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snowboard

Championnats du monde: Ursina Haller et I-Pod 2es en half-pipe


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Iouri Podladtchikov a décroché la médaille d'argent en half-pipe.
Ursina Haller et Iouri Podladtchikov ont offert à la Suisse ses deux premières médailles dans les Mondiaux de La Molina (Esp). La Grisonne et le Zurichois ont conquis l’argent en half-pipe.
le 20 janvier 2011, 16h24
LeMatin.ch & les agences
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Championne du monde junior 2005 de Big Air, Ursina Haller n’a été battue que par l’Australienne Holly Crawford dans une épreuve où le bronze est revenu à la Chinoise Jiaya Liu. Elle a signé une performance remarquable jeudi. La 9e des JO de Vancouver n’est en effet montée qu’à deux reprises sur un podium en Coupe du monde: elle avait terminé 2e à Valmalenco (It) en mars 2010 et 3e à Saas-Fee en novembre dernier.
La médaille de Iouri Podladtchikov ne constitue pas une surprise, même si le 4e des JO 2010 avait dû passer par les demi-finales pour décrocher son ticket pour la finale. "I-Pod" (22 ans), qui compte une victoire en Coupe du monde à son palmarès (Saas-Fee 2007), avait brillé lors de la répétition générale en terminant 3e de la manche du TTR-Tour de Laax le week-end dernier.
L’Australie a également été sacrée chez les messieurs, grâce à Nathan Johnstone. Troisième après le premier "run", le frère d’Ursina Haller, Christian, a finalement échoué au pied du podium après avoir été devancé par le Finlandais Markus Malin. Le jeune Valaisan Pat Burgener (16 ans) a quant à lui décroché un bon 6e rang.

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Football

Traité de "con" par Viera, Materazzi lui répond "Merci bien pour le Mondial!"


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"Vieira, tu es tellement malin que tu t’es fait manger sur la tête par un con. Encore merci pour ce Mondial !"

Tout à commencé lorsque le joueur français Patrick Vieira a affirmé sur les ondes que Materazzi était le joueur le plus con qu'il ait jamais connu. La vengeance de l'Italien ne s'est pas faite attendre: «en parlant de con, merci pour le Mondial»
le 20 janvier 2011, 13h44
LeMatin.ch & les agences
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L’Italien Marco Materazzi a répondu sur son site internet au Français Patrick Vieira, qui l’avait traité de "joueur le plus con", en rappelant son but et sa victoire en finale du Mondial-2006.
"A propos de con..." a écrit mercredi Materazzi sur son site, accompagné d’une vidéo (ci-dessous) de son but égalisateur (l’Italie avait battu la France 1-1, 5 tirs au but à 3), où il domine justement le milieu de terrain français: "Vieira, tu es tellement malin que tu t’es fait manger sur la tête par un con. Encore merci pour ce Mondial !"
Vieira, interrogé par son ex-coéquipier Bixente Lizarazu sur la radio RTL, avait affirmé: "Materazzi est le joueur le plus con contre qui j’ai jamais joué".
Le défenseur central italien avait aussi été au coeur d’une longue polémique après le Mondial pour le coup de tête que lui avait asséné Zinédine Zidane, exclu pour se geste.
"Materazzi a marqué un but, fait exclure le meilleur joueur de l’équipe adverse et transformé son tir au but: c’est l’homme de la finale", avait alors estimé le sélectionneur français, Raymond Domenech.

Absent ce wee-kend merci à Medol - Danlos ou autres à poser une ou deux nouvelles (SKI)

[Pasky]

Envoyé par medol

.... On l'a vu, les choix de pneumatiques peuvent tout chambouler.

Encore un coup de ces enfoirés de manufacturier de pneus
Allez hop, tout le monde avec exactement le même pneu, on est pas là pour rigoler..;Manquerai plus que les favoris ne gagnet pas , non mais....

[danlos]

Envoyé par medol

Chamboule tout !

WOW !!! ça promet pour demain soir, avec le Turini de nuit

Je ne sais pâs si tu as vu les SS7 et SS8 mais c'était assez exceptionnel. Au départ de la Spéciale7, il faisait gris, la route était sèche et d'un coup au bout de 5km, début de la neige, un virage à gauche en montée et c'était parti, 5cm de neige sur la route. Ceux qui était parti en slick ou en intermédiaire galérait, certains n'arrivaient pas à relancer après les virages, un pilote comme Solberg s'est fait piéger deux fois.
Le mieux était de voir le "vieux" Delecour avec ses pneus cloutés au départ de la spéciale sur route sèche, tu te dis que le gars à fumé et finalement il finit avec une minute d'avance sur tout le monde

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voile

Le tour du monde en moins de 48 jours?


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Le trimaran «Banque-Populaire V» au Cap Lizard en 2009

Pascal Bidégorry et Yvan Ravussin s’attaquent au record détenu par Franck Cammas et Stève Ravussin, le petit frère. Départ dans les prochaines heures au large de Brest.
Jean-Guy Python - le 20 janvier 2011, 23h31
Le Matin
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TROPHÉE JULES-VERNE
Brest
Les quatorze hommes d’équipage du maxi trimaran «Banque-Populaire V» sont sur la ligne de départ du Trophée Jules-Verne, le tour du monde à la voile sans escale. A la fois heureux, stressé et impatient d’en découdre, Yvan Ravussin – qui fonctionnera comme chef de quart – était complètement excité dans la voiture qui l’emmenait mardi soir sur le chemin de l’aéroport de Genève. Il y a longtemps que le marin d’Echandens espérait le coup de téléphone libérateur: «Ça fait deux ans qu’on attend la fenêtre météo idéale. Cette fois-ci, c’est la bonne, il suffit de l’affiner. C’est le moment de prendre le bon créneau. Notre stand by se termine enfin. Même si l’ouverture n’est pas idéale et que les chronos seront peut-être calmes au début, on part. Le tour du monde, c’est surtout une réussite météo, avant même l’aspect technique ou humain.»
Skippé par le Basque Pascal Bidégorry, le trimaran géant franchira la ligne de départ au large d’Ouessant dans une fourchette située entre ce matin et dimanche. Au menu, plus de 40 300 kilomètres autour du globe par les trois caps, Bonne-Espérance, Leeuwinn et Horn à parcourir en moins de 48 jours, 7 heures et 44 minutes.
Un chrono qui pourrait être battu selon Yvan Ravussin: «Si la météo est favorable,, c’est sûr qu’on ira plus vite. Ce record n’est pas facile à battre. C’est aussi notre première tentative avec Pascal et l’équipage. Pour l’instant, il s’agit de rester humble. On va naviguer comme on l’a toujours fait.» Au final, pourrait-on envisager un tour du monde aux environs de 46 jours? «Nous sommes avant tout des compétiteurs, si on bat le record ne serait-ce que d’une heure, pour moi c’est déjà un bel exploit.»

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automobilisme

La neige a tout changé


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Avec sa Peugeot 307, Bryan Bouffier a très bien su s’adapter aux conditions redevenues hivernales.

Les Français Bouffier et Delecour ont pris le commandement.
le 20 janvier 2011, 23h27
Le Matin
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Rallye Monte-Carlo
Valence
Le Français Bryan Bouffier (Peugeot 207) était en tête du 79e Rallye Monte-Carlo hier soir. Il précédait le revenant François Delecour (Peugeot 207), 48 ans, vainqueur en 1994, au terme d’une 2e étape à rebondissements.
Grâce à une météo ayant transformé en quelques heures des routes sèches en patinoires sur les hauteurs du Vercors, Bouffier, avec deux pneus cloutés et deux pneus neige, est d’abord passé en l’espace de 25 km, dans l’ES7, de la 7e à la 1re place du classement général, aux dépens du leader finlandais, Juho Hanninen (Skoda Fabia), parti en pneus intermédiaires.
Puis le Drômois de 32 ans, champion de France et de Pologne l’an dernier, a réussi à garder les commandes du rallye au bout d’une ES8 de tous les dangers, négociée sur le fil du rasoir, à la nuit tombante et à la lueur des rampes de phares, sans pouvoir éviter deux têtes-à-queue.
Pendant ce temps, Delecour, reparti de Valence avec quatre pneus cloutés pour la boucle de l’après-midi, trouvait le bon compromis entre vitesse et sécurité et signait son premier temps scratch du rallye, comme au bon vieux temps, pour remonter à la 2e place du classement général.
Derrière les deux funambules, les mauvais choix de pneus ont totalement bouleversé le classement, les écarts se chiffrant en minutes. Hanninen, le champion IRC en titre, est tombé de la 1re à la 6e place, et le Norvégien Petter Solberg (Peugeot 207) de la 2e à la 7e place, en l’espace de 47 km enneigés.
L’exploit de Florian Gonon
A l’image de François Delecour, Florian Gonon a chaussé des pneus légèrement cloutés pour attaquer les deux dernières spéciales de la journée. Et comme l’ancien vice-champion du monde, il a touché le gros lot, témoin son 3e temps scratch, derrière Delecour et le nouveau leader Bouffier, dans le dernier secteur chronométré. Un authentique exploit que le pilote valaisan, toujours aussi modeste, attribuait avant tout à ses ouvreurs, Yann et Muriel Guigoz.
«Ils ont une fois encore mis dans le mille en me conseillant ce choix. Ce chrono, il leur doit tout!» expliquait-il. Avant d’ajouter: «Bien sûr fallait-il encore de rester sur la route… J’ai dépassé au moins trois voitures dans chacune des deux dernières épreuves, mais je ne me suis pas enflammé, me ménageant toujours une petite marge.»
Gonon est désormais très solidement installé en tête de la classe N3, celle des «4x4 turbo», et il est bien décidé à ne pas jouer avec le feu la nuit prochaine, du côté du Turini.
Les bonnes nouvelles vont par deux. Michaël Burri, lui, a carrément pris le commandement du groupe R3. «Mes pneus cloutés m’ont bien aidé, confiait-il, ce qui ne m’a préservé de quelques «chaleurs», un petit «tout droit» dans l’ES 7, puis un «360 degrés» dans la dernière épreuve.
Avertissements sans frais, heureusement… Le Français Campana, retardé par une crevaison, va sans doute me déborder. Mais il n’est pas question d’en faire une maladie.
Décidé à aller au bout, je vais me programmer pour ne pas prendre des risques superflus d’ici à l’arrivée.»
M. Bt

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ski alpin

Didier Cuche: «C’était Hermann ou Sissi»


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Hermann Maier a été très touché que Didier Cuche lui rende hommage sur un casque.

Didier Cuche a présenté à Herman Maier sa caricature, dessinée sur son casque spécialement conçu pour les épreuves de Kitzbühel.
Gaëlle Cajeux - le 20 janvier 2011, 23h25
Le Matin
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Coupe du monde
Après la journée marquée par l’effroyable chute de l’Autrichien Hans Grugger, la soirée fut plus joyeuse hier à Kitzbühel. Où deux champions se sont rencontrés dans un bar autour… d’un casque. Celui que portera Didier Cuche pour défier la mythique piste de la Streif et sur lequel il a fait dessiner un portrait d’Hermann Maier. «C’était lui ou Sissi. Elle aurait été mignonne, rigole le Neuchâtelois. Mais dans le monde du ski, tout le monde connaît Maier et reconnaît son incroyable carrière. Pour moi, le choix du personnage en venant à Kitzbühel était évident.»
Il n’y a encore pas si longtemps, les deux hommes s’affrontaient sur les pistes. «J’ai dû me battre contre Hermann. Je crois que j’ai réussi… euh est-ce que j’ai réussi à le battre dans ma carrière? Il faudrait que je regarde les statistiques, glisse Didier Cuche. Enfin, à l’époque, c’était le dominateur. Son accident l’a rendu moins invincible, mais il a tout de même réussi à gagner le classement général de la Coupe du monde avec une jambe en mauvais état. C’est un battant, quoi de mieux que de skier sur la Streif avec Maier sur la tête?»
Fier d’avoir été choisi par le skieur suisse, Herminator, qui fait de Cuche et de Walchhofer «les deux grands favoris» de la descente de demain, sourit en découvrant sa caricature. «Ça me fait quand même une tête énorme, avec ce gros menton. J’espère que je suis mieux en vrai!» Et de souligner que le jaune du dessin pourrait bien «être la clé du succès» pour Didier Cuche. «Les deux coureurs qui skient avec des casques de cette couleur, Kostelic et Hirscher, finissent toujours premier ou deuxième ces derniers temps. C’est un signe…»
Hermann Maier a dépassé les histoires de «droits de sponsor» et permis que l’on utilise son image car l’opération «est faite pour aider les enfants». Comme tous les casques de Didier Cuche, cette nouvelle création sera vendue aux enchères au profit de l’association Porte-Bonheur et de la relève du ski suisse. «Si les Autrichiens s’y mettent le casque risque de prendre de la valeur», se réjouit le skieur des Bugnenets. Rendez-vous donc sur Ricardo.ch.

[Norton]

SKI ALPIN

Lindsey Vonn sur un nuage


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Lindsey Vonn

Lors de la seconde descente d’entraînement de Cortina d’Ampezzo, la belle Américaine a déclassé la concurrence
Laurent Guyot - le 20 janvier 2011, 12h27
LeMatin.ch
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Le ciel gris, le vent et la piste en mauvais état dans toute sa partie inférieure n’y ont rien changé. Lindsey Vonn est demeurée intouchable sur la Tofana. L’Américaine, victorieuse voici deux semaines à Zauchensee, a mis largement plus d’une seconde à toute la concurrence. Deuxième, Julia Mancuso pointe à 1’’37 soit la bagatelle de 34,96 mètres et la troisième Elisabeth Görgl se retrouve à 42,74 mètres ou 1’’68. Toutes les autres filles concèdent plus de deux secondes à l’image de Lara Gut finalement disqualifiée pour avoir raté une porte. La Tessinoise préfère vanter les mérites de la gagnante du jour plutôt que de pleurer sur son sort. «Elle est juste la meilleure en ce moment. Les chronos parlent d’eux-mêmes. A nous de regarder ses lignes à la vidéo pour que la note ne soit pas trop élevée. Et moi je devrai skier beaucoup plus proprement si je veux un podium.»

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SKI ALPIN

Le chaud-froid de Gisin


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Dominique Gisin rêve d’un nouvel exploit sur la piste de Cortina. Mais hier à l’entraînement, elle était loin du compte.

Pilote d’avion durant ses loisirs, la skieuse d’Engelberg (25 ans) donne sa recette pour gagner sur la mythique Tofana.
Laurent Guyot - le 20 janvier 2011, 22h25
Le Matin
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L’humidité glace les rares spectateurs. Plus que les –8 degrés recensés sur les hauteurs de Cortina d’Ampezzo, la Gstaad des Dolomites. Loin des Italiennes promenant leurs manteaux de fourrure dans la zone piétonne de la station, Dominique Gisin fait la moue au terme de sa seconde descente chronométrée. Sa 24e place à plus de quatre secondes d’une Lindsey Vonn au sommet de son art ne lui inspire rien de bon. «Je suis à la rue et je ne sais pas pourquoi. C’est ce qui me perturbe le plus. Il va falloir se bouger déjà dans le super-G (ndlr: ce matin dès 10 h) pour espérer amasser de la confiance en vue de la descente de samedi.»
Un bon souvenir
C’est que Dominique Gisin connaît la recette pour gagner sur cette piste donnée comme la plus belle du circuit. Le 24 janvier 2009, l’Obwaldienne avait signé sa deuxième victoire de sa carrière après celle décrochée une semaine plus tôt à Zauchensee. Et l’Alémanique s’était imposée au nez et aux skis d’une certaine Lindsey Vonn. Ce bon souvenir lui rend un timide sourire. «Si je skie de cette manière, cela ne risque pas d’arriver. Mais je me rappelle quand même ce moment magique. J’étais fière de succéder à celle que l’on appelait la «Speed Queen» (Renate Götschl victorieuse à 5 reprises). J’avais vraiment réalisé la course parfaite.»
Trois atouts majeurs
Pour s’imposer sur la Tofana (2590 mètres/760 mètres de dénivellation), la protégée de Stefan Abplanalp, entraîneur des spécialistes de vitesse, parle de trois atouts majeurs. «Il faut d’abord du courage. La déclivité est aussi impressionnante et la vitesse très élevée. Il s’agit de lâcher les chevaux sans aller au-delà de nos limites. Ensuite, il est essentiel de disposer d’une bonne technique pour négocier les courbes proposées à près de 100 km/h. Enfin, le matériel, comme d’habitude, joue un rôle des plus importants. Aujourd’hui, par exemple, nous avons raté notre affaire. Je ne suis pas arrivé à jouer avec mes skis comme j’aime le faire.»

[Norton]

Je vais skier jusqu'à dimanche, Danlos Medol ou autres je compte sur vous pour des nouvelles sportives.........................


Bon week-end à tous...............