb n'a pas fait ce qu'il a dit ce week-end en Grande-Bretagne. Avant le départ du rallye, il avait annoncé qu'il ne prendrait pas de risques inconsidérés pour s'imposer. Mais poussé par la vista de Petter Solberg, l'Alsacien a dû s'employer pour aller chercher les quelques secondes nécessaires à sa huitième victoire (sur 13 épreuves) de la saison.
«Je suis très heureux et très fier car ça a été une lutte difficile, très rapide et très impressionnante, a commenté le septuple champion du monde. Petter a attaqué très fort et je savais qu'il n'abandonnerait pas, j'ai donc attaqué jusqu'à la limite. J'ai eu quelques moments chauds mais nous devions prendre ces risques et je voulais réellement faire de mon mieux pour gagner, particulièrement ici pour la dernière course avec la C4. C'est quelque chose que je voulais vraiment faire et je l'ai réalisé. J'ai tant de souvenirs avec cette voiture. J'admire Petter derrière le volant, mais je l'admire aussi pour ce qu'il a fait avec son équipe et pour sa motivation à construire sa propre équipe. J'espère qu'il sera avec nous (l'année prochaine en WRC).»
«Beaucoup de choses à apprendre»
Après quatre années de très bons et loyaux services, la C4 a tiré sa révérence dimanche, et c'est désormais au volant d'une DS3 WRC que Loeb va piloter sur les routes du monde entier. «J'attends ça avec impatience, a-t-il confirmé. Je suis heureux de terminer par une victoire avec la C4, c'est désormais un nouveau défi et j'en suis heureux. Nous démarrons avec une nouvelle voiture, de nouvelles règles, et un nouveau style de conduite. Nous avons beaucoup de choses à apprendre et à améliorer. Il est certain que ça représente beaucoup de travail mais j'espère que c'est en bonne voie pour le Championnat. C'est une bonne voiture à piloter et nous devons nous battre un peu plus avec ça.»
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
16/11/2010, 07h58
Citation:
Envoyé par danlos
Nan mais Ferrari . Comment perdre un titre tout fait: demander aux "stratèges" chez les italiens. Depuis que Todt n'est plus là c'est d'un ridicule, ils ont voulu prendre que des italiens on voit le résultat.
Mais sinon GP nul nul nul, circuit complètement pourri, pas de dépassement possible, pas de bacs à graviers, les pilotes peuvent faire des erreurs c'est pas grave derrière il y a des dégagements de 50 mètres .
Enfin le titre est mérité sur l'ensemble de la saison pour Vettel, il a quand même eu 10 pôles, même s'il n'a été en tête qu'une seule fois de la saison, après ce GP . Dommage pour Webber, j'aurais bien aimé le voir champion, mais Alonso doit avoir des envies de meurtres ce soir.
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clair que le circuit est pourri et le pire c'est qu'ils veulent y faire venir le MGP.
Enfin moi je suis ravi qu'Alonzo et Ferrari perdent le titre. Lepire c'est qu'il rale encore sur Petrov en fin de GP, minable!
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
16/11/2010, 09h20
automobilisme
L’irrésistible ascension
Image © Keystone
Le GP d’Abu Dhabi a sacré Sebastian Vettel, un pilote au talent exceptionnel, mais aussi un travailleur acharné et un homme respectueux de son équipe. Un grand champion est né.
Luc Domenjoz - le 15 novembre 2010, 23h10
Le Matin
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Formule 1
Le titre de plus jeune champion du monde de l’histoire en dit long sur son talent, tandis que les dix pole positions décrochées cette année parlent d’elles-mêmes de son pilotage exceptionnel.
Talentueux, exceptionnel, Sebastian Vettel l’est sans aucun doute. Mais ceux qui le côtoient affirment qu’il est pétri de bien d’autres qualités encore parmi celles qui distinguent les grands champions des autres pilotes.
Son triomphe de dimanche vient pourtant couronner une carrière où tout n’a pas été simple. Né d’un père modeste charpentier à Heppenheim, entre Heidelberg et Francfort, le petit Sebastian reçoit un jour un kart pour Noël. Il dispute alors ses premières courses à l’âge de 8 ans, au moment où la schumimania commence à faire vibrer l’Allemagne.
Débuts difficiles
Au début, les moments difficiles se succèdent. Car chaque fois qu’il franchit un échelon dans la hiérarchie du sport automobile, le scénario est le même, Sebastian souffre avant de dompter les formules qu’il traverse. Son heure de gloire vient en formule BMW, ses premières monoplaces après sept ans de karting. Deuxième dès sa première saison, il se révèle éblouissant l’année suivante, en 2004, lorsqu’il empoche 388 points sur les 400 possibles.
Passé en formule 3, ses difficultés reprennent, il ne se classe que 6e. La saison suivante, il se retrouve dans la meilleure voiture du championnat, sans le remporter. A sa décharge, Red Bull, son employeur, l’épuise en l’alignant à la fois en formule 3 et en World Series, tout tenant le rôle de pilote essayeur en F1 chez BMW-Sauber.
En 2007, il débute en grand prix, aux Etats-Unis, en remplacement de Robert Kubica accidenté au Canada. Il termine huitième et devient le plus jeune pilote à marquer un point en F1, à 19 ans, 11 mois et 14 jours.
Les regrets de Sauber
Pourtant, les dirigeants de l’écurie BMW-Sauber ne sont pas convaincus par ses performances. Une nouvelle fois, Vettel a besoin de temps pour s’adapter à son nouveau milieu. L’équipe germano-suisse le relâche, et il termine sa saison chez Toro Rosso. Aujourd’hui encore, Peter Sauber s’en mord les doigts: «Laisser partir Sebastian a sans doute été la plus grosse erreur de ma carrière», admet-il.
Chez Toro Rosso, le nouveau venu peine une fois de plus à creuser son trou, jusqu’à Monza, où il remporte le GP d’Italie sous la pluie pour devenir le plus jeune vainqueur de la F1, à 21 ans, 2 mois et 12 jours.
Passé chez Red Bull, il ne tarde pas à prendre la mesure de Mark Webber, pourtant nettement plus expérimenté que lui. Cette année, l’Australien a été battu 12 fois par l’Allemand en qualification. Pour se sentir en confiance, pour donner le meilleur de lui-même, Vettel doit tout savoir, tout comprendre. «C’est un travailleur, reconnaît le Français Guillaume Rocquelin, son ingénieur chez Red Bull. Pendant les courses, il passe ses soirées avec nous, dans le camion, à étudier ses données de télémétrie, à comparer les chronos… A 22 heures, on est souvent obligés de lui dire d’aller se coucher…»
Sebastian Vettel sait qu’un pilote ne peut gagner seul, et il en a développé l’art de fédérer son équipe. Chez Toro Rosso, il a commencé par apprendre l’italien.... «Il passe beaucoup de temps avec nous, poursuit Rocquelin, il connaît tous ses mécaniciens, ce n’est pas fréquent chez les pilotes… »
A 23 ans, 4 mois et 11 jours, il est déjà champion du monde. Perfectionniste, il sait pourtant qu’il lui manque encore un peu d’expérience pour mieux régler sa voiture. Ce qui lui permettra sans doute de disputer bien d’autres titres mondiaux.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
16/11/2010, 16h49
Equipe de Suisse
VIDÉO Alex Frei botte le "Blick" en touche
Image © DR
Alex Frei déplace le micro du "Blick" devant les représentants des médias.
En vedette d'un point presse en marge du match Suisse-Ukraine de demain au Stade de Genève, Alex Frei a d'abord écarté le micro du "Blick" de la table de conférence avant de foudroyer du regard la journaliste du journal populaire zurichois. Rancunier, Sir Alex?
le 16 novembre 2010, 15h18
LeMatin.ch
18 commentaires
Alex Frei est apparu souriant et détendu ce matin au Stade de Genève, à l'occasion d'une conférence de presse en marge du match amical Suisse-Ukraine de demain. Oubliés les sifflets du public et les critiques des médias lors de ces dernières sorties? Pas sûr... Tout en plaisantant avec un membre du staff, l'attaquant controversé de l'équipe de Suisse a écarté le micro du "Blick" qui se trouvait devant lui, sur la table de conférence.
Une attaque ciblée contre le journal populaire zurichois, qui ne s'était pas montré très tendre avec le capitaine de la Nati, le poussant à plusieurs reprises vers la sortie. Rancunier Alex? Son regard noir lancé en direction de la journaliste du "Blick" venu remettre le micro en place en dis plus que n'importe quel mot.
http://www.lematin.ch/sports/footbal...-touche-349567
Bien joué Frei............
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
16/11/2010, 18h52
TENNIS
Masters ATP à Londres: Federer se mesurera à Söderling, Murray et Ferrer
Image © KEYSTONE-a
Roger Federer connaît depuis aujourd'hui les adversaires qu'il affrontera dans la poule initiale du Masters.
Roger Federer devra batailler avec Robin Söderling, Andy Murray et David Ferrer au Masters ATP qui débutera dimanche à Londres. Les deux premiers du groupe iront en demi-finale.
le 16 novembre 2010, 14h45
LeMatin.ch & les agences
3 commentaires
L'autre groupe réunira Rafael Nadal, Novak Djokovic, Tomas Berdych et Andy Roddick. La finale aura lieu le dimanche 28 novembre.
Présent chaque année au Masters depuis 2002, Federer s'est toujours qualifié pour les demi-finales à l'exception de 2008. Une défaite contre Andy Murray lui avait alors été fatale. Face à l'Ecossais qu'il retrouvera donc sur sa route à Londres, il affiche un bilan négatif de 5 victoires pour 8 défaites. Ses statistiques sont en revanche presque parfaites face à Söderling (14 victoires/1 défaite) et Ferrer (10/0), contre qui il débutera le tournoi dimanche à 21h.
Curiosité rare, les deux finalistes de l'an dernier ne sont pas présents dans la capitale britannique, leur campagne 2010 ayant été bien moins fructueuse que la précédente. Nikolay Davydenko, vainqueur 2009, ne pointe qu'au 22e rang à l'ATP alors que Juan Martin Del Potro n'a quasiment pas joué cette année en raison de blessures.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
17/11/2010, 04h58
FOOTBALL
Frei: «Je ne suis pas une machine»
Image © Michel Perret
Atteint par les sifflets qui ont accompagné sa sortie voici cinq semaines, le capitaine brise le silence. Il évoque sa condition de futur retraité tout en laissant la porte ouverte.
Propos recueillis par Nicolas Jacquier - le 16 novembre 2010, 22h23
Le Matin
0 commentaires
EQUIPE DE SUISSE
GENÈVE
Depuis le match et les sifflets du 12 octobre contre le Pays de Galles, Alex Frei ne s’était encore jamais exprimé, hormis par le biais d’un communiqué, tombé le 4 novembre, dans lequel le capitaine y annonçait sa future retraite de l’équipe nationale pour le terme de la saison, soit au milieu de la campagne de qualification pour l’Euro 2012. Hier, Frei a retrouvé la parole pour un match verbal de 27 minutes face aux médias, en attendant de s’exprimer ce soir balle au pied contre l’Ukraine, peut-être pour un 41e but attendu depuis 434 jours. Apparu d’abord tendu, terriblement crispé, le footballeur allait se dérider au fil de la discussion au point de laisser percer ses émotions d’homme.
Alex Frei, quel est votre état d’esprit après avoir dit «stop, j’arrête»? Libéré?
Cette question de savoir quand arrêter me hantait depuis un moment. Jusqu’où voulais-je continuer, voilà ce que je me suis demandé. J’ai écouté mes amis, ma famille, mes coéquipiers aussi, tant à Bâle qu’en équipe de Suisse. J’ai aussi analysé la situation avec moi-même. Au départ, je voulais arrêter tout de suite. Mais avec le recul, je me suis dit que je pouvais encore aider cette équipe, l’amener sur le bon chemin.
Mais pourquoi arrêter au milieu d’une campagne de qualification pour une compétition continentale?
Ça, c’est mon choix, il faut le respecter.
Est-ce une décision définitive ou deux victoires au printemps pourraient-elles vous faire changer d’avis et revenir en arrière?
Mon plan, c’est de rester à disposition. S’il y a des blessés, un, deux ou trois comme aujourd’hui, je viendrai aider pour dépanner. Si tout le monde est là, j’arrêterai pour de bon. A un moment donné, il faut savoir se regarder dans un miroir et voir la réalité.
Dans ce compte à rebours jusqu’en juin 2011, il vous reste théoriquement quatre matches avec la Suisse, dont celui d’aujourd’hui, coïncidant avec votre dernière apparition sur le sol helvétique…
A moi de profiter de ces instants-là. En décembre, je subirai une arthroscopie au pied qui me fait souffrir. Depuis ma blessure à la cheville droite survenue à Zurich, le jour même du départ pour la Coupe du monde en Afrique du Sud, je joue avec des médicaments. Ce n’est pas évident à gérer. Après chaque match, j’ai mal.
Dans quelle mesure ce qui s’est passé à Bâle le 12 octobre a-t-il influencé votre décision?
Ça m’a touché, forcément. Les sifflets m’ont atteint. Je ne suis pas une machine. Même si je peux comprendre la déception des gens. Je suis d’ailleurs le premier à admettre que mes performances ne sont pas à la hauteur de ce que l’on attend de moi. Je suis celui qui se demande le plus le pourquoi du comment, au point de ne plus dormir et de perdre le sommeil.
S’il n’y avait pas eu ces sifflets, auriez-vous pris la même décision?
Disons que cela a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
Dans quelle mesure le fait de n’avoir plus marqué avec la Suisse depuis le 9 septembre 2009 en Lettonie vous obsède-t-il?
Cela me travaille. Je me fais du souci pour moi-même. Il faut aussi voir les ballons que je reçois… quand j’en ai. Pourquoi n’y arrivais-je plus? A quoi cela tient-il? Pourquoi ce satané ballon ne veut-il pas entrer comme au Monténégro? Plus j’y pense, moins j’ai de réussite, semble-t-il. Donc… n’y pensons plus!
Genève, c’est la ville, le club qui vous a lancé au niveau international…
Je n’ai pas oublié tout ce que je dois à Servette. Je garde des souvenirs extraordinaires de ce que j’ai vécu ici. Chaque fois que je passe en voiture devant les anciennes Charmilles, je suis habité par la nostalgie. Du reste, j’aurais souhaité rester au Servette, mais j’avais dû partir en raison des problèmes financiers du club.
Redoutez-vous l’accueil que le public genevois vous réservera, de devoir peut-être faire face à de nouveaux sifflets?
Pas vraiment. Le public vient pour encourager l’équipe et non pour siffler son capitaine. De toute manière, je dois passer par-dessus tout ça.
Ne payez-vous pas aussi le fait d’être revenu jouer en Suisse, à Bâle? Vous ne subissiez pas le même traitement lorsque vous jouiez à l’étranger.
Avec Bâle, il n’y a pas qu’Alex Frei qui soit sifflé. On l’est tous quand on joue en Suisse. Quand vous êtes au Bayern, vous avez droit au même traitement partout en Allemagne. Seules les distances diffèrent. En Suisse, c’est 20 km, en Allemagne, c’est 800 km!
Dans trois jours, vous serez de nouveau à la Praille, avec Bâle cette fois. Pensez-vous être aligné contre Servette en Coupe?
Comme on n’est pas terribles ces temps-ci, je pense. On doit retrouver ce qui nous manque. Et comme Servette est plutôt une équipe de Super League que de Challenge League…
L’Ukraine éveille forcément de mauvais souvenirs, avec cette série de tirs au but mal négociée en huitième de finale du Mondial 2006, de surcroît sans vous…
Mais qu’est-ce que j’y peux, moi, si l’on m’a sorti à la 117e Comme si c’est moi qui avais ordonné le changement. Il y a des entraîneurs pour cela. Depuis ce 26 juin, il y a des tonnes de penalties qui ont été tirés. En 2006, on aurait dû faire la différence avant.
Et ce soir, en cas de penalty, irez-vous le tirer?
Je suis désigné par Hitzfeld pour le tirer au cas où. Normalement, c’est donc moi qui m’en chargerai. Maintenant, il faudra voir. Si c’est moi qui le provoque, peut-être serait-il mieux que je m’abstienne car ce n’est pas un bon signe.
De tous vos buts, quel est celui qui vous revient le plus souvent à l’esprit?
Je ne tiens pas une comptabilité où je les verrai défiler. Difficile d’en sortir un. J’ai marqué des buts qui n’ont eu aucune importance, d’autres qui ont compté, des jolis, des pas beaux du tout, etc.
Votre record de 40 buts sera-t-il battu un jour?
Peut-être. De jeunes attaquants arrivent. Moi-même j’entraîne une fois par semaine les espoirs à Bâle. Peut-être y a-t-il un nouvel Alex parmi les M16.
Et vous Alex Frei, qu’allez-vous devenir après le football?
Pour l’heure, j’apprends les rudiments du métier d’entraîneur, je prends des notes.
Et bifurquer vers le journalisme?
Peut-être serais-je pas mal comme attaché de presse! (Rires.)
Pas con le Frei.....
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
17/11/2010, 05h01
Govou sommé de s'expliquer sur une nouvelle nuit arrosée
© photo news
Le Panathinaïkos a exigé mardi des explications écrites à Sidney Govou après une nouvelle sortie nocturne non autorisée de l'attaquant français samedi dernier, quelques heures seulement après le match nul (1-1) de son club face à Larissa en Championnat de Grèce.
Selon les médias grecs, Govou, déjà sanctionné à deux reprises de 25.000 euros d'amendes pour des faits identiques, aurait été vu à une heure tardive en état d'ébriété avancé.
En octobre et après un deuxième écart de conduite, le patron du club Nicholas Pateras aurait mis en garde le joueur et menacé de l'exclure de l'équipe en cas de récidive, selon le site sportif grec Sport.gr.
Toujours selon les médias grecs, le conseil d'administration du Pana envisagerait de mettre fin au contrat de Govou, transféré l'été dernier de Lyon en Grèce et lié au club de la capitale grecque pour deux saisons.
La carrière en France de Sidney Govou, 31 ans, avait déjà été marquée par des écarts de conduite. En décembre 2008, il avait interpellé pour conduite en état d'ébriété à Lyon, puis sanctionné par l'OL après une sortie nocturne en octobre 2009. Govou a également été entendu comme témoin par les enquêteurs dans la même affaire de proxénétisme que Franck Ribéry et Karim Benzema.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
17/11/2010, 05h03
Les Bleus renoncent aux primes du Mondial
© reuters
7S7 mise à jour Les 23 joueurs de l'équipe de France présents au Mondial 2010 ont accepté de renoncer aux primes de droit à l'image liées à leur participation à la compétition et aux matches de préparation de la Coupe du monde, a annoncé mardi lors d'une conférence de presse le président par intérim de la FFF Fernand Duchaussoy.
"Les joueurs confirment"
"De nombreuses informations imprécises et erronées ont été publiées concernant les primes de la Coupe du monde, a déclaré M. Duchaussoy. Hier soir (lundi), j'ai donc tenu à rencontrer les joueurs à Londres pour écarter définitivement tout malentendu. Les joueurs confirment l'engagement pris lors de la Coupe du monde de renoncer aux primes de quelle que nature que ce soit liées à la période des matches de préparation ainsi que la phase finale de la compétition en Afrique du Sud."
3 millions d'euros
"Les joueurs approuvent la démarche de la Fédération française de football, consistant à affecter ces primes, soit un montant global approximatif de de 3 millions d'euros au financement d'actions dans le football amateur", a ajouté M. Duchaussoy
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
17/11/2010, 05h05
Un défenseur de Monaco perd sa prothèse dentaire
© afp
Petter Hansson, défenseur de l'AS Monaco, a eu un week-end particulièrement pénible. Le robuste Suédois a donné de sa personne dans le match contre Arles Avignon: c'est que le défenseur y a également laissé son dentier.
Après un duel aérien face au Sénégalais N'Diaye Déme, sa prothèse dentaire est tombée. Le joueur a donc du chercher sa dent perdue avant de pouvoir reprendre le match, qui s'est terminé sur le score de 0-0. (ca)
© afp
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
17/11/2010, 06h05
Zoom
MATCH AMICAL/ANGLETERRE - FRANCE.
Les Bleus misent sur l’attaque dans le temple du football
L’équipe de France se mesure ce soir à l’Angleterre dans le mythique stade de Wembley. Pour l’occasion, Blanc va tester une organisation de jeu très offensive.
DOMINIQUE SÉVÉRAC | 17.11.2010, 07h00
C’est un symbole, un retour aux sources et une métaphore de la nouvelle vie des Bleus. Devant leur faible vécu commun, qui s’élève au mieux à cinq matchs, se profile pour les hommes de Laurent Blanc le mythique stade de Wembley peuplé de sa fière équipe nationale d’Angleterre. Wembley qui, malgré une reconstruction réussie sur le même site en 2007, est toujours considéré comme le temple du football.
C’est donc le théâtre idéal pour mettre en lumière le principal mérite du sélectionneur et de quelques-uns de ses affidés depuis le mois d’août : avoir remis le football au cœur de la sélection nationale.
Il s’agit une sorte d’exploit, cinq mois après un Mondial sportivement désastreux et l’image scandaleuse d’un groupe refusant de s’entraîner. Même la polémique sur les primes des joueurs n’aura pas suffi à détourner les amoureux de l’essentiel : ce soir, les Bleus vont disputer l’un des matchs les plus passionnants de ces derniers mois, dans un mélange d’excitation et de curiosité.
Blanc espère des révélations
On ne pensait pas si vite retrouver le grand frisson qui s’attache à ces rendez-vous prestigieux. Un double plaisir si l’on vit ce match comme un prélude à la réception du Brésil, le 9 février prochain. Au moins, on ne pourra plus critiquer les rendez-vous amicaux qui donnent aux Bleus deux adversaires classés parmi les dix meilleures sélections du monde par la Fédération internationale (Fifa).
L’excitation et la curiosité, donc. La première, on comprend. La curiosité, elle, naît des capacités encore un peu insondables des Tricolores. Que valent-ils vraiment? Même Laurent Blanc semble dans l’expectative. « Je me demande ce que peut donner l’équipe de France face à l’Angleterre, confie le sélectionneur. J’aimerais recevoir un signe fort de l’équipe, voir comment elle peut se tenir dans une telle ambiance. A travers le collectif, les performances individuelles seront analysées. J’espère que des gens confirmeront tout le bien qu’on pense d’eux et que d’autres pourront se révéler pour montrer à l’entraîneur qu’ils ont le niveau international. »
Il y a onze ans, Nicolas Anelka, auteur d’un magnifique doublé, s’était révélé à la face du monde. Ce soir, il a le droit de se trouver un héritier, avec seulement cette contrainte : éviter plus tard, la confiance venue, d’insulter son sélectionneur. Fin 2010, malgré les symboles et le retour aux sources, on en revient toujours un peu à cette Coupe du monde.
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