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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
01/01/2011, 19h07
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Envoyé par Norton
EXHIBITION
Nadal bat Federer à Abou Dhabi
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Bonne tête de vainqueur le Rafa
Mais sinon ces gars font un sport de malade en y pensant, la saison s'est terminé il y a 3 semaines et ils reprennent déjà avec l'Open d'Australie dans 2 semaines
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
01/01/2011, 19h11
Citation:
Envoyé par danlos
Bonne tête de vainqueur le Rafa
Mais sinon ces gars font un sport de malade en y pensant, la saison s'est terminé il y a 3 semaines et ils reprennent déjà avec l'Open d'Australie dans 2 semaines
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J'apprécie l'un et l'autre,je n'ai pas de préférence mes deux joueurs préférés avec Soderling et un ou deux autres.
En plus ils sont potes et sont contents de tomber l'un sur l'autre à chaque finale......
Des mecs de classe à mon avis et plus est sans la grosse tête.
Bonne année Danlos
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
01/01/2011, 19h18
Ski de fond - T. de Ski (H)
Cologna s'impose
Victoire de Dario Cologna lors de la poursuite classique à Oberhof. Le Suisse a parcouru les 15km de cette étape du Tour de Ski en 47'48"1 et terminé la course devant Devon Kershaw (47'48"6) et Alexander Legkov (47'48"9).
Premier Français classé, Jean-Marc Gaillard termine 14e en 48'03"2. Déception pour Robin Duvillard, pourtant 6e du prologue: il ne se classe qu'à la 57e place (50'23"4).
Il est fort notre Dario ( Chtit coup de chauvin
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
01/01/2011, 19h23
Ammann: "Je suis de nouveau dans la course pour gagner la Tournée"
Tournée des Quatre-Tremplins | Simon Ammann a gagné le concours de Nouvel-An à Garmisch au terme d’une seule manche perturbée par le vent.
© KEYSTONE | Simon Ammann, vainqueur du concours de Nouvel-An à Garmisch
ATS | 01.01.2011 | 16:05
Simon Ammann a gagné le concours de Nouvel-An à Garmisch au terme d’une seule manche perturbée par le vent. Il a devancé le Russe Pavel Karelin et le Polonais Adam Malysz. Ammann a réalisé une excellente opération dans l’optique du classement final de la Tournée des Quatre-Tremplins.
Thomas Morgenstern (Aut) a en effet manqué son saut et n’a pris que la 14e place. L’Autrichien ne possède plus que 13,5 points d’avance sur le double champion olympique de Salt Lake City et Vancouver. C’est dire que celui-ci a bien redressé la barre après l’épreuve d’Oberstdorf au terme de laquelle il comptait 30 points de retard sur "Morgi".
Simon Ammann a effectué un saut très propre à 131 m, et il a obtenu des points de compensation grâce au vent et à un élan raccourci. Karelin (132,5) et Malysz (132) ont sauté plus loin que lui, mais ont été moins bien notés et ont bénéficié d’un vent plus favorable.
Comme Küttel...
Il s’agit du 18e succès du sauteur suisse en Coupe du monde, son premier à Garmisch et le deuxième seulement dans le cadre de la Tournée, après celui conquis à Oberstdorf en 2008. "Simi" ne s’était plus imposé depuis le 14 mars 2010 à Oslo. Cette victoire survient quatre ans jour pour jour après celle d’Andreas Küttel sur le même tremplin dans un concours qui avait également été raccourci à un seul saut en raison du vent. Un autre Suisse, Walter Steiner, avait aussi connu en 1974 la joie de débuter une année par un succès à Garmisch.
"Les circonstances ont joué en ma faveur, et c’est ce dont j’avais besoin. Je suis de nouveau dans la course pour gagner la Tournée", a déclaré Ammann.
Le vent a sérieusement perturbé la compétition. Les sauts ont été interrompus durant une demi-heure avant que la première manche puisse aller à son terme, toujours dans des conditions difficiles. Plusieurs favoris ont perdu énormément de terrain et, sans doute, une grande partie de leurs illusions dans la course à la victoire finale. Il s’agit notamment d’Andreas Kofler, le vainqueur de la dernière Tournée, qui a évité la chute de justesse (50e). Matti Hautamäki (Fin) et Manuel Fettner (Aut), respectivement 2e et 3e à Oberstdorf, n’ont pu faire mieux que 31e et 39e.
Les vétérans en vue
Les hommes d’expérience ont tiré leur épingle du jeu. Outre Ammann et Malysz, Anders Jacobsen (No/4e), Janne Ahonen (Fin/5e) et Martin Schmitt (All/7e) se sont mis en évidence avec un classement dans le top 10. Ahonen, quintuple vainqueur de la Tournée, a fait oublier sa piètre performance d’Oberstdorf (31e) avec un très bon saut à 134 m. (SDA\/wi)
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
01/01/2011, 19h25
Tour de Ski: Cologna s’impose à Oberhof
ski | Dario Cologna a remporté le 15 km poursuite d’Oberhof comptant pour le Tour de Ski. Le Suisse a du coup pris la tête du classement général de l’épreuve.
© KEYSTONE | Dario Cologna
ATS | 01.01.2011 | 13:33
Malgré les écarts au départ, un regroupement général en tête s’est rapidement produit. La course s’est dès lors déroulée en peloton et s’est décantée dans les deux ultimes montées, avec une élimination par l’arrière.
Dans les derniers mètres, Dario Cologna, impressionnant de puissance, a devancé l’étonnant Canadien Devon Kershaw et le Russe Alexander Legkov, le leader de la Coupe du monde. "Je me sentais bien et j’ai senti que la victoire était possible. Je suis content, car je n’ai pas usé trop d’énergie. Il était important de garder des forces pour la suite de la compétition", a déclaré le Grison après son succès.
Au classement général du Tour de Ski, Cologna possède 5’’5 d’avance sur Kershaw et 10’’8 sur Legkov. Le Norvégien Petter Northug occupe le 5e rang à 20’’4.
Chez les dames, la poursuite 10 km a été remportée par la Polonaise Justina Kowalczyk, qui a consolidé sa place de leader de l’épreuve. (SDA\/wi)
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
01/01/2011, 20h20
Heureusement que Federer a perdu sinon les suisses auraient tout raflé en ce premier jour de sport de 2011.
Enfin on a vu aujourd'hui les 3 meilleurs sportifs suisses à l'honneur.
Hopp Simmi
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
02/01/2011, 06h37
SAUT À SKIS
Les sauteurs, ces fous qui volent à plus de 100 km/h
Image © Keystone
Le saut à skis offre des sensations extraordinaires, comme ci-dessus sur le tremplin du Bergisel à Innsbruck.
La discipline exerce une véritable fascination sur les foules. Décoller du tremplin pour se poser le plus loin possible quelques secondes plus tard, voilà l'essence de ce sport.
Bernard Morel - le 01 janvier 2011, 21h26
Le Matin Dimanche
0 commentaires
Avec le style en V, les sauteurs sont devenus plus légers. Les explications de Sylvain Freiholz, ancien sauteur.
«L'essence même du saut, ce sont ces quelques secondes pendant lesquelles tu as réellement l'impression de voler.» Cela fait plus de sept ans que Sylvain Freiholz a arrêté la compétition, qu'il n'a plus sauté sur un tremplin, mais son regard retrouve toute sa flamme à l'évocation de son sport, lorsqu'il se retrouve dans la cabine de télévision en qualité de consultant pour la TSR, comme ces jours à la Tournée des Quatre tremplins. Cette flamme l'a emmené dans une carrière de haut niveau de plus de 15 ans, dont le point culminant fut une médaille de bronze obtenue sur le grand tremplin des championnats du monde de Trondheim en 1997. «Ce qui est fou dans le saut, continue-t-il, c'est de voler à plus de 100 km/h et de se poser par ses propres moyens.»
Irréel et surréaliste
Le saut à skis est un sport qui engendre une véritable fascination. Et cela d'autant plus qu'il n'est pas accessible au niveau de la pratique. Même s'il ne descendra jamais le Lauberhorn aussi vite que Didier Cuche, un skieur alpin peut prendre conscience de ce qu'est cette piste. De même, un cyclotouriste ne montera jamais le Ventoux au même rythme que Contador ou Schleck. Pour autant, la route lui est ouverte. Tandis qu'il est impossible de se retrouver en haut du tremplin d'Engelberg et de s'y élancer. Alors, il y a quelque chose d'irréel, de surréaliste à voir ces hommes - et des femmes aussi depuis quelques années - s'envoler dans les airs skis aux pieds et se poser quelque 130 mètres plus bas, voire plus de 200 mètres lorsqu'il s'agit de tremplins de vol à skis.
Au fil des années, le saut à skis a passablement évolué. Il fut une époque, dans les années 50, où le sauteur avait les bras tendus en avant et les skis parallèles sous le corps. Puis les bras ont été ramenés le long du corps. A la fin des années 80, le Suédois Jan Boklöv a utilisé une toute nouvelle technique en ouvrant les skis à la sortie du tremplin, de manière à former un V.
Le saut en V, une révolution
Il n'est pas exagéré d'utiliser le terme de révolution en la circonstance. Immédiatement, un certain nombre de sauteurs, dont Sylvain Freiholz, qui commençait sa carrière, ont adopté ce style. Avec une portance accrue dans le vol, ils allaient sensiblement plus loin. Mais ils étaient pénalisés par les notes de style. La FIS a fait de la résistance plusieurs saisons, jusqu'au moment où, voyant de plus en plus de sauteurs choisir le saut en V, elle a décidé de ne plus retirer de points au niveau du style. Tous les athlètes ont alors opté pour cette nouvelle technique.
«La généralisation du saut en V a changé beaucoup de choses, relève l'ancien sauteur du Brassus. Le vol a joué un rôle toujours plus grand, ce qui a entraîné une modification des tremplins pour qu'ils deviennent moins rapides. Dans les années 80 déjà, avec Matti Nykänen et Jens Weisflog, il y avait eu une évolution qui donnait plus d'importance au vol. Auparavant, la force maximale faisait partie du programme de préparation des sauteurs. C'était des athlètes très musclés. Avec l'apparition du style en V, la part accrue que prenait la phase de vol, la morphologie des gens a changé. On a alors parlé de régime, de kilos à ne pas prendre.»
D'autres dérives que le dopage
Le saut à skis n'est pas touché par le dopage de la même manière que les sports d'endurance et de force, mais il a aussi ses dérives. A partir des années 90, être léger est devenu le leitmotiv des sauteurs. Avec une conséquence dramatique pour certains, qui a eu pour nom anorexie. Le cas avéré dont on a le plus parlé est celui de l'Allemand Sven Hannawald, seul vainqueur de la Tournée en s'imposant sur les quatre tremplins. Il y a moins de dix ans encore, il était tabou de vouloir aborder le sujet de la nourriture chez les sauteurs.
La situation devenant préoccupante, la FIS a cependant commencé à mettre des limites en imposant un indice de masse corporel (BMI) minimal. D'abord 18,5, puis 19,5 et, depuis cette saison, 20,5. «Compte tenu du fait que les sauteurs sont pesés avec la combinaison et les chaussures, cela donne un BMI réel de 19,5 environ, précise Freiholz. Il n'empêche que cette mesure va dans la bonne direction. Il a fallu du temps pour mettre au point un système qui fonctionne, mais on sent qu'il y a eu une vraie réflexion. Avec pour conséquence heureuse le fait que les sauteurs sont redevenus de vrais athlètes musclés.»
Même un peu alourdis, ils continuent à fasciner les foules. Ce ne sont pas les dizaines de milliers de spectateurs qui se massent au bas des tremplins de la Tournée qui vont dire le contraire.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
02/01/2011, 06h41
livre
D’Emile Allais à Alberto Tomba, il a skié avec et pour ses champions
Image © DR
Jusqu’à sa vente en 2005 à Quicksilver, ce Savoyard a incarné la marque française qui a négocié avec plus et parfois moins de réussite les pentes toujours plus difficiles du marché du ski.
Anne Gaudard - le 01 janvier 2011, 21h59
Le Matin Dimanche
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A-t-il rencontré Silvan Zurbriggen, Christof Innerhofer ou encore Tessa Worley qui brillent sur ses skis? Laurent Boix-Vives a toujours apprécié la proximité des acteurs du cirque blanc d’Emile Allais à Alberto Tomba, en passant par Vreni Schneider ou Jean-Claude Killy. Lui qui, dès le début de son aventure cinquantenaire avec Rossignol, s’est dit convaincu «que la compétition sur le circuit international constitue l’un de nos points forts de développement».
Un développement qui porte la marque française de la quasi-faillite en 1956 à la première marche du podium d’un marché du ski glorieux en 1968, et qui vit actuellement sa énième restructuration. Clin d’œil de l’histoire, Laurent Boix-Vives sort son autobiographie, alors que les derniers repreneurs en date de Rossignol annoncent rapatrier une partie de la production de Taïwan à Sallanches, dans la dernière usine de skis de France.
Le défi de ses 29 ans
Il a tout juste 29 ans – le même âge que Silvan Zurbriggen aujourd’hui – lorsque, sur conseil du champion français Emile Allais, il s’intéresse à l’usine de Voiron, dans l’Isère, où sont fabriquées quelques paires de lattes et surtout des pièces pour métiers à tisser. Il décide de ne garder que les lattes.
Sa passion, c’est le ski, mais c’est surtout «faire parler les chiffres», écrit-il. Ce Savoyard, formé aux affaires dans le commerce de primeurs familial, s’entoure alors de techniciens et de champions. Sait se vendre. Et apprend à connaître le marché. «Je mets en place un système de données permettant la valorisation et l’évaluation en nombre de paires de skis du marché mondial.»
L’effet Squaw Valley
Ainsi lance-t-il dans les années 60 déjà un ski «spécifiquement destiné à la clientèle féminine, le Soupless». Il flaire aussi l’importance des Jeux olympiques d’hiver sur sol américain et transpose dans les chiffres de l’entreprise la victoire de Jean Vuarnet sur ses Allais 60 métalliques à la descente olympique de Squaw Valley. Il subodore tôt l’importance du marché japonais. Et, toujours et encore, il martèle sa stratégie, celle élaborée pour mettre fin à la domination des skis autrichiens qui couvraient 60% du marché en 1956: de l’innovation et des champions. Ainsi, entre 1960 et 1970, la production passe de 28 000 paires à 295 890 paires. Elle qui était de 8000 paires en 1955 et qui est de quelque 850 000 aujourd’hui.
Au fil des pages, Laurent Boix-Vives s’étend sur les années fastes, les pluies de médailles. Puis viennent les hivers sans neige et un secteur qui ralentit. Il évoque les restructurations du début des années 80 pour s’adapter «à la nouvelle donne du marché mondial». Puis la diversification dans le golf, l’incursion dans le tennis, la volonté d’équiper les divers sports d’hiver, l’intégration des autres éléments nécessaires à la bonne pratique du ski, un sport désormais de masse: les chaussures, les habits, les fixations.
Prolixe sur ce que lui ont apporté des champions comme Alberto Tomba ou Lise-Marie Morerod – qui lui recommande, raconte-t-il, de s’intéresser à une petite nouvelle nommée… Erika Hess –, Laurent Boix-Vives s’éternise moins sur le déclin de la fabrication de skis en Europe, sur les bouleversements fondamentaux du marché. Ainsi, s’il rappelle qu’il acquiert Authier en 1972, il passe sous silence la décision de cesser la production à sa fin des années 80 à Bière (VD). Le début des années 2000 se résume notamment aux festivités organisées pour la sortie de la 50 millionième paire de skis de la marque. Un au revoir en fait puisque Laurent Boix-Vives s’apprête à vendre Rossignol à Quicksilver. Qui s’en débarrassera en 2008. Laissant un des derniers directeurs de l’ère Boix-Vives, Bruno Cercley, décider de la survie d’une marque à nouveau dans le rouge. Alors que le marché évolue encore et voit le nombre de paires vendues annuellement être divisé par deux à 3,5 millions en moins de dix ans, il se lance à son tour dans l’aventure grâce notamment au soutien financier d’un groupe australien, Macquarie, engagé dans le groupe désormais propriétaire Chartreuse & Mont-Blanc.
Et peut-être que, dans une cinquantaine d’années, Bruno Cercley, sortira à son tour «Rossignol - 50 ans de ma vie». Il racontera peut-être comment avec l’aide des Zurbriggen, Innerhofer ou Worley, il est parti à la conquête de la Russie, puis de la Chine. Un marché, a-t-il confié à la presse française, «pas encore prêt».
EN DATES
1907: Premiers skis
Abel Rossignol crée ses premiers skis à Voiron, en Isère.
1926: Naissance
Laurent Boix-Vives naît de parents espagnols établis en Savoie.
1956: Reprise
Laurent Boix-Vives, sur suggestion du skieur Emile Allais, reprend Rossignol en faillite.
1960: Champions
Jean Vuarnet devient champion olympique à Squaw Valley.
1967: Dynastar
Rachat de Dynastar. Suivront Cleveland Golf Co., Look et Lange.
2005: Vente
Laurent Boix-Vives vend Rossignol à Quicksilver.
2008: Revente
Quicksilver vend Rossignol à Chartreuse & Mont-Blanc.
«Rossignol - 50 ans de ma vie»
Auteur: Laurent Boix-Vives
Editions: Glénat
Pagination: 239 pages
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
02/01/2011, 06h43
Départ du Dakar devant des dizaines de milliers de personnes
© belga
© belga
Le départ du Dakar-2011 a été donné samedi à Buenos Aires vers 14H15 locale (18H15 heure belge) devant une foule venue en masse à ce rendez-vous très populaire dans ce pays.
Les pilotes de quads ont été les premiers à avoir les honneurs du podium géant installé à côté de l'obélisque de la capitale argentine.
Plusieurs dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées devant le monument de Buenos Aires pour voir partir les 407 véhicules (140 voitures, 170 motos, 30 quads et 67 camions), confirmant la cote de popularité immense du Dakar en Argentine.
Un million de spectateurs est attendu pour la seule journée de samedi le long des routes que suit le Dakar. L'an passé, ils étaient entre 600 et 800.000 à avoir assisté à la première étape.
Le départ de Buenos Aires est avant tout symbolique.
Samedi ne se courra que la première partie de la première étape, qui comporte 377 kilomètres de liaison - non chronométrés - entre la capitale et Victoria.
Les pilotes rentreront dans le vif du sujet dimanche, pour la deuxième partie de la première étape, entre Victoria et Cordoba (758 km, dont 192 de spéciale). (afp
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
02/01/2011, 08h19
Content que ce spectacle attire autant d'Argentin... mais par contre... je continue de penser que c'est franchement con de continuer d'appeler cette course le"Paris-Dakar" çà n'a vraiment aucun sens.. Même vis à vis des gens qui regardent passer cette caravan " y'a plein de nom qui pourrait convenir à cette course tel que la "Trans Sud Américaine" D'autant plus que vu l'état de délabrement des relations Africaines je ne suis vraiment pas certain que ce rally y retourne avant bien longtemps...???
Il fallait bien que je ronchonne un peu en ce début d'année...
la photo et la moto sont mes deux passions
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