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"Le monde entier aime Aussie Kim"


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Le triomphe de Kim Clijsters est à la Une des quotidiens du dimanche, en Belgique, mais à l'étranger aussi.

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L'Equipe titre, "Clijsters puissance 4. Kim Clijsters étend son territoire." La Limbourgeoise décroche son 4e Grand Chelem mais le premier en dehors de l'US Open.

Triomphe de la maman
La Gazzetta dello Sport insiste sur le triomphe de la "maman", seule mère victorieuse d'un Grand Chelem avec Evonne Goolagong à Wimbledon en 1980 à laquelle Kim Clijsters a voulu rendre hommage avec sa tenue verte. "Li a perdu contre une championne et une femme sincère et normale de 27 ans, la plus appréciée pour sa spontanéité", décrit le quotidien italien. Marca, le quotidien espagnol rappelle que c'est la première fois "qu'une joueuse réussi à gagner l'Open d'Australie après avoir perdu le 1er set de la finale depuis 2005 avec Serena Williams".

Kim 4 ever
"Kim 4 Ever" titre la DH Les Sports au bas d'une silhouette de la Limbourgeoise remplie de photos souvenirs de son succès australien, faisant référence à sa 4e victoire en Grand Chelem après ses 3 triomphes à l'US Open en 2005, 2009 et 2010. Un terme utilisé par le groupe Sud Presse: "Nouveau triomphe pour Kim Clijsters. De quoi rendre le sourire au tennis belge après le retrait de Henin."

Deux Belges à l'honneur
Les journaux belges soulignent aussi bien entendu la victoire d'An-Sophie Mestach chez les juniores (en simple et en double). "Clijsters s'impose, Mestach aussie", écrit la DH les Sports jouant sur le jeu de mot, "Maintenant, vous pouvez m'appelez Aussie Kim" barre une grande photo de Kim Clijsters les bras levés après sa victoire.
"Sept ans après une finale perdue contre Henin, Clijsters s'impose enfin à Melbourne. Elle a fondu en larmes dans sa serviette tellement elle avait attendu ce triomphe. Kim Clijsters l'a fait ! Enfin..."

En larmes
Sudpresse souligne l'émotion inhabituelle dans le chef de la plus célèbre citoyenne de Bree, 27 ans: "Kim Clijsters en larmes sur le central". "Mise en difficulté comme rarement, la Belge a su relever le défi", rajoute le quotidien insistant aussi sur l'ambiance du Rod Laver Arena devant une "foule en délire après le triomphe de sa favorite. Des spectateurs qui n'on cessé d'encourager notre compatriote. Ce qui fera même dire à Na Li, "j'avais l'impression de jouer en Belgique."
"Kim Clijsters étend son territoire", rajoute aussi La DH, "avec cette première victoire à l'Australian Open qui vient embellir une deuxième carrière des plus florissantes."

Le monde entier aime Aussie Kim
"Kim l'a fait", titre Het Nieuwsblad sur une grande photo de Clijsters, la Coupe en main. "Le monde entier aime Aussie Kim", rajoute le quotidien néerlandophone qui estime que "pour le moment, Kim Clijsters est incontestablement la meilleure joueuse du monde", même si elle passera de la 3e à la 2e place au classement mondial WTA lundi.

"La deuxième carrière de Kim est déjà plus riche en deux ans que la première", constate-il encore insistant aussi sur "un nouveau super talent en devenir": An-Sophie Mestach. (afp)

[Jaya]

La France championne du monde de handball !

37-35 contre le Danemark après prolongations

[Norton]

Envoyé par Jaya

La France championne du monde de handball !

37-35 contre le Danemark après prolongations

BRAVO uvais de voir trouver un article

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Patinage: Amodio, Joubert, Péchalat,Bourzat: la France sur le toit de l'Europe
De Sabine COLPART (AFP) – il y a 1 heure
BERNE — Pour la première fois de son histoire, la France s'est classée première nation lors de l'Euro-2011 de patinage artistique à Berne, grâce à la victoire de Florent Amodio et des danseurs Péchalat/Bourzat, et de l'argent de Brian Joubert, de quoi aiguiser les appétits à deux mois des Mondiaux.
Depuis 2007, les Bleus n'avaient plus récolté deux titres dans une même compétition.
Mais surtout, cela faisait 50 ans qu'ils n'avaient pas réussi un doublé 1 et 2 sur un même podium: Amodio, champion d'Europe, et Joubert, son dauphin. Il faut remonter aux Euros de 1961 à Berlin pour trouver pareil exploit avec Alain Giletti (1er) et Alain Calmat (2e).
C'est forte de ces performances que la France, incarnée par le jeune Amodio, l'expérimenté Joubert et les danseurs Nathalie Péchalat et Fabian Bourzat, partira à la conquête du monde, du 22 au 27 mars à Tokyo.
La réussite des Bleus, c'est une équipe de France qui ne s'est jamais aussi bien entendue, de l'aveu même de +l'ancien+ de 26 ans, Joubert, qui a partagé sa chambre en Suisse avec son rival Amodio, qui lui a ravi la place de N.1 français.
C'est le succès d'une école de danse sur glace, réputée dans le monde, et qui a fourni en 10 ans trois duos de champions. Et des talents comme Joubert, qui a tiré vers le haut la jeune garde au fil du temps. Et des pépites comme Amodio, travaillée cette année par un diamantaire russe, Nikolai Morozov.
Il n'a que 20 ans, et pour sa première participation aux Championnats d'Europe, Amodio ne s'est offert rien moins que le titre. Le gamin fluet de 1,65 m né au Brésil et adopté par un couple de Français a fait jouer ses qualités de danseur pour emballer le public et convaincre les juges.
Entraîné depuis le mois de mai par Morozov, ancien danseur sur glace, Florent Amodio a travaillé sa chorégraphie et donné de l'ampleur à ses programmes. Ne lui manque sans doute qu'une palette technique plus étoffée.
Car le prodige n'a encore jamais passé en compétition le quadruple saut, la plus grande difficulté. "J'aimerais bien mettre le +quad+ dans le long. Ce serait une avancée dans mon travail. L'image que j'ai de moi, comme étant le meilleur du monde, c'est avec le +quad+."
Son aîné, Joubert, le passe depuis plusieurs années. Il est même reconnu dans ce domaine comme l'un des grands spécialistes mondiaux. Cela lui a valu, entre autres, cette belle carrière auréolée de 16 médailles internationales (6 mondiales, 10 européennes), dont un titre mondial en 2007 et trois titres européens.
Dix années de présence au plus haut niveau, au cours desquelles il a nourri les rêves de gamins comme Amodio, dont l'émergence lui a peut-être ôté un peu de la pression qui l'accompagne depuis si longtemps. Et permis de réveiller son orgueil de champion peu enclin à se laisser pousser vers la sortie par la relève après ses désastreux JO-2010 (16e).
"Il n'est pas encore enterré. Tout le monde le voit foutu. Moi je pense qu'il est trop talentueux pour être foutu. Il est capable de faire trois quads dans un programme", a assuré son entraîneur Véronique Guyon.
S'il passe trois quadruple sauts dans un programme, ce sera un exploit inédit.
A Tokyo, où le plateau sera autrement plus relevé, il faudra à coup sûr élever le niveau pour espérer gagner, ou même juste monter sur le podium.
Nathalie Péchalat et Fabian Bourzat en sont conscients : les champions et vice-champions olympiques, champions et vice-champions du monde sont canadiens et américains. Mais les champions d'Europe, aux ambitions aiguisées, entendent bien franchir un dernier palier, jusqu'au sommet mondial.

[Norton]

Des Experts en or !

Comme en Croatie il y a deux ans, la France a décroché le titre de champion du monde de handball, dimanche en Suède, aux dépens du Danemark (37-35). Malgré la pugnacité jamais démentie de Scandinaves qui les auront poussés à la prolongation, les Experts ont fait honneur une fois de plus à leur surnom, signant là leur quatrième succès consécutif dans une compétition majeure. Avec, déjà, un billet pour les JO 2012
Les Experts avaient prévenu: ils ne se contenteraient pas de la médaille d'argent, un métal amer qu'eux n'ont jamais goûté et dont leurs brillants aînés ne s'étaient guère contentés qu'en 1993, au terme d'une finale de Mondial perdue devant la Russie. Depuis cette expérience maudite, le handball tricolore a toujours honoré l'ultime rendez-vous d'un tournoi quand il s'y trouvait. Au championnat du monde 1995 d'abord, puis lors des éditions 2001 et 2009 de cette même compétition, aux Euros 2006 et 2010 et enfin aux JO de Pékin en 2008. Une tradition qui perdure... encore et encore.

Ce dimanche à Malmö, à 30 kilomètres à peine de Copenhague la danoise, la France a conquis le quatrième titre de champion du monde de son histoire, rejoignant ainsi au faîte du palmarès de l'épreuve la Suède et la Roumanie. Deux nations qui elles n'ont jamais triomphé à l'échelon olympique. De là à considérer les Bronzés, Barjots, Costauds et autres Experts comme maillons de la plus belle mécanique qu'ait jamais connu le handball international, il n'y a qu'un pas présomptueux que l'on osera volontiers franchir en la circonstance.

Suffit de demander Jaya............

[Norton]

Et de trois pour Ehning au CSI de Zurich!

30.01.2011 17:40 - mise à jour: 18:47 Le no3 mondial s'était déjà imposé à Zurich en 2000 et 2006. [Alessandro Della Bella - Keystone]

Marcus Ehning a écrasé de toute sa classe la concurrence lors du GP Coupe du monde du CSI de Zurich. L'Allemand, numéro 3 mondial, a relégué Ben Maher et Edwina Alexander à plus de deux secondes pour triompher une troisième fois dans cette épreuve.

Marcus Ehning a triomphé pour la troisième fois lors du Grand Prix Coupe du monde du CSI-W de Zurich. L'Allemand, sur Küchengirl, a devancé dans le Hallenstadion le Britannique Ben Maher (Robin Hood) et l'Australienne Edwina Alexander (Itot du Chateau).
Seule Suissesse présente dans le barrage, Janika Sprunger (Uptown Boy) a terminé au 7e rang. Ce résultat témoigne encore bien de la période délicate que traverse le saut d'obstacles helvétique, qui avait toujours placé au moins un de ses membres dans le top 5 de l'épreuve zurichoise depuis 2005. Mais, d'un point de vue personnel, Sprunger avait de quoi se montrer heureuse. "Je suis très fière de mon premier parcours. Seuls sept cavaliers se sont qualifiés pour le barrage et j'étais l'unique Suissesse. Une performance plus que satisfaisante", a estimé la Bâloise, qui représente réellement une option intéressante en vue des Européens de Madrid l'automne prochain.
La faute commise dans le 1er parcours a coûté cher au Jurassien. [Keystone] Guerdat détrôné

Steve Guerdat, sur Jalisca Solier, a donc perdu son titre conquis en 2010. Le Jurassien, 8e avec le meilleur temps des engagés, a toutefois marqué de précieux points dans l'optique d'une qualification pour la finale de la Coupe du monde de Leipzig en avril. Avec son 27e rang provisoire, le cavalier de Bassecourt devra toutefois frapper fort dans l'un des prochains rendez-vous de la Coupe du monde.
Guerdat a devancé d'une place Werner Muff (Quax), tandis que la championne de Suisse Claudia Gisler (Touchable) a pris un honorable 12e rang. L'Uranaise a ainsi prouvé qu'elle avait les moyens de s'illustrer dans les concours les plus relevés du circuit. Pius Schwizer, 19e et donc hors des points, doit pour sa part tirer un constat en demi-teinte. Sacré meilleur cavalier d'un CSI-W qui a battu son record d'affluence (35 800 spectateurs sur les trois jours), il doit néanmoins se rendre à l'évidence: son Verdi n'a pas le talent de sa Carlina et sera certainement trop juste pour décrocher une place à Leipzig.
Une 25e voiture

Vainqueur sortant de la Coupe du monde, Ehning n'en finit plus de collectionner les victoires, lui qui a remporté à Zurich sa "25e voiture environ". Lauréat sur les bords de la Limmat avec For pleasure (2000) et Sandro Boy (2006), l'Allemand a cette fois-ci su tirer le meilleur de Küchengirl, sa jument bavaroise de 14 ans. "Elle est très rapide. Les quatre galops du barrage ont ainsi été un terrain favorable pour elle. Küchengirl s'est sentie très bien à Zurich." Deuxième à seulement deux dixièmes de seconde, Ben Maher a tout de même des raisons d'être content. Le Britannique a en effet reçu 45 000 francs pour son classement, et ce le jour de ses 28 ans.
si/lper

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Sarah Meier finit sa carrière en or !

29.01.2011 16:56 - mise à jour: 30.01.2011 09:41 Sarah Meier a réussi samedi le programme de sa vie à Berne. De quoi finir sa carrière en beauté... [Peter Schneider - Keystone]

Pour la dernière compétition de sa carrière et la première de sa saison, Sarah Meier a décroché la lune. La Zurichoise de 26 ans a ébloui le public de Berne d'un majestueux programme libre pour conquérir le titre européen.

Sarah Meier a triomphé aux Européens de Berne au terme d'une prestation d'une grande intensité émotionnelle, qui lui a valu les ovations d'un public acquis à sa cause. Tous les pronostiqueurs en ont été bons pour leurs frais avec ce titre de la Suissesse, qui était non seulement l'aînée du plateau, mais qui en plus n'avait pas disputé la moindre compétition auparavant cette saison, avec des programmes qu'elle présentait pour la première fois.
Meier avait dû se contenter de l'argent en 2007 et 2008. [Keystone] "J'avais toujours rêvé de ce moment, je ne saisis vraiment pas ce qui m'arrive", a soufflé dans le micro une Sarah Meier en pleurs. Elle-même ne se voyait pas finir mieux que 5e ou 6e de cette compétition. Au final, elle réussit un magnifique programme libre, qui lui a permis de remonter de la 3e place à la 1ère et de battre de deux points, avec 170,60 points (le deuxième meilleur score de sa carrière), la triple championne d'Europe et grande favorite italienne Carolina Kostner (168,54). La Finlandaise Kiira Korpi enlève le bronze avec 166,40.
Libérée

Sarah Meier, accablée par les blessures, n'avait plus obtenu de résultat tangible depuis trois saisons, soit depuis sa médaille d'argent aux Européens 2008. Mais son manque de préparation cet hiver consécutivement à sa blessure à un pied a paru la libérer d'un poids, celui de devoir réussir à tout prix. Elle a patiné l'esprit libre mais très concentrée. Elle fut la seule des favorites à ne pas chuter dans le libre.
La patineuse de Bülach rejoint ainsi Denise Biellmann dans l'histoire. Zurichoise elle aussi, Biellmann avait été la seule Suissesse championne d'Europe avant Sarah Meier, il y a exactement 30 ans.
De son côté, la Zurichoise Romy Bühler, qui faisait ses grands débuts à 16 ans, s'est bien défendue en se classant 16e avec 122,33 points, son meilleur total.
"Le moment parfait pour me retirer"

"Tout finit par payer, j'en oublie les moments difficiles", s'est exclamée Sarah Meier, plus rayonnante que jamais, après son inattendu titre européen à Berne.
- Sarah Meier, est-il plus facile désormais d'arrêter votre carrière après ce titre ou au contraire plus difficile?
Sarah Meier: C'est beaucoup plus facile, car la saison dernière a été si dure que je ne voulais pas rester là-dessus. J'ai connu tellement de blessures dans ma carrière et voilà que je finis par réussir LA compétition de ma vie... J'ai atteint mes limites, et ce sera maintenant beaucoup plus facile d'arrêter. C'est le moment parfait pour me retirer.
- Qu'avez-vous ressenti en voyant que vous aviez gagné?
Sarah Meier a brillé par son assurance sur la glace. [Keystone] Sarah Meier (bouleversée et très émue): J'avais toujours rêvé d'un tel moment. Et tout s'est passé exactement comme je l'avais imaginé. C'était très émotionnel, l'ambiance dans la patinoire et le public étaient fantastiques. J'ai eu un bref flash-back sur ma carrière, tous les gens qui m'ont soutenue, ma coach... Mais on oublie les moments difficiles.
- Quelle était votre stratégie en entrant sur la glace?
Sarah Meier: J'ai essayé de ne pas me contenter du bronze, de ne pas jouer la carte de la sécurité. Je ne voulais pas être trop prudente, car tout peut aller très vite. J'ai tenté mon va-tout, mais je ne pensais pas vraiment que le titre était possible.
"Je veux savourer"

- Avez-vous des regrets au terme de votre carrière?
Sarah Meier: Je regrette de ne pas avoir assez su apprécier les bons moments, par exemple quand j'ai remporté mes deux médailles d'argent. Maintenant, je vais tâcher de goûter chaque seconde de ce qui m'arrive. J'ai connu des périodes difficiles, mais c'est le sport. Tout le monde passe par là. Nous sommes de bons exemples démontrant que tout finit par payer si on n'abandonne pas quand on perd ou qu'on chute. Il faut se relever et se remettre à travailler dur.
- Cette médaille d'or changera-t-elle votre vie?
Sarah Meier: Pas beaucoup. Je vais me produire dans des spectacles comme Art on Ice et je me réjouis de patiner non plus pour les points, mais pour le public. Je veux aussi savourer un maximum, car ces instants ne reviendront jamais. Je m'en souviendrai toute ma vie.
si/lper

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Ski

La France écrase la concurrence

30.01.2011 17:22 - mise à jour: 17:56 Murisier n'a pas manqué de féliciter le vainqueur. [Dominic Favre - Keystone]

La première journée des Mondiaux juniors de Crans-Montana a souri à la France. Les Tricolores, avec l'or de Pinturault et le bronze de Faivre en géant garçons, ont éclipsé les autres nations dont la Suisse. Justin Murisier n'a en effet pris que le 7e rang.

La France a frappé un grand coup lors de la première journée des championnats du monde juniors de Crans-Montana. En géant, Alexis Pinturault a survolé les débats tandis que son compatriote Mathieu Faivre s'est emparé de la médaille de bronze. L'Autrichien Vincent Kriechmayr s'est intercalé entre les deux Tricolores, tandis que les Suisses ont dû se contenter de la 7e place de Justin Murisier.
La victoire de Pinturault n'est pas une surprise. Déjà sacré en géant lors l'édition 2009 à Garmisch (All), le surdoué de Courchevel joue les terreurs en Coupe d'Europe, où il est monté sur le podium cinq fois lors des sept dernières courses (3 victoires). Murisier a concédé plus de deux secondes au vainqueur. [Keystone] Le champion de France 2010 du géant, qui fêtera ses 20 ans en mars, s'est imposé avec 63 centièmes d'avance sur Kriechmayr sur la piste du Mont-Lachaux de Crans-Montana. Tous les autres concurrents (163 coureurs en lice !) ont échoué à plus d'une seconde.
La déception Murisier

Très attendu devant son public, Justin Murisier a déçu en terminant au 7e rang, lui qui figurait parmi les papables aux médailles. Le Bagnard de 19 ans s'est montré trop brouillon lors de ses deux passages pour prétendre à une première médaille mondiale.
En lice pour un podium après la première manche (3e), Reto Schmidiger n'a pas tenu le choc l'après-midi. Le Nidwaldien a chuté au 9e rang final. Les deux jeunes Suisses abattront leur meilleure carte lundi lors du slalom. Murisier a brillé cette saison en Coupe du monde dans la discipline, tandis que Schmidiger est le tenant du titre.
Les Suissesses affûtent leurs lattes

De leur côté, les filles disputaient leur premier entraînement en vue de la descente de mardi. La Norvégienne Lotte Smiseth Sejersted a signé le meilleur chrono en devançant... six Suissesses: Priska Nufer, Andrea Thürler, Wendy Holdener, Joana Hählen, Jasmine Flury et Corinne Suter. La Valaissane Mélissa Voutaz a, elle, été éliminée sur chute.
si/lper

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Autres sports

Beat Hefti rate son 1er succès deux fois d'un cheveu

30 janvier 2011 14:46 Comme samedi en bob à 2, Beat Hefti et son équipage ont dû se contenter de la 2e place... [Arno Balzarini - Keystone]

Beat Hefti, toujours à la recherche d'une 1ère victoire en tant que pilote, est passé tout près du Graal ce week-end à St-Moritz. Que ce soit en bob à 2, samedi, ou en bob à 4, l'Appenzellois a manqué la victoire d'un cheveu.

Beat Hefti a brillé ce week-end en Coupe du monde à St-Moritz. Deuxième en bob à deux samedi, le pilote appenzellois a également fini sur la seconde marche du podium dimanche au terme de l'épreuve de bob à quatre, son meilleur résultat jamais réalisé dans cette discipline.
A deux, Hefti et son pousseur Thomas Lamparter n'ont été devancés que de 3 centièmes par les Allemands Manuel Machata/Andreas Bredau. Vingt-quatre heures plus tard, il lui a manqué... 2 centièmes. En tête après la première manche, il a été devancé d'un souffle par l'équipage du Letton Edgars Maskalans. Jusqu'à présent, Hefti, toujours à la recherche d'un 1er succès dans la peau d'un pilote, n'avait jamais fait mieux que 4e dans le grand bob en Coupe du monde (en février 2009 à Park City/EU).
D'une façon générale, les numéros de départ élevés ont une nouvelle fois été avantagés sur la piste naturelle grisonne, de plus en plus rapide à mesure que la matinée avançait. Hefti avait hérité du 17.
Hefti également à l'aise dans le petit bob

Beat Hefti est toujours à la recherche d'une 1ère victoire en tant que pilote. [Keystone] Samedi, Hefti était encore en tête au dernier temps intermédiaire avant de légèrement fléchir. L'Appenzellois a toutefois prouvé qu'il était à l'aise dans le petit bob. Successivement 1er à Igls, 4e à Winterberg et 2e à St-Moritz, il fait partie des candidats au podium pour les prochains Mondiaux de Königsee.
Manuel Machata, qui dispute sa première saison sur le circuit mondial et qui est présenté comme le successeur du quadruple champion olympique Andre Lange, a signé sa deuxième victoire de l'exercice. Au classement général, après sept des huit épreuves, le jeune Allemand ne compte plus que 18 points de retard sur le Russe Alexsandr Zubkov, 4e samedi.
La Coupe du monde 2010/2011 s'achèvera le week-end prochain à Cesana (It), sur la piste des JO 2006 à Turin.
si/dbu

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AUTOMOBILISME

Formule 1: Schumacher pense encore pouvoir jouer les premiers rôles


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Michael Schumacher sera encore au départ de la prochaine saison.

Michael Schumacher a assuré dans la presse lundi qu’il était encore capable, à 42 ans, de jouer les premiers rôles dans le championnat du monde de Formule 1. L’Allemand avait repris sa carrière en 2010 avec Mercedes.
le 31 janvier 2011, 10h55
LeMatin.ch & les agences
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Si on regarde la saison dernière, d’un point de vue de la condition physique, il ne me manque rien pour être au top-niveau mondial", a déclaré "Schumi" au quotidien Bild. "Pour cette saison, j’ai vraiment un bon pressentiment. L’an dernier, dès les premiers tests, j’ai vite compris que je ne pourrais pas faire de belles choses avec la voiture qu’on avait", a ajouté le septuple champion du monde.
Schumacher, 9e du Championnat 2010 remporté par Sebastian Vettel, a toutefois estimé qu’il était "encore trop tôt" pour présenter Mercedes comme une candidate au titre mondial. L’écurie dévoilera mardi à Valence (Esp) sa monoplace pour 2011.