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Tennis

Open d'Australie: Federer gagne son premier match


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Roger Federer a défendu son titre au premier tour.

l'Open d'Australie démarre, et c'est en maître que Roger Federer entre dans le tournoi.
le 17 janvier 2011, 07h16
LeMatin.ch & les agences
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Roger Federer, le tenant du titre, a lancé avec panache sa campagne dans cet Open d’Australie 2011. Il s’est imposé 6-1 6-1 6-3 devant le Slovaque Lukas Lacko (ATP 97), qui venait d’infliger un 6-0 à un certain Rafael Nadal au deuxième tour du tournoi de Doha.
Entre un Nadal qui était grippé au Qatar et un Federer très affûté, Lacko a pu mesurer toute la différence. Le Slovaque a toutefois eu le mérite de ne pas laisser filer le match après deux premiers sets à sens unique. Le parieur australien qui avait misé... 250 000 dollars sur une victoire de Federer pour gain de 2500 dollars - soit 1 % - a dû très vite être rassuré.
Les choses sérieures commenceront mercredi pour Roger Federer. Au deuxième tour, le Bâlois sera opposé au vainqueur de la rencontre entre le Taïwanais Yen-Hsun Lu (ATP 37) et le Français Gilles Simon (ATP 34), qui vient de remporter le tournoi de Sydney. Le Neuchâtelois d’adoption est, surtout, le joueur qui présente le bilan le plus étonnant face à l’homme aux seize titres du Grand Chelem: deux victoire pour zéro défaite.
Si Roger Federer s’est baladé sur la Rod Laver Arena, Nikolay Davydenko (no 23) a connu l’enfer sur le court. Le Russe est la première victime de marque du tournoi, battu 6-3 4-6 7-6 6-4 par l’Allemand Florian Mayer (ATP 36). Finaliste à Doha, Davydenko aurait pu défier le no 3 mondial Novak Djokovic en quart de finale.

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Open d'Australie: grosse frayeur pour Monfils qui passe difficilement le 1er tour


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Gaël Monfils le 16 janvier 2011 à Melbourne lors du match l'opposant au Néerlandais Thiemo de Bakker

Le Français Gaël Monfils, N.12 mondial, s'est fait très peur lundi en arrachant au bout de cinq sets acharnés face au Néerlandais Thiemo de Bakker sa qualification au 2e tour de l'Open d'Australie.

AFP - le 17 janvier 2011, 07h00


Le Parisien, vainqueur 6-7 (5/7), 2-6, 7-5, 6-2, 6-1, rencontrera au prochain tour le Portugais Frederico Gil, 91e mondial, avec, espère-t-il, un peu plus de sérénité, alors que l'attendent des adversaires comme Roddick ou Federer, plus tard dans le tableau.
Programmé en ouverture de la journée, le Parisien semblait se diriger vers la sortie, poussé par le 47e mondial, après avoir concédé les deux premiers sets. Effectivement, à 5-3, service à suivre pour le Néerlandais, dans le 3e set, l'affaire semblait entendue. Mais, Monfils parvenait à réagir et enchainaît quatre jeux pour emporter la manche, laissant échapper un gros soupir de soulagement.
Au début du 4e set, le Néerlandais se faisait soigner de longues minutes durant. Au retour, visiblement plus touché mentalement qu'à une cuisse, il laissait alors défiler les jeux et Monfils, revigoré, en profitait pour s'imposer.
"J'ai essayé de garder le plus de pensée positives, a assuré le Français. Dès que j'ai vu une petite ouverture mentale, je l'ai saisi. Et tout de suite ça a marché."
La journée avait mal commencé pour les Français, avec l'abandon de Julien Benneteau, à quelques minutes de son match face à l'Argentin Juan Monaco. Pour le Bressan, la série noire continue: touché au poignet gauche début septembre à l'US Open, il devait reprendre la compétition à Melbourne, mais une infection d'un doigt de la main droite l'a finalement privé de court.
Dans le sillage de la qualification miracle de Monfils, le sourire est revenu dans le clan tricolore, avec la victoire pleine d'autorité d'Adrian Mannarino, 74e mondial, sur l'invité américain Ryan Harrison, 6-4, 6-3, 6-4. Le jeune gaucher de Soizy dans le Val-d'Oise pourrait retrouver au 2e tour Richard Gasquet, qui doit affronter lundi le qualifié canadien Frank Dancevic.
Chez les dames, en attendant l'entrée en lice, plus tard dans la journée de Marion Bartoli et Aravane Rezaï, Caroline Wozniacki, N.1 mondiale, et la Russe Maria Sharapova ont composté leur billet.
Wozniacki a été quelque peu bousculée par la 52e mondiale, l'Argentine Gisela Dulko. Si elle l'a emporté 6-3, 6-4, elle a toutefois été plusieurs fois mise en danger sur son service, concédant huit balles de break, dont une convertie par son adversaire.
Maria Sharapova s'est montrée expéditive pour se débarrasser de la Thaïlandaise Tamarine Tanasugarn, 6-1, 6-3 en 54 minutes. Après avoir perdu son premier jeu de service, Sharapova, vainqueur en 2008 à Melbourne, a enchaîné pour s'adjuger la première manche puis le match. Au 2e tour, elle affrontera la Française Virginie Razzano ou la Russe Elena Vesnina, opposées lundi.

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Open d'Australie - Federer et Roddick déroulent, Davydenko sorti

Le N.2 mondial Roger Federer et le N.8 Andy Roddick n'ont pas tremblé lundi lors de leur premier match à l'Open d'Australie pour composter leur billet vers le tour suivant, le Russe Nikolay Davydenko restant, lui, à quai.

AFP - le 17 janvier 2011, 07h23


Le N.2 mondial Roger Federer et le N.8 Andy Roddick n'ont pas tremblé lundi lors de leur premier match à l'Open d'Australie pour composter leur billet vers le tour suivant, le Russe Nikolay Davydenko restant, lui, à quai.
Federer a tranquillement déroulé sur la Rod Laver Arena face au N.97 mondial, le Slovaque Lukas Lacko, balayé en 1h24 de jeu 6-1, 6-1, 6-3. Le Suisse, qui entame de la meilleure façon possible la défense de son titre, s'est même permis de ne convertir que la moitié de ses balles de break (7/14) face à un adversaire handicapé par un trop grand nombre de fautes directes.
Federer retrouvera au prochain tour le Français Gilles Simon, tout juste vainqueur du tournoi de Sydney, ou le Taïwanais Yen-Hsun Lu.
Roddick n'a également pas fait de détails face au Tchèque Jan Hajek, 96e mondial, étrillé 6-1, 6-2, 6-2 en 1h40 de jeu. Comme à son habitude, l'Américain a mitraillé au service, avec 18 aces et un taux de réussite de 80% sur sa mise en jeu.
Le Français Gaël Monfils, N.12 mondial, s'est fait, lui, une grosse frayeur face au N.47, le Néerlandais Thiemo De Bakker. Après avoir concédé les deux premiers sets, le Parisien a difficilement redressé la barre pour s'imposer en cinq manches 6-7 (5/7), 2-6, 7-5, 6-2, 6-1.
En revanche, le Russe Nikolay Davydenko, ancien N.3 mondial et qui semblait sur la voie d'un retour en forme, a été poussé vers la sortie par l'Allemand Florian Mayer 6-3, 4-6, 7-6 (7/4) 6-4.
"J'ai essayé de me battre car je ne jouais pas très bien, a déclaré le Russe, quart de finaliste l'an passé. Mais ce n'étais pas suffisant, je ne suis plus tout jeune, à courir et me battre sur tous les points."
L'Américain Sam Querrey, tête de série N.18, a lui aussi pris la porte prématurément, éliminé par le Polonais Lukasz Kubot 5-7, 6-2, 3-6, 6-1, 8-6.
Chez les dames, la N.1 mondiale Caroline Wozniacki a fait le travail face à l'Argentine Gisela Dulko, 6-3, 6-4. La Russe Maria Sharapova, vainqueur à Melbourne en 2008, s'est elle montrée plus expéditive face à la modeste thaïlandaise Tamarine Tanasugarn 6-1, 6-3.
La Française Marion Bartoli, tête de série N.15, a de son côté écrasé l'Italienne Tathiana Garbin 6-0, 6-0, en guise de tour de chauffe.

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TENNIS

Gilles Simon, la pensée utile


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Gilles Simon: un être à part dans le monde du tennis

Pianiste, bachelier ou encore golfeur, le Français réussit tout avec brio, même ses matches contre Federer: il n’a jamais perdu, et défend son invincibilité demain. Portrait
Christian Despont - le 17 janvier 2011, 23h26
Le Matin
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Open d’Australie
Roger Federer défiera demain une sorte d’étrangeté, plus exactement l’un des seuls adversaires qu’il n’ait jamais battu (0-2), Gilles Simon. «Je ne pense pas que nous puissions parler de bête noire. Mais j’ai du respect, bien sûr», dédramatise poliment le Bâlois, vainqueur de Lukas Lacko 6-1 6-1 6-3.
Au départ, Gilles Simon était tantôt Gilles, tantôt Simon. Un bon. Un brave. Loin derrière sa ligne, dégoulinant de bonne volonté, promis à la solitude éternelle du coureur de fond. Intellectuel égaré, bâti comme une fragile hypothèse: «Quand j’ai tenté ma première volée de revers à une main, j’ai contracté une tendinite tellement je manquais de force.»
Dans le patrimoine
Puis Simon, le seul, l’unique, est entré dans le patrimoine affectif français en même temps que dans Paris Match, élégance racée et buste offert aux Gauloises égrillardes. «J’ai vite trouvé la notoriété intrusive», avoue le citoyen de Neuchâtel. Le coureur à pied est devenu couru, voire courroux: «Quand j’entends les éloges sur mon corps, je rigole. A 15 ans, je pesais 53 kilos et tout le monde m’appelait poussin.»
Reconnaissons-le: même aujourd’hui, malgré tant d’exemplarité, peu de gens connaissent Gilles Simon en dehors de sa circonscription médiatique. C’est un tort. Le jeu irradie une intelligence fine, la même que les interviews qui, à l’ère du verbiage cathartique, vont au-delà du temps réglementaire et des poncifs protocolaires.
Gilles Simon est l’intello de la gent trotte-menu, il réussit tout avec brio: Conservatoire au piano, bac scientifique, golf. «Je n’ai aucun mérite, c’est génétique», explique-t-il en 2008. Mère doctoresse, père réassureur. Lui, poussin, dressé sur ses ergots de surdoué, imprégné d’une confiance tenace, pleinement assumée: «Je ne suis pas le Guy Roux du tennis», prévient-il.
Son idole n’était pas André Agassi, mais Michael Chang, dit «le mille-pattes». Roger Federer, après sa deuxième défaite: «On a l’impression qu’il marche en courant, mais ce n’est qu’une impression.» Roger Federer, hier: «Il joue très bien.»
Gilles Simon a compensé en jugeote ce que la nature lui a chipoté en épaisseur, convaincu que la politique des petits pas, elle aussi, mène à tout, à condition de ne pas lambiner. Dans la foulée, les talents se déploient. Thierry Tulasne: «Il réunit toutes les qualités. Il est anormal par sa normalité.»
Puis, l’an dernier, Gilles Simon a souffert des genoux, il est devenu marri et père (en plein US Open, «avec quatre semaines d’avance, ce n’est vraiment pas de bol»), et en un an, fini les éloges, il pouvait toujours courir. «Je ne suis plus une tête de série», constate-t-il. Il est encore moins une tête d’affiche, et c’est un tort (bis).
Sensations retrouvées
Un an, c’est la gestation d’une baleine ou d’une maman zèbre, et bien assez pour engendrer ou renier une star du sport. Gilles Simon, ATP 34, se blâme: «A force de devenir plus solide ces dernières années, j’ai perdu une certaine singularité. A mes débuts, j’avais moins d’armes, mais je les utilisais mieux. Il y a des jours où je ne prends pas de plaisir, car je suis trop défensif. Peu à peu, cela dit, je retrouve des sensations que j’avais un peu perdues en routes. Certainement pas assez pour battre Federer, mais peut-être assez pour ressentir du plaisir à l’affronter.»
Le fait que son aîné refuse de l’adouber en qualité de bête noire l’amuse: «Il sait qu’il est le plus fort et il a bien raison. Souvent, il donne cette impression de voler sur le court, d’être inaccessible. Roger Federer n’a peur de personne. Il est la bête noire.»

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snowboardcross

Les Suisses reçus quatre sur cinq


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Emilie Aubry a passé

Caduff, James, Reichen chez les hommes et Aubry chez les filles passent les qualifications
le 17 janvier 2011, 23h21
Le Matin
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Championnats du monde La Molina (Esp)
Quatre des cinq Suisses engagés en snowboardcross aux championnats du monde de La Molina (Esp) ont passé l’écueil des qualifications.
Chez les messieurs, Fabio Caduff (11e), Marwin James (25e) et Hans Reichen (29e) sont dans le bon wagon, contrairement à Tim Watter (46e). Seule représentante féminine, la Seelandaise Emilie Aubry, 8e, fait, elle aussi, partie des qualifiées pour les finales d’aujourd’hui.
Les rangs de Caduff et d’Aubry sont conformes à leurs potentiels, qui les situent entre la 5e et la 8e places (soit une participation à la petite finale). Il leur faudra réussir une très grande performance, et avoir un brin de chance, pour se hisser dans le top 4 mondial en Andalousie.



Résultats
La Molina (Esp). Championnats du monde. Snowboardcross. Qualifications
Messieurs
1. Schainer (Aut) 53’’83. 2. Vaultier (Fr) à 1’’45. 3. Matteotti (It) à 0’’64. 4. Pullin (Aus) à 0’’72. Puis les Suisses: 11. Caduff à 1’’45. 25. James à 2’’27. 29. Reichen à 2’’35. 46. (éliminé) Watter à 4’’05. 32 qualifiés pour les finales.
Dames
1. Moenne Loccoz (Fr) 57’’83. 2. Jacobellis (EU) à 0’’42. 3. Anthonioz (Fr) à 0’’43. 4. Samkova (Tch) à 0’’70. Puis: 8. Aubry (S) à 1’’94. 16 qualifiées pour les finales.

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rallye

Vaincre le signe indien


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Cette fois, Florian Gonon a l’intention de remporter son duel contre la poisse sur les routes monégasques

Au mythique Monte-Carlo, Gonon espère enfin entamer une saison du bon pied. Burri Jr, lui, entend engranger de l’expérience
Michel Busset - le 17 janvier 2011, 23h14
Le Matin
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En franchissant, demain matin, le podium de départ du Rallye Monte-Carlo, Florian Gonon et son équipière Sandra Arlettaz (Subaru Impreza STi gr. N) ne pourront pas ne pas y penser, à ces entames de saison qui s’obstinent à les contrarier. «En 2008, se remémore le champion de Suisse 2009, nous avions abandonné au Pays du Gier, moteur cassé. L’année suivante, notre première expérience monégasque n’avait pas été plus loin que la 3e spéciale, par la faute d’une sortie de route. Enfin, en 2010, c’est en Suède que nous avons raté la première marche, suite à des ennuis mécaniques. Ce signe indien, nous aimerions évidemment lui tordre le cou et voir, cette fois, la ligne d’arrivée. Mais ce ne sera pas notre seule ambition. Notre véritable objectif, c’est une place parmi les cinq premiers au niveau de ce qu’on appelle les «4x4 turbo», où la concurrence ne va pas manquer avec une trentaine de Subaru et de Mitsubishi au départ.»
Premier contact positif
Deux équipages helvétiques seulement ont été agréés par l’Automobile-Club de Monaco, le second étant formé de Michaël Burri et Stéphane Rey (Citroën DS3 R3). Pour Burri Jr, il ne sera bien sûr pas question de marcher dans les pas glorieux de son père, qui s’est classé par deux fois 7e, mais d’engranger de l’expérience et de s’étalonner dans un contexte, celui de la catégorie R3, particulièrement relevé. L’Italien Crugnola, brillant 5e du dernier Rallye du Valais, ou les Français Mathieu Arzeno, Marc Amourette, Pierre Campana, Jérémie Ancian ou Eric Mauffrey sont loin, très loin d’être des manchots. Ils font même figures de grands espoirs. Michaël Burri a découvert sa nouvelle DS3 la semaine dernière et ce premier contact s’est superbement passé. Place maintenant au verdict du terrain.

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FORMULE 1

Premiers essais sur piste mouillée pour Pirelli

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Le pilote espagnol Pedro de la Rosa (ancien Sauber) a effectué des tests pour gommes pluie et intermédiaire du constructeur italien sur le circuit Yas Marina d'Abu Dhabi.
Olivier Habimana - le 17 janvier 2011, 21h23
LeMatin.ch
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Pedro de la Rosa a entamé hier deux jours de tests pour évaluer les pneumatiques Pirelli qui équiperont les F1 cette saison. Pour l'occasion, l'on a mouillé les 5,5 km du tracé de Yas Marina. L'Espagnol devra parcourir un peu plus de 1000 km durant ces deux jours d'essais, qui devraient être les derniers d'une longue série qui a commencé depuis août 2010.

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Débuts laborieux pour Justine Henin à Melbourne


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Justine Henin a dû batailler ferme pour venir à bout de l'Indienne Mirza (5-7, 6-3, 6-1 en 2h12 minutes) au premier tour de l'Open d'Australie. En manque de rythme et auteur de plus de 30 fautes directes, la Belge a fait parler toute son expérience pour l'emporter. Cela dit, elle devra élever son niveau de jeu si elle veut venir titiller les favorites de la compétition.

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Justine Henin, 13e mondiale, a du s'employer pour sortir la 145e joueuse du monde (ex 27e mondiale). Le début de partie était difficile pour la Famennoise qui a bien failli être menée 0-3 sur une balle pourtant bonne de l'Indienne annoncée faute et donc à rejouer.

Balle de set ratée pour Justine
Justine Henin, à son tour, failli bien remporter cette première manche avec une balle de set pour elle à 5-4, mais c'est bien Sania Mirza qui concluait à 5-7 en une heure. A 2-2 dans le 2e set, Justine Henin réussissait un break important pour filer vers le gain de la deuxième manche: 6-3 en 44 minutes.

Baltacha au 2e tour
Soulagée d'avoir pu égaliser, la numéro 2 belge engrangeait bien plus aisément le 3e set, 6-1 en 28 minutes. Au deuxième tour, Justine Henin sera opposée à la Britannique Elena Baltacha, 55e mondiale, victorieuse de son côté de l'Américaine Jamie Hampton, issue des qualifications et 132e mondiale: 3-6, 6-4, 7-5. Il s'agira de la première confrontation sur le circuit entre Baltacha, 27 ans, et Justine Henin, 28 ans. (belga/mb)


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Yanina Wickmayer évite le piège Groth


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Yanina Wickmayer a déjà réalisé une belle prestation au premier tour de l'Open d'Australie, première épreuve du Grand Chelem, en évitant l'obstacle de l'Australienne Jarmila Groth, 34e mondiale, lundi au premier tour. Yanina Wickmayer, 24e mondiale, a battu en effet Groth en trois manches: 6-3, 2-6 et 6-4 au bout de 2 heures et 06 minutes de jeu sur sa 3e balle de match.

La numéro 3 belge, légèrement malade cette semaine, est apparue très concentrée face à l'Australienne, 23 ans, victorieuse samedi du tournoi de tennis de Hobart, en Australie. Yanina Wickmayer réussissait le break dans le quatrième jeu pour empocher la première manche en 43 minutes. Ce fut plus compliqué dans la 2e alors que Wickmayer avait pourtant pris le service de Groth d'entrée.

L'Australienne répliquait pour égaliser à 2-2 ne laissant plus rien ensuite à son adversaire: 2-6 en 38 minutes. Yanina Wickmayer se reconcentrait dans le set décisif pour breaker Jamila Groth d'entrée de manche également, mais elle ne lachait cette fois plus son service: 6-4 en 45 minutes.

Au deuxième tour, Yanina Wickmayer sera opposée à la Lettone Anastasija Sevastova, 46e au classement WTA, victorieuse de son côté de la Slovène Polona Hercog, 47e mondiale, 6-4 et 7-6 (7/5). Il s'agira de la deuxième confrontation entre Sevastova, 20 ans, et Wickmayer, 21 ans, qui a remporté leur premier duel sur le gazon de Birmingham (Angleterre) en 2009, 6-4, 6-3. (belga/mb)



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Tennis

Timea Bacsinszky déjà au tapis

17.01.2011 05:21 - mise à jour: 12:09 Malgré toute sa détermination, Timea Bacsinszky a échoué au premier tour. [Vincent Thian - Keystone]

Timea Bacsinszky a une nouvelle fois goûté à l'amertume d'une défaite au premier tour de l'Open d'Australie. La no2 helvétique a mordu la poussière 6-0 6-3 face à la Roumaine Monica Niculescu, une adversaire pourtant à sa portée.

Melbourne ne sourit plus à Timea Bacsinszky (WTA 50). Pour la deuxième année consécutive, la Vaudoise est tombée sans gloire au premier tour de l'Open d'Australie. Battue en 2010 par l'Autrichienne Yvonne Meusburger, Timea Bacsinszky s'est inclinée cette fois devant la modeste Roumaine Monica Niculescu (WTA 85). Elle a été battue 6-0 6-3.
Privée jusqu'à la fin mars de son entraîneur Erfan Djahangiri qui a préféré rester en Suisse avant la naissance de son premier enfant, elle est apparue bien désorientée sur le court. La Vaudoise a perdu les sept jeux de service qu'elle a disputés dans cette rencontre qui n'ajoutera rien à la gloire du tennis féminin. Timea Bacsinszky aurait dû imposer sa puissance à une adversaire ambidextre et, elle aussi, bien vulnérable au service.
"Niculescu ne battra sans doute jamais une top 20. Mais moi, je n'y arrive pas contre elle..." A l'heure de l'analyse, Timea Bacsinszky avait toutes les peines du monde à contenir ses larmes. Cette défaite au terme d'une rencontre qui a tourné au cauchemar témoigne de son extrême fragilité dans les grands rendez-vous.
La Vaudoise n'a remporté aucune de ses sept mises en jeu. [Keystone] Un triste bilan

Sortie d'entrée de jeu en qualification à Sydney elle fut battue par la Canadienne Rebecca Marino -, Timea Bacsinszky quitte l'Australie sur un bilan bien morose pour une cinquantième joueuse du monde. Face à Niculescu, contre laquelle elle s'était inclinée à trois reprises en quatre rencontres, sa faiblesse en coup droit n'a pas pardonné.
Timea Bacsinszky au tapis, il ne reste plus que Patty Schnyder (WTA 44) pour défendre les couleurs suisses dans le simple dames à Melbourne. La Bâloise entrera en lice mardi contre une qualifiée, l'Ukrainienne Lesya Tsurenko (WTA 157).