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[Mattia75]

Moi je dis bravo Daniel et Didier!!

[Norton]

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Jacque : "La course me manquait"

Après deux ans à tourner en essais pour Kawasaki, Olivier Jacque, 33 ans, va retrouver avec plaisir la compétition, en MotoGP 2007.

Après deux ans à tester pour Kawasaki, quelle a été votre réaction lorsque vous avez appris que vous seriez titulaire en 2007 ?
Olivier Jacque : Un rêve devenait réalité, et d'une certaine façon c'était une surprise totale, mais très agréable. En fait, j'espérais être pilote de course pour Kawasaki en 2006 mais ils ont sélectionné un jeune pilote et j'en comprends les raisons. A la fin de la saison 2005, mes performances n'étaient pas si solides que ça. C'est devenu sensé pour Kawasaki de signer un jeune pilote pour le futur. Ce nouveau contrat est un nouveau départ dans ma carrière.
Avez-vous pensé que vous ne reviendriez jamais en MotoGP ?
O.J. : Pas vraiment, mais j'étais heureux d'accepter la position d'essayeur, une expérience très intéressante. Cependant, ça m'a ennuyé de ne pas courir. Je faisais beaucoup, beaucoup de tours, ce qui était important pour Kawasaki pour faire progresser la moto, mais ce n'était pas le défi de la course, qui apporte une grande satisfaction personnelle. A la fin de la saison dernière, lorsque j'ai su que Shinya Nakano quittait Kawasaki, j'ai dit au team que, s'il y avait une opportunité, je voulais courir de nouveau, car la course me manquait.
Vous n'avez donc jamais perdu votre motivation ?
O.J. : Non. J'avais une forte motivation pour recourir, et un désir très fort de le faire avec Kawasaki car j'aime vraiment la façon dont ils travaillent. En plus, Kawasaki est une équipe relativement nouvelle en MotoGP et son projet de 800cc est très intéressant. C'était aussi un attrait de travailler avec des gens que je connais depuis mes années de 250cc, comme Ichiro Yoda (directeur), qui m'a fait confiance. Et l'équipe de grand prix est jeune, avec une bonne image, ce qui m'a attiré.
Votre expérience de pilote d'essais avec Kawasaki va-t-elle vous être bénéfique ?
O.J. : Oui, elle va m'aider à mieux comprendre la direction du développement technique à suivre.
Et la nouvelle catégorie 800cc de MotoGP, qu'en pensez-vous ?
O.J. : J'aime le concept. Le nouveau règlement MotoGP est excitant.
Et à propos du style de pilotage ?
O.J. : Je ne pense pas qu'il y a une grosse différence entre la 990cc et la 800cc. Quand la 800cc est apparue, il y a eu beaucoup de comparaisons avec le style de la 250cc à deux-temps. Mais je pense que la comparaison n'est plus valable. Au début, le relatif manque de puissance de la 800cc, comparé à la 990cc, est peut-être ce qui a poussé certains pilotes à comparer la 800cc avec la 250cc. Mais plus maintenant.
Que pensez-vous du potentiel de la Ninja ZX-RR 800cc et du team Kawasaki ?
O.J.: Le potentiel est élevé et surprendra peut-être des gens. Lorsque j'ai piloté pour la première fois la 800cc ZX-RR en tests, c'était déjà une bonne machine, et durant le programme hivernal, nous avons développé une base solide. Il n'y a pas eu de gros problèmes, mais comme toujours dans la course c'est difficile de faire des prédictions, spécialement comparé aux rivaux avant que la saison n'a démarré.
Il y aura moins de contrôle électronique sur les moteurs de 800cc par rapport aux 990cc. Qu'est-ce que cela signifie pour le pilote ?
O.J.: L'une des conséquences est que ça va rendre la compétition plus serrée entre les constructeurs. Et pour les pilotes, moins d'électronique à prendre en compte signifie plus d'importance donnée au pilote lui-même, spécialement sur une distance de course.
Votre équipier est un compatriote, Randy de Puniet. Que pensez-vous de cette association 100 pour cent française ?
O.J.: J'ai une très bonne relation avec Randy. Nous avons passé de bons moments en dehors de l'univers de la course, la plupart au Japon, récemment. Sur la piste, nous avons une relation de travail très forte, très professionnelle. Nous échangeons nos informations et essayons d'améliorer notre vitesse l'un l'autre. Cette ambiance amicale est important.
Quels sont les meilleurs moments de votre carrière, 250cc et MotoGP compris ?
O.J.: Le premier d'entre eux est la victoire au championnat du monde 250cc (2000), ce qui a été un résultat très satisfaisant pour moi. Le Grand Prix de Chine à Shanghai, en 2005, a aussi été un moment spécial, partagé avec Kawasaki. C'était une course avec de la pluie, beaucoup de pluie, et j'ai terminé 2e, ce qui était le meilleur résultat de Kawasaki en MotoGP. Puis, la signature comme pilote de course a été un très bon moment pour moi.
Les motos sont toute votre vie, mais que feriez-vous si vous n'étiez pas pilote professionnel ?
O.J.: J'aurais ouvert un bar sushi, car j'aime la nourriture japonaise. Je serais probablement aussi impliqué dans le sport d'une façon ou d'une autre, peut-être dans un domaine technique au sein d'une équipe.
Ça ressemble à quoi, la vie à Londres ?
O.J.: J'adore Londres, bien que cela peut être froid en hiver. Il y a de bons restaurants de sushi et des clubs où aller avec des amis. Il y a aussi des endroits super, comme Portobello, à l'écart des touristes, et le théâtre, telle la comédie musicale. Je vis près de King's Road à Chelsea, aux environs de Sloane Street. Il y a toujours des choses intéressantes à y faire.
Vous avez changé le design de votre casque. Pourquoi ?
O.J.: Avec la personne qui le dessine, nous avons simplement voulu faire quelque chose de très différent pour cette saison, sans signification particulière.
Quels sont vos objectifs 2007 ?
O.J.: Piloter à mon niveau, donner le meilleur de moi et de la Kawasaki ZX-RR . Si c'est le cas, quelques bons résultats seront au rendez-vous.

[Norton]

Fractures pour Hopkin

Alors qu'il était en haut de la feuille des temps, John Hopkins (Suzuki) a lourdement chuté jeudi, lors de la troisième journée de tests à Losail. Premier diagnostic : fractures à la main et au pied droit.


Eurosport

[Norton]

Grönholm un peu las

Vainqueur coup sur coup des Rallye de Galway et de Norvège, Marcus Grönholm (Ford) sent la fatigue à l'orée de sa troisième compétition en trois semaines.

Quel est votre état d'esprit avant ce rallye de Norvège ?
Marcus Grönholm : Je suis un peu fatigué de répondre toujours aux mêmes questions. Ça fait trois rallyes en trois semaines. Je sais que c'était bien d'enchaîner la Suède et la Norvège, pour des raisons économiques, mais j'aurais bien aimé avoir un break un peu plus long. D'autant qu'il a fallu commencer les reconnaissances mardi et que toutes les spéciales sont nouvelles pour moi et pour mon copilote, Timo Rautiainen.
Comment trouvez-vous le parcours ?
M.G. : Certaines spéciales ressemblent à la Suède, d'autres ressemblent plus à l'Arctic Rally en Finlande. Il y a des spéciales étroites, mais ce n'est pas un problème, et d'autres avec beaucoup de bosses, où il pourrait y avoir des moments un peu chauds. Il y en a aussi des plus rapides, mais dans lesquelles il y a des changements de rythme, ce n'est pas évident. Tout ce que je sais, c'est que ce sera à fond de bout en bout.
Quel sera le secret d'un rallye réussi en Norvège ?
M.G. : Des reconnaissances précises. Nous n'avons eu que deux passages pour prendre des notes, comme tous les autres pilotes, donc il n'y a pas de handicap pour nous. Il fallait être extrêmement précis, à 100% dès le premier passage, pour pouvoir vérifier les notes au deuxième passage. Très peu de pilotes connaissent ces routes, sauf peut-être Henning (Solberg). Et même Petter (Solberg) admet qu'il ne les connaît pas bien, alors qu'il est norvégien. Je n'ai jamais couru en Norvège, mais j'aime beaucoup les rallyes en hiver, donc j'ai hâte que ça commence.

[Stoner27]

Envoyé par Norton

Fractures pour Hopkin

Alors qu'il était en haut de la feuille des temps, John Hopkins (Suzuki) a lourdement chuté jeudi, lors de la troisième journée de tests à Losail. Premier diagnostic : fractures à la main et au pied droit.


Eurosport

C'est de la moto ça non????

[FuryShoei]

Finale de la coupe de France de hockey sur glace : Angers-Épinal


La joie des Angevins hier soir lors de la remise de la coupe.

Édition du jeudi 15 février 2007

Angers - Epinal (4-1) : le fil du match

Devant 12 215 spectateurs debouts (record d’affluence pour le hockey français), dont quelques centaines d’Angevins en liesse, Angers, avec Simon Lacroix élu meilleur joueur de la finale, succède à Dijon au palmarès de la très prisée coupe de France.


0-0 entre Angers et Epinal à la fin de la première période

Parfaitement entrés dans la rencontre, les Angevins traduisaient rapidement leur jolie agressivité par une domination territoriale qui laissait les Dauphins comme échoués dans leur moitié de terrain. La pression portée par les Ducs sur les débats contraignait ainsi Apinal à procéder par contres. Le plus incisif intervenait sur un débordement de Simko dont le caviar surpris Petrak, seul devant le but vide, qu’il ratait (6’). La maîtrise demeurait pourtant angevine, mais restait stérile, Baluch manquant toutefois de peu de briser la glace (12’) dans un cafouillage devant Petrik, le portier vosgien. Epinal sortait alors de sa coquillle, et les débats s’équilibraient sensiblement. Koivulla, dans les buts angevins, s’avérait même décisif sur plusieurs déboulés spinaliens, sur une double infériorité numérique angevine (14’). Le score demeurait pourtant vierge au terme de cette première période, malgré une tentative lointaine de Lahesalu (19’35) qui se heurtait au gardien vosgien.

Angers mène 1-0 contre Epinal

La domination angevine du premier tiers s'est concrétisée au tableau d'affichage dès la reprise de la seconde période sur un but de Hovora, assisté de Jokinen et Bardet (21'47).


Angers mène 2-1 devant Epinal

Bohacek, pour Epinal, a ramené la formation des Vosges à hauteur d'Angers à la demi-heure de jeu (1-1, 30'35'') mais, dans la foulée, Jokinen (32'26'') a replacé le club du Maine-et-Loire en tête de la finale.


Angers mène 3-1 à la fin de la seconde période

La domination angevine de la première période se concrétisait au tableau d’affichage dès la reprise du jeu via Hovora (21’47’’), servi par Jokinen. L’affaire semblait bien embarquée pour Angers mais Bohacek allait glacer copieusement l’ambiance dans le camp angevin en trompant un Koivulla impeccable jusque-là (30’35’’). Proposant une partition plus structurée, l’Asga ne baissait pas pavillon pour autant et Jokinen replaçait l’équipe du Maine-et-Loire rapidement en tête des débats (32’26’’). La pression angevine devenait assez insupportable pour Epinal qui, par deux fois, crut concéder un troisième but sur des actions de Hovora et Rodrigue dans la même minute (39’). La troisième tentative de cette 39’ fut finalement la bonne grâce à Jodoin, assisté par Jokinen et Baluch (39’23’’).


Angers remporte la coupe de France à Bercy contre Epinal (4-1)

Le meilleur restait toutefois à venir pour l'Asga, solide en défense et inspirée en attaque. Archi-motivés par cette finale, les Ducs ne se contentaient pas de gérer leur avance (3-1) dans le dernier acte. Au contraire, face à des Spinaliens sensiblement refroidis, l’Asga continuait de se ruer à l’assaut des buts vosgiens. Les Dauphins d’Epinal tanguaient même sérieusement devant le flux et reflux des attaques angevines. Baluch accroissait donc en toute logique, et définitivement, l’avance de l’Asga (47’40’’).

Devant 12 215 spectateurs debouts (record d’affluence pour le hockey français), dont quelques centaines d’Angevins en liesse, Angers, avec Simon Lacroix élu meilleur joueur de la finale, succède ainsi à Dijon au palmarès de la très prisée coupe de France.



La fiche technique : Angers - Epinal : 4-1 (0-0, 3-1, 1-0).
Buts pour Angers : Hovora (21’47’’, ass. Jokinen et Bardet), Jokinen (32’26’’), Jodoin (39’23’’, ass. Jokinen et Baluch), Baluch (47’40’’, ass. Jodoin et Drozdz).
But pour Epinal : Bohacek (30’35’’).


Ouest-France

[FuryShoei]

Hockey, Coupe de France, Finale, Angers-Epinal, Compte rendu


Tomas Baluch, auteur du 4e but d'Angers, soulève la coupe (Panoramic)

Les Ducs sacrés !

Les Ducs d’Angers ont fêté de manière originale la Saint-Valentin en remportant la finale de la Coupe de France face à Epinal (4-1), au Palais Omnisport de Paris Bercy, devant plus de 12 000 spectateurs.

Par Benjamin Horner

Première pour Angers
Dans un POPB qui avait quasiment fait le plein, les Ducs d’Angers ont inscrit une première ligne à leur palmarès, en battant les Dauphins d’Epinal en finale de la Coupe de France (4-1). A défaut d’être réjouissant sur la glace, le spectacle fut présent dans les tribunes, où 12 215 supporters (record de l’ère moderne de ce sport) ont fait la fête, ponctuée de olas à répétition, d’encouragements débridés, et de véritables broncas lors des quelques pugilats qui se développaient sur la glace. Une réussite, donc, pour la première finale de Coupe de France au POPB. Une première également pour les deux équipes, qui n’avaient jamais disputé une rencontre à ce niveau-là. Et cela se sentait. Crispés pendant le premier tiers, les joueurs ne parvenaient pas à trouver le chemin des filets, sur une glace pas facile à patiner, et faisaient étal d’un niveau technique pas toujours phénoménal. Il fallut donc attendre la 2e période pour assister à la première véritable occasion et à l’ouverture du score. A trois contre un, les Spinaliens ne parvenaient pas à tromper la vigilance de Koivula, le gardien des Ducs qui réussissait à détourner le tir du capitaine des Dauphins, Guillaume Chassard. Tout juste 24’’ plus tard, Hovora trompait Petrick à l’issue d’une belle action collective (1-0, 21e), et le match basculait du côté angevin. Malgré une égalisation sur un lancer lointain de Bohacek (1-1, 30e) dans la lucarne, les joueurs spinaliens ne parvenaient pas à prendre la mesure de la rencontre et encaissait deux buts supplémentaires de Joikinen (2-1, 32e) et Jodoin (3-1, 39e), qui scellaient cette finale. Les Ducs contrôlaient sans trop de difficulté la fin de la partie et ajoutaient même un but dans leur escarcelle par Baluch (4-1, 47e).

Une victoire pour le hockey français
Pour tous ces joueurs qui ne rêvaient peut-être même pas de soulever un jour la coupe dans une telle enceinte, cette finale restera sans doute l’une des apothéoses de leur carrière. Mais c’est avant tout une victoire pour le hockey sur glace français, qui a fait une superbe démonstration mercredi soir, comme s’en félicitait Jean-François Lamour, le Ministre des Sports, présent dans les tribunes. «Non seulement je ne suis pas déçu d’être venu, mais je félicite le dynamise des idées de la nouvelle fédération menée par Luc Tardif. Son audace se concrétise avec un Bercy rempli à bloc et des projets de développement solides. Cette finale est la preuve qu’un déclic a eu lieu», confiait-il dans les colonnes de L’Equipe, jeudi. Même son de cloche pour Denis Pérez, ancien international et coach d’Amiens. «Franchement, on m’aurait dit il y a seulement cinq ans que le hockey français reviendrait à Bercy, je n’y aurais pas cru. On ne peut que rester bouche bée devant la réussite de cette soirée», a-t-il dit, enthousiaste, au quotidien sportif. Une réussite que les instances vont maintenant devoir reproduire l’année prochaine, pour que la renaissance du hockey français ne soit pas un feu de paille.

Résultat de la finale
Ducs d’Angers-Dauphins d’Epinal 4-1 (0-0, 3-1, 1-0)
Buts
Angers
Hovora (21’47’’), Jokinen (32’28’’), Jodoin (39’23’’), Baluch (47’40’’)
Epinal
Bohacek (30’35’’)


Source : www.sport24.com

[Norton]

Envoyé par Mr Ducati

C'est de la moto ça non????

Oui ducat c'est de la moto, c'était pour éviter d'ouvrir de nouveaux postes. A l'avenir je les posterai côté Padock

Merci pour tes nouvelles banditmaniak

[Norton]

Jan Mazoch
Le spécialiste tchèque de saut à skis a quitté l’hôpital et va poursuivre sa convalescence après avoir été opéré du cerveau, suite à une grave chute.