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[xleu]

+1 ya des trucs comme ça qui agace

Dakar est devenu une marque... déposée et détenue par la société qui se nomme Paris-Dakar...

[danlos]

Que la course s'appelle Dakar ou autre chose c'est surtout le nom qui reste. Même avec un autre nom 80% des gens diraient encore Dakar. C'est comme pour le Tour de France qui passe aux Pays Bas, Belgique, Suisse, Italie et Espagne en évitant tout le côté ouest de la France. Ca ne veut plus rien dire mais bon on s'en fout, on regarde la course mythique pas le nom ou l'endroit.

[Norton]

Tour de ski

02 janvier 2011 16:43; Act: 02.01.2011 16:53 Print
Cologna conserve la tête

Le Grison a pris la troisième place du sprint d'Oberstdorf (All), remporté par le Suédois Emil Jönsson.

Dario Cologna a conservé la tête du Tour de Ski à l'issue de la troisième journée.
Cologna est venu mourir à seulement quatre dixièmes de Jönsson (à gauche). Vainqueur samedi sur 15 km, Cologna n'est pas parvenu à doubler la mise lors du sprint dominical. Il s'en est pourtant fallu d'un cheveu. Facile dominateur de son quart et de sa demi-finale, le fondeur du Val Müstair a manqué d'un tantinet de puissance dans l'emballement final, lui qui est venu mourir à seulement quatre dixièmes de Jönsson.
Cologna n'a toutefois pas perdu sa journée, engrangeant 52 secondes de bonifications lors de ce sprint. De quoi distancer deux de ses grands rivaux au classement général du Tour de Ski, le Russe Alexander Legkov (6e du sprint) et le Norvégien Petter Northug (éliminé en quart de finale). En revanche, le Grison a vu la révélation canadienne Devon Kershaw (2e du sprint) revenir à moins de quatre secondes.
Lundi, toujours à Oberstdorf, Cologna aura l'occasion de frapper un grand coup lors de la double poursuite 20 km (style classique et libre), une épreuve qui lui convient très bien.

[Norton]

Un Dakar toujours plus extrême

Pour la troisième année consécutive, le Dakar s'est élancé samedi d'Amérique du Sud, et plus précisément de Buenos Aires. Avec toujours plus de participants, le plus grand rallye-raid du monde n'a pas fait sa révolution cette année. Mais avec un parcours toujours aussi varié et compliqué, et des nouvelles règles en matière de navigation, la tâche s'annonce plus difficile que jamais.


Les prétendants au Dakar 2011 devront maîtriser l'art de la navigation pour parvenir à leurs fins. (Reuters)



A chaque nouvelle année, son Dakar ! A l'heure où le quidam termine ses dernières bouteilles de champagne, les concurrents de "la plus grande course extrême du monde", comme aime à l'appeler Eric Lavigne, le patron de l'épreuve, font chauffer les moteurs. Samedi, la meute s'est élancée de Buenos Aires pour la 31e édition de la course créée par Thierry Sabine. Pour la troisième année consécutive, le Dakar empruntera donc les routes sud-américaines. On ne bouleverse pas une formule qui fonctionne, pourrait-on dire, c'est pour cela que, de loin, le cru 2011 ressemble beaucoup au précédent. Même si les nouveautés ne manquent pas.

Commençons par ce qui n'a pas bougé. Le théâtre, pour commencer. Depuis 2009, le Dakar se court en Argentine et au Chili. Et il semble avoir trouvé un terrain de jeu à sa mesure. Eric Lavigne et David Castera ne le cachent pas. Des reconnaissances ont été effectuées en Bolivie, en Colombie, en Pérou, et même en Arabie Saoudite, mais le Dakar, pour qui l'Afrique semble déjà loin, a encore "beaucoup à découvrir en Argentine et au Chili." Et pour couse, cette région du globe propose aux concurrents un parcours "dur, beau, dense, et varié". Le terrible désert de l'Atacama est toujours au programme, tout comme le Fiambala et ses Dunes blanches, mais le Dakar empruntera cette année des routes beaucoup plus au Nord, dans les montagnes chiliennes, avec notamment des passages à plus de 4000 mètres d'altitude. Ça s'annonce éprouvant, en particulier pour les motards.

Prime à la navigation

Pour cette raison, et parce que le Fiambala "avait été terrible l'année dernière", les organisateurs ont prévu un "qui va doucement monter en puissance" comme l'explique David Castera, le directeur sportif de la course. "Durant les quatre premiers jours, rien ne devrait arrêter les concurrents. La suite, ce sera ‘dans le dur' jusqu'à la veille de l'arrivée". Un programme corsé, qui n'est pas de nature à effrayer des participants toujours plus nombreux. Ils seront 430 au départ, dans les différentes catégories (Auto, moto, camion, quad). Soit une augmentation de 20% par rapport à l'année dernière. Une preuve de la bonne santé du Dakar. Au rang des favoris, on retrouve les habituels Despres, Coma, Sainz ou encore Peterhansel. Du très classique, là encore.

Ce qui change, c'est le retour au premier plan de la navigation. Désormais, les GPS des concurrents ne s'ouvriront que lorsque celui-ci se trouvera à moins de 800 mètres de sa destination (point de contrôle ou arrivée), contre 3 kilomètres lors des éditions précédentes. L'approximation ne sera plus permise au moment de choisir son cap. Voilà qui promet des retournements de situation lors des étapes dites « de navigation », le plus généralement dans les dunes. Les deux autres nouveautés concernent les motos. Désormais, la cylindrée des machines est limitée à 450cc, et les motards se verront proposer sur certaines étapes des parcours différenciés par rapport aux camions et aux autos. L'enjeu est double: limiter les risques de croisement et dépassement avec les camions, par sécurité, mais aussi ajouter des parties plus techniques pour les pilotes, notamment dans les montagnes. Tout pour varier les plaisirs. Ce sont les attraits de l'Amérique du Sud et de ce Dakar 2011.

[Pasky]

Envoyé par danlos

Que la course s'appelle Dakar ou autre chose c'est surtout le nom qui reste. Même avec un autre nom 80% des gens diraient encore Dakar.

Je ne pense vraiment pas
La course s'appelait "course du Paris -Dakar", puis les gens courreurs et organisateurs disaient "le Paris-Dakar".
C'est seulement ensuite que les stars et autres snobs l'ont baptisé avec la bouche en cul de poule, le "Dakar", ça fait viril. Ce sont les joiurnalistes qui à force de rabacher ça, en on fait le nom, faute de renom.
Au fil des ans, l'intérêt de cette course a diminué, et pour continuer à faire vendre, on continu à marteler aux spectateurs que le "Dakar" c'est formidable, que le "Dakar" c'est époustouflnat, que le "Dakar" etc...
Perso, depuis que des stars de tous milieux font la course comme ils vont se montrer à St Tropez, je ne m'y intéresse plus beaucoup.
Quand je vois Gerard Holtz avec un foulard touareg et une barbe de 3 jours pour faire "baroudeur", nous raconter qu'il en chie sur le "Dakar", ça me file la gerbe

Tout comme Phil, j'aurais pas ralé ça vous aurait manqué

[webamanu]

Envoyé par Pasky

Tout comme Phil, j'aurais pas ralé ça vous aurait manqué

Nan, c'est juste que je me dit que p..., c'est vraiment pas beau de vieillir !

[Pasky]

Envoyé par webamanu

Nan, c'est juste que je me dit que p..., c'est vraiment pas beau de vieillir !

Sans déconner, il t'impréssionne Holtz le baroudeur ?
Elle te fait encore rêver cette course qui est une immense usine à pognon ?
Pas moi, et je ne pense pas que cela soit lié à l'âge

PS: En revanche, c'est vrai que c'est pas bon de viellir

[webamanu]

Envoyé par Pasky

Sans déconner, il t'impréssionne Holtz le baroudeur ?
Elle te fait encore rêver cette course qui est une immense usine à pognon ?
Pas moi, et je ne pense pas que cela soit lié à l'âge

PS: En revanche, c'est vrai que c'est pas bon de viellir

Holtz je sais pas, pas vue encore.

Tu connait un grand sport qui n'est pas une usine a pognon toi, la MotoGP, c'est pas une usine a pognon ?

Et pour l'age, ce qui me fait peur, c'est de commencer a ronchonner !

[danlos]

Il faut savoir que sur le Dakar les journalistes dorment quasiment tous sur le bivouac dans les tentes Quechua, sauf les journalistes de France TV qui eux dorment à l'hôtel.
Après pour les peoples c'est vrai il y a quelques années, il y en avait beaucoup mais on ne les voit plus (par exemple Johnny c'est fini), encore qu'à l'époque Claude Brasseur l'avait gagné en tant que copilote.
Aujourd'hui cette course est d'un côté réservé aux pro qui font ça toute l'année, sont de véritables sportifs et veulent gagner (et ils ne sont pas tous des méchants tueurs d'enfants en roulant comme des fous, qui s'en foutent des autres comme on peut l'entendre un peu partout) et d'un autre côté les amateurs qui veulent juste terminer la course, s'entraident lorsqu'il y a un problème sur la voiture, si un est ensablé. C'est surtout ça qu'il faut voir. Ils sont tous dans la même galère et à la fin sont tous content de terminer.

http://graindesable.20minutes-blogs.fr/
un blog d'un journaliste de 20 minutes "parachuté" sur la course, l'an passé c'était un gars qui ne connaissait rien au rallye et qui faisait découvrir l'envers du décor.

http://dakar.20minutes-blogs.fr/
et le blog de Guerlain Chicherit qui fait la course sur une Mini bien différente de ce qu'on voit sur la route.

[Norton]

Auto-moto

Sainz en tête


Image © Keystone
Carlos Sainz et son copilote Lucas Cruz sont déjà au rendez-vous. Ils sont archifavoris après avoir remporté l’édition de 2010.

L’Espagnol s’est imposé dans la 1re étape devant le Français Peterhansel.
le 02 janvier 2011, 22h43
LeMatin.ch & les agences
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Dakar 2011
Buenos Aires
L’Espagnol Carlos Sainz (Volkswagen) a remporté hier la première étape du Dakar 2011, entre Victoria et Córdoba, en Argentine. Corollaire, le tenant du titre a pris la tête du classement général dans la catégorie autos.
Plus rapide dans la courte spéciale du jour, d’une longueur de 222 km, qu’il a parcourue en 2 h 18’32, Sainz a devancé de 1’31 le Français Stéphane Peterhansel (BMW). Le Qatarien Nasser al-Attiyah, dauphin de Sainz en 2010, termine 3e à 2’16 de l’Espagnol. «Nous avons eu beaucoup d’eau sur le parcours à cause d’un gros orage, a relevé Carlos Sainz. Ça glissait énormément, mais tout a bien fonctionné.»
Peterhansel, nonuple vainqueur de l’épreuve, est le seul à s’être hissé au milieu de l’armada VW puisque Al-Attiyah, Miller et De Villiers ont suivi dans cet ordre. Plus loin, Robby Gordon a souffert avec son Hummer deux roues motrices. Dans la boue une bonne partie du parcours, l’Américain a perdu plus de onze minutes et se retrouve à la 8e position.
Ruben Faria devant
Dans la catégorie motos, Ruben Faria (KTM) s’est montré le plus rapide lors de cette étape initiale. En 1 h 58’02, le Portugais a distancé de 29 secondes le tenant du titre, le Français Cyril Despres (KTM), et de 1’15 un autre favori, l’Espagnol Marc Coma (KTM).
Seul Suisse engagé dans ce Dakar 2011, le Saint-Gallois Leo Vetterli a pris le 78e rang (167 classés), à près d’une demi-heure du vainqueur du jour.
Aujourd’hui, cap au nord pour les concurrents avec une étape 100% inédite. Après une liaison de 440 km, les motos et les autos seront une nouvelle fois séparées durant une bonne partie de la journée pour des spéciales de plus de 300 km.